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Mon beau pays Sour El Ghozlane (VI)

19 mars 2010

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Mon beau pays
Sour El Ghozlane (VI)
Par M. A. Haddadou
Comme les Romains autrefois, les Français seront souvent attaqués par les tribus réfugiés dans les montagnes. En 1846, ils seront même obligés, pour protéger les colons qui s’y installaient, de construire autour de la ville une muraille de trois kilomètres de long et d’une hauteur variant de cinq à dix mètres, avec de nombreux bastions et des meurtrières. Peu avant l’insurrection de 1871,

Cheikh El-Mokrani séjourne dans la ville où il gagne les notables à la cause nationale.
Le 16 mars 1871, l’insurrection commence avec l’attaque de bordj bou-Arréridj par el-Mokrani, puis le 18 celle de Bordj de l’oued Okriss par Boumezrag. Sour al-Ghozlane entre en révolte le 22 : les autorités coloniales doivent dépêcher d’Alger plusieurs escadrons pour reprendre la ville.
Après plusieurs mois d’émeutes une répression terrible s’abat sur les insurgés qui seront massacrés ou déportés. En représailles, les tribus en guerre sont soumises à de fortes amendes, spoliées de leurs terres et refoulées vers les zones les plus déshéritées. Les terres lors du séquestre seront distribuées aux colons européens, venus s’installer par milliers dans la région.

M. A. H.

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À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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5 Réponses à “Mon beau pays Sour El Ghozlane (VI)”

  1. passé précieux Dit :

    Une date, un fait Edition du 14/4/2010

    Au coin de la cheminée
    Chacun et chaque chose à sa place (2e partie)

    Résumé de la 1re partie n Le cordonnier se rend au château pour y vendre ses marchandises. On le fait monter au salon d’honneur, mais seulement pour bien se moquer de lui…

    La petite gardeuse d’oies s’aperçut qu’elle avait pris racine ; elle s’en réjouit extrêmement car c’était son arbre, lui semblait-il.
    Mais si la branche poussait bien au château, en revanche tout allait de mal en pis à cause du jeu et des festins : ce sont là deux mauvais bateaux sur lesquels il ne vaut rien de s’embarquer. Dix ans ne s’étaient point écoulés que le seigneur dut quitter le château pour aller mendier avec un bâton et une besace. La propriété fut achetée par un riche cordonnier, celui justement que l’on avait raillé et bafoué et à qui on avait offert du vin dans un bas. La probité et l’activité sont de bons auxiliaires : du cordonnier, ils firent le maître du château. Mais à partir de ce moment, on n’y joua plus aux cartes.
    — C’est une mauvaise invention, disait le maître.
    Le nouveau maître se maria. Et avec qui ? – Avec la petite gardeuse d’oies qui était toujours demeurée gentille, humble et bonne. Dans ses nouveaux habits, elle paraissait aussi élégante que si elle était née de haute condition. Comment tout cela arriva-t-il ? Ah ! c’est un peu trop long à raconter, mais cela eut lieu et le plus important nous reste à dire.
    On menait une vie très agréable au vieux manoir : la mère s’occupait elle-même du ménage et le père prenait sur lui toutes les affaires du dehors. C’était une vraie bénédiction car là où il y a déjà du bien-être tout changement ne fait qu’en apporter un peu plus. Le vieux château fut nettoyé et repeint : on cura les fossés, on planta des arbres fruitiers… Tout prit une mine attrayante. Le plancher lui-même était brillant comme du cuivre poli. Pendant les longs soirs d’hiver, la maîtresse de la maison restait assise dans la grande salle avec toutes ses servantes, et elle filait de la laine et du lin.
    Chaque dimanche soir, on lisait tout haut le passage d’un livre. C’était le conseiller de justice qui lisait, et le conseiller n’était autre que le cordonnier colporteur, élu à cette dignité sur ses vieux jours. Les enfants grandissaient -car il leur était né des enfants-, et s’ils n’avaient pas tous des dispositions remarquables, comme cela arrive dans chaque famille, du moins tous avaient reçu une excellente éducation.
    Le saule, lui, était devenu un arbre magnifique qui grandissait libre et non taillé.
    — C’est notre arbre généalogique ! disaient les vieux maîtres ; il faut l’honorer et le vénérer, enfants.
    Et même les moins bien doués comprenaient un tel conseil.
    Cent années passèrent.
    C’était de nos jours. Le lac était devenu un marécage ; le vieux château était en ruines. On ne voyait là qu’un petit abreuvoir ovale et un coin des fondations à côté ; c’était ce qui restait des profonds fossés de jadis. Il y avait, là aussi, un vieil et bel arbre qui laissait tomber ses branches. C’était l’arbre généalogique. On sait combien un saule est superbe quand on le laisse croître à sa guise. Il était bien rongé au milieu du tronc, de la racine jusqu’au faîte ; les orages l’avaient bien un peu abîmé, mais il tenait toujours, et dans les fentes où le vent avait apporté de la terre, poussaient du gazon et des fleurs. (à suivre…)

