Son passeport rouge de honte côtoyant et un autre passeport vert de peur font faux deal. Attention à ne pas confondre avec ceux de chez nous là-bas qui viennent ici passer des vacances, voir leur famille et sentir l’odeur du bled. Ceux-là ils triment dur, ils n’ont eu de choix que partir pour trouver du travail. Ils vivent sous des faux plafonds et espèrent revenir construire de vraies maisons. Cela va paraître décousu, ce n’est que de la parlure. Il est bien plus facile d’élever des enfants que de réparer des adultes.
Il faux dire par El-Guellil
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30 août 2013
El-Guellil