Je suis à la recherche d’une muse pour illustrer mes mots ;
Pour teinter la feuille blanche et effacer tous mes maux
Je lui dédiais pourtant plus de 8 0 % de mes écrits
Pour 20 % de poèmes dans le dessein d’exprimer mes soucis
Je la couvrais malgré cela de tous les mots doux et gentils
Et je l’ai bien chérie cette inspiratrice de ma poésie.
Je la prenais pour cette déesse Polymnie
Parmi huit femmes que j’ai vite bannies
Je ne souris plus à présent puisqu’il n’y a plus l’effet Thalie
En perdant mon sens d’humour et toute ma comédie .
Melpomène n’est pas encore là pour en parler de ma tragédie.
Et mes maux pèsent très lourd sur ce cœur abandonné
Clio m’a rendu amnésique ,incapable de me remémorer
Mes expressions ,mes rimes que je trouvais en toute spontanéité
Je suis là dans le silence absolu sans aucune mélodie
Eutérpe accompagnée de Terpsichore se sont éloignés
Pour me laisser dans ma tristesse avec un cœur accablé
L’horizon m’est voilé par la déesse Uranie
Complice des déesses ; Erato ,Calliope et celles que j’ai bannies .
26 juillet 2011 à 15 03 21 07217
http://www.jepoeme.com/forum/poeme-adieu/L_artiste_et_ses_neuf_muses_/303726/1.html
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28 février 2014 à 9 09 44 02442
Dans la mythologie grecque, Polymnie ou Polhymnie (en grec ancien Πολυμνία / Polymnía ou Πολύμνια / Polymnia « nombreux chants, aux chants multiples, abondance, bonne chère ») de Polyhymnie (Πολυύμνια nom composé de deux mots grecs qui signifient beaucoup et hymne ou chanson) est la Muse de la Rhétorique. On lui prêtait la faculté d’inspirer les aèdes et auteurs des poèmes et des récits les plus admirables. Elle est couronnée de fleurs, quelquefois de perles et de pierreries, avec des guirlandes autour d’elle, et habillée de blanc. Sa main droite est en action comme pour haranguer, et elle tient de la main gauche tantôt un sceptre, tantôt un rouleau sur lequel est écrit le mot latin suadere (persuader). Elle est parfois considérée comme la mère d’Orphée et d’Éros.
Muse du Chant, Polymnie est utilisée dans la poésie, comme dans ce poème de Paul Claudel, dans la première des Cinq Grandes Odes1 : « Et maintenant, Polymnie, ô toi qui te tiens au milieu de tes sœurs, enveloppée dans ton long voile comme une cantatrice, / Accoudée sur l’autel, accoudée sur le pupitre, / C’est assez attendu, maintenant tu peux attaquer le chant nouveau ! maintenant je puis entendre ta voix, ô mon unique ! »
Polymnie dans l’œuvre de Platon
Dans Le Banquet, Platon fait entendre des voix différentes pour parler d’amour, et de beauté, qui sont affaires du Bien2. Dans ce dialogue, Éros est représenté différemment en fonction des personnages du dialogue. Pour Phèdre, Éros est une divinité primordiale, « celui qui fait le plus de bien aux hommes, il inspire de l’audace, « est le plus ancien, le plus auguste, et le plus capable de rendre l’homme vertueux et heureux durant sa vie et après sa mort ». Pausanias fait la distinction entre deux amours et relations sexuelles. Comme il y a deux Aphrodite, l’Aphrodite céleste, plus âgée, née d’Ouranos, et l’Aphrodite née du mâle et de la femelle, Zeus et Dioné, plus jeune et appelée Aphrodite triviale ou populaire ; il y a deux Éros, un Éros populaire, « c’est l’amour qui règne parmi les gens du commun. Ils aiment sans choix, non moins les femmes que les jeunes gens, plutôt le corps que l’âme, ils n’aspirent qu’à la jouissance ; pourvu qu’ils y parviennent, peu leur importe par quels moyens » et un Éros fidèle, qui « ne recherche que les jeunes gens », qui n’aime que le sexe masculin, « naturellement plus fort et plus intelligent ». Suit un éloge de l’amour vertueux, fidèle, non attaché au corps. Faisant parler Éryximaque, Platon approuve la distinction des deux Éros faite par Pausanias et la complète : l’Éros ne réside pas seulement dans l’âme mais aussi dans la beauté, « dans les corps de tous les animaux, dans les productions de la terre, en un mot, dans tous les êtres ». L’Éros légitime et céleste est celui de la muse Uranie. « Mais pour celui de Polymnie, qui est l’Éros vulgaire, on ne doit le favoriser qu’avec une grande réserve, en sorte que l’agrément qu’il procure ne puisse jamais porter au dérèglement ».
