L’historiographie coloniale de l’Algérie a malencontreusement investi une image de psychose qui a longtemps obsédé les Historiens et autres ethnologues et anthropologues sur ces Algériens confinés et isolés, déportés et exilés ou tout simplement « partis ailleurs » depuis des siècles d’histoire sur les noms et les lieux. Pourtant, c’est le contraire qu’il faudrait révéler.
Je voudrais à travers ces lignes rendre un vibrant hommage a ces Hommes non transcrit symboliquement parlant sur la « la première liste nominative de l’état civil des Algériens de la fin du 19°siècle».Ils portèrent malgré tout l’Algérie dans leurs coeurs, accrochés à un espoir de retour de cet espace géographique dépassant les vingt milles km ainsi qu’a tous ceux qui ont travaillé dans tous les domaines confondus à faire connaître dans notre pays d’autres Algériens garants de l’espoir immuable d’un futur toujours optimiste et confiant dans l’avenir de l’Algérie.
Un devoir de mémoire
Il est donc de notre devoir de mémoire envers ces algériens de donner une image valorisante de leur Histoire ambiguë certes mais surtout inconnu, sur la base de leurs noms propres qui restèrent comme seuls valeurs et apports spécifiques encore enfuis dans les sources d’archives des registres matriciels d’outre mer (État-civil, registres de l’Administration pénitentiaire, courriers municipaux, lettres des missionnaires, comptes rendus et sources orales mais aussi les remarquables ouvrages de ces dernières années ).
C’est un essai d’Histoire, je dirai patronymique de ces Algériens « héros malheureux », ou plutôt d’une présentation qui correspond conventionnellement à la conséquence des insurrections successives en Algérie ; des Ouled sidi Cheikh en 1864 (178 condamnés), Celle de Mokrani Ahmed et Cheikh Améziane Mohand El-Haddad en 1871, et d’El-Amri (Biskra) en 1876 (120 embarqués) et enfin l’insurrection du sud oranais en 1881-1882.
Le revers pervers de la défaite
Cette période de l’histoire de l’Algérie a été peu prolifique en écrits. Durant la période 1870-1871, la France coloniale subissait l’humiliation de la défaite et la reddition de Napoléon III face au chancelier Prussien Bismarck. Une instabilité gouvernementale s’ajouta aux événements graves de la commune de Paris. Cependant la France a finalement franchi cette crise, elle se tourna tout de suite vers l’Algérie pour lui régler son compte aussitôt l’installation du nouveau pouvoir à Paris de la III° république.
Face à une puissance coloniale ressuscitée par un effectif militaire puissamment armé venu en renfort, Les insurgés algériens de l’insurrection d’Ahmed Mokrani et Cheikh El-Haddad, optèrent pour un soulèvement total. Mais Vaincus après le 30 du mois de juin 1871, les insurgés subissent le revers pervers de la défaite. La répression fut terrible. La volonté de punir s’abat sur ces révoltés. Le colonisateur ne perdez rien pour attendre. Il adopta d’abord des lois sur mesure. A cela s’ajoutaient les interminables dépossessions de tous les biens et les terres qui étaient redistribuées aux nouveaux indésirables venus de la métropole et de la nostalgique région d’Alsace Lorraine suite à un appel qui avait été lancé en leur direction. L’occupant avait décidé que les propriétés des insurgés seraient spoliées et remises à des colons français.
On attribua aux nouveaux venus plus de cent mille hectares. Le nombre de familles implantées a été estimé à 1183 dont chacune a pu bénéficier de l’allocation de 6500 francs. De même que les fermiers du Sud-Est de la France avaient été attirés puisque le nombre de familles implantées fut estimé à quatre mille. Cette politique a porté la superficie des terres attribuées aux colons à 347268 hectares entre 1871 et 1882, ce qui a également permis la création de 197 villages de colonisation.
La déportation : quelle logique ?
