On ne lira alors que tes anciens écrits archivés
Sans âme puisque tu ne reviendras plus pour répliquer
Nous t’offrirons d’autres claviers pour renoncer
Tu reprendras tes écrits pour ceux qui t’ont aimés
Ne nous quitte pas
Ni le froid ,ni le vent ni une autre raison frustrée
Ne te feront perdre ta muse et tes maux formatés
Ils épanouiront ton esprit libéré et ta plume pérenne
Qui lutteront contre les insultes vilaines
Ne nous quitte pas
Ta main revendiquera ta plume
Qui dans cet océan d’encre sera plongée
Elle caressera ce ciel offert pour y figer
Tes moments de joie tous retrouvés
Ne nous quitte pas
Tu nous reviendras ,c’est la décision
Tu n’effaceras rien et tu retrouveras ton océan
Nous t’offrirons d’autres claviers pour y figer
Pour nous dire ce qui t’ a chagriné
Ne nous quitte pas.
B.R.Djamel
A une poétesse qui voulait quitter le site suite à son écrit -je n’écrirai plus
Poeme publié par sous le pseudo Patrick28 le 22 Jan 2011 à 11:25 Poeme publié 10 Avr 2011 à 01:22
6 décembre 2011 à 21 09 45 124512
merci mon frère, c’est beau
6 décembre 2011 à 21 09 59 125912
merci mon frère, à mon tour je vous demande d’accepter la publication de cette modeste tentative à la mémoire d’un ami enseignant qui avait tout donné pour les enfants d’El Khemis et qui était parti sans prévenir.
Farid Boutaraa
TU N’ES QU’UN MENSONGE.
Tu n’es qu’un bout de bois,
un rivage sans lois,
une solitude d’un désert,
… un soupir d’un ver.
…
Tu n’as jamais été une idée,
tu ignores le mot » aider »,
tu n’es qu’une tentation,
un désir, une hésitation.
Rappelle-moi ton visage,
les lettres de tes messages,
tes paoles teintées de vides,
ton sourire creux et perfide.
Tu n’es qu’un cri de torture,
une houleuse aventure,
tu es le mal et son double,
tu es cette eau agitée et trouble.
Tu as par le passé déjà existé,
et à toi nul ne peut résister,
tu n’es qu’un soupir, un tourment,
une fièvre, un hurlement.
Tu n’es qu’un corps sans sentiments,
une langue au goût du piment,
une poupée de marbre,
une créauté d’un sabre.
Je ne vois que ton ombre,
tes pensées, tes promesses sombres,
tu es cette phrase aveugle,
ces serres de farouche aigle.
Tu n’es qu’un mensonge,
un mauvais songe,
une page déchirée,
une virgule, un tiret.
Tu étais une rude aventure,
un arrêt de bus, de voiture,
une erreur, une imcopréhension
finalement, tu n’étais qu’un diplôme sans mention.
BOUTARAA- Farid
Commentaire de AMRANI Hatem, 2eme année magister à Bouzaréah.
J’ai lu et relu. De très belles images. Un poème tout en métaphore filée, je pense que c’est assez rare de trouver ça. J’ai pensé à la vie. Elle, fugueuse aventure, nous joue tous les tours, nous fait monter et descendre, nous fait emprunter tous les chemins, et parfois nous perd sur « des rivages sans lois ».
La strophe qui m’a le plus marqué c’est « Tu n’es qu’un mensonge / un mauvais songe / une page déchirée / une virgule, un tiret ». Et la dernière strophe, qui vient juste après est assez choquante, car d’un seul coup, d’une façon très rude et troublante, le temps change du présent, subitement, au passé. Cela confirme l’idée que c’est du Temps dont il s’agit, et le temps c’est la vie. Elle ne nous donne pas la possibilité (le temps) de la connaitre, elle n’est qu’impressions, fugueuse, éphémère, un peu présente, et voilà, soudain, qu’elle passe, devient passé qu’on ne peut plus toucher. Je crois que l’effet le plus marquant c’est le changement subit du présent (« tu n’es … tu as, tu vois … »), dans la majeure partie du poème, qui se transforme à la fin en imparfait (tu étais …), temps du passé, à tout jamais insaisissable, perdu une fois pour toute. On reste ébahi devant la promptitude de la vie, qui donne l’impression de durer mais qui se retire, après une virgule, un point final, devient un temps révolu. Qui a réussi à donner à la vie une « mention », un nom, une définition ? Jamais personne !