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28 février 2014 à 9 09 46 02462
Thalie (Muse)
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir Thalie.
Thalie, par Jean-Marc Nattier (1739)
Dans la mythologie grecque, Thalie (en grec ancien Θάλεια / Tháleia ou Θάλια / Thália, « la Joyeuse, la Florissante », de θάλλειν / thállein, « fleurir, verdoyer ») est la Muse qui préside à la Comédie. Elle passe pour la mère des Corybantes conçus avec Apollon.
C’est une jeune fille à l’air enjoué ; elle est couronnée de lierre, chaussée de brodequins, et tient un masque à la main. Plusieurs de ses statues ont un clairon ou porte-voix, instrument dont on se servait pour soutenir la voix des acteurs dans la comédie antique.
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28 février 2014 à 9 09 48 02482
Melpomène
Statue féminine restaurée en muse Melpomène par l’addition moderne d’un masque, œuvre romaine, vers 50 av. J.-C., musée du Louvre
Dans la mythologie grecque, Melpomène (en grec ancien Μελπομένη / Melpoménê, de μέλπειν / mélpein, « chanter ») est la Muse du Chant, de l’Harmonie musicale et de la Tragédie quand elle est associée à Dionysos.
Son maintien est grave et sérieux : elle est richement vêtue, et chaussée de cothurnes ; elle tient d’une main un sceptre et des couronnes, de l’autre un poignard ensanglanté, parfois une massue d’Héraclès dont le théâtre aimait célébrer les exploits. Elle possède comme autres attributs la couronne de pampres et le masque de tragédie. Parfois on lui donne pour suivantes la Terreur et la Pitié.
Au Louvre, elle occupait la grande loge (photo) dans une des salles de l’aile Sully dénommée pour cette raison Galerie de la Melpomène, jusqu’à la réorganisation de 2010 où elle est remplacée par une représentation d’Athéna Pallas de Velletri en raison de la nécessité qu’elle soit restaurée1.
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28 février 2014 à 9 09 50 02502
Clio
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir Clio (homonymie).
Clio, détail de L’Allégorie de la peinture, par Vermeer (1666)
Dans la mythologie grecque, Clio (en grec ancien Κλειώ / Kleiô, de κλέω / kleô, « célébrer, chanter »), fille de Mnémosyne, est la Muse de l’Histoire, qui chante le passé des hommes et des cités.
On la représente sous la figure d’une jeune fille couronnée de lauriers, tenant en sa main droite une trompette, qui représente la renommée, et de sa main gauche un livre (un volumen), qui a pour titre Thucydide, sur lequel sont rédigés les récits du passé. À ces attributs, on joint parfois le globe terrestre sur lequel elle pose, et la clepsydre, horloge à eau qui représente le temps passé, afin de montrer que l’Histoire embrasse tous les lieux et tous les temps. Ses statues tiennent quelquefois une guitare d’une main, et un plectre de l’autre, parce que Clio était aussi considérée comme l’inventrice de la guitare.
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28 février 2014 à 9 09 54 02542
Dans la mythologie grecque, Euterpe (en grec ancien Εὐτέρπη / Eutérpê, « qui sait plaire », de εὖ / eũ, « bien » et de τέρπω / térpô, « plaire ») était la Muse qui présidait à la Musique.
Elle avait inventé ou suggéré l’invention de l’aulos (flûte double). C’est une jeune fille couronnée de fleurs et jouant de la flûte. Des papiers de musique, des hautbois et autres instruments sont auprès d’elle. Par ces attributs, les anciens ont voulu exprimer combien les lettres ont de charme pour ceux qui les cultivent.
Elle est représentée en pleurs au sommet du monument funéraire de Frédéric Chopin, au cimetière du Père-Lachaise.
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28 février 2014 à 9 09 55 02552
Terpsichore
Dans la mythologie grecque, Terpsichore (en grec ancien Τερψιχόρα / Terpsichóra, de τέρπεω / térpeô, « apprécier » et χoρός / khorós, « la danse ») est la Muse de la Danse. C’est une jeune fille, vive, enjouée, couronnée de guirlandes, et tenant une lyre au son de laquelle elle dirige en cadence tous ses pas. Certains auteurs en font la mère des sirènes.
