Nouveau commentaire sur l’article #9018 « Auteur : Marcel MANDELKORN »
Auteur : mandelkorn (IP: 172.31.235.6 , 172.31.235.6)
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Commentaire:
Les agissements thérapeutiques de conception psychiatrique sont censés soutenir irrecevable « Personnalité pathologique » et « Psychose chronique. La personnalité est le résultat de l’intégration dynamique des composantes affectives, intellectuelles, biologiques et comportementales qui caractérise la manière dont l’individu interagit avec lui-même et son environnement
Il est important de pouvoir faire la distinction entre personnalité normale et pathologique.
La peur d’être mal jugé à un examen oral est considérée comme normal.
L’impression d’être juger en permanence est l’émanation d’une
Personnalité pathologique.
Tel qu’on se croit jugé négativement par les gens qu’on croise dans la rue.
On parlera donc de personnalités pathologiques à partir du moment où le sujet présente des troubles de la personnalité, signalés par une altération significative de l’adaptation sociale, familiale ou professionnelle et/ou une souffrance subjective.
Si la notion de personnalité_ n’est pas facile à définir, la personnalité pathologique est considérée comme aléatoire. Au fond, il n’existe pas de personnalité normale ou pathologique type ; ce qui a été décrit est une sorte d’esquisses d’autant plus incertaine qu’indéterminée, on peut parler de galeries de portraits.
Or, l’être humain est plus varié et plus complexe que ce que ces classifications en font même s’il est parfaitement normal de se retrouver dans ces caractéristiques de personnalités décrites
En tant qu’être humain, j’ai été choqué dans ma dignité et mon identité.
Choqué de toutes ces distinctions, heurté de cette « mise à part.
J’’ai été maintenu au sein de bâtiments sanitaires à un moment où ma patience a été constante pour ne pas dire inébranlable, j’ai depuis eu tout le temps de réaliser que malgré que les plaidoiries se révèlent à mon avantage, on tournait en rond ; Il me semble que l’existence de droits censés m’appartenir n’est pas respectée ; Il semble aussi que le dite prévention dont j’ai fait les frais durant ma période n’était pas nécessaire et encore moins obligatoire. Ceci est essentiel et fondamental pour comprendre qu’au fond les nécessités vitales étaient ailleurs. Ce qui a été commandé, ordonné, prescrit s’est imposé à moi de façon brutale quitte à orienter mon esprit uniquement dans le rôle de patient, de malade. D’ailleurs une personnalité pathologique peut développer les mêmes troubles mentaux qu’une personnalité normale : ex.
La plupart des personnalités. Ainsi sont décrit des associations préférentielles entre les personnalités névrotiques et névroses. En ce qui concernent les troubles dépressifs, un certain nombre d’auteurs pensent que des troubles relationnels précoces dans l’histoire du sujet peuvent prédisposer à l’organisation de personnalités favorisant le développement de dépressions ultérieures.
La dépression peut exacerber des traits de personnalité et les rendre pathologiques. Distinguer une personnalité dépressive d’une dépression chronique n’est pas non plus facile
Les faits sont là, je fais les frais du vocabulaire méticuleux qui traite mon état. En réalité, j’aurais pu développer une simple peur …
Oublier le contexte donc les faits c’est s’inscrire au concept dévoilé autrement, dans l’étude d’un passif.. Les causes nécessaires à l’étude régulière de la définition d’une psychose ne sont par exemple pas remplies, par ailleurs l’armée a écarté toute sa responsabilité. Ce que je dis est pourtant limpide, « on n’endort personne sous somnifère quand il dort normalement « , il s’agit bien pour moi de me défendre ainsi en montrant qu’il s’est s’agit d’une injonction de force où les observations qui s’y sont inscrites ne sont pas conforme à ce qui se pratique en de pareil cas ; Il suffit pour s’en convaincre de s’inscrire en amont soit sur le risque « psychotique » tel qu’il a été indiqué soit sur d’autres thèmes. Il en ressort en autre que ce contexte psychotique a été vu et revu comme une probité puis il fut abandonné, pourtant il existe bien plus théoriquement. En fait, on a tenté d’examiner de prêt ce qui pouvait se regarder de loin, en faisant ressortir de l’enfance voire de l’adolescence un éventuel lien qui servirait de preuve même modeste pour expliquer l’origine d’un trouble, d’une gêne, Pour autant les thèmes sur la relation se retrouvent dans deux expertises, comme corroborant les éléments d’écoles ou sublimatoires.
