Vendredi 19 février 2010 14h15
Nouveau commentaire sur l’article #9018 « Auteur : Marcel MANDELKORN »
Auteur : mandelkorn (IP: 172.31.235.6 , 172.31.235.6)
E-mail : marcel.mandelkorn@equipement.gouv.fr
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Commentaire:
On peut de l’extérieur de l’armée, dire que les dites infirmités qui m’ont été signalé ne sont pas nées durant les dates précitées, mais à ce titre les expériences et la perception qui sont nées ne peuvent qu’infirmer voire remettre en cause l’ensemble ( le syndrome d’influence, la personnalité pathologique, la psychose sur le plan civil, etc.…).
Pour cela il faudrait redéfinir la connaissance qu’en font ces notifications quand il s’agit de me faire connaître mes grands traits de caractères.
Ceci est valable pour les principales personnalités pathologiques.
Avant de parler de personnalité pathologique, on aurait pu définir ce qu’est la personnalité et ce n’est pas simple.
La personnalité ne devient pathologique que lorsqu’elle se rigidifie.
Certaines organisations de la personnalité, prédisposent à une pathologie psychiatrique (exemple : Personnalité schizoïde -> schizophrénie) ;
Le développement de la personnalité durant la vie d’un individu se découpe en différents stades de développement. . Les troubles de la personnalité prennent plusieurs formes. Leur influence sur les relations interpersonnelles varie de légère à grave. Ces troubles apparaissent habituellement à l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Les troubles de la personnalité causent des modes durables d’expérience et de comportement qui sont contraires aux attentes de la société, qui sont profonds, inflexibles et stables dans le temps et conduisent à la détresse ou à une déficience ;
La personnalité s’organise autour des différentes composantes de l’individu (affective, comportementale, intellectuelle, physiologique, morphologique…), et est la résultante de facteurs innés et acquis. Les troubles de la personnalité désignent des modes prédominant de fonctionnement à l’origine de comportements inadaptés et rigides, au cours desquels l’individu répète les mêmes attitudes et les mêmes conflits. Ces troubles apparaissent au cours de l’adolescence et persistent pendant toute la vie. Ils entraînent une souffrance de l’individu et/ ou de l’entourage et une plus grande vulnérabilité dans les relations sociales et face aux difficultés de l’existence. On définit les troubles de la personnalité par des « comportements ou traits caractéristiques à la fois d’un comportement récent et du comportement au long cours depuis l’âge adulte.
L’ensemble de ces comportements, ou de ces traits, est responsable soit d’une altération significative du fonctionnement social ou professionnel, soit d’une souffrance subjective » . Ces manifestations sont à différencier d’épisodes psychopathologiques ; Personnalité normale ou pathologique
· Une personnalité normale:
Se définit par la capacité du sujet à vivre de manière positive et en harmonie avec son environnement.
· Une personnalité pathologique:
Se définit par le mode relationnel que le sujet entretient avec les autres:
Il se caractérise par une perte d’harmonie et par une souffrance ressentie par le sujet, ses proches
La distinction entre la personnalité normale et la personnalité pathologique n’est pas aisée à déterminer.
La personnalité pathologique est une déviation permanente de la personnalité. La personnalité pathologique regroupe des entités pathologiques stables et durables tout au long de la vie ; Il est essentiel de faire le distinguo entre la notion de troubles de la personnalité et celles de personnalité pathologique. Si l’on considère que la personnalité résulte de l’ensemble des constructions mentales personnelles que nous élaborons tout au long de notre vie pour interpréter le monde, les personnalités pathologiques témoigneraient de l’inadaptation de ces représentations, de leur absence ou de leur rigidité. Je ne pense pas pour moi que ce soit le cas.
L’approche cognitive de la personnalité renouvelle la psychologie pathologique et replace dans l’évolution du sujet des troubles trop longtemps considérés comme définitifs ou invariants. Cette conception permet de comprendre l’organisation des personnalités pathologiques et d’élaborer une thérapeutique rationnelle.