Leur Histoire commence après le grand soulèvement de la fatidique année 1871. Les uns exécutés sommairement par les conseils de guerre mais les autres miraculés furent jugés et condamnés sans appel à partir du 10 mars 1873 par le tribunal de grande instance à Constantine. Ils étaient des centaines de chefs de sections de tribus, mais notre mémoire nationale n’en retient que trois (Mokrani Boumezrag, M’hamed Ben Cheikh El Haddad et son frère cadet Aziz).
Le 23 mars 1872, l’assemblée nationale Française a adopté une loi désignant les lieux de déportation. L’article 2 avait déclaré le lieu enceinte fortifiée, dans l’article 3 était mentionné l’ile des Pins en cas d’insuffisance, l’ile de Marré dépendante de la Nouvelle Calédonie. Il faut noter que les déportés durent attendre plusieurs mois avant leur embarquement dans les convois destinés aux colonies françaises d’outre mer. C’est la raison pour laquelle ces « prisonniers politiques » furent internés dans des dépôts ou lieux de détentions comme le fort de Quélerin (Brest) et à l’île d’Oléron ou du port de Toulon avant leurs départs définitifs en Nouvelle Calédonie à plus de 24 000 km de leur pays natal pour un exil forcé. Une traversée de cinq mois (145 jours environ).
La Nouvelle-Calédonie était devenue française depuis la date du 24 septembre 1853. La ville de Nouméa fut crée un an après. Comme en Algérie, la France avait choisi la colonisation de peuplement et agraire pour assimiler cette partie du monde. A ce type de colonisation venais s’ajouter dès 1864 celle d’origine pénitentiaire depuis la création du bagne par Napoléon III.
Ces iles lointaines occupent, dans l’histoire coloniale, une place singulière : une terre d’expérimentation où il est possible, d’harceler sans répit le passé pour arriver à comprendre la logique de cette violence. Les condamnés étaient exilés pour le restant de leur existence (les condamnés anglais à l’exil, quant à eux, avaient toujours le droit de rentrer en Grande-Bretagne, une fois leur peine achevée). « La logique de l’exil fonctionnait à plein régime », écrivait Ouennoughi (Malica) dans son remarquable ouvrage 1.
Le pouvoir colonial imposait tout d’abord, aux déportés, la règle de l’exil à vie pour rendre leur retour impossible ou extrêmement difficile. En échange, elle promet de façon beaucoup plus systématique, la propriété du sol. Les valeurs sont là, bien françaises : « la terre est rédemptrice de tous les vices » 2.
Partis pour ne plus revenir. Absents en Algérie malgré eux. Seulement les absents ont toujours tord, disaient une institutrices à nos parents. Ces Algériens ont donc raté la transcription officielle de l’état civil promulgué par la puissance coloniale en ce même mois de mars onze années après, plus exactement le 23 mars 1882.
Cantonnement ou Refoulement ?
Le pouvoir colonial en Algérie comme en Amérique du nord, insistait à enfermer la masse dite « indigène » et « indienne »dans des réserves qu’elles les pensent promis à une disparition inéluctable. La question se posait de savoir quelle politique appliquer aux « indigènes » d’Algérie ? Les détruire ou tout au moins les refoulés ? L’idée de les déporter, a germé dans la tête de plusieurs officiers français bien avant 1872.Le colonel Montagnac, ne voulait-il pas déporter tous les Algériens aux îles Marquises ? En 1897, Maurice Wahl, et avant lui en 1880, le fameux docteur René RICOUX, ne prédisaient-ils pas que : « les indigènes étaient en voie d’extinction et la loi supérieure qui fait disparaître les peuples arriérés se vérifiait une fois de plus » ! Il calculait déjà le nombre d’années que nécessiterait une disparition totale. En 1880, il publiait un ouvrage intitulé La démographie figurée de l’Algérie. Il écrivait: « On ne peut le nier, comparés aux Européens, Arabes et Berbères sont certainement de races inférieures et surtout de races dégénérées… Et, dans un siècle ou deux, que seront-ils ? Combien seront-ils ? Car c’est indiscutable, ce peuple tend à disparaître d’une façon régulière et rapide ».Il précisa clairement l’idéologie coloniale. La prédiction ne s’est pas réalisée, mais la lecture de ce texte est intéressante en ce qu’elle met en évidence les conceptions racistes de nombreux scientifiques de cette époque.