Il y a quelques petites remarques d’ordre stylistique, mais en somme, Bravo !
Je vous ai présenté les remarques d’un grand chercheur. l’enfant prodigue de Cherchel. . C’est Amrani Hatem. Retenez ce nom, car c’est le futur todorov. Un homme simple qui sait tout sur la littérture et qui a un grand avenir …
La suite du poème
O toi vie tu n’es qu’une douleur,
un tableau qui perd ses couleurs,
tu n’es qu’un beau visage,
pour celui qui ne décode pas le message.
rapide, sobre et sans prévenir,
tu changes le pésent en souvenir,
tu deviens un puits, un abîme,
un poème sans rimes.
Tu n’es qu’un mauvais tour,
un aller sans retour,
juste une pensée d’élève,
une feuille qu’un vent soulève.
Ce poème est à la mémoire de mon meilleur ami M’hamed MAKHLOUF qui était un poète. Il était un homme de bien. Repose en paix mon frère et sache que tous tes amis de la ville d’El Khemis Miliana prient pour toi. Tu étais un excellent enseignant de langue française. Tu as aimé ta ville et elle te rend un grand hommage à travers ses enfants qui sont là pour que ton souvenir reste, ainsi que ton sourire.
8 décembre 2011 à 19 07 44 124412
Le 11 décembre 1960 : La grandiose colère
Qui aurait cru qu’une simple provocation des musulmans à Alger donnerait naissance à une si grande manifestation. En effet, tout avait commencé le 09 décembre 1960, tout près du monoprix de Belcourt et du stade Bialèse, où une bagarre avait eu lieu entre des manifestants Européens encouragés par le service actions urbaines du capitaine Bernard et des musulmans. Une altercation qui allait se poursuivre quelques heures après à Ruisseaux, Kouba et à la Casbah. Ensuite, c’était autour du 10 décembre où, la manifestation était mieux organisée suite à l’encadrement des éléments actifs du F.L.N tout en agitant l’emblème national et en scandant un « vive le FLN », « L’Algérie algérienne ». Un rassemblement qui avait étonné tos les Européens qui n’avaient jamais douté un instant qu’ils n’étaient pas chez eux. Ces pieds noirs qui voulaient toujours que l’Arabe reste un sujet au service d’une poignée de maîtres Européens. Une appartenance aux Gaulois qui faisait d’eux des nobles. Des personnes nées pour jouir des plaisirs de la vie du moment que l’Arabe et l’Africain étaient là, pour les servir et s’occuper des enfants, du jardin et du troupeau. Et voilà que l’aube du 11 décembre 1960 déchire le voile de la peur en donnant l’occasion en premier lieu à la femme Algérienne de défiler. C’était vers le centre de cette capitale si triste depuis plus d’un siècle. Une ville en détresse que les youyous de femmes n’avaient plus embaumé ses entrailles et que les sourires avaient quitté les visages des rues. Alger la blanche avait retrouvé son souffle de Houri et sa joie de vierge. Alger était redevenue la citadelle imprenable et la tour en colère. Les cœurs pouvaient maintenant rire, les âmes fuir et les langues rêver. Alger avait mis sa robe blanche pour recevoir ses hôtes. Les yeux en larmes et le cœur battant. Elle était si heureuse pour tous les démunis qui étaient en deuil depuis l’arrivée de ces visiteurs poussés par la famine et qui avaient trop abusé de la gentillesse des autochtones. Des êtres dotés d’un savoir faire et qui étaient réputés pour l’hospitalité et qui n’aimaient pas l’odeur du sang, ni le langage des armes. Alger ne pouvait plus croire ce spectacle qui s’offrait à ses yeux, où la jeune fille algéroise qui à peine adolescente, offrait son corps de poupée à sa ville et à ses frères. Alger la capitale ne pouvait oublier le courage des jeunes et des vieux qui ne voulaient plus de la misère imposée par ces colons qui n’avaient qu’un vœu, celui de rester et de faire de ce pays une prison pour les fous. Une Algérie, où l’Arabe restera Arabe même s’il avait le grade d’un colonel.
Si aujourd’hui, le peuple algérien revient au passé, c’est juste pour éclairer les jeunes des intentions de cette puissance coloniale à l’instinct criminel. Une puissance qui participe même de nos jours, avec ses avions et ses génies de la guerre pour soit disant aider les peuples à bâtir des démocraties. Cette France qui vient juste de favoriser le lynchage d’un ex président d’Etat, qui méritait un procès et un jugement. Un homme qui méritait le respect juste par humanité et qui devrait avoir un peu de dignité et les photos et les vidéos sur le net prouvent le sadisme et la haine qui malheureusement animent les cœurs. .Une France qui nie toujours en bloc son passé taché de sang, de massacres d’enfants et de femmes. Un passé rouillé par les cris de tous ces humains tués bêtement. Des êtres qui n’avaient ni armes, ni bombes, ni des épées, mais juste des paroles. Une France qui oublie ses crimes et qui joue la femme victime. Une France qui aimait les tortures et les cris des martyrs. Une puissance coloniale qui avait tout fait pour réprimer la volonté d’un peuple qui avait temporisé plus d’un siècle avant de prendre les armes pour sauver son honneur. Un peuple qui avait tout fait pour une cohabitation des cœurs, des corps, des esprits et surtout des âmes. Un peuple qui ne voulait plus jouer le rôle du portefaix, alors que les temps avaient changé et que le moment était venu pour un réel partage des richesses des terres et des biens. Mais les colons avaient cette idée de supériorité et d’intelligence de l’Européen sur l’indigène. La France avait trop compté sur la force pour dompter les Algériens et les marquer par le feu comme il est coutume chez les éleveurs de cocher le cheptel. Elle avait tout préparé depuis la mort des héros de la capitale. La France avait préparé un plan qui consistait à saboter tout le travail déjà bien fait par le FLN en essayant de favoriser les négociations avec des hommes lettrés. Il y ‘avait l’idée à l’époque de Robert Lacoste qui voulait détruire la lutte armée algérienne par le biais de figures de proue des personnalités algériennes qui étaient au sénat ou au parlement comme Chérif Benhabilès, Ali Checkal, Barabrok et Sid Kara. Une issue que les français avait tenté d’utiliser pour mettre fin à la puissance du feu du FLN qui certes n’avait pas assez d’armes et d’argent pour terminer la lutte. Cependant, les militaires algériens avaient confiance en Dieu et en eux-mêmes, car les revendications étaient légitimes et le spectre de la peur n’était qu’un moment déjà passé et qui n’inquiétait guère les moudjahidine qui étaient passé à la vitesse supérieure après la mort de tous les grands chefs de FLN de la période de 1957 à 1960. Une période qui avait donné naissance au premier gouvernement provisoire de la république algérienne. Un gouvernement provisoire mais qui était le seul apte à décider du sort du peuple algérien. Un gouvernement qui avait la tâche de diriger les opérations militaires à l’intérieur du pays et de tenter de soulever le cas de la liberté de l’Algérie du joug de l’impérialisme. Un gouvernement présidé par un Ferhat Abbas qui était un pharmacien en laboratoire ou en officine, mais un politicien dur et