Approche cognitive et thérapeutique, reprend la structure des treize types de personnalité. Chaque partie est axée sur un trouble de la personnalité et adopte systématiquement un plan identique, lui conférant un caractère pédagogique. L’abord est cognitivocomportementaliste, les protocoles reprennent le travail entre le praticien et son patient sur les situations, les croyances, les émotions, les comportements et les schémas cognitifs sous-jacents ; L’approche cognitive permet de comprendre de façon claire l’organisation des personnalités pathologiques et d’élaborer une thérapeutique rationnelle. Les schémas cognitifs, les stratégies comportementales, la gestion des émotions sont autant de secteurs fonctionnels qui se sont mis en place au cours de l’enfance et de l’adolescence pour réaliser une personnalité qui, par ses excès ou sa dysharmonie, peut devenir pathologique.
Les paranoïaques, les histrioniques, les obsessionnels, les psychopathes constituent ici les cas les plus connus, les plus typiques. Mais il faut également considérer les personnalités dépendantes, évitantes, limites et narcissiques, plus subtiles, plus complexes. Les personnalités schizoïdes, schizotypiques et passives-agressives, plus rares, vont de pair avec les difficultés majeures d’insertion sociale. Une thérapeutique patiente mais résolue, visant à remodeler les schémas de croyance et les comportements, permet d’envisager une évolution de ces différentes personnalités. L’approche cognitive de la personnalité renouvelle la psychologie pathologique et replace dans l’évolution du sujet des troubles trop longtemps considérés comme définitifs ou invariants. Cet avis est actualisé, plus particulièrement les personnalités borderline, antisociale (ou psychopathiques) et dépressives. Ce que j’écris pourrait s’adresser aux psychiatres, aux psychologues et à tous les cliniciens concernés par la psychologie de leurs patient
Par ailleurs on parle de trouble de la personnalité lorsque certains traits de la personnalité se rigidifient entraînant soit une souffrance, soit des dysfonctionnements. Il s’agit d’une affection chronique, apparaissant généralement au cours de l’adolescence. Les troubles de la personnalité sont souvent associés à d’autres affections psychiatriques, dont ils aggravent le pronostic. De même, la personnalité peut être définie par « le résultat chez un sujet donné de l’intégration dynamique de composantes cognitives, pulsionnelles et émotionnelles, l’agencement de ces différents facteurs constituent les traits de personnalité, à savoir les modalités relationnelles de la personne, sa façon de percevoir le monde et de se penser dans son environnement ». [Il s'agit d'une modalité durable de fonctionnement, qui peut être appréhendée selon une perspective catégorielle décrivant des personnalités pathologiques, ou selon une perspective dimensionnelle (conception psychodynamique) envisageant un continuum entre les divers traits de personnalités et l'état normal, sans rupture notable1]
La personnalité présente deux propriétés :
· Elle est stable dans le temps, ce qui garantit la continuité d’être de la personne,
· Elle est unique, caractéristique du sujet, le distinguant des autres
Je voudrais faire partir ma réflexion d’une interrogation assez simple, basée sur l’examen du dossier qui reste pour chaque patient à titre d’archives depuis de nombreuses années et qui devrait comporter plusieurs volets : identification, conditions de prise en charge, diagnostic, actes-traitements, modes de sortie et orientation. Dans les motifs de la prise en charge en fin de période, il y a au moins trois motifs : État anxieux. État dépressif. Psychose aiguë. Une première remarque porte sur le fait que le diagnostic secondaire est parfois non renseigné par le clinicien, alors que le diagnostic principal l’est de manière constante. Cette constatation est plutôt rassurante, tant il paraît difficile de prétendre poser un diagnostic de personnalité ou de réaliser une évaluation de fonctionnement psychosocial, sur un seul entretien et dans des conditions parfois difficiles, comme c’est souvent le cas dans un service d’urgence ou en psychiatrie de liaison. Il arrive parfois qu’un interne en psychiatrie revienne de ses périples au sein de l’établissement avec des diagnostics de personnalité, ce qui me parait toujours un peu abruptes ou péremptoires : « C’est une personnalité hystérique… une personnalité immature… un obsessionnel typique… »
Je me trouve d’une part, toujours un peu choqué par la rapidité de telles évaluations à l’emporte-pièce et d’autre part, je suis à peu près convaincu que, même et peut-être a fortiori, si le médecin trouve parfois devant de véritables caricatures de personnalités, obsessionnelles ou psychopathiques, il se trompe régulièrement, et que la clinique de la personnalité est toujours et heureusement beaucoup plus complexe que ces évaluations, dont la délicatesse méthodologique est souvent voisine de celle d’un ours. Je veux dire que le propre d’une caricature est précisément d’être dépourvue d’épaisseur et qu’une caricature peut à son tour fonctionner comme un masque, ce qui constitue après tout l’étymologie même des mots. Les troubles de la personnalité en eux-mêmes motivent en effet rarement des demandes de soins spécifiques et ils sont plutôt appréhendés et saisis par le PRATICIEN à travers leurs complications. Celles-ci vont à leur tour se retrouver codées qu’il s’agisse de troubles de l’humeur, de troubles du comportement, de troubles additifs ou de tentatives de suicide.
