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Archive | 16 juin 2011

Houari Boumediène PORTRAIT… Par : Hamid Grine

16 juin 2011

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Houari Boumediène PORTRAIT… Par : Hamid Grine

Edition du Dimanche 08 Mai 2011 Culture Houari Boumediène PORTRAIT… Par : Hamid Grine Je ne connaissais pas Boumediène. Mais ce que nous racontait un oncle sur lui me faisait penser qu’il était Dracula lui-même : suceur du sang de pauvres victimes. Pour mon oncle,

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Et si l’intervention des coalisés durait ? LIBYE Par : Ahmed Abdeslem Radek

16 juin 2011

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Et si l’intervention des coalisés durait ? LIBYE Par : Ahmed Abdeslem Radek

Edition du Dimanche 08 Mai 2011 Contribution Et si l’intervention des coalisés durait ? LIBYE Par : Ahmed Abdeslem Radek L’enlisement a couronné l’aboutissement de toutes les interventions des forces armées occidentales, mais pas seulement ; la participation de l’émirat du Qatar dans les frappes en Libye en est la preuve. En Asie du Sud-Est, […]

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22.Les racines de l’amour /La nouvelle de Yasmine Hanane /

16 juin 2011

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22.Les racines de l’amour /La nouvelle de Yasmine Hanane /

Edition du Samedi 07 Mai 2011 Des gens et des faits  Les racines de l’amour La nouvelle de Yasmine Hanane Résumé : Zouina est confrontée à la délicate situation de mettre sa fille au courant de son mariage. Elle tente de la préparer afin que Ghenima n’eut pas un choc en apprenant qu’elle allait devoir […]

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15.Kamélia La nouvelle de Adila Katia

16 juin 2011

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15.Kamélia  La nouvelle de Adila Katia

Edition du Samedi 07 Mai 2011 Des gens et des faits Kamélia  La nouvelle de Adila Katia Résumé : Kamélia emmène Rahim à l’hôpital Mustapha où il est hospitalisé plusieurs jours. L’origine de son mal est due à une malformation congénitale. Le spécialiste lui explique qu’il devra subir une opération, à l’étranger. 15eme partie -Ne […]

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MON ROYAUME POUR TLEMCEN (3/3) La chronique de Abdelhakim Meziani

16 juin 2011

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MON ROYAUME POUR TLEMCEN (3/3) La chronique de Abdelhakim Meziani

Edition du Samedi 07 Mai 2011 Culture MON ROYAUME POUR TLEMCEN (3/3) La chronique de Abdelhakim Meziani Abou Ziane m’apprit que son frère Abou Hammou Moussa avait beaucoup de qualités. Il lui rappelait énormément Yaghmoracène par son esprit vif et tranchant. Son caractère aussi ferme qu’imposant avait une teinte d’âpreté que son humeur violente ne […]

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Lettre à Monsieur le Premier ministre Par : Semmar Sadek

16 juin 2011

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Lettre à Monsieur le Premier ministre Par : Semmar Sadek

Edition du Samedi 07 Mai 2011 Courrier des lecteurs Lettre à Monsieur le Premier ministre   Par : Semmar Sadek Monsieur : Lors de votre passage à L’APN, vous avez déclaré : “Demandez vos droits dans la légalité, ne brûlez pas les pneus et ne fermez pas les routes.” Eh bien, moi, Monsieur, cela fait […]

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L’hommage de Lakhdar Brahimi Rosihan Anwar, un ami indonésien de l’Algérie disparaît à l’âge de 89 ans Par : Lakhdar Brahimi

16 juin 2011

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L’hommage de Lakhdar Brahimi Rosihan Anwar, un ami indonésien de l’Algérie disparaît à l’âge de 89 ans Par : Lakhdar Brahimi

