Le poulet caqueta, leva la tête, se gratta le dos et dit : « Excusez-moi, Madame Souris, je me rends bien compte que c’est une grande inquiétude pour vous, mais cela ne me regarde pas. Que voulez-vous que j’en fasse ? ». La souris se tourna alors vers le mouton. « Oh, je suis désolé Madame Souris, la seule chose que je peux faire pour vous est de prier ». La souris se tourna enfin vers le bœuf. Celui-ci se moquait de la souris : « Oh là là, Madame Souris, mais c’est terrible, une trappe à souris ! Mais je suis gravement en danger, n’est-ce pas ? ».
Finalement, s’en retourna à la maison, la tête basse et découragée d’avoir à affronter seule la trappe à souris du fermier.
Dans la nuit, on entendit un bruit dans la maison qui ressemblait à celui d’une trappe à souris se refermant sur une souris. La femme du paysan s’en alla voir ce qui avait été pris. Dans la nuit, elle ne vit malheureusement pas le serpent venimeux dont le bout de la queue avait été pris dans la trappe. Le serpent mordit la femme du paysan. On dut partir à l’hôpital. La femme revint avec de la fièvre. Or, comme tout le monde le sait, il est fortement conseillé de faire boire à quelqu’un qui a de la fièvre une bonne soupe au poulet. Le paysan prit donc sa hache et coupa le cou du poulet.
Malheureusement, la maladie continua et beaucoup de gens vinrent pour garder la malade. Le paysan dut tuer son mouton pour nourrir tout le monde. Finalement, la femme mourut et le paysan dut abattre son bœuf pour nourrir les personnes venues pour l’enterrement.
La souris surveillait tout ce va-et-vient de par la fente du mur, en ressentant une grande tristesse.
Et quand je me remémore les scénarios de l’Irak, la Libye et la Syrie Possible que je sois parano
7 septembre 2013
El-Guellil