Alors que partout ailleurs dans l’Empire, la France renonce à appliquer le cantonnement des autochtones. Le cantonnement fut abandonné en Algérie en 1873 ; puisque la loi Warnier avait imposé la propriété privée la même année. Les Kanaks de la nouvelle Calédonie étaient, quant à eux, relégués dans de véritables réserves, à l’instar des Indiens d’Amérique ou des Aborigènes d’Australie.
La présence de ces Algériens dans ces îles trop petite, trop lointaine, trop marginale, fait partie de ces « études » que l’historiographie a tendance à ignorer. Pourtant, dès qu’on s’y intéresse, se révèle une histoire étonnante qui, aussi paradoxal que cela puisse paraître, s’inscrit au coeur de « grandes questions ». Fondée sur un véritable projet idéologique de peuplement soumis à une double logique volontaire et en même temps factice parmi eux des Algériens forcés à l’exil sans retour. C’est vraiment une expérience sans précédent dans l’Histoire.
La problématique foncière.
En effet, l’approche coloniale basée sur l’occupation de l’espace s’inscrit aussi dans une problématique foncière tout à fait spécifique et très particulière. Contrairement à l’évolution qu’à connu l’Algérie, en nouvelles Calédonie l’administration française refusa, de privatiser les terres et ce contre l’avis même du ministère des Colonies à cette époque.
L’enjeu essentiel, « était lié aux logiques mêmes de la colonisation, qui consistait à maintenir un contrôle rigoureux sur la répartition des terres fertiles dans ses iles du pacifique. Plutôt que d’accorder la propriété privée aux tributs autochtones et autoriser ainsi les ventes directes entre indigènes et colons, au risque d’une dilapidation rapide des ressources foncières, les autorités locales préféraient plutôt le principe du cantonnement » 3.
Le cantonnement est abandonné en Algérie en 1873 ; la loi Warnier imposant la propriété privée aux indigènes pour créer un domaine foncier soumis à la loi du marché. En quelques années de spéculations intenses, une grande majorité d’Algériens est expropriée au profit de colons qui se constituent d’immenses domaines 4.
En effet, une autre nécessité a éclatée après 1871. Son but statué sur le cas épineux de l’état civil des Algériens. Elle apparaissait de plus en plus comme une nécessité très urgente et assez pressante. La pression venait surtout de la part des colons très presser de conclure des actes de vente notariales avec les « naïfs » habitants de douars, puisque la loi qui encouragée la colonisation « privé » cette fois, exigée un patronyme des deux signataires.
L’Algérie depuis a connu un vaste mouvement d’implantation de l’élément européen aux dépens de l’élément algérien. Certains facteurs parmi lesquels l’émigration, le déplacement et la déportation des populations ainsi que les massacres collectifs avaient failli détruire de façon quasi définitive la structure sociale de la société algérienne.
Le total des terres remises aux colons entre 1871 et 1908 s’élevait à 1.137.823 ha environ parmi les meilleures terres agricoles. Le pouvoir colonial a mit en place les modes et les formes juridiques afin d’orienter les transformations radicales dans la structure sociale, politique et économique de la société algérienne. Ceci ne pouvait avoir lieu, selon le pouvoir colonial, sans la destruction de tout ce qui avait un rapport direct avec les croyances des autochtones et leurs systèmes ancestraux.Ainsi, sera parachevée l’entreprise de démolition et destruction de toutes les valeurs de la société algérienne qui se soumettra au fait accompli imposé par les forces de d’occupation, ce qui facilitera son assimilation et son assujettissement.
Privés de la loi d’amnistie.
Cependant quand les temps ont changés en France, les républicains ont amnistié les déportés communards français. Les Algériens eux ; seront privés de la loi d’amnistie. Parce qu’ils étaient toujours restés un danger pour le pouvoir colonial.
Déjà mentionnée dans la désormais célèbre formule « Jugés potentiellement dangereux ».