Edition du Samedi 07 Mai 2011 Contribution L’hommage de Lakhdar Brahimi Rosihan Anwar, un ami indonésien de l’Algérie disparaît à l’âge de 89 ans Par : Lakhdar Brahimi Rosihan Anwar, journaliste indonésien, s’est éteint le 14 avril à l’âge de 87 ans, entouré de ses trois enfants, six petits-enfants et deux arrière-petits-enfants. Il fut enterré […]

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Vrais-faux repères Par : Saïd Chekri

16 juin 2011

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Vrais-faux repères Par : Saïd Chekri

Edition du Jeudi 05 Mai 2011 Editorial Vrais-faux repères   Par : Saïd Chekri Certains poursuivent l’œuvre de falsification et entretiennent l’image idyllique d’une révolution modèle, seul moyen pour eux de leurrer le monde sur leurs propres méfaits.

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Edition du Jeudi 05 Mai 2011 En toute liberté De l’autocratie à la bureaucratie autoritaire Par : Ahmed Benbitour Une première inflexion sérieuse à cette trajectoire formelle de construction des institutions politiques a été donnée par l’organisation d’une élection présidentielle avec un candidat unique malgré le retrait, en dernière minute, de six sur les sept candidats officiellement retenus et ayant rempli les conditions constitutionnelles requises. Il y a là, une erreur d’appréciation des autorités chargées d’organiser l’élection qui va peser lourd sur la suite des évènements dans le pays. Nous verrons que la leçon n’a malheureusement pas été tirée lors de l’élection présidentielle de 2004, ni celle de 2009. Pour paraphraser un grand stratège militaire, disons que “l’autoritarisme est un mauvais élève” ! De fait, même le formalisme dans la construction des institutions sera remis en cause. Au lieu d’aller de l’avant, c’est le retour en arrière qui s’opère. L’Algérie venait de passer de la tentative de “régression féconde” à la régression périlleuse ! Mais il faut bien considérer qu’en l’absence du minimum de respect des règles de bonne gouvernance, ce sont les individus qui prennent les décisions au lieu et place des institutions habilitées. C’est alors la non-gouvernance, avec pour conséquence la panne des réformes, l’atrophie des institutions et la mauvaise qualité de la croissance. Or, la panne des réformes et l’atrophie des institutions dans le contexte d’une double transition mènent inéluctablement vers la trappe de transition permanente. C’est le cas de l’Algérie qui se trouve depuis voilà plus de deux décennies dans une transition politique d’un système autoritariste à parti unique vers un système démocratique avec plusieurs partis et une transition économique d’une économie administrée vers une économie de marché. Aujourd’hui, l’Algérie est bien installée dans la trappe de transition permanente, à savoir, ni système politique autoritariste organisé, ni démocratie et ni économie administrée correctement planifiée ni économie de marché. De plus la mauvaise qualité de croissance et l’atrophie des institutions mènent vers la trappe de misère permanente. La mauvaise qualité de croissance implique le mécontentement puis la révolte. Il s’en suit l’instabilité politique et le marasme économique qui débouchent sur le mécontentement et un nouveau cycle sans fin. D’où la trappe de misère permanente. Il faut bien noter qu’en l’absence de bonne gouvernance et d’institutions autonomes dans leur prise de décision, la révolte ne se transforme pas en révolution. Avec des institutions fortes, le mécontentement se transforme en révolution qui mène vers le changement. Sans institutions, le mécontentement se transforme en révolte qui mène vers le cycle de la trappe de misère permanente. Donc l’Algérie est bien installée dans la trappe de transition permanente et avance inexorablement vers la trappe de misère permanente. Malgré une situation financière florissante, le pays continue à accumuler des retards économiques qui se traduisent au quotidien par de nombreux conflits et des difficultés sociales insupportables. La situation du débat politique est anormale et regrettable ! Mais le pouvoir n’a-t-il pas fermé tous les canaux de support à ce débat ? On profite de l’état d’urgence pour fermer tous les moyens de communication entre les hommes politiques et les citoyens : interdiction d’organiser une marche, autorisation préalable pour réunir les citoyens dans une salle, fermeture à l’opposition des médias lourds, plus particulièrement la Télévision nationale qui doit pourtant rester un service public à la disposition de tous. La “levée” de l’état d’urgence, décidée par le pouvoir, a été remplacée par des lois et réglementations spécifiques, encore plus contraignantes que l’état d’urgence ! Aujourd’hui, c’est un totalitarisme d’une autre époque qui impose sa volonté. Il s’appuie sur le culte de la personnalité, sur la violation de la Constitution et sur le bafouement des institutions. Il y a une conspiration du mensonge et du mépris du peuple à tous les niveaux de la hiérarchie de l’État. À jeudi prochain pour la suite de notre analyse. Entre-temps débattons sur les meilleurs moyens d’avancer vers un avenir de progrès et de prospérité pour tous les Algériens. À la tentation du pessimisme, opposons la nécessité de l’optimisme !

