Alger- La série réalisée par l’artiste Messaoud Laïb et la scénariste Fatima Ouzane est un travail qui mérite l’éloge et le respect pour l’importance du sujet traité qui est celui des enfants victimes de violence familiale. Un travail réalisé et porté à l’écran par la main d’un professionnel ainsi que des acteurs qui ont été à la hauteur.
- Ennahar a réussi à avoir une idée sur les grandes lignes de cette œuvre qui traite d’une crise psychologique vécue par le héro Rachid, poursuivi par son passé qui le fait souffrir et perturbe sa vie familiale et surtout sur sa fille Rania. Résultat d’un père violent qui, ne pouvant avoir de garçons, s’en prenait à sa femme et lui endossait la responsabilité. Rachid subissait lui aussi les conséquence de cette violence malgré son jeune âge.
- La suite de l’histoire, dans les prochaines parties de cette série « dernier souvenir », raconte l’expérience de Rachid à la recherche d’une seconde épouse, sur l’insistance de ses six sœurs, mais la deuxième épouse de Rachid délaisse ses filles, ce qui le pousse à la répudier et décide de ne plus se marier de peur que l’expérience de son père ne se répète avec lui. Les évènements se succèdent jusqu’au jour où Rachid décide de prendre une troisième épouse ; Kenza, la prof de sa fille Rania, qui divorça pour cause de stérilité, mais la volonté de Dieu en décida autrement et cette dernière tomba enceinte.
- Rachid est victime d’un accident de la route et perd sa mémoire. La femme de Rachid donne naissance à un bébé qui devient alors la clé de tous ses malheurs, à cause d’un père qui lui disait toujours qu’il n’aurait que des filles. A la mort de son père, Rachid se trouve devant une grande responsabilité ; celle de ses frères du côté de son père.
5 septembre 2010
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