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28 février 2014 à 9 09 57 02572
Uranie
Dans la mythologie grecque, Uranie (en grec ancien Οὐρανία / Ouranía, « la Céleste », d’Οὐρανός / Ouranós, « le Ciel ») était la Muse qui présidait à l’Astronomie et à l’Astrologie (les deux disciplines étant indissociables chez les Grecs). Elle est la mère de Linos, conçu avec Apollon.
On la représente vêtue d’une robe de couleur d’azur, couronnée d’étoiles, et soutenant des deux mains un globe qu’elle semble mesurer, ou bien ayant près d’elle un globe posé sur un trépied, et plusieurs instruments de mathématiques. Elle est assistée par les ouranies, les nymphes célestes. Selon Catulle, Bacchus la rendit mère d’Hymen.
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28 février 2014 à 9 09 57 02572
Aédé
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Dans la mythologie grecque, Aédé ou Aœdé (en grec ancien Ἀοιδή / Aoidế, en latin Aoede) est l’une des Muses originelles.
Muse du « chant » (signification de son nom), elle est, selon Pausanias, la sœur de Mnémé et Mélété, et habite l’Hélicon1. Certains auteurs latins précisent qu’elle est fille de Zeus et Plousia, et la sœur d’Arché, Mélété et Thelxinoé2.
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28 février 2014 à 9 09 59 02592
Arché
Arché (J XLIII Arche) fut découverte en 2002 par une équipe d’astronomes de l’université d’Hawaï, dirigé par Scott S. Sheppard1, et porta la désignation temporaire S/2002 J 1 jusqu’à ce qu’elle soit baptisée par l’Union astronomique internationale au début de 2005. Elle appartient au groupe de Carmé, constitué de lunes irrégulières et rétrogrades qui orbitent Jupiter entre 23 et 24 Gm de distance à une inclinaison de 165°.
Elle porte le nom de l’une des quatre Muses originales, filles de Zeus par Mnémosyne.
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28 février 2014 à 9 09 59 02592
Mélété
Dans la mythologie grecque, Mélété était l’une des trois Muses d’origine (béotiennes), filles de Mnémosyne, même si elles furent plus tard neuf. Ses sœurs étaient Aédé et Mnémé. Elle était la Muse de la Méditation et de l’Exercice.
Mélété signifie littéralement « entraînement » et « exercice » en grec. Les Muses étaient généralement gentilles mais agressées, elles étaient aussi terribles que les autres déesses.
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28 février 2014 à 10 10 02 02022
Érato
Dans la mythologie grecque, Érato (en grec ancien Ἐρατώ / Eratố) est une des neuf Muses, fille de Mnémosyne. Elle est la patronne de la poésie lyrique et érotique. Elle est représentée couronnée de roses et de myrtes, et portant une lyre à la main.
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28 février 2014 à 10 10 04 02042
Calliope
Dans la mythologie grecque, Calliope (en grec ancien Καλλιόπη / Kalliópê, « belle voix ») était la Muse de la Poésie épique et de l’Éloquence.
Mythe
Calliope, comme ses huit autres sœurs, les Muses, est une des neuf filles de Zeus et de Mnémosyne. Souvent représentée sous les traits d’une jeune fille à l’air majestueux, le front ceint d’une couronne d’or, emblème qui, selon Hésiode, indique sa suprématie parmi les autres Muses. Elle est ornée de guirlandes, tient d’une main une trompette, et de l’autre le texte d’un poème épique. Elle est aussi représentée le front ceint de lauriers, tenant un stylet, des tablettes ou un volumen.
« Descends de l’Olympe, ô Calliope, ô reine,
Et dis sur la flûte un chant de longue haleine ;
Ou plutôt, la lyre entre les doigts,
Marie un air au timbre de ta voix1. »
Suivant les mythes, elle passe pour la mère d’Orphée, qu’elle a conçu avec le roi de Thrace Œagre2. Avec le dieu fleuve Achéloos, elle met au monde les Sirènes, puis Hymen3 et Ialémos, qui donna son nom aux lamentations funèbres4, enfants d’Apollon, et les Corybantes5 fils de Zeus.
« Quoique généralement on donne les Muses pour vierges, des mythes particuliers qualifient Linus, Cymothoiis, Rhésus, Ialème, Orphée, Hyménée, les Sirènes, d’enfants de Calliope. Elle eut les deux premiers d’Œagre, le troisième de Strymon, les trois suivants d’Apollon, les Sirènes d’Achéloüs. Il est piquant de remarquer que, de ces amants mystérieux, deux sont des dieux fleuves (or les fleuves sont en mythologie des symboles de chant), et qu’un troisième est le chant même dans sa plus haute comme dans sa plus pure divinisation6. »
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