16 juin 2011

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Edition du Jeudi 05 Mai 2011  En toute liberté De l’autocratie à la bureaucratie autoritaire  Par : Ahmed Benbitour   Une première inflexion sérieuse à cette trajectoire formelle de construction des institutions politiques a été donnée par l’organisation d’une  élection présidentielle avec un candidat unique malgré le retrait, en dernière minute, de six sur les sept candidats officiellement retenus et ayant rempli les conditions constitutionnelles requises. Il y a là, une erreur d’appréciation des autorités chargées d’organiser l’élection qui va peser lourd sur la suite des évènements dans le pays. Nous verrons que la leçon n’a malheureusement pas été tirée lors de l’élection présidentielle de 2004, ni celle de 2009. Pour paraphraser un grand stratège militaire, disons que “l’autoritarisme est un mauvais élève” ! De fait, même le formalisme dans la construction des institutions sera remis en cause. Au lieu d’aller de l’avant, c’est le retour en arrière qui s’opère. L’Algérie venait de passer de la tentative de “régression féconde” à la régression périlleuse ! Mais il faut bien considérer qu’en l’absence du minimum de respect des règles de bonne gouvernance, ce sont les individus qui prennent les décisions au lieu et place des institutions habilitées. C’est alors la non-gouvernance, avec pour conséquence la panne des réformes, l’atrophie des institutions et la mauvaise qualité de la croissance.  Or, la panne des réformes et l’atrophie des institutions dans le contexte d’une double transition mènent inéluctablement vers la trappe de transition permanente. C’est le cas de l’Algérie qui se trouve depuis voilà plus de deux décennies dans une transition politique d’un système autoritariste à parti unique vers un système démocratique avec plusieurs partis et une transition économique d’une économie administrée vers une économie de marché. Aujourd’hui, l’Algérie est bien installée dans la trappe de transition permanente, à savoir, ni système politique autoritariste organisé, ni démocratie et ni économie administrée correctement planifiée ni économie de marché. De plus la mauvaise qualité de croissance et l’atrophie des institutions mènent vers la trappe de misère permanente. La mauvaise qualité de croissance implique le mécontentement puis la révolte. Il s’en suit l’instabilité politique et le marasme économique qui débouchent sur le mécontentement et un nouveau cycle sans fin. D’où la trappe de misère permanente. Il faut bien noter qu’en l’absence de bonne gouvernance et d’institutions autonomes dans leur prise de décision, la révolte ne se transforme pas en révolution. Avec des institutions fortes, le mécontentement se transforme en révolution qui mène vers le changement. Sans institutions, le mécontentement se transforme en révolte qui mène vers le cycle de la trappe de misère permanente. Donc l’Algérie est bien installée dans la trappe de transition permanente et avance inexorablement vers la trappe de misère permanente. Malgré une situation financière florissante, le pays continue à accumuler des retards économiques qui se traduisent au quotidien par de nombreux conflits et des difficultés sociales insupportables. La situation du débat politique est anormale et regrettable ! Mais le pouvoir n’a-t-il pas fermé tous les canaux de support à ce débat ? On profite de l’état d’urgence pour fermer tous les moyens de communication entre les hommes politiques et les citoyens : interdiction d’organiser une marche, autorisation préalable pour réunir les citoyens dans une salle, fermeture à l’opposition des médias lourds, plus particulièrement la Télévision nationale qui doit pourtant rester un service public à la disposition de tous. La “levée” de l’état d’urgence, décidée par le pouvoir, a été remplacée par des lois et réglementations spécifiques, encore plus contraignantes que l’état d’urgence ! Aujourd’hui, c’est un totalitarisme d’une autre époque qui impose sa volonté. Il s’appuie sur le culte de la personnalité, sur la violation de la Constitution et sur le bafouement des institutions. Il y a une conspiration du mensonge et du mépris du peuple à tous les niveaux de la hiérarchie de l’État. À jeudi prochain pour la suite de notre analyse. Entre-temps débattons sur les meilleurs moyens d’avancer vers un avenir de progrès et de prospérité pour tous les Algériens. À la tentation du pessimisme, opposons la nécessité de l’optimisme !

