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Archive | 11 juin 2011

Au cœur du dédale de la vie “SOUVENIRS ET TÉMOIGNAGES”, DE CHABHA OUAHES-AMELLAL Par : Amine IDJER

11 juin 2011

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Au cœur du dédale de la vie “SOUVENIRS ET TÉMOIGNAGES”, DE CHABHA OUAHES-AMELLAL Par : Amine IDJER

Edition du Mardi 08 Février 2011 Culture Au cœur du dédale de la vie “SOUVENIRS ET TÉMOIGNAGES”, DE CHABHA OUAHES-AMELLAL Par : Amine IDJER Souvenirs et témoignages est un recueil de cinq nouvelles mettant en scène une région de l’Algérie, à savoir la Kabylie, durant la première moitié du XXe siècle. Une Kabylie belle et […]

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La muraille invisible “SCHYZOS. PETITES HISTOIRES DE GENS LAMBDA”, DE TARIK TAOUCHE Par : Sara Kharfi

11 juin 2011

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La muraille invisible “SCHYZOS. PETITES HISTOIRES DE GENS LAMBDA”, DE TARIK TAOUCHE Par : Sara Kharfi

Edition du Mardi 08 Février 2011 Culture La muraille invisible “SCHYZOS. PETITES HISTOIRES DE GENS LAMBDA”, DE TARIK TAOUCHE Par : Sara Kharfi L’auteur propose sept variations sur le thème de la mort. Il appréhende l’écriture sous un prisme psychologique.

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75.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

11 juin 2011

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75.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

Edition du Lundi 07 Février 2011 Des gens et des faits  L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Résumé  : Une fois la demande acceptée, Rachid s’empressa de proposer les dates des fiançailles et du mariage. Fettouma fut scandalisée, mais elle reconnut que les futurs mariés avaient déjà planifié leur avenir. N’avait-elle pas elle aussi connu […]

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5.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

11 juin 2011

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5.“Mauvais rêve…”  La nouvelle de Adila Katia

Edition du Lundi 07 Février 2011 Des gens et des faits “Mauvais rêve…”  La nouvelle de Adila Katia Résumé : Zakia a peur pour son mari. Elle ne sait pas quoi faire. Elle parle à ses enfants, les prévient du danger qu’ils risquent dehors. Ils promettent de ne pas parler aux inconnus et de ne […]

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Moussa Haddad : “Je vais mettre mes tripes dans ce film” PREMIER TOUR DE MANIVELLE DU LONG METRAGE “HARRAGAS BLUES”

11 juin 2011

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Moussa Haddad : “Je vais mettre mes tripes dans ce film”  PREMIER TOUR DE MANIVELLE DU LONG METRAGE “HARRAGAS BLUES”

Edition du Lundi 07 Février 2011 Culture Moussa Haddad : “Je vais mettre mes tripes dans ce film”  PREMIER TOUR DE MANIVELLE DU LONG METRAGE “HARRAGAS BLUES” Par : Sara Kharfi Une fiction sur le spleen de toute une génération qui ne rêve que de partir. Partir très loin et réussir ailleurs. Un film sur […]

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74.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

11 juin 2011

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74.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

Edition du Dimanche 06 Février 2011 Des gens et des faits L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Résumé : Si Abdelkader est heureux de constater que la famille de Rachid ne lui était pas inconnue. Il avait eu à rencontrer son grand-père Tayeb et son père Mahmoud. Il avait même retrouvé ce dernier au maquis. […]

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4.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

11 juin 2011

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4.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

Edition du Dimanche 06 Février 2011 Des gens et des faits  “Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia Résumé : Zakia, qui a eu des difficultés à s’endormir, est réveillée par la sonnerie du téléphone. Au premier appel, on ne lui parle pas. Mais au deuxième, un homme la prévient. Son mari doit faire attention. […]

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Françoise Giroud …PORTRAIT… Par : Hamid Grine

11 juin 2011

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Françoise Giroud …PORTRAIT… Par : Hamid Grine

Edition du Dimanche 06 Février 2011 Culture Françoise Giroud …PORTRAIT… Par : Hamid Grine Une magistrale biographie qui vient juste de paraître : Françoise, éditions Grasset, signée laure Adler vient me rappeler ce que je dois à la grande Françoise Giroud. Flash-back.