    Conte d’Andersen

  2. passé précieux Dit :

    Une date, un fait Edition du 14/4/2010

    Histoires vraies
    Les chiens sauvages et l’enfant (5e partie et fin)

    Résumé de la 4e partie n Entre deux bouteilles de vodka, le géniteur parvient à réveiller dans sa mémoire le souvenir d’un enfant qui devait avoir tous les défauts…

    Vania emmène ses accompagnateurs jusqu’à un immeuble, lequel, pour des raisons inconnues, n’a jamais été terminé. Une porte en fer rouillée donne accès au sous-sol. Dans les couloirs obscurs et déserts de la cave, des restes de nourriture, des os à demi rongés dénoncent la présence récente de la meute qui a servi de famille à l’enfant. On fait une contre-enquête et l’on fini par découvrir le père de Vania. Entre deux bouteilles de vodka, le géniteur semble peu intéressé par le destin de son rejeton. D’une voix pâteuse, il parvient à réveiller dans sa mémoire le souvenir d’un enfant qui devait être coupable de tous les défauts : Comme sa putain de mère ! La garce a foutu le camp… Que le diable l’emporte ! Vania ? Ah oui ! il me semble bien que c’était Vania ! Petite vache. Je l’ai dressé à coups de ceinturon. Lui apprendre à vivre ! Respect à son père qui le nourrissait ! Aucune reconnaissance !
    Le père de Vania semble lui aussi ressortir d’un établissement hospitalier. L’asile psychiatrique en particulier. Mais tant qu’il n’a commis aucun crime ni aucun désordre important, tout ce qu’on peut lui administrer c’est une nuit en cellule de «dégrisement» au commissariat de police. Avec les soins attentifs que l’on suppose de la part de policiers mal payés, nerveux et surchargés de travail. Les nuits de «dégrisement» laissent en général des marques sur le corps et sur le visage…
    Le père de Vania, Sacha, avoue qu’il a un moment suivi de loin le destin de son fils, même dans les débuts de sa vie de «chien». Il ne s’est pas trop étonné de le voir traîner à quatre pattes. A l’époque, Vania avait encore sur le dos des vêtements plus ou moins déchirés. Lors de l’hiver terrible de 1996, Sacha ne s’est pas trop inquiété de la disparition de Vania du paysage urbain :
    — J’ai pensé que la police l’avait collé dans un orphelinat et que c’était un bon débarras ! Ou bien qu’une famille plus à l’aise que moi l’avait recueilli. Ou qu’il s’était réfugié auprès des popes. Ou bien qu’il avait été bouffé par les chiens. Ça arrive tous les jours !
    Moyennant une rasade de vodka, Sacha accepte de continuer le récit de ses problèmes de père :
    — Un jour, j’ai vu arriver la meute des chiens. Mais Vania n’était plus là. J’ai pensé qu’ils avaient dû le bouffer. J’en ai parlé à quelqu’un qui m’a traité de salaud et de père indigne et qui m’a menacé de me dénoncer à la police. II gueulait que j’avais peut-être tué Vania et que je l’avais découpé moi-même pour vendre la viande. Vous vous rendez compte ?
    Sacha se met à pleurer devant ce soupçon indigne. En fait, cette vie de spartiate a donné à Vania une résistance inhabituelle pour un enfant de son âge. Et des défenses immunitaires qui vont faire de lui un vrai costaud. Quant à sa forme physique, il possède des facultés de vitesse, de résistance qui ne peuvent qu’aller en s’améliorant avec un régime diététique approprié. Un des infirmiers qui a le sport chevillé au corps suggère
    — Il faudrait voir dans quel sport il est le plus performant. Qui sait, ce sera peut-être un des futurs représentants de la Russie aux jeux olympiques dans quinze ou vingt ans ?
    Pour l’instant, Vania, enfin un peu heureux, continue à grogner quand lors d’une promenade en ville, il croise un adulte. Quand il voit des chiens, il jappe et les chiens lui répondent. Que se disent-ils ? Mystère.

