L’aloès est l’une des plantes médicinales les plus anciennes. Loin de se limiter à la cosmétique et au bienêtre, son emploi s’étend aussi du fait de ses propriétés antalgiques et curatives, aux soins de confort et au traitement de nombreuses affections. Il existe plus de 300 espèces d’aloès répertoriées dans le monde, cela va du petit aloès de rocaille sans tige (quelques centimètres) à l’aloès arborescent haut de plusieurs mètres. Mais toutes les espèces d’aloès ne sont pas médicinales. Les plantes d’aloès les plus connues et les plus utilisées en médecine sont l’aloé vera, l’aloès du cap (aloé africana ou capensis), l’aloé saponaria, l’aloé sinensis, l’aloé arboreschens, et l’aloé ferox aux piquants acérés.
Les bienfaits pour le corps humain Antiseptique
Possède au moins 6 composantes antiseptiques bactéricides, virucides, fongicides ou inhibitrices de croissance de champignons.
Stimule la croissance cellulaire
Stimulant, en fonction du dosage, la croissance et le développement cellulaire de tissu sain, notamment le tissu conjonctif, d’où son effet bénéfique pour les blessures. Calmant A un effet calmant sur le système nerveux permettant une meilleure concentration et un début de sommeil plus facile. Purifie L’aloe vera harmonise, normalise et désintoxique le tube digestif et les enzymes facilitent la digestion.
Calmant
A un effet calmant sur le système nerveux permettant une meilleure concentration et un début de sommeil plus facile.
Purifie
L’aloe vera harmonise, normalise et désintoxique le tube digestif et les enzymes facilitent la digestion.
Analgésique
Apaise les douleurs des muscles et des artculations. Effet synergique avec des anti-rhumatisants.
Anti-inflammatoire
Réprime des réactions d’inflammation faisant disparaître la rougeur, la sensation de chaleur comparable à celle des corticostéroïdes, mais sans leurs effets secondaires.
Anti-pruritique
Apaise la démangeaison, comparable aux antihistaminiques.
Anti-pyrétique
Fébrifuge, supprime la sensation de brûlant de blessures/plaies et piqûres d’insectes et celle qu’on éprouve après avoir touché des orties ou des méduses.
Source de cet article :
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2010/03/31/article.php?sid=97924&cid=7
1 avril 2010
Non classé