Etre soutenu par la Russie et la Chine, une dictature et une demi démocratie, contre son propre peuple, n’est pas du tout une chose qui réjouit et dont des dirigeants sensés devraient se vanter.
L’Histoire a jugé et condamné Al Assad, comme elle a jugé et condamné Benali, Moubarak, Gueddafi, Ali Abdallah Saleh, Bouteflika et tous les tyrans “républicains” ou monarchiques arabes, qui constituent, comme Cuba et la Corée du Nord, des anachronismes sur la scène internationale, dont les peuples ne s’accommodent plus et veulent se débarrasser aujourd’hui.
Quant à la menace de l’Ambassadeur Russe à l’ONU, d’effacer le Qatar, il doit l’avoir proférée alors qu’il était saoul et gavé de Vodka pour pouvoir prononcer une ineptie pareille à l’égard du Qatar, qui est devenu un super allié des Etats Unis d’Amérique et qui abrite le siège du Haut Commandement americain pour le Moyen Orient.
Il fallait donc une sacrée dose de culot, que seul l’alcool pourrait procurer, pour venir annoncer au monde entier que son pays, la Russie, soutient le bourreau de Homs et a décidé de voter contre le projet de résoluton du Conseil de Sécurité et donner ainsi le feu vert au fou de Damas pour intensifier les massacres contre le peuple syrien, qui n’oubliera jamais la trahison de la Russie et de la Chine et de ceux qui s’agitent dans le même sens qu’elles, c’est à dire à contresens de l’Histoire.
Rabah
15 février 2012
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