    Pierre Bellemare

  3. passé précieux Dit :

    Une date, un fait Edition du 13/4/2010

    Au coin de la cheminée
    Chacun et chaque chose à sa place (1re partie)

    C’était il y a plus de cent ans !
    Il y avait derrière la forêt, près du grand lac, un vieux manoir entouré d’un fossé profond où croissaient des joncs et des roseaux. Tout près du pont qui conduisait à la porte cochère, il y avait un vieux saule qui penchait ses branches au-dessus du fossé.
    Dans le ravin retentirent soudain le son du cor et le galop des chevaux. La petite gardeuse d’oies se dépêcha de ranger ses oies et de laisser le pont libre à la chasse qui arrivait à toute bride. Ils allaient si vite que la fillette dut rapidement sauter sur une des bornes du pont pour ne pas être renversée. C’était encore une enfant délicate et mince mais avec une douce expression de visage et deux yeux clairs ravissants. Le seigneur ne vit pas cela ; dans sa course rapide, il faisait tournoyer la cravache qu’il tenait à la main. Il se donna le brutal plaisir de lui en donner en pleine poitrine un coup qui la renversa.
    - Chacun à sa place ! cria-t-il.
    Puis, il rit de son action comme d’une chose fort amusante, et les autres rirent également. Toute la société menait un grand vacarme, les chiens aboyaient et l’on entendait des bribes d’une vieille chanson :
    De beaux oiseaux viennent avec le vent ! La pauvre gardeuse d’oies versa des larmes en tombant ; elle saisit de la main une des branches pendantes du saule et se tint ainsi suspendue au-dessus du fossé.
    Quand la chasse fut passée, elle travailla à sortir de là, mais la branche se rompit et la gardeuse d’oies allait tomber à la renverse dans les roseaux, quand une main robuste la saisit. C’était un cordonnier ambulant qui l’avait aperçue de loin et s’était empressé de venir à son secours.
    — Chacun à sa place ! dit-il ironiquement, après le seigneur, en la déposant sur le chemin.
    Il remit alors la branche cassée à sa place. «A sa place», c’est trop dire. Plus exactement il la planta dans la terre meuble.
    — Pousse si tu peux, lui dit-il, et fournis-leur une bonne flûte aux gens de là haut ! Puis il entra dans le château, mais non dans la grande salle, car il était trop peu de chose pour cela. Il se mêla aux gens de service qui regardèrent ses marchandises et en achetèrent.
    A l’étage au-dessus, à la table d’honneur, on entendait un vacarme qui devait être du chant, mais les convives ne pouvaient faire mieux. C’étaient des cris et des aboiements ; on faisait ripaille. Les chiens de chasse étaient aussi dans la salle. Un jeune homme les embrassa l’un après l’autre, après avoir essuyé la bave de leurs lèvres avec leurs longues oreilles. On fit monter le cordonnier avec ses marchandises, mais seulement pour s’amuser un peu de lui. L’alcool avait tourné les têtes. On offrit au malheureux de boire dans un bas.
    — Presse-toi ! lui cria-t-on.
    C’était si drôle qu’on éclata de rire ! Puis ce fut le tour des cartes ; troupeaux entiers, fermes, terres étaient mis en jeu.
    — Chacun à sa place ! s’écria le cordonnier, quand il fut sorti de là. Le grand chemin, voilà ma vraie place. Là-haut je n’étais pas dans mon assiette. Et la petite gardeuse d’oies lui faisait, du sentier, un signe d’approbation. Des jours passèrent et des semaines. La branche cassée que le cordonnier avait plantée sur le bord du fossé était fraîche et verte, et à son tour produisait de nouvelles pousses. (à suivre…)

    Conte d’Andersen

  4. passé précieux Dit :

    Une date, un fait Edition du 12/4/2010

    Histoires vraies
    Les chiens sauvages et l’enfant (3e partie)

    Résumé de la 2e partie n La porte se referme sur la meute et l’on découvre que la chose n’est autre qu’un enfant avec, dans le regard, une terreur animale qui n’a rien d’humain…

