Le Carrefour D’algérie
Oran était belle durant ce grand et important rendez-vous du GNL 16. La ville a retrouvé sa splendeur, nous rappelant son «charme» d’antan. A Oran, on a travaillé jour et nuit rien que pour être prêt le jour J.
Les élus comme les gouvernants étaient sur leur garde sachant pertinemment que personne ne les « protégera » en cas de faillite. Tout était presque «parfait» durant cet événement. Et depuis que les étrangers sont partis, personne ne parle d’Oran comme si ce rendez-vous était un cauchemar. C’est comme si on voudrait l’oublier car ils ont «sué». La fatigue n’a été ressentie que par ceux qui ne travaillent pas souvent ou beaucoup. La fatigue leur laisse des séquelles. Et depuis cet événement, c’est le silence radio et les élus ne font plus d’efforts comme autrefois pour que notre ville reste éblouissante. Les séquelles du laisser-aller commencent à être apparentes. Il suffit de faire un simple tour pour pouvoir ressentir la différence. Oran ne peut pas faire exception à cette culture du « laxisme » où l’élu n’est qu’un « personnage » pour ne pas dire autre chose. Les partis ne bougent pas le petit doigt pour secouer leurs élus. Il est temps que cela change.
26 mai 2010
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