Le Carrefour D’algérie
Ils (ou elles) déshonorent notre Université! Le professeur, l’administrateur, ou autre encadreur, qui s’empressent de promettre leur «aide» en contrepartie de quelque faveur. Une faveur qui serait déterminée selon que l’intéressé (e)
soit garçon ou fille. S’il suffit à l’étudiant de graisser la patte à son «bienfaiteur», l’étudiante, elle, se voit parfois confrontée à quelque chose de plus grave: le harcèlement sexuel! L’autorité conférée à l’administrateur, au professeur, ou à l’encadreur est faite pour lui permettre d’assumer comme il se doit sa responsabilité. Pas plus! Que l’un ou l’autre en profite pour demander un avantage matériel, ou pour solliciter une faveur sexuelle, cela est inadmissible! Oui, cela pèserait trop lourd sur la conscience des observateurs que nous sommes. L’Université, cette enceinte du savoir, de la science et de la culture ne saurait être le théâtre de telles pratiques. Notre Université a été et continue d’être la génitrice de grands professeurs, qui font la fierté de notre peuple. Et bon nombre de ces professeurs ne cessent de briller telles des étoiles dans les cieux scientifiques des capitales occidentales. Nous refusons donc que cette Université aille à la dérive. Tous et toutes devraient réagir. Aussi, les Institutions étatiques doivent-elles procurer tous les moyens pour pouvoir coincer les coupables.
Jawad_moumen@yahoo.fr
22 avril 2010
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