Il me semble que l’on trouve donc là un premier élément de réponse à la question posée, qui est aussi celle de l’utilité du regard diagnostic : oui, la recherche et le dépistage d’un trouble de la personnalité doivent faire partie de l’évaluation psychiatrique en urgence et en liaison, car on sait qu’une personnalité pathologique peut être à l’origine de troubles et de désordres, plus ou moins spécifiques, comme des troubles additifs ou des troubles dépressifs ou un risque suicidaire, vis à vis desquels des stratégies thérapeutiques plus ou moins spécifiques peuvent être mises en place.
Une deuxième remarque porte sur la constatation d’une antinomie certaine entre la personnalité et ses troubles d’un côté et, de l’autre, les qualificatifs, en particulier d’ordre temporel, qui sont régulièrement associés à la description d’une personnalité ; Si l’on admet que la personnalité représente au premier chef une forme de continuité : continuité entre ce que nous avons été et ce que nous sommes, entre passé et présent, continuité de nos souvenirs, de notre mémoire, de notre vie imaginative et fantasmatique ; si l’on admet encore que la personnalité représente une réalité du moi, entendue comme une réalité stable ou capable de stabilité, une réalité apte à la durée, correspondant, jusque dans ses troubles et ses ratés, à un fonctionnement habituel, à une allure stabilisée, à un régime stable et durable de fonctionnement, l’hospitalisation critique peut alors représenter une occasion (mais très relative) sinon de changement, du moins de vacillations ou d’interrogations.
C’est sans doute pourquoi subsiste encore « personnalité pathologique et personnalité pathologique » Un trouble de la personnalité, ou personnalité pathologique désigne en psychiatrie une anomalie de la manière d’être au monde d’un sujet (dans ses pensées, ses sentiments, ses relations aux autres) telle qu’elle entraîne des perturbations significatives de son fonctionnement social ou bien un état de souffrance.
La personnalité présente deux propriétés :
· Elle est stable dans le temps, ce qui garantit la continuité d’être de la personne,
· Elle est unique, caractéristique du sujet, le distinguant des autres
La question que je me pose alors est de savoir quels sont les liens entre les deux pathologies que sont la psychose et le trouble de la personnalité, mais surtout, quels rapports entretiennent-elles avec la réalité et plus particulièrement avec l’identité même du sujet. Plus précisément, il s’agit de déterminer de quelle manière les individus atteints de ces pathologies appréhendent le monde extérieur et en quoi la relation à la personnalité et plus spécifiquement à l’identité, est-elle fondamentale.
C’est pourquoi, dans un premier temps, Je dirais qu’on n’a pas le droit de m’attribuer une définition globale de la personnalité en la confrontant à la notion d’identité. Plus particulièrement au trouble de la personnalité et à son rapport à autrui. Et enfin, je conteste la psychose dans son rapport au réel.
L’intérêt de ce sujet a pris naissance suite à la lecture des deux expertises, dont l’une en partie consacrée à la fonction parentale. Dans cette expertise, il était question de carences et d’abus lors de l’éducation et j’ai souhaité approfondir le sujet. Cette expertise n’a pas cherché à comprendre l’importance des rôles parentaux à l’adolescence et à ouvrir mon champ de vision à ce propos. Elle a choisi de centrer son étude sur la comparaison du rôle du père et de la mère à l’adolescence. Je tenterai de mieux comprendre l’importance de la fonction des deux parents, et ce, d’un point de vue tant à la fois théorique que pratique. Après avoir développé l’importance de ces deux rôles distincts, je tenterai de comprendre pourquoi l’on dénonce habituellement plutôt l’absence du rôle paternel dans le foyer familial, pour terminer par les enjeux de l’éducation, ici l’expertise dénonce sa trop grande emprise, sa trop grande importance..
