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Ce Sarkozy qui est en nous par Akram Belkaid : Paris

30 septembre 2010

Contributions

Voilà plus de cinq années que je cogne régulièrement sur la Sarkozie et ses errements. Les fidèles lecteurs de cette chronique savent que je n’ai pas attendu ces derniers mois avec les affaires, les scandales, les dérapages pathétiques sur la nationalité et les expulsions de Roms, pour dire tout le peu de bien que je pense de l’homme politique et de son système.

Cela m’a valu quelques remontrances et mises en garde qui sont le sel du métier de journaliste. Je n’en tire aucune gloire mais quelques précieuses leçons. L’une d’entre elles est que cela ne sert à rien de hurler au loup quand personne n’a envie d’entendre. Des amis proches ont longtemps cru en « Sarko », d’autres, y compris des Beurs et des Blédards, y croient encore.

Certains d’entre eux reconnaissent que j’avais vu juste lorsque je leur disais en 2007 que sa présidence s’étiolerait et dégénérerait en un happening sans équivalent dans l’histoire de la cinquième République. Là aussi, je n’en tire aucune gloriole car l’explication n’a rien à voir avec un quelconque bon sens politique ou une connaissance fine de la classe politique française.

Je dois d’ailleurs à la vérité de dire que lorsque Sarkozy était ministre du Budget dans les années 1990 (Balladur était alors Premier ministre et Mitterrand président), il m’apparaissait plutôt sympathique, du moins compétent et donnant peu de prise à la critique comme c’est le cas aujourd’hui.

Ce qui m’a très vite inquiété avec lui c’est que nous lui ressemblons. Nos faiblesses d’homme ou de femme sont les siennes. Quand il cherche à convaincre, à amadouer ou à séduire, il est comme monsieur tout le monde. Il est vous, il est toi plus moi, comme dit la ritournelle. La panoplie qu’il déploie est si évidente, si naturelle, si humaine qu’il est facile de se laisser aller à le suivre puisque ses paroles sont celles que nous aurions prononcées si nous avions été à sa place. Alors que j’écris cela, me revient en mémoire un épisode que je n’ai jamais raconté. C’était en 2004, l’actuel président de la République était alors ministre des Finances et Rachida Dati, déjà sa collaboratrice, avait organisé dans les salons de Bercy une rencontre entre lui et des membres de la diversité.

Nous étions une bonne cinquantaine à l’écouter. Il y a eu des rires, des applaudissements et quelques gloussements ravis (c’était avant les propos sur le Kärcher et la racaille…). Charge violente contre la chiraquie, discrimination positive, relations apaisées avec l’islam, main tendue aux pays du Maghreb à commencer par l’Algérie, critique de l’immobilisme de la droite et de la gauche en matière de luttes contre les discriminations, promesse d’une prise en compte de l’existence d’élites appartenant aux minorités visibles en cas d’accession « à des responsabilités plus importantes » (termes consignés tels quels dans mon carnet de l’époque) : l’audience était ravie. Trop. Nous étions quelques-uns à être gênés, à se sentir sous la menace d’une hypnose incommodante. « Il nous dit ce qu’on a envie d’entendre » me dit alors un haut fonctionnaire d’origine maghrébine. De quoi implicitement inciter à ne pas baisser sa garde et à ne pas se laisser berner par cette faconde prompte à toutes les transgressions. J’ai déjà cité la phrase du chanteur italien Gian Piero Alloisio à propos du Premier ministre italien : « Je ne redoute pas tant Berlusconi en soi que Berlusconi en moi ». Cela vaut aussi pour Sarkozy et cela peut s’interpréter d’au moins deux manières.      On peut penser qu’il faut tout faire pour ne jamais ressembler à l’un ou l’autre, à ne pas se laisser insidieusement gagner par leurs idées et leur cynisme. Mais on peut aussi se dire qu’il y a une part en nous qui n’est guère différente d’eux et que c’est contre elle qu’il nous faut d’abord lutter.

