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Traversée de mots

17 mars 2010

Non classé

[Bouillon de culture] Commentaire sur : « Poésie tout court « 

Mercredi 17 mars 2010 17h26

Auteur     : a.nacéra johannstraussi2.jpg

E-mail     : a.nou@hotmail.frcliqueici26.gif

Traversée de mots

Chaque année dix mots nous sont proposés

Avec pareilles idées ou opposées
Chacun de nous a sa façon de rédiger
Moi, je vous offre un sujet non chargé


Avec mes mots écrits en doux vers
Je vous invite à voyager dans l’univers
A travers ères passé et présent

Où l’homme a su dévoiler ses talents
Mon poème ressemble à un engin miraculeux
Machine qui explore le temps mystérieux
Nous allons zapper des événements tragiques
Pas grave si nous loupons d’autres fantastiques
Cheval de Troie symbole de gloire d’Ulysse
Roi de l’olympe connu pour ses malices
Dans le temps, les rois chargeaient un mentor
chevaldetroie.jpeg
Qui s’occupait de leur royaume, enfants et trésorcliqueici26.gif
Quelques villes du monde voguaient pour l’inconnu
Grand besoin d’un remue -méninge et atteindre l’absolu
Technologie domaine réservé aux variantes

Certainesvictorhugo.jpeg découvertes sont bien plaisantes
En mus
cliqueici24.gifique, Strauss Yohann charmait avec ses concertos
Vienne  qui valsait sous le rythme de ses crescendo

Alors qu’en France les Misérables vivaient en colère
Hugo nous décrit Jean  valjean dans sa galère
En Amérique les esclaves par les blancs escagassés
Malgré
leur endurance n’ont pas oublié racines et passé
Graham Bell invente un appareil utilegrahambell.jpeg
Qui de nos jours a pour renommée mobile
Que cette traversée de mots baladeurs

Vous comble et vous apporte paix et bonheurcliqueici26.gif

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À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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6 Réponses à “Traversée de mots”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Johann Strauss I (connu également comme Johann Strauss Père) est un compositeur autrichien né à Vienne le 14 mars 1804 et mort en cette ville le 25 septembre 1849. Il est universellement connu pour ses valses, qu’il contribue à populariser avec Joseph Lanner, établissant ainsi les bases qui permettront à ses fils de poursuire la dynastie musicale. Sa plus fameuse valse est probablement le Lorelei Rhein Klänge. Son œuvre la plus célèbre est cependant la Marche de Radetzky (nommée en référence à Joseph Radetzky), jouée imperturbablement chaque année par l’orchestre philharmonique de Vienne lors du traditionnel Concert du Nouvel An.
    Vie et travail [modifier]

    Johann Strauss I est le père de Johann Strauss II, Josef Strauss et Eduard Strauss. Il a également deux filles : Anna, née en 1829 et Therese née en 1831. Son troisième fils, Ferdinand, né en 1834, ne vécut que 10 mois.

    Les parents de Strauss étaient aubergistes. Le malheur s’abat sur sa famille lorsque, âgé de sept ans, il voit sa mère mourir d’une mauvaise fièvre. Alors qu’il est âgé de 12 ans, son père Franz Borgias (qui s’était remarié depuis) est retrouvé noyé dans le Danube. Sa belle-mère cherche à le placer comme apprenti chez le relieur Johann Lichtscheidl, mais il peut prendre des leçons de violon et de viole tout en complétant son apprentissage. Contrairement a ce qui a parfois été affirmé, il a terminé sa formation de relieur en 1822. Il étudie également la musique avec Johann Polischansky durant son apprentissage. Il obtient une place dans l’orchestre local de Michael Pamer qu’il quitte par la suite afin de rejoindre un quatuor à cordes populaire connu sous le nom de Quatuor Lanner formé par un potentiel rival Joseph Lanner et les frères Drahanek, Karl et Johann. Ce quatuor à cordes, qui jouait des valses viennoises et des danses rustiques allemandes, se transforme en un petit orchestre à cordes en 1824.

    Il devient par la suite le chef de l’orchestre dans lequel il jouait. Grâce au succès populaire qu’il obtient lors du carnaval de 1824, Strauss est bientôt placé aux commandes d’un second orchestre, plus petit, formé en raison du succès du premier. S’inspirant du succès de Lanner, et réalisant qu’il pouvait ainsi mettre fin a ses problèmes financiers, il décide en 1825 de former son propre ensemble et commence à écrire de la musique pour celui-ci. Ce faisant, il se place en rival de Lanner mais sans conséquences sérieuses, la compétition en musique étant alors très productive pour le développement de la valse et autres danses à Vienne. Il devient bientôt l’un des compositeurs de danses les plus célèbres et les plus appréciés à Vienne et part en tournée avec son ensemble en Allemagne, aux Pays-Bas, Belgique, Angleterre, et Écosse.