Les psychoses sont un ensemble de psychopathologies caractérisées par l’existence d’« épisodes psychotiques » . Au niveau des manifestations, l’épisode psychotique se traduit par une altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations. Celui-ci, de durée variable, peut-être transitoire (plus d’un jour, moins d’un mois, hors traitement) (exemple : épisode psychotique bref) ou prolongé. L’anosognosie, c’est-à-dire l’absence de conscience de l’état pathologique lors de l’épisode psychotique, est la règle.
Le terme psychose a été repris par de nombreux auteurs, courants théoriques, dans des acceptions parfois radicalement différentes, parfois partiellement partagées. Il s’agit d’un terme générique dont il est difficile de donner une définition précise sans envisager l’ensemble des acceptions les plus courantes et les classifications qui leur correspondent.
Actuellement, la psychose n’est pas considérée comme un diagnostic en soi, mais comme un état associé à certaines pathologies psychiatriques
Je voudrai revenir sur « séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, labilité émotionnelle… » . A cette époque on parlait de bouffée délirante, bouffée délirante aiguë qui est une affection psychiatrique de la famille des psychoses et qui est son homologue moderne. Le malade est alors totalement convaincu de la réalité de l’expérience qu’il vit. La perception que le patient a de lui-même est également très bouleversée, et ce dernier finit par perdre ses repères. Ces bouleversements peuvent d’ailleurs entraîner de sévères troubles du sommeil, de l’humeur et du comportement, avec des risques de suicide ou d’agression.
Lorsqu’elles ne sont pas dues à la prise de drogues ni à des antécédents familiaux clairement définis, plusieurs autres facteurs peuvent être la cause de ces crises. Une des plus fréquentes est la transplantation, c’est-à-dire le fait de se retrouver dans un environnement complètement nouveau ou dans une culture très différente de la sienne. Mais tout traumatisme affectif peut constituer un « facteur déclenchant », comme un emprisonnement, un échec amoureux ou professionnel, ou même, la première relation sexuelle.
Il est très souvent nécessaire d’hospitaliser rapidement un individu souffrant de bouffées délirantes, à la fois pour l’isoler de la société temporairement et lui fournir un traitement adapté. Le traitement est surtout basé sur des médicaments spécifiques : les neuroleptiques, qui inhibent certains messages au niveau du cerveau pour réduire les psychoses et calmer les émotions du patient. Les doses de médicaments sont ensuite diminuées progressivement à la fin des signes de la maladie.
Si les médicaments ne suffisent pas, d’autres techniques sont parfois utilisées, comme la sismothérapie, les fameux électrochocs. Ou encore, plus récemment, une stimulation magnétique d’une zone très précise du cerveau pour réduire l’intensité des crises.
Dans la plupart des cas, la bouffée délirante est un épisode unique qui guérit sans séquelles, mais elle peut se répéter de façon chronique et se transformer en une maladie mentale persistante.
Il faut savoir que les patients sont suivis après leur première crise, en général, pendant au moins un an en consultation externe. Et si nécessaire, une psychothérapie de soutien et des mesures de réinsertion professionnelles peuvent aussi être proposées.
Les états psychotiques brefs sont caractérisés par la survenue brutale d’un état psychotique aigu intense chez un patient ne présentant pas d’antécédents psychiatriques. Par définition, son évolution est limitée à un ou quelques épisodes durant la vie du patient, sans symptômes intercurrents. Il n’est pas possible à l’heure actuelle de différencier de manière fiable les états psychotiques brefs des états psychotiques aigus inclus dans une pathologie chronique. Souvent, le critère de brutalité d’apparition, d’absence de symptômes pré morbides ou d’antécédents familiaux, le contexte de stress intense psychosocial ou environnemental marquant la survenue de l’épisode, la rapidité d’évolution sous traitement médicamenteux antipsychotique et les faibles doses nécessaires, sont autant d’arguments orientant le diagnostique. Mais, seul un suivi psychiatrique durable et une observation prolongée peuvent à l’heure actuelle valider a posteriori le diagnostic d’état psychotique bref.. Pour moi un peu de psychologie aurait suffit ;. La psychologie, du grec psukhê (âme) et logos (science), est l’étude scientifique des faits psychiques, la connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements, l’ensemble des manières de penser, de sentir, d’agir qui caractérisent une personne, un animal, un groupe, un personnage.