Lorsque Sarkozy est en meeting et qu’il harangue les foules qui se pâment (j’ai même vu ça à Washington alors qu’il prenait la parole devant des expatriés français), j’ai des flashs mémoriels qui me ramènent à mon quartier ou même à mes études supérieures où, pour convaincre les uns ou prendre le dessus sur les autres, j’usais de moyens pas toujours honorables, du moins pas toujours rigoureux. « Je l’ai lu dans un livre », « je suis le seul à le penser, ça devrait vous faire réfléchir », trituration de la vérité et artifices dialectiques bien connus et qui doivent nécessairement être accompagnés de l’attitude idoine, mélange de charme enjôleur, de fausse empathie et de proximité physique… Il y a bien longtemps que je ne crois plus aux hommes providentiels. C’est peut-être une volonté de m’affranchir d’une maladie qui fait tant de dégâts dans le monde arabe. Par contre, je crois aux hommes d’Etat. L’homme d’Etat ne nous ressemble pas. Il ne doit pas chercher à faire résonner ce qui nous lie à lui. C’est un homme qui sait s’élever au-dessus des normes, qui est capable de sortir de cercle habituel des raisonnements convenus. Un homme d’Etat est quelqu’un qui possède une vision même si ce mot est quelque peu galvaudé – confère les discours royaux que l’on entend dans certains pays du Golfe. Une vision – bonne ou mauvaise – et un projet de société – bon ou mauvais – pour son pays. C’est cela qui fait un homme d’Etat. La capacité à voir loin et à capter ce que l’on qualifie de signaux faibles annonciateurs de changements. Ce n’est pas être de droite hier, républicain aujourd’hui, étatiste le lendemain et libéral dans quelques semaines avant de redevenir soudainement socialiste. Nous avons tous des convictions mais la force des choses et du quotidien peut aussi nous transformer en girouettes.

C’est pour cela que nous ne serons jamais des hommes d’Etat. Et c’est pour cela que Sarkozy est le pire des présidents que la France ait connus au cours de ces cinquante dernières années.

Et je réalise soudain que ce qui est peut-être le plus insupportable avec lui, c’est qu’il nous rappelle – sûrement sans le vouloir ni même sans douter – à quel point, nous aussi, sommes si imparfaits.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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2 Réponses à “Ce Sarkozy qui est en nous par Akram Belkaid : Paris”

  1. MANDELKORN Dit :

    Né en 1952 à Paris, Marcel Mandelkorn est grand-père d’une petite fille d’un an. De parents israélites, sa famille a subi les pogroms de Russie et les ghettos de Pologne. La plupart sont morts dans la débâcle de 1939. Il rêve d’éviter les pièges contemporains.

    Une gêne bien inférieure au minimum indemnisable. On ne saurait jamais ou commence la personnalité pathologique et ou finit le brevet de normalité.
    Ceci se passe à partir de 1974 pendant que j’effectuai mon service militaire. …

  2. MANDELKORN Dit :

    Pour faire suite à mon bouquin,…ESSAIS en librairies

    On a compris que j’avais exclu un engagement au-delà de la période réglementaire, je continuerais civilement sans avoir fait ni l’école d’officier de réserve ni celle de sous-officiers..

    J’avais l’intuition qu’officiellement, l’Armée ne m’apporterait pas une suite logique à ce moment clef de ma jeunesse d’étudiant, plus encore je n’ignorais pas que l’armée est digne d’un ordre de pensée souvent incohérent, d’un déséquilibre citoyen, moi je penchais de façon conventionnel à l’ordre universitaire et professionnel auquel je ne pensais pas être le seul à aspirer. De toute façon, si je ne le disais pas, je devais montrer que déjà, j’étais perturbé et brouillé dans ma tête notamment à l’idée de devoir servir obligatoirement un an à l’issue d’un tout travail, d’un tout autre effort déjà bien engagé dans le civil.

    J’ai néanmoins conservé mon calme, avec quand c’était possible une certaine rigueur d’esprit et j’ai collaboré partout où l’on me l’a demandé.

    Je me faisais à l’idée qu’un an dans un cadre militaire, c’était vite passé . Je tenais vraiment à reprendre plus tard quelques années d’études. Après avoir réussit un BAC de techniques de gestion, j’étais fier de pouvoir déboucher sur des études supérieures, moi qui venais d’un CAP d’aide comptable. J’avais prévu une formation en alternance s’ouvrant sur un travail dans un cabinet d’audit privé ou me permettant de m’établir à mon compte.

    Ceci c’était mes ambitions, je n’en avais pas beaucoup d’autres, et n’avais jamais été signalé dans le domaine de l’angoisse, des maladies psychiatriques ou de l’irritabilité.

    D’ailleurs, ce qui m’avait été notifié durant l’armée, ne me paraissait pas important, je n’en faisais pas cas.

    J’étais bien plus préoccupé par mon avenir.

    A travers le positionnement psychiatrique qui s’est déclaré par la suite inexacte, j’ai quand même du renoncer à ma volonté en matière de défense.

    L’État a fait preuve de très peu d’écoute, au plus a-t-il nommer un expert pour aider à a recherche un lien petite enfance.