    Lors d’un voyage en France en 1837 il entend un quadrille et commence à en composer lui-même. Il lui revient d’avoir introduit cette danse en Autriche lors du carnaval de 1840 à partir duquel elle devient célèbre. Ce fut particulièrement ce voyage qui créa la popularité de Strauss auprès de différents milieux sociaux, popularité qui lui permit de mener à bien son projet ambitieux de jouer sa musique en Angleterre à l’occasion du couronnement de la reine Victoria en 1838.

    Il se marie avec Maria Anna Streim en 1825 dans l’église de la paroisse de Liechtenthal à Vienne. Son mariage est relativement instable en raison de ses absences prolongées loin de sa famille lors des fréquentes tournées à l’étranger. En 1834, il prend une maîtresse, Émilie Trambusch, de laquelle il aura huit enfants. La décision de son père d’interdire formellement à ses enfants de prendre des cours de musique a probablement marqué les premières compositions de Johann Strauss II. Avec la déclaration de paternité de Johann père d’une fille qu’il a eue avec Émilie, Maria Anna demande le divorce en 1844 et permet à Johann fils de poursuivre activement une carrière musicale.

    En dépit de ses problèmes familiaux, il effectue de nombreuses tournées dans les îles britanniques et est toujours prêt à écrire de nouvelles pièces pour de nombreuses organisations de charité. Ses valses sont inspirées des danses rurales en trois temps avec une courte introduction sans véritable rapport avec la structure précédente puis généralement avec une coda courte et une fin agitato. Son fils Johann Strauss II en développant la structure de la valse utilisa plus d’instruments que son père. Bien que ne possédant pas un talent musical aussi riche que celui de son fils ainé, il fut parmi les premiers compositeurs avec Joseph Lanner à écrire des pièces avec des titres individuels. En rendant ainsi ces dernières immédiatement reconnaissables, il encourageait l’enthousiasme musical et aidait à la diffusion des partitions. Pendant ses représentations à la salle de bal Sperl à Vienne où il se fit un nom, il défendit activement le principe de collecter une somme fixe comme droit d’entrée.

    Johann Strauss II a souvent joué les œuvres de son père et déclaré ouvertement son admiration. Leur rivalité n’était cependant pas un secret à Vienne, propos qu’alimentait la presse d’alors. Johann Strauss I refusa de jouer au Casino Dommayer qui avait vu les débuts de son fils, gênant ainsi sa carrière. Malgré tout, Strauss II relégua son père à la seconde place en termes de popularité du repertoire classique.

    Strauss meurt à Vienne en 1849. Il fut d’abord enterré au cimetière Döbling aux côtés de son ami Lanner avant qu’en 1904, leurs restes soient transférés dans les tombes d’honneur du Zentralfriedhof. L’ancien cimetière Döbling est maintenant le parc Strauss-Lanner. Berlioz lui-même dit du Père de la valse viennoise que Vienne sans Strauss c’est comme l’Autriche sans le Danube.
    Œuvres de Johann Strauss I

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    يوهان شتراوس الأب
    من ويكيبيديا، الموسوعة الحرة
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    يوهان شتراوس الأب

    يوهان بابتيست شتراوس 14 مارس 1804 في فيينا – 25 سبتمبر 1849 في فيينا. كان ملحناً نمساوياً ووالد يوهان شتراوس الابن .
    حياته

    ولد شتراوس في فيينا. بعد أن درس الكمان والإيقاع لفترة التحق بفرقة ميشيل بامير الموسيقية الشعبية وعمره 15 سنة. ثم أنشأ فرقته الموسيقية الخاصة عام 1825 للعزف في حانات وفنادق فيينا. أصبح معروفًا بموسيقاه لرقصات الفالس. ومع اتساع شهرته ازداد حجم فرقته، وعزفت في كثير من المدن النمساوية. ثم قامت فرقة شتراوس الموسيقية فيما بعد بتقديم عروضها في كل أرجاء أوروبا وحظيت بالمزيد من النجاح حيثما حلت.
    أعماله الموسيقية

    تضم مؤلفات شتراوس الموسيقية كل الأنواع المحببة من موسيقى الرقص في النمسا خلال أوائل القرن التاسع عشر. ألف حوالي 250 قطعة موسيقية، منها 150 قطعة من موسيقى رقصات الفالس. تجسد موسيقى شتراوس لرقصات الفالس.