Pourtant deux lois d’amnistie des déportés étaient promulguées par le gouvernement français. Une loi d’amnistie partielle datée du « 3 mars 1879 » et une loi d’amnistie générale datée du 11 juillet 1880. Ces lois concernaient tous les déportés sans discrimination aucune mais l’administration coloniale locale ne libéra que les déportés issus de la révolte de la commune de Paris. Ces déportés français, amnistiés, regagneront, dans leur immense majorité, la France.
Il faut rappeler que les grands écrivains de l’époque comme Victor Hugo et Emile Zola militèrent sans relâche pour l’amnistie des déportés de la commune de Paris, mais aucun écrit ne mentionne qu’ils aient associé dans leurs actions le cas des déportés algériens.
Pourtant les vaincus des barricades de la commune de Paris assis côte à côte avec les vaincus d’Algérie, écrivirent beaucoup sur leur déportation selon Lallaoui Mehdi (Algériens du Pacifique, les déportés de Nouvelle-Calédonie).
Les Grands Absents de l’état civil.
La mesure coloniale de l’état civil des Algériens fut déposée le 08 mars, certains esprits avisés avaient demandé une application progressive de la loi, ils plaidèrent pour une expérience préalable dans une seule région comme la Kabylie, mais c’était perdu d’avance puisque leurs amendements furent rejetés. La loi fut donc promulguée le 23 mars 1882, un signe distinctif d’une volonté toujours assimilationniste. Derrière cet acte officiel de nomination, il y avait un véritable processus d’individualisation qui introduisait un nouvel ordre socioculturel dans lequel était mise en avant la « personnalité » avant la communauté5. Son objectif était clair ; individualiser les personnes pour pouvoir les dominer facilement et les responsabiliser dans le domaine des impôts et la circonscription militaire et autres devoirs d’assujettis. Dans l’esprit de certains administrateurs insistait Agéron: « la constitution de l’état civil [était] et [devrait] être une oeuvre de dépersonnalisation, l’intérêt de celle-ci étant de «préparer la fusion ». La non-observation du nom patronymique et les retards dans les déclarations d’état-civil a était ajouté par la loi du 27 juin 1888 comme infraction au terrible code de l’indigénat.
En 1886, son application se porta sur seize douars la plupart dans le périmètre ou s’est déroulé le grand soulèvement de 1871; à la fin de l’année 523.000 Indigènes seulement avaient été dotes d’un état-civil.
Dans les communes du territoire civil, on avait inscrit au total 3.069.268 dits « Indigènes », pourtant dans le dénombrement de 1896 bien que peu plausible on en recensait bien plus !
Cette mesure fut appliquée dans les dix années qui suivirent. Les Algériens avaient en principe le choix de leur patronyme, mais comme ils s’en désintéressaient, les commissaires de l’état civil chargés de ce travail se firent parfois remarquer sans souci d’aucune règle (qu’il n’est pas possible de citer dans cet espace restreint). Ces mêmes commissaires enquêteurs toujours hantés par les insurrections permanentes des Algériens avaient distribué à toute une population d’un certain Douar des patronymes distincts commençant tous par la lettre A et la lettre B pour le douar voisin et le C pour le troisième ainsi de suite… Sans doute la même méthode employée en groupes taxinomiques dans une expérience en laboratoire de sciences naturelles pour distinguer facilement les « individus » et non les « personnes ».
D’ailleurs les noms authentiques continuèrent à exister puisqu’ils restèrent inscrits au verso de la carte d’identité (Nekwa), en caractères arabes. Ce qui explique que beaucoup d’Algériens ont conservé jusqu’a nos jours le souvenir de leur véritable dénomination familiale, mais aussi presque toujours de leurs filiations, qui constituent les éléments de notre identité personnelle, notre « état civil » national. Ces déportés Algériens ont donc raté la transcription officielle de l’état civil promulgué en ce même mois de mars onze années après, appliquée officiellement, durant douze ans, de 1882 à 1894.S’ils étaient revenus dans leurs pays natal après une vingtaine d’années ils auraient été devenus des « sans papiers » dans leurs propre pays !
