Nouveau commentaire sur l’article #9018 « Auteur : Marcel MANDELKORN »
Auteur : mandelkorn (IP: 172.31.235.6 , 172.31.235.6)
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Commentaire:
Je traite d’une vision personnelle qui vise, face à des notifications du TRIBUNAL des PENSIONS MILITAIRES de NANTERRE et de VERSAILLES à clarifier la nécessité des dévolus successifs subit pré ou post-période lors d’un passage obligé sur mon passé. Je veux aussi parler du service militaire encore obligatoire à mon époque où jeune j’ai trouvé cette mise à part
A l’évidence ou immédiatement après la sévère dose de médicaments que je pense avoir du prendre pour des causes qui tenaient au manque d’encadrement précisément pour rattraper des conséquences in disciplinaires entendues qui pointait son nez ; Une mise à part qui a pris naissance au départ de mon capitaine quand celui-ci a été remplacé par un maréchal des logis chef. D’un point de vue pédagogique, la spécialisation disciplinaire de ma caserne de Saint Florentin était déjà à l’origine d’une rupture, en l’occurrence préjudiciable pour les étudiants (circulaire FONTANET l’année précédente mon départ à l’armée). Pour des collègues de même âge parfois en difficultés scolaires, l’effort d’adaptation demandé a aussi été important.
Par ailleurs, cette spécialisation disciplinaire a sans doute contribué à renforcer le contenu brutal des demandes souvent hétéroclites des gradés , des relations composites, irrégulières, au détriment de la dimension pédagogique des rapports collectifs ou intra-personnels. Il est à noter que l’armée a toujours accueilli des publics de plus en plus diversifiés.
La dépression, qu’on m’a indiqué sans que je la vois naître durant l’armée, c’est l’existence mal fondée de toute introspection vers le recul marqué via un trouble réel du fait limitrophe de la Caserne de Saint Florentin. . Trente ans après et même plus, cette fâcheuse conjoncture ne me permet pas de croire au sens de la justice. Il en ressort que tous les désagréments subit de ma part ont été vivement ressentis, au plus vif de moi-même. Lorsque je travaillais en bureau à l’armée tout allait bien
On rechercha si une gêne particulière au cœur de mes relations intra personnelles existait vraiment. En effet, ces commandes médicales que rien ne prévoyait, se déclare à l’écart d’une commande normale.. Ma question s’inclut au sein du champ de compétence médicale. L’autorité s’attache plutôt à ce qui a déjà été écrit au regard d’une personnalité malade. Depuis, rien ne fait état d’une gêne suffisante précédent l’armée et encore moins du fait entendu durant cette période militaire de causes évidentes, vis à vis d’une gêne particulière ou d’un vrai besoin, rien ne sous-entend donc qu’il fallait agir de la sorte.
Un sujet type personnalité névrotique, neutralisé médicalement en quelques jours, ne peut concevoir que l’inquiétude ne naisse pas à cette occasion, l’inquiétude et le reste étaient donc de mise, le contraire aurait montré que je n’étais pas conscient du contexte ou que je me moquais de mon état. J’ai consenti avec tout mon charisme de jeune à tout admettre, ainsi pour laisser faire, sans élever la voix, sans gêner consort, j’avais peu de chose pour me prévaloir ailleurs d’autres normes. Ambiguïté d’un droit que j’estime à quelques degrés très loin de ce que j’ai vécu, quitte à faire régner plus de psychologie et moins d’introspection à mon égard, on s’éloigne d’autant plus du mode assimilateur en s’y collant durant toutes ces années qui m’en sépare. Ainsi selon, l’assimilation lequel on vous éloigne de vous-même, un sens acquis a fait place à une personnalité interrogative qui se communique aussi pour se développer comme elle peut. Un mode d’introspection incombant à la patience des aînés, à qui reproche peut être fait au passage d’y croire, et pour tout ce qui générait un tel handicap, en indiquant des délits sensitifs au même titre que des délits de relation sur ce qui par essence comporte à ce jour un passif.,
Je crois pourtant que le monde écolier, familial, patriotique avait fais le nécessaire, l’important me semblait passé. Ce qui a été soigné en accord avec un tangible besoin qu’à mon sens rien ne suscitait. D’ailleurs l’Armée faute de preuve ne peut continuer à le soutenir.
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19 février 2010
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