Ben, figurez-vous qu’il n’y a rien de tout cela. Pour notre marchand de valises à roulettes, il a eu la présence d’esprit de supprimer les roulettes et d’en faire des valises en valises transportables à force de bras ; quant à la disparition des fauteuils roulants et poussettes pour bébés, c’est juste que la circulation de ce genre d’engins n’est plus possible. Nos rues, ruelles, trottoirs, avenues, boulevards et autres ont été transformés en terrains de golf. Des trous partout. Des tranchées. Partout. Des creusements. Partout. Déjà à pieds, ce n’est plus possible de circuler, alors sur des roulettes, il faut attendre que soient bouchés les trous et autres crevasses. Roues et trous n’ont jamais fait bon ménage.
«Les t-roues» par El-Guellil
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4 février 2012
Chroniques