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73.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

11 juin 2011

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73.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

Edition du Samedi 05 Février 2011 Des gens et des faits  L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Résumé  : La famille de Nadjette est honorée par la demande en mariage de Rachid. Fettouma, en bonne mère de famille, avait elle-même formulé la demande selon les normes des traditions. Mais elle regretta ouvertement que Mahmoud ne […]

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3.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

11 juin 2011

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3.“Mauvais rêve…”  La nouvelle de Adila Katia

Edition du Samedi 05 Février 2011 Des gens et des faits “Mauvais rêve…”  La nouvelle de Adila Katia Résumé : Zakia, qui ne parvient pas à trouver le sommeil, se rappelle leur première rencontre. Le hasard avait poussé Salem à prendre le même bus qu’elle puis ils s’étaient revus. Une année après, ils étaient mariés. […]

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Edition du Samedi 05 Février 2011 Culture Youssef Chahine ou l’Adieu à Moubarak Bonaparte La chronique de Abdelhakim Meziani Par : Abdelhakim Meziani Ce qui se passe en Égypte n’est pas sans rappeler à mon bon souvenir de cinéphile le cinéaste arabe le plus adulé mais aussi le plus controversé. Faiseur de merveilleuses et sulfureuses images, il aurait pu être à l’affiche de nombreuses chaînes de l’Hexagone. Sauf qu’il n’était pas citoyen israélien, son peuple victime de l’Holocauste. Pourtant, pour mieux comprendre la révolte présente de tout un peuple, ses films sont incontournables quand ils n’ont pas été, à un moment donné, prophétiques. A l’image du film Le Chaos, qu’il réalisa en 2007 avec Khaled Youssef. Une œuvre marquante où les deux réalisateurs égyptiens mettaient en scène un État miné par la corruption et l’impunité et une répression des plus aveugles imposée à tout un peuple. Au milieu de cette apocalypse, des femmes et des hommes se battent, mettent leur jeunesse et leur détermination au service, comme c’est le cas présentement, de l’avènement d’une Égypte nouvelle. Né en Alexandrie, tout comme Tewfik Al Hakim, Youssef Chahine ne pouvait faire abstraction de la réalité concrète de son peuple. À plus forte raison lorsque cette réalité est squattée par le parti au pouvoir, des commis de l’idéologie dominante forcené et vils à la fois, une élite quelque peu tétanisée par ses contradictions et une nébuleuse intégriste promettant monts et merveilles à qui veut bien la suivre. Dans Le Chaos, me confiait-il à Sousse, il avait tenté de mettre à nu les contradictions au sein de la société égyptienne pour mieux dénoncer ceux qui participaient à la ruine de son peuple. Ce qui n’est pas sans rappeler Bab Al Hadid (1958), le film qui le révéla à la fois comme un peintre lyrique des passions amoureuses et un fin observateur du petit peuple du Caire. Considéré par certains critiques comme un chef-d’œuvre fondé sur les inconnues tragiques du quotidien, lot amer des déshérités, Bab Al-Hadid aura le mérite singulier de mettre l’accent sur le fait que l’exacerbation des sentiments de frustration d’un misérable vendeur de journaux, boiteux et simple d’esprit, se renforçait de ce que Chahine, plus intuitivement que par analyse véritable à cette date, percevait comme une situation de fait de la masse du peuple. Il faudra à l’auteur de Gamila l’Algérienne attendre La Terre (1969 ) et Le Moineau (1973) pour renouer avec ce registre qu’il magnifiera avec simplicité dans une sorte de dépouillement choral. L’écrivain Abderrahmane Sharqaoui contribuera sensiblement à sa maturation politique et sociale. Une maturation qui lui permettra de donner libre cours à un humanisme autant débordant que généreux qu’il saura mettre, avec efficience, au service d’un éclairage nouveau. Sur ce que Claude Michel Cluny considère comme une histoire nationale amputée, abâtardie, ce substrat culturel appauvri par la dégradation du temps, par la misère des masses – et que la seule part élitaire de la population dédaigne au profit de modèles étrangers –, de ce passé si riche, mais immobile, les pères vendent les restes. L’analyse de Youssef se radicalisera davantage avec la trilogie représentée par des œuvres aussi dérangeantes que L’Émigré, Le Destin, un film résolument contre l’intolérance religieuse et à la gloire de la vie et de l’œuvre de Ibn Rochd et enfin, L’Autre où il s’attaquera avec une rare violence à la mondialisation, aux États-Unis et aux plaies de l’Égypte nouvelle. Cinéaste visionnaire, Youssef Chahine l’était assurément : “Dans Le Retour de l’enfant prodigue, j’avais prévu que les choses iraient mal pour le monde arabe et le film est sorti trois mois avant la guerre du Liban. Dans Le Moineau, je prédisais la guerre de 1967 avec les Israéliens. Si les Américains avaient vu Le Destin, ils se seraient fait une idée du danger qu’entraînent les lavages de cerveau des extrémistes.” Que penser alors du film Le Chaos ? Youssef Chahine savait mieux que quiconque que le cinéma pouvait être une arme dont le pouvoir de fascination et la force devaient être engagés pour ouvrir la voie à une société nouvelle. Une arme qu’il faut opposer à l’ignorance et à la mystification que certains dirigeants, avides de puissance et de pouvoir tels que restitués par Adieu à Bonaparte (autre film du cinéaste égyptien), veulent imposer à leurs peuples respectifs y compris par le feu et le sang… A. M. mezianide@djaweb.dz