    L’enfant se retrouve à l’orphelinat du village. Il a beau se débattre, on coupe ses longs cheveux. On l’entrave pour couper les griffes qui ont, à ses mains et à ses pieds, remplacé les ongles.
    On le nourrit. Au début, il flaire avec dégoût la bouillie d’orge chaude et seuls les morceaux de viande semblent l’intéresser.
    La foule se presse pour le voir quand il est en promenade dans le jardin de l’orphelinat. Il est solidement entravé car, les premiers jours, il a tenté de sauter par-dessus les grilles de fer qui datent de la Russie tsariste. Or, les chiens, même sauvages, ne lui ont pas appris à franchir de telles hauteurs. Alors, il retombe lourdement au sol sans avoir pu franchir les pointes dorées qui le coupent du monde, de son monde sauvage et forestier.
    Au bout de quelques semaines, l’enfant commence à parler. Bien qu’on estime qu’il ait 8 ans, son langage ne dépasse pas le vocabulaire d’un enfant de 4 ans. Normal ! Quand un mot lui manque, il compense bizarrement avec un aboiement que personne ne comprend.
    Cependant, il fait des progrès rapides et petit à petit il parvient à communiquer et à raconter son histoire qu’une psychologue note soigneusement. On voudrait bien savoir comment il se nomme, ou au moins son prénom. Divers essais se révèlent infructueux… jusqu’au jour où il entend qu’on appelle quelqu’un dans un couloir tout proche :
    — Vania !
    L’«enfant chien», puisqu’on le nomme ainsi faute de mieux, réagit brusquement
    — Oui ! Vania ! Vania ! Moi, Vania !
    C’est un premier soulagement : l’enfant chien se prénomme Vania. On va pouvoir peut-être commencer une enquête.
    Il faudra des mois pour en savoir plus. Au bout d’un an, on a reconstitué l’histoire de Vania. Celui d’un petit garçon de 6 ans qui vivait seul avec son père depuis que sa mère était morte dans un accident de la circulation : la malheureuse avait été renversée par un chauffard ivre mort qui avait d’ailleurs pris la fuite en zigzaguant à bord de son véhicule sans que personne ait pu noter son numéro d’immatriculation. Une grosse femme est alors venue s’installer chez son père, un boucher alcoolique.
    — Nous avons découvert que son père était boucher simplement au cours de promenades en ville. Dès qu’il voyait un boucher dans son costume professionnel Vania était pris de panique ! La physionomie des bouchers ne comptait pas. Pas plus que leur attitude. Seuls le costume, la coiffure et les instruments le terrifiaient.
    La grosse dame a fini par quitter le père boucher. On a compris qu’elle était à la fois grosse et maternelle parce que Vania allait d’instinct vers les femmes à forte corpulence. L’alcoolisme du père est devenu évident car Vania ne supportait que quelqu’un, même animé des meilleures intentions du monde, s’approche de lui dès que son haleine sentait un peu la vodka.
    De détails significatifs, d’élans en refus, de terreurs inexplicables en replis sur lui-même, à l’aide de son petit vocabulaire d’enfant sans éducation ni amour, on finit par comprendre les détails de son drame : le père, alcoolique, ne trouve souvent aucun autre moyen de communiquer avec Vania que par des coups de ceinturon appliqués sur son dos maigre. L’état de malnutrition où se trouve Vania indique que les privations n’ont pas commencé quand il a vécu avec les chiens. Ses carences datent de la prime enfance. Pour Vania la nourriture comportait très peu de calories et de protéines. Et les calories étaient sans doute constituées essentiellement par de l’alcool de grain ou de pomme de terre. (à suivre…)

    Pierre Bellemare

  5. SALEM Daoud Dit :

    En 1871 le caravansérail de oued Okriss(actuel Bordj Okhriss)
    chef lieu de daira faisait partie du cercle d aumale actuel Sour El Ghozlane étais attaque en trois reprises par BOUMEZRAG
    celui-ci ses troupes stationnées au sommet du djebel mogrenine actuel MEGHNINE a l endroit dite theniet ou lad daoud.
    les moudjahidines de boumezrag constitues des tribus suivants:
    1- OULED SALEM connus sous le nom de KSENA et MEGHNINE-BORDJ OKRISS
    2- OULES M SELEM actuel taguedite -DAIRA DE BORDJ OKHRISS
    3- Beni Intacen actuel Mezdour -DAIRA DE BORDJ OKHRISS
    4- Ouled abdallah actuel HADJRA ZERGA-DAIRA DE BORDJ OKHRISS
    5- AHL EL KSAR COMMUNE DE BECHLOUL
    6- BENI ILMAN OUANOUGHA
    7- BENI EDOU SOUR EL GHOZLANE
    8- BENI AMAR EL HACHIMIA.
    soit environ 4000 combattant ont procédez a de nombreuses batailles dans la région de bordj okriss citons les principales : bataille de sroudj( teniet boubasla) a taguedite et oued bouasaker même lieu.
    bataille de oued m hada a bordj okhriss
    l attaque du caravansérail de oued okriss
    la bataille de djebel meghnine (teniet oulad daoud) menee par le général CEREZ venant sa caserne de zouave spahis,tirailleurs algeriens et d autre armes de canon et d armes de guerres cette bataille a dure pendant 3 jours et
    plusieurs soldats français ont etes tues.
    Par contre la ville de sour le ghozlane ex Aumale ex Auzia
    n étais qu une ville militaire jadis occupes par les Romain et ensuite par le Français. tout de même toute les endroits ctees dependaient de la dite ville.
    On ne sait pas pourquoi ces endroits sont oublies de l histoire étant donne de le GENERAL CEREZ lui même reconnais
    ces BATAILLES GLORIEUSES DE BORDJ OKHRISS.
    et plusieurs d entre-eux ont étés expropries de leurs biens
    et déportes vers la nouvelle Calédonie et Cayenne.( justice française au lieu de les juger en tant que prisonniers de guerre les a juges en tant que BAGNARDS)

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