Divisée en de nombreuses branches d’étude, ses disciplines abordent le domaine tant au plan théorique que pratique, avec des applications thérapeutiques, sociales, politiques, commerciales (marketing) ou théologiques.
La psychologie a pour objectif l’investigation du psychisme comme fondement d’une structure subjective et d’un fonctionnement spécifique (processus et mécanisme) articulé à la perception et représentation du monde extérieur. Elle m’aurait maintenu en caserne me faisant faire mon temps normal sans augmentation à titre sanitaire seulement la tendance en a décidé autrement..
La différence entre psychose et névrose est sans doute la première approche indispensable pour percevoir avec clarté les maladies psychiatriques. Le sujet atteint de psychose n’est pas conscient du désordre de sa personnalité, alors que celui qui souffre de névrose perçoit le caractère maladif de ses troubles. La personnalité est ce qui caractérise une personne, et les troubles de la personnalité chez les psychotiques s’accompagnent de troubles du comportement associés à une perte intermittente du contact avec la réalité. Au cours du siècle dernier, le terme de psychose regroupait toutes les atteintes cérébrales comme, entre autres, les démences ou les intoxications à l’alcool, qui étaient particulièrement graves (on se souvient des empoisonnements par l’absinthe). Peu à peu, le terme de psychose a été écarté de ce fourre-tout de maladies mentales regroupant les atteintes graves du psychisme. Aujourd’hui, il correspond aux maladies mentales ne s’accompagnant pas de lésions cérébrales évidentes (c’est-à-dire d’un fonctionnement défectueux du système nerveux), mais plutôt d’une modification de la perception des faits quotidiens. La notion psychiatrique de psychose n’a rien avoir le sens commun du terme, qui correspond en quelque sorte à la peur d’événements (comme la psychose de la guerre). La psychose dans son acception psychiatrique équivaut à la notion familière de folie. La psychose, c’est aussi des symptômes psychologiques tels que les bouffées délirantes (accès de délires qui surviennent et disparaissent brusquement). La paraphrénie, la schizophrénie (voir plus loin), exemple de psychose qui apparaît le plus souvent sous forme de délires chroniques paranoïdes (voir plus loin) et la psychose maniaco-dépressive font partie de la famille des psychoses ; Certains délires sont qualifié d’imaginatif, c’est-à-dire créatif, non pas au sens constructif du terme mais plutôt malsain, voire nocif. L’imagination maladive du paraphrène est débordante et le plus souvent, il lui est impossible de différencier l’imaginaire du réel. En résumer, un sujet qui souffre de paraphrénie semble vivre dans deux mondes différents. D’un côté, le monde tel que nous le connaissons et de l’autre, celui du délire dans lequel il se situe. D’autre part, il ne cesse d’enrichir ce délire grâce à son imagination. On distingue 2 types de paraphrénies : la paraphrénie systématique où le malade se voit au centre de son délire, et la paraphrénie fantasmatique et de confabulation, dans laquelle la réalité est vécue de façon purement imaginaire (à la manière des enfants, chez qui elle est très fréquente et normale). Cet égarement, mieux perçu par l’entourage médical que par le milieu familial, donne l’impression au malade paraphrène d’assister à un film ou de vivre dans un conte merveilleux. Cette maladie n’empêche pas d’avoir une vie normale et son traitement repose sur celui de ses accès délirants. J’ai le sentiment d’avoir eu affaire à des gens souffrants de paranoïa, terme qui par contre fait partie des psychoses qui se caractérisent par un délire systématisé ne s’accompagnant pas de diminution des capacités intellectuelles, la surestimation du Moi (orgueil et mégalomanie)
· des erreurs de jugement liées à un raisonnement logique sur des bases fausses reposant sur des a-priori purement subjectifs
· une rigidité psychique
· une méfiance allant jusqu’au délire de persécution (la mal vient toujours de l’Autre)
· le dogmatisme (attitude intellectuelle affirmant des idées sans les discuter).
·
Le paranoïaque finit par s’enfermer dans un cercle vicieux persécuté-persécuteur. Son credo consiste à convertir les autres à ses propres idées. Le traitement du paranoïaque nécessite généralement l’hospitalisation, et parfois même l’internement du malade. Les autorités médicales sont souvent obligées d’intervenir avec résolution et de décider un placement d’office. Les médicaments employés sont les neuroleptiques (voir plus loin) et parfois la psychothérapie à la recherche de contenus émotionnels apparaissant.