11 juin 2011

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Edition du Samedi 05 Février 2011  Culture Youssef Chahine ou l’Adieu à Moubarak Bonaparte La chronique de Abdelhakim Meziani  Par : Abdelhakim Meziani   Ce qui se passe en Égypte n’est pas sans rappeler à mon bon souvenir de cinéphile le cinéaste arabe le plus adulé mais aussi le plus controversé. Faiseur de merveilleuses et sulfureuses images, il aurait pu être à l’affiche de nombreuses chaînes de l’Hexagone. Sauf qu’il n’était pas citoyen israélien, son peuple victime de l’Holocauste. Pourtant, pour mieux comprendre la révolte présente de tout un peuple, ses films sont incontournables quand ils n’ont pas été, à un moment donné, prophétiques. A l’image du film Le Chaos, qu’il réalisa en 2007 avec Khaled Youssef. Une œuvre marquante où les deux réalisateurs égyptiens mettaient en scène un  État miné par la corruption et l’impunité et une répression des plus aveugles imposée à tout un peuple. Au milieu de cette apocalypse, des femmes et des hommes se battent, mettent leur jeunesse et leur détermination au service, comme c’est le cas présentement, de l’avènement d’une Égypte nouvelle. Né en Alexandrie, tout comme Tewfik Al Hakim, Youssef Chahine ne pouvait faire abstraction de la réalité concrète de son peuple. À plus forte raison lorsque cette réalité est squattée par le parti au pouvoir, des commis de l’idéologie dominante forcené et vils à la fois, une élite quelque peu tétanisée par ses contradictions et une nébuleuse intégriste promettant monts et merveilles à qui veut bien la suivre. Dans Le Chaos, me confiait-il à Sousse, il avait tenté de mettre à nu les contradictions au sein de la société égyptienne pour mieux dénoncer ceux qui participaient à la ruine de son peuple. Ce qui n’est pas sans rappeler Bab Al Hadid (1958), le film qui le révéla à la fois comme un peintre lyrique des passions amoureuses et un fin observateur du petit peuple du Caire. Considéré par certains critiques comme un chef-d’œuvre fondé sur les inconnues tragiques du quotidien,  lot amer des déshérités, Bab Al-Hadid aura le mérite singulier de mettre l’accent sur le fait que l’exacerbation des sentiments de frustration d’un misérable vendeur de journaux, boiteux et simple d’esprit, se renforçait de ce que Chahine, plus intuitivement que par analyse véritable à cette date, percevait comme une situation de fait de la masse du peuple. Il faudra à l’auteur de Gamila l’Algérienne attendre La Terre (1969 ) et Le Moineau  (1973) pour renouer avec ce registre qu’il magnifiera avec simplicité dans une sorte de dépouillement choral. L’écrivain Abderrahmane Sharqaoui contribuera sensiblement à sa maturation politique et sociale. Une maturation qui lui permettra