Nekwa et Résistance nationale.
Il est vrai que pour les Algériens des douars cette mesure était douteuse, d’abord pour eux ; cette pondération était comme une violation des secrets de famille, mais aussi une tentative d’enlèvement d’enfants musulmans dont on prenait les noms pour les déporter plus tard en Nouvelle Calédonie ou Cayenne. Les rumeurs propagées dans les Douras constitués par les Meddahs et autres Berrahs, avaient rendu l’administration coloniale impuissante et donnèrent lieu à de telles résistances qu’on n’insista pas. Plusieurs journaux en effet signalèrent en 1885 et 1886 que les Indigènes cachèrent avec soin leurs enfants males 6.
Devant la commission sénatoriale, 1′ex-administrateur Sabatier indiqua que, selon lui, « la constitution de 1′état-civil (était) et (devait) être une oeuvre de dénationalisation, 1′intérêt de celle-ci étant de « préparer la fusion ». Son idée était de franciser plus résolument encore les patronymes indigènes pour favoriser les mariages mixtes exactement ce qui c’est passé pour les déportés algériens en Nouvelle Calédonie tous mariés avec des Kanaks ou des colons blancs (Au fait y avait-il parmi les déportés algériens des Algériennes ?).
Jusqu’en 1936, la loi dans ce pays interdisait l’attribution de prénoms algériens aux enfants. Après cette année, les garçons ont retrouvé le prénom algérien que leurs avait donné leurs pères (François, Louis, Jean-pierre, Henri, Joseph sont devenus Missoum, Ahmed, Taieb, Miloud, Youcef… selon Malica Ouennoughi.
En effet, malgré la loi coloniale, les enfants ont grandi avec deux prénoms (un pour l’état civil et un pour la famille ).
L’affirmation identitaire se manifesta de façon très nette chez les Calédoniens d’origine algérienne à travers la persistance dans le choix pour les enfants de prénoms arabo-musulmans, pourtant très stigmatisés selon Melica OUENNOUGHI. De toute évidence, l’attachement des « Algériens » à leur(s) nom(s) et prénom(s) traduit une volonté de démarquage. C’est donc une résistance en situation de défense. L’attachement devient un symbole de fidélité à ceux qui sont restés au « pays » et, résister ainsi à la tentation de l’oubli des « siens ». Mais là une autre Histoire.
CONCLUSION
Je voudrais, pour conclure, insister sur l’écriture d’Histoire en Algérie qui est une force de proposition d’avenir devrait permettre, dans tous les domaines, l’émergence de solutions nationales globales et favoriser pour le mieux une meilleure utilisation des données qui bénéficiera nécessairement du soutien des travaux de laboratoires de recherche des Universités algériennes.
*Maître de Conférence – Université Djillali Liabes-SBA
Notes et Référence :
1-OUENNOUGHI (Melica): Les Déportés maghrébins en Nouvelle-Calédonie et la Culture du Palmier Dattier,
(1864 à nos jours), éd-l’harmattan, janvier 2006, (374 pages).
2- Merle (Isabelle) : « La Nouvelle-Calédonie, 1853-1920. Naissance d’une société coloniale »,
In Revue les Cahiers du Centre de Recherches Historiques, 11 | 1993.
Référence électronique [En ligne], mis en ligne le 05 mars 2009.
Adresse URL : http://ccrh.revues.org/index2762.html. Consulté le 06 mars 2009.
3 -OUENNOUGHI (M)in revue Insaniyat -CRASC (Oran-).N° 32-33 du 04/09/2007.
4- Ageron(Ch-R.), Les Algériens Musulmans et la France, 1871-1919, PUF, 1968 ;
P. Bourdieu et A. Sayad, Le déracinement, Éditions de Minuit, 1964.
5 -Lamri (Sophia): « Un état civil tronqué », In El-WATAN , 1er décembre 2004.
6- C.A.O.M-Aix en Provence, Série F 80 /1817-Etablissement des registres matrices par les commissaires spéciaux.
19 avril 2010
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