Tout ce qui a été entretenu sur la foi du dossier administratif et médical ne pourrait aujourd’hui plus être imputé de façon égale sur le plan civil.
Et cela m’oblige a montré ce qui ne valait pas la peine d’être relevé.
On a perduré dans cette situation pour m’imputer durant cette procédure « problèmes dans la vie professionnelle, privée, familiale, affective, ces complications valent-ils la peine d’être soutenu ? En autre terme, qu’est-ce qui continue à gêner, n’est-il pas tout autant exagéré de s’appesantir sur des causes externes qui en plus ne sont guère démontrées
Certains intellectuels se sont efforcés de démontrer que l’inquiétude par exemple est davantage liée à nos représentations qu’à nos perceptions. Autrement dit, on peut ressentir de la peur alors qu’objectivement, on n’est pas en danger. La peur telle qu’on l’entend en milieu professionnel s’apparente plutôt à l’inquiétude et à la crainte, voire à l’anxiété. Les deux premières sont des peurs orientées vers le futur et trahissent différents degrés.
La troisième est récurrente. Elle est l’émanation d’une personnalité. A noter que cette « peur » ne saurait se confondre avec le stress, qui n’est jamais qu’une réaction physique instantanée, un générateur d’émotions.
Rien n’était légalement induit, pour m’affirmer ce à quoi on me destinait, il fallait en être sur. L’Armée sur le plan psychiatrique fait preuve de croyances ineffables, d’une démarche étonnante aussi appliquée que sa puissance. Ceci est une manifestation qui conclue à la reconnaissance d’un soutien médicamenteux sur le mode de l’infirmité soudaine.
Je tiens à souligner que j’en ai retiré des frayeurs, une peur, des craintes, une panique et j’essaye de définir la « peur » plutôt deux fois qu’une.
Un lieutenant-colonel venait de me confier une tache nouvelle dans son propre bureau, pus j’ai été harangué par un appelé qui visiblement savait qu’il ne pouvait sortir rien de positif de sa façon de faire. J’ai été sensible ensuite aux critiques que j’ai pu recevoir de façon voilée, voire anecdotique dans mon rapport oral avec mon adjudant de compagnie.
En ajoutant la personnalité pathologique, celle qui se déforme au contact d’une société boiteuse dans son fonctionnement et non d’un modèle, l’État s’égare, et m’égare aussi par l’exercice partiel et véhément de son pouvoir, de sa gouvernance. Un État qui n’a jamais cessé de proclamer haut et fort qu’il fallait lutter contre la désinvolture, la délinquance, la discrimination et qui m’a orienté vers des manques à travers des anomalies du seul mode de fonctionnement MENTAL.
Il est normal de se préoccuper ce que sera son travail dans un proche avenir, à cette époque il semblait que je n’en avais pas le droit.
Il y a une imputabilité dite caricaturale, burlesque que le mode militaire connaît trop, ceci montre au minimum l’avantage unique de me reconnaître sur un air particulier. Le bien être au travail, qu’il soit psychologique, physique, ou social, est plutôt à l’évidence un facteur de performance pour les entreprises et pour l’économie comme pour l’armée, alors pourquoi briser ce bien être.
J’ai regardé de prêt ce qu’on entend par personnalité pathologique, j’ai lu qu’il y avait des problèmes atypiques, sédatifs ou incisifs. Je ne doute pas que l’armée possède une expertise reconnue dans le domaine du stress : stress lié aux contraintes et exigences du travail, aux changements organisationnels, aux relations difficiles, aux agressions et à la violence . Aux cadences. Moi je dis simplement que cela ne nécessite pas obligatoirement la prise de médicaments, occasionnant de la sécheresse buccale débouchant sur des caries, un risque de constipation, des risques occlusifs, un possible adénome prostatique, de la confusion ou une altération de la conscience, quelques convulsions. Au fond, ce sont aussi des risques secondaires qui correspondent aux prises de ces médicaments psychiatriques
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19 février 2010
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