Saïfi se défend «Certains ne veulent pas que je sorte par la grande porte»

  Coupable d’avoir giflé une journaliste algérienne à l’issue du revers concédé face aux Etats-Unis (1-0), Rafik Saïfi met les choses au clair. L’attaquant des Fennecs estime être la victime et non l’agresseur. A l’issue de la défaite concédée face aux Etats-Unis (1-0),

mercredi, le Fennec Rafik Saïfi a giflé une journaliste du quotidien sportif « Compétition ». L’attaquant international a tenu à mettre les points sur les « i » et estime être la victime et non l’agresseur de l’altercation. Selon l’ancien Lorientais, c’est en effet Asma Halimi qui a porté les premiers coups. « Certaines personnes ne veulent pas que je sorte par la grande porte. Malheureusement, c’est tombé sur une journaliste algérienne. Elle voulait se faire un nom sur Rafik Saïfi. C’est comme ça.  Elle a inventé une histoire et je voulais seulement discuter avec elle. Quand je me suis approché d’elle, elle m’a directement mis un coup de dictaphone dans la bouche. Et, après, elle dit que je l’ai insulté. Elle a même inventé des témoins qui n’existent pas », a réagi le natif d’Alger sur les ondes de RMC. Rappelons qu’Asma Halimi a porté plainte auprès de la FIFA