fine. Un homme qui avait l’amour de l’Algérie dans son âme et qui ne voulait ni les biens ni les honneurs, mais juste vivre loin des regards moqueurs de ces colons qui avaient trop abusé de leur statut de nation civilisée. En effet, la révolution algérienne était une réponse à tous les tourments qui anéantissaient les rêves des milliers d’intellectuels algériens qui avaient cru aux promesses des livres et des slogans vides et perfides que la France avait exhibé à l’époque. La révolution algérienne était un choix imposé après le refus du dialogue et surtout les menaces de châtiments pour tous les élèves qui n’avaient pas compris la leçon du jour qui disait que les arabes étaient nés pour servir et non pas pour gouverner. Une leçon que les plus brillants des enfants du peuple algérien avaient reçu comme une insulte et subitement le mythe de la France ami du peuple était tombé en miettes. L’icône sacrée de la France était redevenue celle d’une ogresse hideuse, puante et suceuse de sang. Une France qui avait divisé le peuple pour régner. Elle avait juré d’ôter les doigts à tous les pseudos écrivains qui oseraient réveiller le peuple. Elle avait juré aussi de faire exécuter ou exiler tous les instruits qui s’opposeraient à ses dessins et qui tenteraient de la contre dire ou de semer le doute sur ses bonnes intentions. Elle avait aiguisé ses ongles et brossé ses dents pour avaler tous les méchants qui prétendaient vouloir la chasser de chez elle. La suite des événements était douloureuse pour les enfants qui avaient pris les armes et qui avaient écouté la voie du cœur. Les braves qui n’avaient plus peur de mourir du moment qu’ils allaient rejoindre le maître du monde. Les pionniers de la lutte sacrée avaient presque tous lu les ouvrages du député français Paul Vigné d’Octon « la gloire du sabre » publié en 1900 et « la sueur du burnous »édité lui aussi en 1911. Deux œuvres qui résument l’horreur de la présence Française en Afrique. Deux témoignages qui mettent à nu les propos mensongers de tous les hommes de lettres comme Victor Hugo et Guy de Maupassant qui avaient été induits en erreur par les généraux de l’armée française. Des militaires assoiffés de victoires et qui visaient des titres, des richesses et qui n’accordaient aucune importance à la sauvagerie occasionnée aux autochtones qui vivaient libres et qui soudain, ils étaient chassés comme du gibier. Ces hommes libres qui étaient brûlés vifs en 1845 par Pélissier à l’intérieur d’une grotte au Dahra. Un siècle plus tard, ils étaient 45000 algériens à subir les coups de folie d’une poignée de colons. Quelques émeutes et voilà que la chasse à l’Arabe était lancée par les hautes instances de ‘Etat français qui avaient autorisé la formation des milices armées qui avaient pour but d’anéantir tous les indigènes. Une répression musclée et surtout aveugle, car les bourreaux étaient dès fois des adolescents qui avaient à peine 14 ou 15 ans. L’indigène n’avait pas le droit à un procès et les femmes et les jeunes filles étaient violées avant de les jeter dans des fosses communes. Mêmes les chiens avaient participé à l’horreur en volant des jambes ou des bras à des corps d’algériens abattus mais mal enterrés.