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  3. Artisans de l'ombre Dit :

    Alexander Graham Bell (3 mars 1847 à Édimbourg en Écosse – 2 août 1922 à Baddeck au Canada) est un scientifique, ingénieur inventeur britannique d’origine écossaise naturalisé canadien en 1882 qui est surtout connu pour l’invention du téléphone, dont la paternité fait cependant l’objet de vives controverses. Il a été lauréat de la Médaille Hughes en 1913

    La mère et la femme d’Alexandre Bell étaient sourdes, ce qui a sans nul doute encouragé Bell à consacrer sa vie à apprendre à parler aux sourds[1]. Il était professeur de diction à l’université de Boston et un spécialiste de l’élocution, on dirait aujourd’hui phonologue ou phoniatre. Le père, le grand-père et le frère de Bell se sont joints à son travail sur l’élocution et la parole. Ses recherches sur l’audition et la paroles l’ont conduit à construire des appareils auditifs, dont le couronnement aurait été le premier brevet pour un téléphone en 1876[2]. Bell considéra par la suite son invention la plus connue comme une intrusion dans son travail de scientifique et refusa d’avoir un téléphone dans son laboratoire[3].

    D’autres inventions marquèrent la vie de Bell : les travaux exploratoires en télécommunications optiques, l’hydroptère en aéronautique. En 1888, Alexandre Graham Bell devint l’un des membres fondateurs de la National Geographic Society.
    Premières Années

    Alexandre Bell est né à Édimbourg, Écosse le 3 mars 1847[4]. La résidence familiale se trouve au 16, South Charlotte Street, Édimbourg et une plaque commémorative y est apposée. Alexandre avait deux frères : Melvin James Bell (1845-1870) et Edward Charles Bell (1848-1867), tous deux morts de la tuberculose[5]. Son père Alexander Melville Bell était professeur, et sa mère était Eliza Grace (née à Symonds)[6]. Alexandre, alors âgé de 10 ans, réclama à son père de pouvoir porter un deuxième prénom, comme ses frères[7]. Son père accepta et lui permit, à l’occasion de son 11ème anniversaire, le deuxième prénom « Graham ». Il choisit ce prénom en raison de son admiration pour Alexandre Graham, un interne Canadien soigné par son père, qui devint un ami de la famille[8].
    Première invention

    Dès son plus jeune âge, Alexandre Graham Bell disposait d’une grande curiosité pour le monde qui l’entourait, il fit ainsi collection d’espèces botaniques et réalisa déjà ses premières expériences. Son meilleur ami était Ben Herdman, un voisin, dont la famille travaillait dans un moulin. Alexandre et Ben allaient souvent au moulin. Le jeune Alexandre demanda ce qui devait être amélioré au moulin. On lui expliqua que le blé devait être décortiqué à l’aide d’un procédé complexe et laborieux. Alexandre, à l’âge de 12 ans, construisit un appareil qui combinait des palettes tournantes et un ensemble de brosses à ongles, inventant ainsi une simple machine pour le décorticage du grain. Cette machine fut utilisée avec succès, et ce pendant plusieurs années[9]. En retour, John Herdman donna aux deux garçons un petit atelier où « inventer »[9].
    Prise de conscience

    Bell montra également très jeune un vif intérêt, et un talent, pour l’art, la poésie et la musique, intérêts encouragés par sa mère. Il apprit le piano sans professeur ni manuel, et devint le pianiste familial[10]. Malgré le fait qu’il était d’un naturel calme et introspectif, il faisait couramment des « blagues vocales » et de la ventriloquie pour divertir la famille[10]. Bell fut très affecté par la surdité graduelle de sa mère (elle commença à perdre l’audition quand Bell avait 12 ans) et apprit un petit manuel de langage des signes. Ainsi, il pouvait s’asseoir à côté d’elle et converser silencieusement dans le salon familial[11]. Il développa également une technique de parler par des sons clairs et modulés directement sur le front de sa mère, ce qui lui permettait d’entendre son fils relativement clairement[12]. La préoccupation de Bell au sujet de la surdité de sa mère, le conduisit à étudier l’acoustique.

