En conclusion, les rédacteurs de la déclaration affirment se sentir atteints dans leur dignité de citoyens algériens par l’intervention d’un Etat étranger dans les affaires intérieures de leur pays lorsque sont posées des questions telles que «de quelle manière avez-vous participé au coup d’Etat du 11 janvier 1992? … Pouvez-vous m‘expliquer quel type de décisions a pu prendre le HCE ? Comment les décisions du HCE étaient-elles mises en œuvre jusqu’aux instances politiques du bas de l’échelle? Comment les décisions de l’état-major étaient-elles mises en œuvre?» De tels propos et agissements, affirment les signataires, sont considérés comme attentatoires à la souveraineté algérienne et au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat, principe indispensable à la paix, au respect mutuel et aux bonnes relations entre les membres de la communauté internationale. «Les Algériens qui ont tant souffert de la barbarie terroriste, durant plus d’une décennie dans l’indifférence du monde civilisé, sont consternés par l’approche superficielle de leur malheur par des personnes, institutions ou Etats, ignorant des réalités du pays et prétendent s’arroger le monopole de la défense des droits de l’homme. Conscients de la nécessité de préserver les relations liant les deux peuples, les signataires en appellent aux responsables de l’Etat algérien pour prendre toutes les mesures dictées par les circonstances et prier le gouvernement de la Confédération helvétique d’agir dans les délais opportuns pour mettre un terme à une procédure que ne justifient ni la réalité des faits invoqués ni les principes du droit international», conclut la déclaration.
SON AUDITION EN SUISSE DENONCEE : UNE PETITION POUR SOUTENIR KHALED NEZZAR par Djamel B.
En conclusion, les rédacteurs de la déclaration affirment se sentir atteints dans leur dignité de citoyens algériens par l’intervention d’un Etat étranger dans les affaires intérieures de leur pays lorsque sont posées des questions telles que «de quelle manière avez-vous participé au coup d’Etat du 11 janvier 1992? … Pouvez-vous m‘expliquer quel type de décisions a pu prendre le HCE ? Comment les décisions du HCE étaient-elles mises en œuvre jusqu’aux instances politiques du bas de l’échelle? Comment les décisions de l’état-major étaient-elles mises en œuvre?» De tels propos et agissements, affirment les signataires, sont considérés comme attentatoires à la souveraineté algérienne et au principe de non-ingérence dans les affaires intérieures d’un Etat, principe indispensable à la paix, au respect mutuel et aux bonnes relations entre les membres de la communauté internationale. «Les Algériens qui ont tant souffert de la barbarie terroriste, durant plus d’une décennie dans l’indifférence du monde civilisé, sont consternés par l’approche superficielle de leur malheur par des personnes, institutions ou Etats, ignorant des réalités du pays et prétendent s’arroger le monopole de la défense des droits de l’homme. Conscients de la nécessité de préserver les relations liant les deux peuples, les signataires en appellent aux responsables de l’Etat algérien pour prendre toutes les mesures dictées par les circonstances et prier le gouvernement de la Confédération helvétique d’agir dans les délais opportuns pour mettre un terme à une procédure que ne justifient ni la réalité des faits invoqués ni les principes du droit international», conclut la déclaration.
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29 décembre 2011
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