Des Espagnols sont appelés à la rescousse. Des bureaux d’études sont payés. Des équipes sont affectées. Les échafaudages sont là. De la main-d’œuvre algérienne est recrutée. Les travaux commencent au grand bonheur des occupants d’immeubles. Maaliche les désagréments. Pourvu que… mais (juin, juillet « out » septembre) ne voilà-t-il pas que s’arrête l’opération. Kifèche ? Aalèche ? Galou belli c’est à cause de l’Aïd Séghir, galou le pont et les vacances. «Galoup elmakla». Les habitants attendent. L’OPGI est aux abonnés absents. Ni sbagnoul, ni zoufria locaux. Rien. A se demander si ce n’était qu’un bloffage destiné aux prochaines électionnages. L’essentiel tout est à l’arrêt. Les habitants des immeubles concernés se posent des questions. Ils ne trouvent pas de réponses. Galou belli ils vont arrêter ce souffrage à la veille des suffrages. Galou belli les parties communes des immeubles, cour d’intérieur, hall d’entrée, cages d’escaliers, terrasses, canaux principaux, murs et parois internes, vont peut être faire un sit-in devant le siège où siègent ceux qui gèrent leurs sièges. Le slogan serait « elli ma tag itallag ».
Sinon il faut allumer un cierge à la mémoire des décisions des décideurs qui décident de ne pas se décider à relancer les travaux.
4 septembre 2012
El-Guellil