    Sa famille était depuis longtemps associée à l’enseignement de l’élocution : son grand-père, Alexandre Bell, à Londres, son oncle à Dublin et son père à Edinbourg étaient professeurs de diction. Son père a publié énormément à ce sujet, et nombre de ces travaux sont encore bien connu actuellement, surtout son « The Standard Elocutionist », apparu dans 168 éditions britanniques et vendu à plus de 250 000 exemplaires aux États-Unis seulement. Dans ce traité, son père explique les méthodes qu’il a développé pour apprendre les sourds-muets (appellation de l’époque)à articuler les mots et lire sur les lèvres des autres afin de comprendre les messages qui leur étaient adressés. Le père d’Alexandre lui avait expliqué ainsi qu’à ses frères de ne pas seulement écrire mais aussi identifier chaque symbole et le son l’accompagnant[13]. Alexandre devint si doué qu’il fût l’assistant de son père lors de démonstrations publics où il étonna l’assistance par ses facultés à déchiffrer les symboles du Latin, du Gaëlique et du Sanskrit[13].
    Éducation
    Comme ses frères, Bell reçut très jeune des cours à la maison par son père. Il fut également enrôlé très tôt à la Royal High School, Édimbourg, Écosse, qu’il quitta à l’âge de 15 ans, finissant seulement les 4 premières années[14]. Il ne fut pas un brillant élève, sa scolarité ayant plus été marquée par l’absentéisme et des résultats ternes. Son principal intérêt restait dans les sciences, et plus particulièrement en biologie, alors qu’il traitait des autres sujets d’école avec indifférence, à la plus grande consternation de son père[15]. Après avoir quitté l’école, Bell déménagea à Londres pour vivre avec son grand-père, Alexandre Bell. Il prit goût à l’enseignement durant les années qu’il passa avec son grand-père, grâce aux longues et sérieuses discussions mais aussi de nombreuses heures d’études. Son grand-père fit de gros efforts pour que son petit-fils parle clairement et avec conviction, qualités nécessaires pour qu’il puisse être un bon enseignant[16]. À l’âge de 16 ans, Bell fut nommé étudiant-professeur de diction et de musique à la Weston House Academy (Elgin, Moray, Écosse). Il était lui-même étudiant en latin-grec, mais donnait cours pour 10 $ la session[17]. L’année suivante, il rejoignit son frère Melville à l’université d’Edimbourg.

    Première expérience avec le son

    Le père de Bell encouragea l’intérêt de son fils pour la parole et, en 1863, l’emmena voir un automate développé par Sir Charles Wheatstone. Cet automate était basé sur les précédents travaux de Baron Wolfgang von Kempelen[18]. « L’homme mécanique », très rudimentaire, simulait une voix humaine. Alexandre fut fasciné par cette machine. Il obtint une copie de l’ouvrage de von Kempelen (en allemand) et la traduit péniblement. Il construisit alors avec son frère Melville leur propre automate (une tête). Leur père, très intéressé dans ce projet, leur paya toutes les fournitures et pour les encourager, leur promit un « prix » si ils réussissaient ce projet[18]. Alors que son frère construisait la gorge et le larynx, Alexandre surmonta la difficile tâche de recréer un crâne réaliste. Ces efforts furent récompensés car il créa une tête aussi vraie que nature, capable de prononcer seulement quelques mots[18]. Les garçons ajustèrent précautionneusement les « lèvres » et quand un soufflet d’air forcé passa à travers la trachée, un très reconnaissable « maman » se fit entendre, au plus grand plaisir des voisins qui vinrent voir l’invention du fils Bell[19].

    Intrigué par les résultats de cet automate, Bell continua ses expériences sur un sujet vivant, le Skye Terrier de la famille « Trouve »[20]. Après qu’il lui appris à faire des grognements continus, Alexandre manipula les lèvres et les cordes vocales de son chien pour produire un son brut « Ow ah oo ga ma ma ». Avec un peu de volonté, les visiteurs pouvaient croire que le chien articulait « How are you grandma? » (« Comment allez-vous grand-mère ? »). Bell était assez joueur et ses expériences ont convaincu plus d’un visiteur d’avoir à faire à un chien parlant.[21]. Quoiqu’il en soi, ces premières expériences avec les sons encouragèrent Bell à entreprendre ses premiers travaux sérieux sur le son en utilisant une fourchette modifiée pour étudier la résonance. À l’âge de 19 ans, il écrivit un rapport sur son travail et l’envoya au philologue Alexander Ellis, un collègue de son père qui sera plus tard décrit comme le professeur Henry Higgins dans Pygmalion »[21]. Ellis lui répondit immédiatement lui expliquant que ses travaux étaient similaires à ceux existant en Allemagne. Consterné d’apprendre que le travail exploratoire avait déjà été entrepris par Hermann von Helmholtz qui avait transporté des voyelles avec une fourchette modifiée semblable à la sienne, il étudia de manière approfondie le livre du scientifique allemand (Sensations of Tone). Travaillant sur sa propre mauvaise traduction de l’édition originale allemande, Alexandre fit fortuitement la déduction qui fut la ligne directrice de tous ses futurs travaux sur la transmission du son, reportant : « Sans en connaître beaucoup sur le sujet, il me semblait que si les voyelles pouvaient être produites par de l’électricité, les consonnes pourraient également l’être, et ainsi il serait possible de reproduire la parole », et il remarqua aussi plus tard : « Je pensais qu’Helmholtz l’avait fait … et que mon échec était seulement dû à ma méconnaissance de l’électricité. Ce fut une erreur constructive … Si j’avais été capable de lire l’allemand en ce temps-là, je n’aurais sans doute jamais commencé mes expériences »[22],[23].
    Carrière

