-Combien encaissez-vous? …les réponses reflétaient les écritures. Mais l’ouvrière avait les larmes aux yeux. Impossible d’arrêter les larmes. Elle doit sûrement avoir des problèmes perso, se disent les inspecteurs du Travail. Ils décident alors, nos inspecteurs, de s’adresser à un autre ouvrier auquel ils posent les mêmes questions. «Et vos congés » el hamdoulillah, le patron oueld familia et il ne mange pas arg el kheddam mais de ses yeux les larmes coulaient sillonnant son visage. Impossible de les arrêter. Troisième kheddam, autre question. Même réponse, autant de larmes rougissaient ses yeux. Mystère et boule de gomme. Les ouvriers, tous étaient satisfaits, mais de leurs yeux perlaient de larmes incessantes. Mossiba. Les moufettichine n’arrivaient pas à s’expliquer ce phénomène qui n’avait rien à voir avec l’exercice de leur métier, ni les conditions de travail. Alors ils décident d’aller revoir le patron. Lui aussi était en larmes, mais avec un sourire digne de jour de fête. -Ya khouya, el kholsa khalsine. Le congé, ils ne s’en plaignent pas. Tout semble leur plaire. Mais en même temps tous pleurent et vous avec Alors le patron se met à rire, se dilatant la rate. Ya oueddi mon voisin, mitoyen, stocke toute sa production d’oignons à proximité. C’est ce qui explique les larmes Je ne peux pas le lui interdire, c’est sa propriété en plus c’est un gros ponte du bsal, je ne peux pas me mêler de ses oignons.
Contrôle par El-Guellil
-Combien encaissez-vous? …les réponses reflétaient les écritures. Mais l’ouvrière avait les larmes aux yeux. Impossible d’arrêter les larmes. Elle doit sûrement avoir des problèmes perso, se disent les inspecteurs du Travail. Ils décident alors, nos inspecteurs, de s’adresser à un autre ouvrier auquel ils posent les mêmes questions. «Et vos congés » el hamdoulillah, le patron oueld familia et il ne mange pas arg el kheddam mais de ses yeux les larmes coulaient sillonnant son visage. Impossible de les arrêter. Troisième kheddam, autre question. Même réponse, autant de larmes rougissaient ses yeux. Mystère et boule de gomme. Les ouvriers, tous étaient satisfaits, mais de leurs yeux perlaient de larmes incessantes. Mossiba. Les moufettichine n’arrivaient pas à s’expliquer ce phénomène qui n’avait rien à voir avec l’exercice de leur métier, ni les conditions de travail. Alors ils décident d’aller revoir le patron. Lui aussi était en larmes, mais avec un sourire digne de jour de fête. -Ya khouya, el kholsa khalsine. Le congé, ils ne s’en plaignent pas. Tout semble leur plaire. Mais en même temps tous pleurent et vous avec Alors le patron se met à rire, se dilatant la rate. Ya oueddi mon voisin, mitoyen, stocke toute sa production d’oignons à proximité. C’est ce qui explique les larmes Je ne peux pas le lui interdire, c’est sa propriété en plus c’est un gros ponte du bsal, je ne peux pas me mêler de ses oignons.
S'abonner
Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir les mises à jour par e-mail.
19 juillet 2013
El-Guellil