de donner libre cours à un humanisme autant débordant que généreux qu’il saura mettre, avec efficience, au service d’un éclairage nouveau. Sur ce que Claude Michel Cluny considère comme une histoire nationale amputée, abâtardie, ce substrat culturel appauvri par la dégradation du temps, par la misère des masses  – et que la seule part élitaire de la population dédaigne au profit de modèles étrangers –, de ce passé si riche, mais immobile, les pères vendent les restes. L’analyse de Youssef se radicalisera davantage avec la trilogie représentée par des œuvres aussi dérangeantes que L’Émigré, Le Destin, un film résolument contre l’intolérance religieuse et à la gloire de la vie et de l’œuvre de Ibn Rochd et enfin, L’Autre où il s’attaquera avec une rare violence à la mondialisation, aux États-Unis et aux plaies de l’Égypte nouvelle. Cinéaste visionnaire, Youssef Chahine l’était assurément : “Dans Le Retour de l’enfant prodigue, j’avais prévu que les choses iraient mal pour le monde arabe et le film est sorti trois mois avant la guerre du Liban. Dans Le Moineau, je prédisais la guerre de 1967 avec les Israéliens. Si les Américains avaient vu Le Destin, ils se seraient fait une idée du danger qu’entraînent les lavages de cerveau des extrémistes.” Que penser alors du film Le Chaos ? Youssef Chahine savait mieux que quiconque que le cinéma pouvait être une arme dont le pouvoir de fascination et la force devaient être engagés pour ouvrir la voie à une société nouvelle. Une arme qu’il faut opposer à l’ignorance et à la mystification que certains dirigeants, avides de puissance et de pouvoir tels que restitués par Adieu à Bonaparte (autre film du cinéaste égyptien), veulent imposer à leurs peuples respectifs y compris par le feu et le sang…  A. M.   mezianide@djaweb.dz

Edition du Samedi 05 Février 2011 Culture Youssef Chahine ou l’Adieu à Moubarak Bonaparte La chronique de Abdelhakim Meziani Par : Abdelhakim Meziani Ce qui se passe en Égypte n’est pas sans rappeler à mon bon souvenir de cinéphile le cinéaste arabe le plus adulé mais aussi le plus controversé.

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Saisir la complexité de l’homme RENCONTRE AVEC JéRÔME FERRARI AUTOUR DE SON ROMAN, “Où J’AI LAISSÉ MON ÂME”

11 juin 2011

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Saisir la complexité de l’homme  RENCONTRE AVEC JéRÔME FERRARI AUTOUR DE SON ROMAN, “Où J’AI LAISSÉ MON ÂME”

Edition du Samedi 05 Février 2011 Culture Saisir la complexité de l’homme  RENCONTRE AVEC JERÔME FERRARI AUTOUR DE SON ROMAN, “Où J’AI LAISSÉ MON ÂME” Par : Sara Kharfi

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Entre les jeunes des cybercafés et les intellectuels des salons Souffles… Par : Amine Zaoui

