Auteur : djilali benbarhim
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Commentaire:
Ouverture de la session d’automne du parlement.
Réformes politiques.
En 2012 nous fêterons cinquante ans d’indépendance de notre pays dans la joie et le faste. Tout ceci est beau mais il serait peut être utile de rappeler que ceux qui sont nés en 1962 ont déjà un demi siècle de vie et qu’ils sont toujours marginalisés, du moins pour la majorité d’entre eux, alors que leurs ainés ont été aux commandes de l’Etat à moins de vingt cinq ans et ils s’en vantent même.
Peut être est temps de réfléchir autrement et de céder sa place avant qu’un « Dégage » brutal ou un « IRHAL » sanglant ne décident de s’installer chez nous.
Je propose donc à nos vénérables députés une loi qui changerait tout le paysage politique, économique et social de l’Algérie.
Une loi toute simple et qui ne nécessite pas de grands moyens, encore que chez nous ce ne sont pas les moyens qui manquent.
1/ Il suffirait à l’auguste institution parlementaire d’édicter une loi sur la retraite obligeant tout fonctionnaire relevant de la fonction publique ou d’un statut particulier à partir en retraite au plus tard à l’âge de 60 ans.
2/ Tout candidat à un mandat électif politique ou associatif ne devrait pas dépasser l’âge de 60 ans au dernier dudit mandat.
3/L’Islam a inspiré le législateur algérien qui détermina l’âge de quarante ans révolus pour tout candidat à l’élection présidentielle, en référence au prophète QSSL qui reçut sa révélation à l’âge de 40 ans. Il serait utile rester inspiré et de rappeler que le prophète a quitté ce bas monde, et donc ses fonctions aussi, à l’âge de 63 ans ; et donc que tout candidat à la Présidence de la république ne saurait dépasser cet âge au dernier jour du mandat, autrement dit (63-5).
4/ En attendant la réponse des députés qui ne viendra pas, je vous demande, à vous lecteur de ce projet de vous prononcer à ce sujet en votant.
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4 septembre 2011 à 18 06 26 09269
Bravo Djilali. Tu as fait, tu fais…et tu ne pourrais faire autrement que…faire. Mais que faire? je m’égare, désolé. Prend les rênes de ce fichu village et rend le nous comme il fut. Seul un nom, un nom de notre village peut le faire. Tu as aidé et essayé. Tu me l’as dit et tes propos étaient désabusés et emprunt d’amertume. Mais ton post du jour, montre que tu ne peux rester en marge. Tu ne peux pas, tu n’es pas né pour. La flamme est encore là. Il y a bien encore des enfants de Sougueur?
6 septembre 2011 à 10 10 44 09449
N’est sourd que celui qui ne veut pas entendre et aveugle celui qui ne veut pas voir!
Ta proposition est ,en elle, le résumé d’une constitution exemplaire pour trouver la voie salvatrice pour ce pays qu’on a fait de lui une contrée qui se cherche encore.
Tu as tracé le chemin par des jalons inconstestables qui mène vers un bel horizon qui sera débarrassé (gentiment)de ceux qui vivent dans les ténèbres de l’immobilisme.