Que tout le monde parte et reste Benbouzid
Par : Abdelhafid Daamache
Comme se fait il qu’il arrive que quelqu’un soit convaincu que tout le monde se trompe et seul, lui, est dans le bon chemin
C’est que pense le ministre de l’éducation nationale, M. Boubekeur
Benbouzid qui veut relever de leurs fonctions tous les enseignants et
de mettre l’école dans une crise sans précédent au lieu de reconnaître
ses propres erreurs et de démissionner de son poste.
Quelle que soit l’importance du ministre ou de son ministère, il est
appelé, à court ou moyen terme de quitter son poste en étant démis ou
ayant démissionné de son propre chef.
Les enseignants vont rester dans leurs postes et le ministre sait
pertinemment qu’il est impossible de remplacer un demi million
d’enseignants en 24h mais il est facile de remplacer un ministre en 24
minutes.
Cette logique ministérielle montre qu’il y a totale incapacité à
trouver des solutions idoines aux problèmes que vit l’école. Malgré les
réformes et les réformes introduites aux réformes la situation n’a pas
changé d’un iota. Les résultats du baccalauréat qui font la fierté du
gouvernent n’a rien apporté de positif bien au contraire, ils ont
affaibli de manière largement perceptible le niveau de l’université.
Au lieu de travailler pour préparer une élite qui dirigera le pays, le
ministre a choisi de publier les salaires des enseignants dans la
presse, ce qui, du reste, n’est pas contraire au us, aux exigences de
la transparence, si tous les salaires étaient connus du grand public y
compris celui du ministre en personne.
Les enseignants ont mal reçu le fait que les salaires soient rendus
publics et ils ont été choqués et irrités lorsqu’ils ont su que les
montants publiés ne seront pas ceux qu’ils empocheront.
Si le gouvernement poursuit la logique du ministre de l’éducation
nationale, il faut licencier les médecins aussi qui sont en grève
depuis deux mois, sinon il sera accusé de pratique de « deux poids,
deux mesures », parce que l’arrêt de travail des médecins est plus
dangereux pour la santé des citoyens que l’arrêt des cours des élèves.
Beaucoup de pays ont connu des crises dans le genre de celle de
l’Algérie et l’exemple le plus proche reste indéniablement celui de
notre voisin du nord la France qui a vu partir un nombre important de
ministres de l’éducation et personne n’a pensé un jour à licencier les
enseignants.
Abdelhafid daamache.
hafid@yahoo.fr
5 mars 2010 à 19 07 05 03053
La tutelle s’affolle avec sa nouvelle REFORME….ben bouzid passe à la vitesse supérieur .il décide de nous remplacer.ALLEZ messieurs les directeurs de l’éducation,essayez de trouver 400000 demandes d’emploi dans vos tiroirs et remplacer nous !!!!!!! CHICHE comme on dit chez nous.
Nous refuserons de prendre nos élèves; qui sont nos fils et filles par pricipe. Vous faites peur> seulement aux aux profs qui vous ressemblent ceux qui acceptent de> s’accoquiner avec votre système.vous avez usé et abusé de la sagesse> de l’enseignant de son silence digne mais quand on a affaire a une> association de malfaiteurs on vous dit BASTA.RENVOYEZ NOUS Mr BENBOUZID>
en plus,monsieur benbouzid insiste qu’il peut peut licencier 400000 enseignants en èspace de 24 heures,alors qu’il oublie qu’il peut l’être lui même en 24 secondes seulement!!!!!n’est ce pas monsieur le doyen des ministres???