Son argumentaire: «Je sais mieux que l’autre» tient dans l’unique fait qu’il se croit toujours suffisamment intelligent, puisque c’est avec cette même intelligence qu’il se juge (merci Descartes). Ce seul constat devrait déjà notablement calmer les critiques faciles, pour peu qu’elles tiennent compte de ces remarques.
Ensuite, la critique est généralement trop rapide. Peu circonstanciée, et surtout étayée par trop peu pour être utile. Le réflexe naturel est visiblement de «critiquer c’est tout», parce qu’il est bien moins risqué de dire qu’il y a une erreur en vue, que de s’assurer que le risque pris pourrait apporter plus de bénéfices que de déficit.
Cependant, on se contentera du «c’est de la m , chkil fi chkil». Je pense qu’il est toujours temps d’offrir non pas une critique, mais une réflexion, ceci par la suggestion, par des idées, et non par de la bêtise par palettes entières. Au lieu de vous lancer dans des vociférations dramatiques, veuillez avoir l’obligeance d’être constructifs, et non pas uniquement démonstratifs. Comme l’a dit je ne sais plus qui : «La culture, c’est comme les parachutes. Quand on n’en a pas, on s’écrase». Résultat des courses, je vais juste remplacer le mot «culture» par «idées».
29 juillet 2013
El-Guellil