Une femme poète pakistanaise raconte son pays en métaphores Un contrat de mariage bien raisonnable
Un conte persan
Entendant la voix d’un hibou, le roi Baïram demande au savant de service s’il comprenait la langue de ces hôtes des ruines et des lieux maudits. Le savant censé tout savoir de par sa fonction répond comme à l’accoutumée : « Bien sûr que oui mon Seigneur » puis il enchaîne : Il s’agit en fait d’un hibou mâle qui demande la main d’une femelle de son espèce. Celle-ci lui demande en douaire 20 villages en ruine. Le mâle accepte et ajoute que si le règne du roi Baïram durait encore quelque peu je te donnerais en douaire mille villages en ruine au lieu des vingt que tu demande si modestement
Femme poète pakistanaise, Parveen Shakir, morte jeune dans un accident de circulation en 1994, reprend ce conte et se fait l’interprète de l’hibou femelle dans les vers suivants:
À propos de Artisan de l'ombre
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie
Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme .
Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali …
Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère .
Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains.
Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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12 mai 2010
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