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«Chène télé» par  El-Guellil

25 décembre 2010

Contributions

                  L’ex-directeur du Centre audiovisuel algérien, ex-chef du département du cinéma populaire au centre national du cinéma, ex-chef du département de la production au CNC, ex-directeur général de l’Office national pour commerce et de l’industrie cinématographique (ONCIC), ex- conseiller au ministère de l’Information et de la Culture, ex-cogérant de la société

algérienne de l’audiovisuel (Télécinex), ex-administrateur de l’Agence centrale de l’édition et de publicité, ex-administrateur du Petit-Théâtre d’Alger Riadh el Feth: le cinéaste et réalisateur algérien Ahmed Rachedi; réalisateur en 1962 de «Peuple en marche, «L’aube des damnés», «L’Opium et le bâton», «Ali au pays des mirages et de «Arabsat», «C’était la guerre», grand prix Fipa d’or au festival de Cannes en 1993, producteur de 23 films de long-métrages, six pièces de théâtre, divers programmes de télévision, le cinéaste et réalisateur algérien Ahmed Rachedi, le réalisateur du film «Mostefa Ben Boulaïd», cet homme qui a su travailler et naviguer en évitant tous les écueils est à saluer. «Les nouvelles technologies de communication, notamment les images et les programmes diffusés par les nombreuses chaînes de télévision étrangères, réceptionnées en Algérie et dans d’autres pays africains, ont été qualifiés mardi à Alger de «nouvelles formes de colonisation, plus pernicieuses contre lesquelles nous ne pouvons pas mener une guerre de libération et contre lesquelles nous ne pouvons pas avoir une Armée de libération nationale». Qu’il a dit notre grand réalisateur. Allah yaatik essaha. Sauf que ya si Rachedi, quand on est bombardé, il faut riposter. Ne pas lever ses mains vers le ciel et attendre que passe la pluie d’obus, tout en étant bien à l’abri à Paris. Des Ben Boulaïd de l’image existent, ils sont nombreux en Algérie. Ils ne demandent qu’à s’organiser autour d’un projet commun. Des chaînes de télé de qualité pour riposter.

L’argent dépensé pour «Alger capitale de je ne sais plus quoi» qui vous a permis de tourner votre dernier film – que j’ai adoré-pouvait largement financer une bonne chaîne pour défendre notre chène… fondu enchaîné.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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