    Bell a consacré sa vie à apprendre à parler aux sourds, encouragé par le fait que sa mère et sa femme étaient sourdes. Il était professeur de diction à l’université de Boston et un spécialiste de l’élocution, on dirait aujourd’hui phonologue ou phoniatre.

    Il épouse Mabel Gardiner Hubbard (1857-1923), la fille de son mécène Gardiner Greene Hubbard (premier président de la National Geographic Society), sourde à la suite d’une scarlatine, et élève de Graham Bell. Le couple aura quatre enfants.

    Inventeur chevronné, il est surtout connu pour être le père du téléphone, bien que cette paternité soit controversée (cf plus bas).

    En 1876, à l’exposition du centenaire de l’indépendance des États-Unis à Philadelphie, Bell rencontre Dom Pedro II, empereur du Brésil. Ce dernier s’intéresse au téléphone de Bell et demande une démonstration. Bell lui récite le fameux monologue d’Hamlet de Shakespeare « To be or not to be ». Il fonde la Bell telephone company.
    Autres activités

    Alexander Graham Bell est initialement attiré par la musique. Il s’en détourne cependant au profit d’études sur la phonétique, suivant les traces de son père et probablement touché par les problèmes de surdité dont souffrait sa mère. Après des études à l’université d’ Oxford (Angleterre), il s’établit au Canada en 1870, puis aux États-Unis d’Amérique un an plus tard. Il fonde en 1872 une école pour les malentendants et débute ses travaux qui aboutiront au téléphone. Convaincu de pouvoir transformer les ondes sonores en impulsions électriques dès 1874, son rêve se réalise en 1876. L’invention connaît rapidement un succès retentissant qui aboutit en 1877 à la création de la compagnie téléphonique Bell. La fortune aidant, Bell se tourne alors vers d’autres champs d’expérimentations, jetant les bases du gramophone, s’intéressant à l’aviation, et aux transports nautiques. Il crée également la « National Geographic Society », dont il est président de 1897 à 1903.

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    Dans la mythologie grecque, l’épisode du cheval de Troie est l’un des plus fameux de la guerre de Troie. Un mythe [modifier]
    Cheval utilisé dans le film Troie (2004)
    Les sources du mythe [modifier]

    Cet épisode est relaté brièvement par Homère dans l’Odyssée et pour la première fois[1]. Tout d’abord, au chant IV (251-290)

    « (…) Dans le cheval de bois, je nous revois assis, nous tous, les chefs d’Argos. Mais, alors tu survins, Hélène ! en cet endroit, quelque dieu t’amenait pour fournir aux Troyens une chance de gloire; sur tes pas, Déiphobe allait, beau comme un dieu, et, par trois fois, tu fis le tour de la machine; tu tapais sur le creux, appelant nom par nom les chefs des Danaens, imitant pour chacun la voix de son épouse. »[2]

    Puis Ulysse, hôte anonyme d’Alcinoos, demande à l’aède Démodocos de chanter (VIII, 492-495)

    « (…) l’histoire du cheval
    qu’Épéios, assisté d’Athéna, construisit,
    et traquenard qu’Ulysse conduisit à l’acropole
    surchargé de soldats qui allaient piller Troie. » [3]

    Wikisource-logo.svg

    Voir sur Wikisource : L’Énéide, livre II.

    Homère résume ensuite sur une vingtaine de vers le récit de Démodocos. Virgile, qui a contribué à la popularité de l’épisode, en a fait l’objet de tout le Livre II de L’Énéide: le fameux récit d’Énée à Didon, reine de Carthage.
    La nature du mythe [modifier]

    Après avoir vainement assiégé Troie pendant dix ans, les Grecs ont l’idée d’une ruse pour prendre la ville : Épéios construit un cheval géant en bois creux, dans lequel se cache un groupe de soldats menés par Ulysse. Un espion grec, Sinon, réussit à convaincre les Troyens d’accepter l’offrande, malgré les avertissements de Laocoon et de Cassandre. Le cheval est tiré dans l’enceinte de la cité qui fait alors une grande fête. Lorsque les habitants sont pris par la torpeur de l’alcool, la nuit, les Grecs sortent du cheval et ouvrent alors les portes, permettant au reste de l’armée d’entrer et de piller la ville. Tous les hommes sont tués, les femmes et les filles sont emmenées comme esclaves. Les enfants mâles sont tués eux aussi pour éviter une éventuelle vengeance.

