Un jour, le dirigeant d’une grande société engage un jardinier indépendant.
Mais alors que ce dernier arrive chez lui, le patron s’aperçoit qu’il a fait
appel à un adolescent à peine âgé de 15 ans.
Peu importe se dit-il, maintenant qu’il est là, il faut bien qu’il
travaille.
Quand le garçon a terminé, il demande au propriétaire l’autorisation de
passer un petit coup de fil. Par mégarde, le dirigeant surprend la
conversation de son jeune jardinier…
Le garçon s’entretient avec une femme :
- vous avez besoin d’un jardinier ?
- Non, j’en ai déjà un.
- Mais moi, en plus de faire le jardin, je ramasse les déchets,
souligne le garçon
- C’est tout à fait normal, mon jardinier aussi fait cela, répond la
femme
- Je lubrifie tous les outils à la fin de mon service, ajoute l’adolescent
- Mon jardinier aussi, rétorque la propriétaire un peu agacée.
Dans une dernière tentative pour persuader son interlocutrice,
l’adolescent lance :
- je suis rapide, jamais en retard et mes tarifs sont imbattables !
- Désolée, mais le prix de mon jardinier est également très
compétitif, répond la femme avant de raccrocher.
- Mon garçon, je crois bien que tu viens de perdre une cliente, dit le patron.
- Bien sûr que non, c’est moi son jardinier ! J’ai fait cela seulement
pour savoir si elle est vraiment satisfaite de mes services.
…………………………………………………
Et nous ? Sommes nous aussi courageux que ce petit jardinier quand il s’agit
de savoir si nous pouvons faire davantage pour la société ?
Quel serait le résultat si nous cherchions à connaître le degré de
satisfaction de nos employeurs sur le service que nous assurions ?
Amicalement
15 mars 2013
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