C’était un coup fatal pour les consciences et un acte de folie qui mérite une réplique pareille qui sèmera le doute et la crainte dans tous les cœurs de cette population qui certes n’était pas entièrement coupable, mais il fallait que la France quitte l’Algérie. Le divorce était la seule issue favorable pour les deux camps. Le départ de la France était la solution désirée pour mettre fin à ce chaos. Les amis de Ben boulaid avaient tous compris le message et il était temps de renverser les choses et de faire basculer la France elle-même dans le doute. Et voilà un premier Novembre qui déclenche la mèche et des sacrifices obligent les méchants à sombrer dans la démence. Une folie qui avait obligé le retour du Général De Gaulle qui reprend les commandes et qui essaye de ruser avec son plan de Constantine en 1958. Un e tactique pour aspirer la colère du peuple. Cependant, les militants du FLN avaient doublé d’effort pour éclairer les consciences des souhaits non déclarés de ce général. Après deux ans, le général de Gaulle était de retour et il pensait réussir et son discours du 02 décembre 1960 à Ain temouchent n’avait pas eu l’impact voulu. Un discours qui avait pour but le maintien des Européens qui vivaient en Algérie. Un slogan qui préconisait l’indépendance de l’Algérie, mais qui offrait tous les droits aux français qui vivaient chez nous. Une Algérie algérienne. Cependant, le peuple algérien qui était majoritaire voulait une Algérie musulmane et surtout le départ des colons et des pieds noirs qui n’étaient pas chez eux. Une déclaration qui avait suscité de vifs débats et qui avait poussé certains auteurs célèbres à ne plus pouvoir choisir entre une lutte légitime d’un peuple outragé et une mère coupable de meurtre et de génocide. Les manifestations du 11 décembre 1960 étaient la gifle qui avait fait tant de mal à une France orgueilleuse et capricieuse. Une France fatiguée par une guerre, où elle perdait chaque jour des centaines de soldats. Une France entêtée, essoufflée par des combattants qui tombaient aux batailles, mais qui étaient remplacés la nuit même par une relève toute fraiche et prête à quitter ce monde si bas pour un monde meilleur. Les manifestations du 11 décembre 1960 étaient la preuve concrète du choix des algériens qui avaient hurlé haut et fort qu’ils n’avaient que le FLN comme unique porte parole et que le GPRA avait l’aval de les représenter à l’ONU. En effet, ces émeutes du 11 décembre 1960 avaient permis aux membres du GPRA d’être les représentants du dossier de l’Algérie à l’ONU en date du 20 décembre 1960.
Une bataille tactique était emportée par le FLN et la lutte armée était plus rude avec l’isolement des moudjahidine qui n’avaient plus d’armes, ni d’argent pour terminer le combat. Les deux dernières années étaient plus difficiles à gérer et les généraux avaient doublé de férocité pour dissuader les cavaliers de l’ombre à terminer la tâche entamée par les aïeules. Deux années de famine et de supplice que les algériens avaient enduré sans dire un mot. Les âmes étaient aux paradis, les esprits chez un Cadi et les cœurs ne chantaient que « Bladi ya Bladi ». En effet, les algériens voulaient tous mourir que de vivre sous un air de haine après la chute des masques et surtout le visage hideux que la France avait montré aux colonisés. Les esprits étaient chez un juge pour trancher et séparer les deux peuples d’une guerre sale. En fin, un brin d’espoir animait tous les cœurs d’un possible départ des Français qui n’étaient pas tous impliqués dans les meurtres, mais qui pour leur propre sécurité ils devaient quitter les larmes aux yeux ce paradis au soleil tendre et tiède. Un juillet 1962 est là et la guerre d’Algérie était terminée avec un goût de sang après les massacres de l’OAS. Une guerre où les chiffres exactes ne sont toujours pas arrêtés, car les mines enfouies sous terre tuent toujours de nos jours et les effets de la radioactivité suite aux explosions des bombes atomiques dans notre sud présentent toujours un danger pour les algériens.
Et malgré tout un passé noir, la France officielle de nos jours refuse toujours de demander un pardon pour tous les innocents qui étaient exécutés sans jugement. Des martyrs qui n’ont plus besoin de mots, mais le registre de l’Histoire n’oublie hélas rien.
Tout est inscrit noir sur blanc. La France avait adopté une conduite d’une femme ivre aux pays des hommes libres qui avaient une culture, des vivres et le Coran comme unique livre. Alors, elle doit porter toute sa vie un habit noir et prier matin et soir pour toutes les folies commises quand elle avait tous les pouvoirs. Elle devrait comme Orphée faire un retour en arrière pour juste dire pardon et Dieu merci les algériens n’ont besoin ni d’or, ni d’argent, mais juste une reconnaissance d’un tort et que même symbolique, il réconforte les naufragés de la mort.
BOUTARAA- farid- Publié au Quotidien d’Oran le 08 décembre 2011