    * La consécration de la métis :

    Dans l’épisode du cheval de Troie, Ulysse, personnage devenu célèbre pour sa métis (« intelligence rusée »), rend un conseil très apprécié dans la guerre de Troie à laquelle il participe. Ici il s’agit en fait d’une ruse. Elle se distingue de la triche mais aussi du délit (ou du crime) en cela que la ruse est autorisée par la loi ou les règles de l’usage, du jeu, de l’art, de la société, ou des accords internationaux. En l’espèce de l’art de la guerre chez les grecs, il s’agit plus particulièrement d’une ruse de guerre.
    Interprétation : cheval ou navire ? [modifier]

    Certains auteurs ont suggéré que le cadeau n’était pas un cheval cachant des guerriers dans ses flancs, mais un bateau[4] porteur d’une ambassade de paix, offre que les Troyens trop peu méfiants ou trop heureux de faire la paix auraient imprudemment acceptée. Après la fête, les Troyens découvrent la sinistre réalité…

    À l’appui de cette interprétation, on remarquera que :

    * la civilisation marine grecque assimile le cheval et le bateau. Ainsi, le cheval est-il l’animal de Poséidon et Homère décrit les navires comme les chevaux de la mer [5];
    * c’est Ulysse, l’expert en paroles et ruses, un des hommes souvent envoyés en ambassade, qui mène la danse;
    * le sacrifice d’une construction de bois par simple abandon sur une plage est une procédure assez originale pour un rite censé apporter la protection de Poséidon. L’équivalent n’apparaît nulle part dans la mythologie ;
    * les termes utilisés pour placer les hommes dans le cheval sont ceux utilisés lorsque l’on décrit l’embarquement des hommes sur un navire[6].

    Postérité [modifier]

    * De cet épisode légendaire, on a créé l’expression « Cheval de Troie » pour parler d’un don qui s’avère être une malédiction ou des mécanismes sous-adjacents. On a aussi conservé la phrase « Timeo Danaos et dona ferentes (« Je crains les Grecs, même quand ils apportent des cadeaux ») », c’est-à-dire « attention aux Grecs porteurs de cadeaux », mis dans la bouche de Laocoon dans L’Énéide (livre II v.49) Lire en ligne.
    * Dave Berg (Mad magazine) critiquait l’expression : « Méfiez-vous des Grecs qui apportent des cadeaux », rappelant qu’il s’agissait ici, au contraire, de cadeaux qui apportaient des Grecs
    * Un petit musée a été construit en 1955 sur le territoire de l’ancienne ville de Troie, près des Dardanelles (de nos jours en Turquie). Il présente les restes de la ville, ainsi qu’un cheval de bois construit pour symboliser celui de la légende.
    * En informatique, un cheval de Troie désigne un type de programme malveillant.

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  5. Artisans de l'ombre Dit :

    Maidon de Victor Hugo, Paris
    Victor Hugo jeune,,
    dessin d’Adèle Foucher,
    la future Madame Hugo.
    Victor Hugo est né à Besançon le 26 février 1802. Fils d’un général de Napoléon, il suivit d’abord son père dans le hasard des expéditions et des campagnes, en Italie, en Espagne, où il fut page du roi Joseph et élève au séminaire des nobles de Madrid. Vers l’âge de onze ans, il vint s’établir avec sa mère, séparée à cette époque du général, à Paris, dans le quartier, presque désert alors, du Val-de-Grâce. C’est là qu’il grandit dans une liberté d’esprit et de lectures absolue, sous les yeux d’une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l’endroit de l’éducation. Il s’éleva tout seul, lut beaucoup, au hasard, s’éprit, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l’École polytechnique et concourant aux Jeux floraux.
    Couronné deux fois par cette société littéraire, nommé par elle maître ès jeux floraux en1820, distingué par l’Académie française en 1817, à l’âge de quinze ans, pour une pièce sur les Avantages de l’étude, s’essayant à une tragédie (Irtamène dont on trouve quelques fragments dans Littérature et Philosophie mêlees), il comprit que sa vocation était toute littéraire, abandonna les mathématiques, et lança en 1822 les Odes. Il obtint une pension de 2 000 francs de Louis XVIII, peut-être pour son livre, peut-être pour un trait de générosité dont le Roi fut touché ; il se maria (1822), et ne songea plus qu’à marcher sur les traces de Lamartine, qui était l’idole du jour.

