Un linceul n’a pas de poches [Poche]
Horace McCoy (Auteur)
Détails sur le produit
- Poche: 283 pages
- Editeur : Gallimard (23 octobre 1998)
- Collection : Folio Policier
- Langue : Français
- ISBN-10: 2070406598
- ISBN-13: 978-2070406593
Descriptions du produit
Amazon.fr
Écoeuré, Mike Dolan quitte le journal où il travaille. Il ne supporte plus de ne pouvoir faire éclater la vérité, le quotidien étant muselé par les annonceurs et soumis à diverses pressions. Avec son meilleur ami et reporter judiciaire, Eddie Bishop, et avec Myra Barnovsky, ils décident de créer Cosmopolite, un hebdomadaire dont la devise est « La vérité, toute la vérité et rien que la vérité ». Les dents vont grincer et les menaces pleuvoir. La jeunesse et l’impétuosité auront-elles raison du système en place ?Avec Hammett et Chandler, McCoy est l’un des pères fondateurs du roman noir américain. Dans Un linceul n’a pas de poches, son récit le plus autobiographique, il s’est servi de son expérience de journaliste pour dresser un violent réquisitoire contre la corruption et l’hypocrisie de la société. Le sujet toujours d’actualité et la qualité de l’écriture font que ce roman publié en 1937 n’a pas pris une ride. –Christophe Dupuis
9 août 2010 à 19 07 33 08338
Par demainlesdauphins
Ce commentaire fait référence à cette édition : Un linceul n’a pas de poches (Poche)
Grosse déception que ce livre qui a pourtant une critique très positive un peu partout. C’est vrai que la description de cette société qui nous dirige, nous fais croire que l’on est libre, nous dicte ce que l’on doit penser ou ne pas penser, faire ou ne pas faire, etc… est une excellente idée et une très bonne base de départ, mais que le personnage central est naïf !!! Une sorte de Don Quichotte qui veut sauver la veuve et l’orphelin mais qui ne sait plus par ou commencer, et qui découvre jours après jours que les gens qui nous gouvernent sont tous des pourris ! Et qui bien sur part tête baissé refaire le monde.
Désolé, mais je n’y ai pas cru, et j’ai trouvé le « héros » si naïf qu’il est en devenu pathétique à mes yeux. Et la fin tellement évidente qu’on l’a deviné après 2 pages. Le seul point positif pourrait être la critique de notre société, mais en fin de compte rien que l’on ne sache pas déjà… (certes, il faut replacer le livre dans son époque, disons alors qu’il a très mal vieilli)
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
9 août 2010 à 19 07 37 08378
Horace McCoy
Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, rechercher
Page d’aide sur l’homonymie Pour les articles homonymes, voir McCoy.
Horace McCoy est un écrivain américain né à Pegram dans l’État du Tennessee le 14 avril 1897 et décédé le 15 décembre 1955 à Beverly Hills, en Californie.
Il est l’auteur de nombreux romans noirs, parmi lesquels on peut citer:
* On achève bien les chevaux (They shoot horses, don’t they ?) (1935)
* Un linceul n’a pas de poches (No pockets in a shroud) (1937)
* J’aurais dû rester chez nous (I should have stayed home) (1937)
* Adieu la vie, adieu l’amour (Kiss to morrow good-bye), trad. Max Roth et Marcel Duhamel, NRF Gallimard, coll. Poche Noire no 96, 1949
* Le Scalpel (Scalpel) (1952)
* Corruption City (1959)
* Les Rangers du Ciel
* Black Mask Stories, trad. France-Marie Watkins, Le Livre de Poche no 4175, (1976)
Adaptation au cinéma
* On achève bien les chevaux a été adapté au cinéma par Sydney Pollack
* Un linceul n’a pas de poches a été adapté au cinéma par Jean-Pierre Mocky
A noter qu’il a été scénariste pour le cinéma notamment pour Gentleman Jim de Raoul Walsh
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup