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11. Les preuves de l’amour K. Yerbi

20 juin 2011

1.Extraits


Les preuves de l’amour
K. Yerbi

Résumé de la 10e partie :Mounir ne doute plus désormais de Wissam. Elle le considère bien comme son ami et, lui, il est plus que jamais épris d’elle.



Il a touché sa bourse et, au lieu d’acheter le blouson qu’il voulait, il garde l’argent, dans l’intention de faire un cadeau à Wissam. Il réfléchit à ce qu’il va lui donner et trouve que le plus beau cadeau et surtout le plus durable est un bijou ! Il pense aussitôt à une bague à cause de ce qu’elle représente. L’union, l’amour, le mariage… Ils la choisiront ensemble puis ils y feront graver leurs initiales.
Dès qu’il la revoie, il lui dit :
— Je veux t’offrir quelque chose !
Elle sourit :
— Une fleur ?
— Non, dit-il.
— Un gâteau ?
Il rit.
Je sais que tu aimes les gâteaux mais je veux t’offrir quelque chose que tu garderas pour toujours et qui te rappellera que je t’aime !
— A quoi penses-tu ?
— Tu n’as pas deviné ?
— Non, dit-elle.
— J’ai pensé à une bague !
Elle le regarde rêveuse.
— comme une bague de fiançailles ?
Il sourit.
— Ce sera pour toi comme une promesse que tu me feras ! Cela signifiera que tant que tu l’auras à ton doigt, tu seras à moi et je serai à
toi !
Il la prend par la main.
— Tu veux bien, dis ?
— Oui, dit-elle.
— Alors, allons acheter tout de suite la bague !
Ils se rendent dans plusieurs bijouteries avant de fixer leur choix sur une bague ayant la forme d’un cœur. Ils la laissent au bijoutier à qui ils demandent de graver leurs initiales.
En sortant de la bijouterie, ils se rendent dans un salon de thé. Mounir est très heureux : il lui semble que le cadeau qu’il vient de faire renforce sa relation avec Wissam. Une Wissam qui est également au comble du bonheur.
— Il faut que moi aussi je te fasse un cadeau, dit-elle.
Et elle ajoute :
— Un cadeau que toi aussi tu porteras toujours sur toi, de sorte que tu ne m’oublies jamais !
Elle enlève le collier qu’elle porte autour du cou et le lui donne. C’est un joli collier, avec une clé comme pendentif.
— C’est de l’argent pur !
Mounir, très ému, le prend et le passe à son cou.
— Je ne l’enlèverai jamais plus, dit-il, jusqu’à la mort !
— S’il te plaît, ne parle pas de mort !
A suivre
K. Yerbi

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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