    Maison de Victor Hugo, Paris
    Victor Hugo en 1829,
    par Devéria Journaux (Le Conservateur littéraire), romans (Bug-Jargal, Han d’Islande), théâtre (Amy Robsart avec Ancelot, à l’Odéon, chute), vers (Ballades et nouveaux recueils d’Odes) l’occupent jusqu’en 1827. A cette date, il donne Cromwell, grand drame en vers (non joué), avec une préface qui est un manifeste. En 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est interdit par la censure, en 1829 les Orientales, en 1830 Hernani, joué à la Comédie française, acclamé par la jeunesse littéraire du temps, peu goûté du public.

    La Révolution de 1830 donne la liberté à Marion de Lorme, qui est jouée à la Porte Saint-Martin avec un assez grand succès.
    Dès lors Victor Hugo se multiplie en créations. Les recueils de vers et les drames se succèdent rapidement. En librairie, c’est Notre-Dame de Paris, roman (1831), Littérature et philosophie mêlées (1834), Feuilles d’automne, poésies (1831), Chants du crépuscule, poésies (1835), Voix intérieures, poésies (1837), Rayons et Ombres, poésies (1840), Le Rhin, impressions de voyage (1842). – Au théâtre, c’est Le Roi s’amuse, en vers (1839), représenté une fois, puis interdit sous prétexte d’allusion politique, Lucrèce Borgia, en prose (1833), Marie Tudor, en prose (1833), Angelo, en prose (1835), Ruy Blas, en vers (1838), les Burgraves, en vers (1843).

    Image trouvée sur Internet
    F.-J. Heim (1787-1865),
    Victor Hugo vers 1845,
    Musée Carnavalet, Paris. En 1841 il avait été élu de l’Académie française, après un premier échec. En 1845 il fut nommé pair de France. En 1848 il fut élu député de Paris à l’Assemblée Constituante, fonda le journal l’Evénement pour préparer sa candidature à la Présidence de la République, et devint un personnage politique. A la Constituante, il siégea parmi la droite et vota ordinairement avec elle.
    Peu soutenu dans sa candidature à la Présidence, mais réélu député de Paris, il siégea à gauche à l’Assemblée législative, se marqua énergiquement comme anti-clérical (Loi sur l’enseignement) et inclina peu à peu vers le groupe socialiste.
    Au 2 décembre 1851 il se mêla au mouvement de résistance, et dut prendre la route de l’exil.

    Victor Hugo,
    photographié par E. Bacot,
    au cours de l’exil (détail). Il se retira en Belgique, puis à Jersey, puis à Guernesey, refusa de bénéficier des amnisties, et ne rentra en France qu’en 1870. Pendant son séjour à l’étranger, il publia Napoléon le Petit, et écrivit l’Histoire d’un crime, pamphlets politiques en prose, Les Châtiments (1853), satires en vers contre les hommes de l’Empire, Les Contemplations, poésies (1856), la première Légende des Siècles (1859), Les Misérables, roman (1862), William Shakespeare, étude critique (1864), Les Travailleurs de la mer, roman (1866), Les Chansons des rues et des bois, poésies (1865), etc.

    Victor Hugo en 1882,
    par Bastien Lepage Revenu à Paris sous la troisième république, il vit le siège de 1870 et la guerre civile de 1871, qui lui inspirèrent l’Année terrible, poésies (1872). il donna encore la deuxième Légendes des Siècles, poésies (1877), l’Art d’être Grand-Père, poésies (1877), la troisième Légende des Siècles, poésies (1881), les Quatre vents de l’esprit, poésies (1882).
    Il avait été nommé sénateur par le collège électoral de Paris en 1876. Il parla peu. Il vota constamment avec la gauche. Ses opinions politiques d’alors étaient représentées par le journal Le Rappel, fondé vers la fin de l’Empire par ses parents et alliés.
    Il mourut le 22 mai 1885, « dans la saison des roses », comme il l’avait prédit quinze années auparavant, à l’âge de 83 ans, comme Goethe. Son corps fut déposé au Panthéon, après les funérailles les plus magnifiques que la France ait vues depuis Mirabeau. Il a laissé une grande quantité d’œuvres inédites qui paraîtront successivement. En 1886 on en a donné deux, le Théâtre en Liberté, et la Fin de Satan, qui n’ont rien ôté à sa gloire.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  6. a.nacéra Dit :

