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FIÈRE ALGÉRIE DE SAMIRA BENDRIS OULEBSIR Un demi-siècle d’indépendance

23 juillet 2012

LITTERATURE

FIÈRE ALGÉRIE DE SAMIRA BENDRIS OULEBSIR Un demi-siècle d’indépendance  dans LITTERATURE signature_SAMIRA-BENDRIS-OULEBSIR-300x4601 dans LITTERATURECulture : En librairie

A l’occasion du 50e anniversaire de l’indépendance de notre pays, des auteurs algériens ont saisi leur plume pour évoquer l’Algérie, à l’initiative de Samira Bendris Oulebsir qui a compilé ces écrits et les a publiés chez Dalimen. 
L’encre de Amar Belkhodja, Fatima Kerrouche, Jaoudet Gassouma, Karima Berger, Leila Sebbar, Youcef Merahi, Lamine Bechichi, Nasreddine Guenifi et tant d’autres a coulé, s’exprimant à l’occasion de ce demi-siècle d’indépendance. Extrait : Algérie, 50 impaires et manque de Jaoudet Gassouma. «Oui, la belle a cinquante jeunes fringantes années ; elle a encore toute la vie devant elle, adoubée par ses enfants, courtisée par les galants voisins et autres qui lui font une cour empressée, la voulant pour eux tout seuls…» (P37). Nasreddine Guenifi, quant à lui, se souvient des années où l’on fêtait en grande pompe les dates anniversaires de notre pays : «La dernière fête nationale eut lieu en novembre 1974 si mes souvenirs sont bons. A Alger, les habitants s’empressaient d’aller prendre place au boulevard de l’ALN, ex-Moutonnière, pour assister aux grands défilés. Vers midi, le cortège présidentiel arrive enfin… d’anciens maquisards… des travailleurs des diverses entreprises nationales, des femmes, des étudiants de diverses facultés…» (P44). Samira Bendris n’est pas en reste. Elle note : «Algérie, un pays de tout temps convoité. L’Algérie, cette vaste contrée d’Afrique si jalousée, tant partagée. Si aimée, tant détestée. L’Algérie, ce beau pays. Un paradis terrestre pour ceux qui savent l’apprécier…» (P25). Samira Bendris est licenciée en lettres françaises (université de Bouzaréah). Elle a plusieurs cordes à son arc : enseignante, journaliste et écrivaine.
Sabrinal
Fière Algériede Samira Bendris Oulbsir, Editions Dalimen, 2012, 101 pages, 500 DA.


Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2012/07/23/article.php?sid=137021&cid=16

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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2 Réponses à “FIÈRE ALGÉRIE DE SAMIRA BENDRIS OULEBSIR Un demi-siècle d’indépendance”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Bio Express
    Samira Bendris Oulebsir est née et vit à Alger. Diplômée de l’Université de Bouzaréah (Lettre françaises, promotion juin 91), elle s’oriente vers l’enseignement, le journalisme et se consacre actuellement au domaine de l’écriture et de l’édition.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  2. Artisans de l'ombre Dit :

    « Un demi-siècle de vie peut paraître long pour les hommes et les femmes que nous sommes devenus aujourd’hui. Mais une cinquantaine d’années de vie pour un pays qui se relève à peine c’est court. Et jamais aucune Nation au monde n’a pu se reconstruire en si peu de temps.

    Une fois son Indépendance arrachée, l’Algérie a poursuivi son combat sur d’autres fronts pour réapprendre à vivre et être capable de maintenir le cap vers ce monde nouveau qui s’ouvrait à elle, en affrontant tant bien que mal les différents obstacles qui obstruaient son chemin. Beaucoup ont contribué à cette avancée. Certains sont restés et continuent de se battre. D’autres, déçus, désabusés, ou contraints, sont partis. Mais tous ont gardé l’Algérie dans le cœur et la rejoignent sans cesse par l’esprit.
    L’idée de faire ce recueil a jailli de la volonté de les faire parler. De leurs paroles est né cet écrit. De cet écrit sortiront des cris de cœur, des révoltes, des souvenirs, des émotions, des espoirs et des colères (…) »

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

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