Le monde de l’étrange
Etranges pouvoirs (LXXXXIII)
Par M. A. Haddadou
Parmi les innombrables cas de guérison miraculeuse qu’Arigo a obtenues, on cite le cas d’une jeune Polonaise, mariée à un ressortissant autrichien, atteinte d’un cancer de l’intestin. La jeune femme, qui vivait au Brésil,
a été prise, un jour, de violentes douleurs à l’estomac. On croit à une obstruction intestinale et on l’opère, en toute urgence et voilà qu’on découvre une grosse tumeur qui bloque le gros intestin. On procède aussi à une colostomie. Les analyses vont montrer que la tumeur est bénigne. On espère quand même qu’elle n’a pas développé de métastases et que la patiente pourra survivre. Hélas, quelques jours après, la jeune femme est de nouveau prise de douleurs. On l’évacue cette fois-ci dans un hôpital de Sao Polo, dans un service spécialisé dans le traitement du cancer. On doit l’opérer de nouveau. Mais l’état de la malade ne s’améliore pas. En fait, elle ne cesse de maigrir et de s’affaiblir. Bientôt les médecins annoncent à son mari qu’on ne peut plus rien faire pour elle et qu’elle ne tardera pas à mourir. C’est alors que le mari consulte un de ses amis, le docteur José Hortensia, radiologue à l’Institut national brésilien de radiologie. Le mari a entendu parler du fameux guérisseur, mais comme beaucoup de gens, il pensait qu’il ne s’agissait que d’un charlatan. «On ne perd rien pour essayer», dit le médecin. Effectivement, dans l’état où était la malheureuse, on ne perdait rien. On prend donc rendez-vous avec Arigo et, au jour convenu, le docteur accompagne son ami et son épouse jusqu’à Congonhad de Campos.
2 juillet 2011
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