[Bouillon de culture] Commentaire sur : « Marcel MANDELKORN »"
Jeudi 3 juin 2010 15h23
Auteur : mandelkorn (IP: 172.31.235.6 , 172.31.235.6)
E-mail : marcel.mandelkorn@equipement.gouv.fr
URL : http://societedesecrivains.com
Commentaire:
Je ne comprenais pas ce qui s’était passé. L’arsenal juridique et thérapeutique est fort, j’ai revu la personne qui m’a dit à l’armée: les trois médecins vous demandent », c’était dans une clinique en Normandie, il jurait d’en parler syndicalement, je ne comprenais toujours pas, s’il voulait d’une part mettre en évidence le fait qu’il m’avait connu
quelque part, et qu’il se souvenait des lieux, des évènements, des personnes qu’ils avaient côtoyée avec moi, qu’il m’avait pris en sympathie et qu’il m’avait en quelque sorte couver comme un oeuf, un embryon, un foetus. Voulait-il marcher sur mon père, sur l’autorité familiale, sur l’emprunte culturelle, ce n’était pas que pure coïncidence qu’il m’est dirigé en tout cas lors de la fin de mon service militaire sur l’autorité sanitaire des armées. Mais à ce stade ce n’étais que pure villégiature, que congé de convalescence, à un stade disons vraiment neutre. Souvent s’occuper de malades mentaux quant on a soi-même été versé dans le monde sanitaire ne relève pas que de la fiction. Avouez que ce serait bête de s’en priver. Si les noms, les personnages, les lieux et les évènements sont le plus souvent le fruit de l’imagination ou sont utilisés malheureusement fictivement, la ressemblances réelles, vivantes et mortes, des évènements ou des lieux reste aussi le plus souvent une pure coïncidence. Mais quand la mémoire reprend ces droits, c’est la vérité, il faut l’admettre. Ce voeu s’est donc réalisé et il fait suite au hasard des circonstances qui me pousseront un jour à écrire le tome deux des ESSAIS; Mais qui pilote vraiment le premier ouvrage, quel mot résumerait un livre peu propice aux réalités du secteur sanitaire d’un petit service militaire qui va devenir si grand, que ce sera bien ma politique, posture en partie psychiatrique, qui va triompher. Je n’ai pas tort, mais cette fois ce n’est plus un an et quelques, ou cette filature s’exerce, ce serait tout une vie…Finalement, on peut dire que je ne suis pas trop habitué au drame des autres mais je colle et devance comme un cadeau l’inepsie. Je ne peux plus décrocher car j’ai dépensé beaucoup pour coller ma vie à l’erreur humaine. Dans des endroits où règne l’hygiène mentale et la psychologie, on peut se le permettre, en dédoublants l’évènement et en le couplant aux lieux. Mais ça c’est après l’histoire sans cesse renouvelée. On m’a cherché, on va me trouver
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4 juin 2010
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