11 juin 2011

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Entre les jeunes des cybercafés et les intellectuels des salons Souffles… Par : Amine Zaoui

Edition du Jeudi 03 Février 2011 Culture Entre les jeunes des cybercafés et les intellectuels des salons Souffles… Par : Amine Zaoui Le grand génie des enfants d’Internet, de facebook et des SMS nous interpelle. Ce grand nouveau génie ouvre nos yeux bandés sur beaucoup de choses. D’abord, il nous enseigne que les intellectuels

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“Le patrimoine oral est en danger” SEDDIK MESLEM, CONTEUR PROFESSIONNEL, À “LIBERTÉ” Par : Amine Idjer

11 juin 2011

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“Le patrimoine oral est en danger”  SEDDIK MESLEM, CONTEUR PROFESSIONNEL, À “LIBERTÉ” Par : Amine Idjer

Edition du Jeudi 03 Février 2011 Culture “Le patrimoine oral est en danger”  SEDDIK MESLEM, CONTEUR PROFESSIONNEL, À “LIBERTÉ” Par : Amine Idjer Son histoire est un véritable conte. Son inspiration, il la tient de sa mère qui l’a abreuvé de dizaines d’histoires quand il était petit. Malgré les difficultés

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2.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

11 juin 2011

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2.“Mauvais rêve…”  La nouvelle de Adila Katia

Edition du Mercredi 02 Février 2011 Des gens et des faits “Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia Résumé : Zakia est encore sous le choc de la mort d’un ami. Son image la poursuit. Elle n’en dort plus. Elle ne cesse d’avoir peur pour son mari, un militaire engagé. Elle échangerait tout ce qu’elle […]

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72.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

11 juin 2011

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72.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane

Edition du Mercredi 02 Février 2011 Des gens et des faits L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Résumé  : Fettouma prépara la demande en mariage pour son fils dans les normes des traditions ancestrales. Elle confectionna elle-même un cadeau pour la future mariée et prépara une tenue de circonstance et des gâteaux aux amandes. 72eme […]

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71.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Par :Yasmine Hanane

11 juin 2011

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71.L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Par :Yasmine Hanane

Edition du Mardi 01 Février 2011 Des gens et des faits L’Algéroise La nouvelle de Yasmine Hanane Par :Yasmine Hanane Résumé  : Le jeune homme parle de ses futurs beaux-parents à sa mère. Le père de Nadjette est un ancien maquisard. Fettouma en est toute remuée, et se demande s’il n’avait pas connu Mahmoud au […]

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1.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

11 juin 2011

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1.“Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia

Edition du Mardi 01 Février 2011 Des gens et des faits “Mauvais rêve…” La nouvelle de Adila Katia 1re partie

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La renaissance de la pensée kabyle à travers Chikh Mohand Oulhoucine Reflet culturel Par : ABDENNOUR ABDESSELAM

11 juin 2011

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La renaissance de la pensée kabyle à travers Chikh Mohand Oulhoucine Reflet culturel Par : ABDENNOUR ABDESSELAM

Edition du Mardi 01 Février 2011 Culture La renaissance de la pensée kabyle à travers Chikh Mohand Oulhoucine Reflet culturel Par : ABDENNOUR ABDESSELAM Sorti volontairement de l’ordre religieux Rahmania après sa rencontre serrée avec le grand maître Chikh Aheddad, Chikh Mohand,

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Des auteurs algériens pour El-Qods “Ton nom est Palestine” Par : Djamila L.

11 juin 2011

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Des auteurs algériens pour El-Qods “Ton nom est Palestine” Par : Djamila L.

Edition du Mardi 01 Février 2011 Culture Des auteurs algériens pour El-Qods “Ton nom est Palestine” Par : Djamila L. La Palestine aura toujours une place de choix dans le cœur des Algériens, quel qu’ils soient, simples citoyens, intellectuels, artistes.

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