Edition du Jeudi 05 Mai 2011 En toute liberté De l’autocratie à la bureaucratie autoritaire   Par : Ahmed Benbitour Une première inflexion sérieuse à cette trajectoire formelle de construction des institutions politiques a été donnée par l’organisation d’une  élection présidentielle avec un candidat unique malgré le retrait, en dernière minute, de six sur les […]

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Liberté de presse et système Par : Mustapha Hammouche

16 juin 2011

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Liberté de presse et système Par : Mustapha Hammouche

Edition du Jeudi 05 Mai 2011 Chronique Liberté de presse et système   Par : Mustapha Hammouche S’il y a une liberté à laquelle Bouteflika a toujours franchement assumé son hostilité, c’est bien la liberté de la presse. Ses deux premiers mandats ont été l’occasion d’une véritable chasse à l’expression qui contredit la parole officielle.

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Pour ces raisons je n’aime pas Al Moutanabi Souffles… Par : Amine Zaoui

16 juin 2011

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Pour ces raisons je n’aime pas Al Moutanabi Souffles… Par : Amine Zaoui

Edition du Jeudi 05 Mai 2011 Culture Pour ces raisons je n’aime pas Al Moutanabi Souffles… Par : Amine Zaoui J’adore la poésie arabe. Et je n’aime pas Al Moutanabi ! Dans toute leur histoire culturelle, les Arabes ont toujours cru qu’ils étaient, et par excellence, la nation de poésie. La umma de Achiâr !

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LA CHUTE DE CONSTANTINOPLE 1453 PAR STEVEN RUNCIMAN Retour sur le fait historique de 1453

16 juin 2011

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LA CHUTE DE CONSTANTINOPLE 1453 PAR STEVEN RUNCIMAN Retour sur le fait historique de 1453

Mercredi 04 Mai 2011 Par Kaddour M’HAMSADJI Aujourd’hui, à un honnête visiteur d’Istanbul, quelque court que soit son séjour dans la cité aux sept collines, la grande Histoire lui parlera fort encore du passé de l’Occident chrétien étendu à l’Orient par huit croisades (XIe-XIIIe s.).

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LA VOIE DES ANCÊTRES (LECTURE DU SOMMEIL DU JUSTE) DE DJOHER AMHIS-OUKSEL Un plaidoyer pour l’humanisme

16 juin 2011

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LA VOIE DES ANCÊTRES (LECTURE DU SOMMEIL DU JUSTE) DE DJOHER AMHIS-OUKSEL Un plaidoyer pour l’humanisme

LA VOIE DES ANCÊTRES (LECTURE DU SOMMEIL DU JUSTE) DE DJOHER AMHIS-OUKSEL Un plaidoyer pour l’humanisme Mercredi 18 Mai 2011 Par Kaddour M’HAMSADJI Condamné, Arezki s’adresse à son juge requis par le système judiciaire colonial: «Vous pouvez dormir, monsieur le juge: il est bon, après tout, que le sommeil du Juste suive le sommeil de […]