    Selon moi, ce processus aurait pu être évité, il suffit d’admettre qu’il n’y a eu aucunes preuves..

    L’idée d’une gêne a été largement dépassée, mais dans le même temps tout se présente comme irrecevable, non imputable

    Face à ce concept «juridique» très fort, on s’aperçoit bien vite que l’Etat qui est très engagé en matière de prévention se défend encore mieux quand il s’est trompé, par l’autorité dont il dispose: arrêt, autorité de la chose jugée, … pour se fermer sur lui-même et ne permettre aucune écoute contraire même si cela est valable de façon objective, il ne l’est plus en droit, même s’il est admis qu’il s’agissait d’interprétions.

    Ce qui s’est engagé de la part de l’État de façon écrite est pour moi grave

    A travers une problématique qu’on peut relire, on compare mon armée à un séjour, on parle de « villégiature » . On s’engage sur l’idée que comparativement à d’autres cas, je n’ai pas le droit de me plaindre alors que dans mon idée, on m’a retardé puis soigné de façon abusive.

    Par ailleurs, je note que l’État ne récupère pas ce qu’il a lui-même créé, «les afflictions»

    Il assure une irrecevabilité, une pratique «psy» dont aucun vrai professionnel ne se soucie.

    Suis je hors sujet, l’armée garde-t-elle un cap constant: ce qui s’est engagé malgré moi ne l’intéresse guère.

    Ce mode d’exercice frôlant l’imaginaire traité si bizarrement ne me laisse rien espérer, c’est bien l’armée qui l’a signalé, c’est elle qui parle d’un trop plein et d’un délit de relation.

    Je ne suis pas d’accord avec ces mœurs médico-sociales, dite salutaires.

    Je ne veux pas de ses soins qui disent redonner du sens à la vie alors même qu’ils détruisent. Pourquoi l’Armée a-t-elle pensé autant faciliter ce qu’elle appelle une trajectoire durant laquelle un épiphénomène serait survenu ? Pourquoi pense-t-elle s’affranchir d’un conditionnel incertain qui est connu et contre lequel, nul ne peut rien.

    . Ce côté «psy» doit être considéré comme déviant et dévalorisant. Il ne cesse d’exhiber des valeurs subjectives avec une participation plutôt confinée de la psychologie. Des valeurs occultes à la seule plaie de l’enfermement où on se demande ce que viennent faire ces nombreuses observations cliniques face aux activités d’exercice, montrant un travail à la dérobade, ne participant pas objectivement et concrètement à des activités relationnelles normales.

    Un mode «pathologique», une «psychose» dite chronique pour lesquels, il faudrait quand même considérer que ce qui a été institué fondamentalement est différent. En l’occurrence sur ces deux termes, les explications ne correspondent pas, elles démontrent des significations différentes. Il faut revenir sur la définition d’une personnalité pathologique comme sur la définition d’une psychose chronique, mais l’État ne veut plus rien entendre

    Il y a donc un mode d’analyse très factuel, très nettement grossis et surtout très décevant sur la pratique des commanditaires car très éloigné de la politique de santé officielle.

    Face un État qui refuse de revenir sur tout ce qu’il a produit

    Il transparaît une procédure où le mode de recul sur soi et sur les autres existent bien

    Le problème n’est pas d’imputer un handicap au cours d’un SERVICE NATIONAL, le problème est que les conclusions ne signifient au bout du compte plus rien. Qu’y a t-il, par exemple de cohérent, de synthétique quand l’armée s’intéresse à mon milieu familial?.

    L’existence cachée d’afflictions c’est plutôt un cantonnement où l’on m’a mis. De plus on ne m’épargne ni le mode héréditaire influent ni le mode de filiation, ni même « des séquelles d’épisodes psychotiques, de la labilité émotionnelle, une personnalité à tendance névrotique, etc. …

    Je trouve excessif de devoir se reconsidérer à l’excès.

    Des évocations hypocondriaques, ou d’autres termes tirés du registre névrotique. Cette crise subaiguë..

    Comment souscrire à un tel débat juridique et administratif ? Comment parler de l’intuition du Juge qui va rechercher des preuves durant la petite enfance, la où la volonté paternelle et maternelle lui semble trop forte..

    L’ordre modifia mon emploi du temps de façon définitive « rejoindre une infirmerie» «consulter»

    C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de comprendre. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, parce que j’aurais eu l’air bizarre, chose facile à dire. J’avais pratiquement toujours assumé mon temps de garde et de corvée, ceci était pour moi banal.