    Les 10 mots de la francophonie

    Nous sommes en classe
    Chacun prend place
    Mes actants sont partants
    Les dix mots de la langue française
    Ils sont là ne vous déplaise
    Mentor prend parole
    A chacun son tour de rôle
    Suivi de cheval de Troie
    Qu’Ulysse a fabriqué avec foi
    Il incita : « je veux visiter
    Le monde et y habiter »
    Mobile avança d’un pas ému
    Puis fou enragé : « que dis-tu ? »
    « Y habiter, toi le revenu ? »
    Oh ! Le jaloux tu sais
    Silence sinon je vais t’escagasser
    Tu as oublié que je suis la force
    Je n’en ai cure si tu as des entorses »
    Déjà l’homme avoue que tu es nuisible
    Comment ? Avec moi pas de vie paisible
    Mais c’est lui qui m’a inventé
    Sans moi, sa vie ne connait pas de beauté
    Oh vous deux cessez le jeu
    Nous sommes là pour faire des heureux
    Crescendo qui rentre en scène
    Avec sa musique proclame
    Ayez de pures âmes
    Jouant avec amour et de tout cœur
    Jusqu’à faire pleurer le baladeur
    Qui à genoux avoue avec un triste air
    J’ai fait le tour de la terre
    Y ai vécu joie, misères et guerres
    Zapper épuisé le caresse ,lui essuie ses larmes
    Sache que la sagesse est notre arme
    Je suis là pour votre service
    A vos ordres frères que nos liens s’unissent
    Variante arrive enfin essoufflée
    Svp inutile de me juger
    Le monde devient méchant
    Chacun ne pense qu’à l’argent
    Moi galère arrivée au désespoir
    Après avoir vécu des nuits noires
    Je vous rejoins et dis
    Ne gardez plus vos mauvais plis
    Là c’est une affaire qui presse
    Je vous en prie pas de maladresse
    Remue – méninge fait tout pour plaire
    A l’humanité qu’il veut satisfaire
    Les dix mots main dans la main
    Répètent ensemble : « Pensons au bonheur de demain »
    Chaque année faisons le tour de l’univers
    Pour que l’homme voie plus clair
    Paris ,Québec ,Beyrouth, Alger
    Où tous les arts sont partagés

    Les 10 mots de la francophonie

    Nous sommes en classe
    Chacun prend place
    Mes actants sont partants
    Les dix mots de la langue française
    Ils sont là ne vous déplaise
    Mentor prend parole
    A chacun son tour de rôle
    Suivi de cheval de Troie
    Qu’Ulysse a fabriqué avec foi
    Il incita : « je veux visiter
    Le monde et y habiter »
    Mobile avança d’un pas ému
    Puis fou enragé : « que dis-tu ? »
    « Y habiter, toi le revenu ? »
    Oh ! Le jaloux tu sais
    Silence sinon je vais t’escagasser
    Tu as oublié que je suis la force
    Je n’en ai cure si tu as des entorses »
    Déjà l’homme avoue que tu es nuisible
    Comment ? Avec moi pas de vie paisible
    Mais c’est lui qui m’a inventé
    Sans moi, sa vie ne connait pas de beauté
    Oh vous deux cessez le jeu
    Nous sommes là pour faire des heureux
    Crescendo qui rentre en scène
    Avec sa musique proclame
    Ayez de pures âmes
    Jouant avec amour et de tout cœur
    Jusqu’à faire pleurer le baladeur
    Qui à genoux avoue avec un triste air
    J’ai fait le tour de la terre
    Y ai vécu joie, misères et guerres
    Zapper épuisé le caresse ,lui essuie ses larmes
    Sache que la sagesse est notre arme
    Je suis là pour votre service
    A vos ordres frères que nos liens s’unissent
    Variante arrive enfin essoufflée
    Svp inutile de me juger
    Le monde devient méchant
    Chacun ne pense qu’à l’argent
    Moi galère arrivée au désespoir
    Après avoir vécu des nuits noires
    Je vous rejoins et dis
    Ne gardez plus vos mauvais plis
    Là c’est une affaire qui presse
    Je vous en prie pas de maladresse
    Remue – méninge fait tout pour plaire
    A l’humanité qu’il veut satisfaire
    Les dix mots main dans la main
    Répètent ensemble : « Pensons au bonheur de demain »
    Chaque année faisons le tour de l’univers
    Pour que l’homme voie plus clair
    Paris ,Québec ,Beyrouth, Alger
    Où tous les arts sont partagés

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