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Le faisceau de discours d’une libre conscience

16 juin 2011

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Le faisceau de discours d’une libre conscience

Le faisceau de discours d’une libre conscience Mercredi 25 Mai 2011 Par Kaddour M’HAMSADJI Il faudrait y ajouter le mouvement esthétique de l’écriture pour faire parler vrai la pensée de l’auteur. En publiant son essai Tahar Djaout, un écrivain pérenne (*), l´universitaire, journaliste et romancier, Rachid Mokhtari, nous engage à lire ou à relire les

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LE CHANT ARABO-ANDALOU (OUVRAGE COLLECTIF SOUS LA DIRECTION DE NADIR MAROUF) La musique dite «Andalouse»: une flamme sacrée

16 juin 2011

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LE CHANT ARABO-ANDALOU (OUVRAGE COLLECTIF SOUS LA DIRECTION DE NADIR MAROUF) La musique dite «Andalouse»: une flamme sacrée

LE CHANT ARABO-ANDALOU (OUVRAGE COLLECTIF SOUS LA DIRECTION DE NADIR MAROUF) La musique dite «Andalouse»: une flamme sacrée Mercredi 01 Juin 2011 Par Kaddour M’HAMSADJI Dans les plis de sa transmission, il y a huit siècles de vie ´´andalouse´´ contemplative et raffinée léguée à l’Algérie et à tout le Maghreb arabe.

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LE BO.NU.SC & LA CL@SSETIC D’AHMED TESSA La communication éducative numérique n’est plus un rêve

16 juin 2011

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LE BO.NU.SC & LA CL@SSETIC D’AHMED TESSA La communication éducative numérique n’est plus un rêve

LE BO.NU.SC & LA CL@SSETIC D’AHMED TESSA La communication éducative numérique n’est plus un rêve Mercredi 08 Juin 2011 Par Kaddour M’HAMSADJI L’audiovisuel fut, un temps, pratiqué comme «un instrument privilégié dans le domaine de la formation et du développement». Judicieusement préfacée par Yahia Bourouina, une grande figure de l´Éducation nationale, la publication Le Bo.Nu.Sc […]

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KAÏD AHMED, HOMME D’ÉTAT DE KAMEL BOUCHAMA La parole politique peut-elle tromper l’Histoire?

16 juin 2011

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KAÏD AHMED, HOMME D’ÉTAT DE KAMEL BOUCHAMA La parole politique peut-elle tromper l’Histoire?

Par Kaddour M’HAMSADJI – Mercredi 15 Juin 2011 – Vraie question diraient ceux qui pensent que la parole jurée est parfois le pari d’une conviction douteuse. Sans doute, est-ce un lieu commun de le dire. Mais que de temps il faudrait pour s´en apercevoir et trouver le moment pour le désigner comme tel! Il ne […]

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Mon chef et moi !

16 juin 2011

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Quoi dire et quoi faire * Avec mon chef quel galère* Il est comme le temps * Il change tout le temps * Il m’a changé les horaires * Tantôt le matin tantôt le soir *

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Hamid Grine au CCF d’Oran «Un parfum d’Absinthe» relance les débats sur Albert Camus par Ziad Salah

16 juin 2011

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La polémique autour d’Albert Camus dans laquelle il s’est trouvé au centre n’est pas étrangère à la trame du nouveau-né de Hamid Grine «Un parfum d’Absinthe». L’hypothèse a déjà été avancée ailleurs. Mais la présence de Camus dans ce roman,

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Kaki, le génial porteur d’eau du théâtre par Ahmed Cheniki

16 juin 2011

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Il est trop peu sérieux de parler de Kaki sans évoquer l’extraordinaire empreinte de Bertolt Brecht qui a profondément marqué la pratique théâtrale et a imposé une autre manière d’écrire et de mettre en scène les spectacles dramatiques. Son expérience fut une véritable révolution.

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