    Avec mon tempérament, je ne pouvais disposer d’un quelconque ressentir. Pendant mon temps actif, je ne pouvais pas non plus m’opposer aux excès de boissons, ce n’était pas mon rôle, encore moins lutter contre des quolibets ou des railleries de corps de garde, de plus, je n’en ressentais pas le besoin. Je n’essayais pas de dialoguer avec les fortes têtes que je rencontrais dans ma caserne, les rapports aimables étaient peut-être trop inhabituels, mais dans mon attitude, je faisais mine de ne rien comprendre et de ne rien subir.

    Je préférais être ignoré, que de me distinguer pour me faire voir, jamais je n’ai été exalté au point de devoir me retrouver à bon escient en psychiatrie. Lors d’une période de repos obligatoire et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté l’idée de servir, mais le contrat d’être soigné après l’armée m’avait changé. J’avais oublié ma caserne, il y avait longtemps qu’elle n’était plus dans ma mémoire, peu de choses d’ailleurs s’y étaient enfouies, je n’avais pas d’angoisse, ni d’anxiété, ni d’émotion, ni de fatigue. Seulement des difficultés à comprendre à revenir sur des faits finalement assez quelconques quelques jours après mon hospitalisation. Comprendrais-je un jour, ce dernier point de chute, celui pour lequel, contre ou pour, ont planché les spécialistes, je crains que non.

    J’avais en tout cas été dirigé sans raison de cette caserne, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital.

    Ma personnalité puis celle de mes parents a été de toutes façons été trop analysée. De plus ce n’était pas de très bon goût. Pour les psychiatres rien n’était grave chez moi mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne les avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux, et le fait de me rejoindre à mon insu était fondamental. Il est à noter que mes parents ont toujours été des gens soucieux à bon escient, ce qui s’est passé de ces relations a pu en un temps paraître obscur. Je rappelle avoir passé une période de détente avant la convalescence militaire, cette période de détente juste avant ma mise à l’écart, après JUIN 1974, ne préfigurait rien de maladif.

    Je suis resté effectivement très proche du foyer familial. Ce qui a été investit quasiment contre moi, c’est le report à une condition enfantine particulière,ou d’un risque futur de psychoticité. Je n’invente rien, il s’agissait de l’interrogation d’un médecin major qui a évoqué la nécessité de me faire suivre après l’armée et qui l’a dit à ma mère, un autre médecin a indiqué que le traitement sous neuroleptiques devait ne pas s’arrêter brusquement, mais plusieurs autres était formellement contre ce traitement…

    Lorsque j’ai été dégagé des obligations légales, je me suis coupé de mes propres besoins, dormir sous somnifères, quand je n’avais jamais eu d’insomnie me paraissait bizarre. Rien dans mon devenir ne me menaçait. Il n’y a rien de plus gravissime, que de contester des somnifères.

    Cela ne pouvait pas me nuire, me disait –on! . J’étais tellement habitué à un emploi du temps sérieux, rigoureux, que j’ai du casser ma cadence, ceci est une réalité qui mérite d’être soulignée. Il faut rendre palpable ce qui peut l’être et faire la distinction de ce qui est éloigné de mon tempérament

    J’ai consulté un cabinet civil et psychiatrique au sortir de l’armée, j’étais prêt à prendre fait et cause pour les données essentielles de la science, mais les termes du psychiatre civil furent toutes autres, il ne voyait aucunes justifications à ce qui avait été entamé à l’armée, plus encore, il porterait plainte en mon nom.

    Ce dernier m’a donc aidé à porter plainte devant le Tribunal des pensions militaires.

    Je me souviens n’avoir rien reçu aucun courrier durant plusieurs années durant, il n’y eu aucun dialogue procédurier ni thérapeutique, autrement dit on ne retrouva que l’aspect théorique des choses.

    Hors, de ces périodes, je fus maintenu sous anxiolytiques, conduit à d’autres professionnels, mon père pensait que l’œil exercé des uns et des autres, me soignerait à travers ma santé psychique;

    Je n’oubliais pas non plus mes études de droit, et d’économie qui depuis lors étaient stoppées depuis l’acquis de deux examens probatoires. Je pensais que rien de bien perceptible sur le plan mental ou sur le plan des pensées, pouvait se montrer en tant qu’obstacle.

    Affections peut-être qui pouvaient exister avant disait-on à titre documentaire. Sans que je le sache, bien sur et au sein de l’Armée de Terre, effet démoralisateur, réelle investigation critique sur laquelle il est facile de jouer. Les exemples ne manquent pas en matière de résultat, et de fallacieuses préoccupations.

    De cette manière, il y un traitement de longue duré qui court que pour lui-même.

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