C’est ce qui explique que les rats de l’opéra de la danse du ventre, faute d’arguments optent pour la vulgarité. Est-il étonnant de voir naître le syndicat des danseurs des ventres ? Que non ! Convaincus de la nécessité historique de leur besogne, les terroriciens de la danse des ventres divisent la société en deux : les seindiqués et les lâches. Les Hommes ? Aucun ! Ils sont refusés ceux qui refusent de porter la ballerine de se serrer la taille pour le déhanchement et la pirouette. Car les esprits sains n’aiment pas s’enrôler dans la meute sous le rythme de « luth des classes ».
Les Hommes travaillent quand les danseurs du ventre peinent à mobiliser leur ombre. C’est pour cette raison qu’ils ne peuvent avoir pour disciple que la nuit. C’est la nuit qui les a faits. Et la nuit, ils font tout pour qu’elle demeure. Car le jour où le soleil parviendra à s’installer dans les têtes, que le savoir reprendra sa place sur les bancs du travail. Que le mérite sera pour ceux qui produisent, créent de la richesse, le ballet des danseurs du ventre n’exposeront plus la démocratie comme le piercing sur le nombril.
10 juillet 2013
El-Guellil