A la page – Mourad Brahimi signe son livre à la librairie du Tiers-monde : Le vécu d’une terrifiante histoire
Mourad Brahimi est un ancien élève de l’Ecole nationale d’administration. Il a été un haut fonctionnaire et a occupé le poste de chef de daïra dans la wilaya de Médéa.
Il a été inculpé à tort dans une affaire de détournement. Il raconte dans ce livre intitulé «Rien qu’une empreinte digitale», la terrifiante histoire qu’il a vécue au cours de sa détention provisoire. Le livre est écrit en cinq chapitres. Ils se lisent avec une concentration soutenue. Le style est fascinant avec le choix de mots forts et d’expressions imagées. Ce genre d’écriture contribue ainsi à l’élévation de l’intérêt à l’histoire racontée. Ce sont des événements qui ont été vécues par l’auteur. Il raconte ses moments terrifiants de détention, ses souffrances physiques et morales, et aussi ses espoirs. Ce qui est très dur pour lui, ce sont les incertitudes de la détention provisoire qui peut s‘éterniser. Il raconte également le climat très difficile de l’univers des prisons. Mourad Brahimi explique lui-même sa démarche en écrivant : « Les histoires individuelles sont comme les hirondelles qui ne font pas le printemps, elles ne font pas l’histoire et ne prouvent pas grand chose. Ce qui n’empêche que dans certains cas elles méritent d’être racontées et doivent l’être, car chacun doit savoir ce qui peut un jour lui arriver et se sentir solidaire profondément de celui qui a eu à se battre contre le malheur et l’injustice».
Mourad Brahimt poursuit en s’interrogeant «Que serions-nous sans cette capacité de participer et de comprendre ? » Son livre se lit d’une traite. Il vient d’être publié par Casbah éditions.
«Rien qu’une empreinte digitale», Mourad Brahimi, Editions Casbah, 143 pages, prix public : 400 DA
26 février 2010 à 14 02 16 02162
bratislava dit :
26 février 2010 à 9 h 48 min
Le Colonnel Ali Tounsi:
Né en 1934 a Metz en France. Fils de Tayeb, un militaire français (Officier) jusqu’à sa retraite. Nationalité double, Française et Algérienne. Elevé a Meknes au Maroc ou son père était en garnison dans l’armée française.
En 1961, on le retrouve au sein du 2 eme bureau de l’armée française a Sidi Bel Abbes. Membre du commando”TEMPETE” composé de supplétifs récupérés par les services secrets français sous les ordres de l’officier français de saint georges d’où l’appellation «Commando Georges» L’engagement de Tounsi au sein de ce sinistre commando de chasse a été le fruit de sa collaboration sans réserve avec l’armée coloniale.
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http://pompier003.unblog.fr/files/2009/07/alitounsi2.pngAu cessez le feu, il est injecté dans l’administration naissante grâce a des relations familiales nouées au Maroc qui ignoraient sa collaboration avec l’armée coloniale, il est enrôlé dans les rangs de l’ANP.
En 1983, son engagement avec l’armée française durant la guerre de libération ayant été dévoilé, il est radié de l’ANP.
26 février 2010 à 14 02 18 02182
jilla dit :
26 février 2010 à 11 h 28 min
ALLAH YARHAM ECHAHID
si Ali tounsi
QUAND ON NE PEUX PAS FAIRE TAIRE UN INCORRUPTIBLE ON L’ASSASSINE
en Algérie la preuve pour les patriotes : c’est la mort .
Le reste c’est du bla bla
j’ai connu ali tounsi à Sidi bel abbés au maquis à MOKSI , un homme de valeur et vrai moudjahid .
ayant fait le baroud et même infiltré la SAS coloniale
ZERHOUNI UN planqué d’OUJDA ne lui arrive même pas à la cheville
L’algérie a perdu un patriote de valeur .