Il existe ici aussi une prédisposition génétique. La crise de manie se traduit par une fuite des idées s’accompagnant d’une incohérence de celles-ci. Cette crise d’euphorie peut aboutir à l’extravagance la plus totale. Le patient se trouve en état d’excitation extrême pendant lequel il est très désinhibé : par exemple, il est capable de déchirer ses vêtements, de hurler, de faire des achats inutiles et extrêmement onéreux, etc.. Habituellement, ces crises s’accompagnent de ce que l’on appelle une logorrhée (le patient se met à parler de façon continue et intarissable). Le discours contient des jeux de mots et des obscénités. Généralement, le tout est accompagné d’insomnie. La crise de mélancolie, quant à elle, correspond à une dépression profonde qui se caractérise par une tristesse permanente sans relation avec les circonstances extérieures. Le malade ressent des sensations internes de malaise et une angoisse assez intense. Il existe parfois un délire s’accompagnant de culpabilité et d’un refus d’alimentation assez fréquent. Le danger le plus grave de ces épisodes est le suicide. Ceci nécessite une surveillance étroite et attentive. La crise de mélancolie, d’autre part, s’accompagne de ce que l’on appelle une inhibition intellectuelle avec manque de concentration et fabrication d’idées lente. Les gestes sont ralentis, l’indécision est habituelle avec un sentiment d’impuissance et une absence de volonté (aboulie). Le traitement, autant dans la crise de manie que dans la crise de mélancolie, nécessite une hospitalisation, surtout dans les formes graves (généralement contre l’avis du malade).
. … Amalgamer psychiatrie et contrôle social, stigmatiser La personne normale pour la transformer en malade mental et sa prétendue dangerosité risquent surtout de dissuader les milliers de malades qui se rendent volontairement à l’hôpital psychiatrique chaque année (540 000 hospitalisations en service libre en 2008), trop effrayés par l’image carcérale de la psychiatrie que charrie cette réforme. Les malades non repérés et donc non soignés ou pris en charge, sont pourtant les plus dangereux, et cette dangerosité que l’on croit maîtrisée en les incitant à fuir les soins ne cessera d’augmenter. Cette confusion entre folie et dangerosité ne peut que renforcer l’isolement des malades, et par-là même l’insécurité alors même que dans mon cas je signalais l’insécurité dans la cadre du temps passé sous les drapeaux et notamment en fin de période.
Interrogeons-nous. Ces réformes contre-productives répondent à un fantasme, reconnaissons-le, assez infantile : le risque zéro, qui semble être le fer de lance des pouvoirs publics depuis plus de deux ans, n’existe pas. Dicter de telles réformes sous couvert de la souffrance des victimes ne conduisent qu’à augmenter le risque de dangerosité de ces deux catégories d’individus enfermés dans leur stigmatisation. La stigmatisation empêche l’aveu, et les professionnels ne le savent que trop, eux qui ont à traiter de vraies psychoses et de vraies pathologies
. Comment exiger d’une personne qui vous insulte ou qui vous harcèle un travail psychologique digne de ce nom lorsque seul le silence sur ce qu’il commet pourra le sauver de ses idées ? Les «pointeurs», parce que les arrêts de rigueur ont été ce qu’ils sont et que la diabolisation d’une autre forme d’autorité perdure, parce que ceux qui s’y sentent confortés depuis des décennies, sont tous conduits à affirmer qu’ils sont prévenus pour des faits provocants, sous peine pour moi de me voir frappé ou humilié. Cette stigmatisation qui confine à la diabolisation interdit l’aveu, le travail psychologique et psychiatrique, et ancre ceux dont on aurait tord de ne pas se plaindre dans ce qu’ils sont. Il ne faudrait donc pas que l’idée d’afflictions devienne ce fou croque-mitaine si habilement dépeint, et les hommes et les femmes conscients de leur fragilité et de leur éventuelle dangerosité rebrousseront chemin devant ce nouvel univers médical, spectre d’une psychiatrie asilaire sans retour, devenant de ce fait plus dangereux pour eux-mêmes et pour les autres.
Il s’agit pour ce qui me concerne de faits divers qui pourraient trouver sans conteste un écho en chacun d’entre nous, leur exploitation et les réponses qui y sont apportées vont à l’inverse du but recherché. La question est : pourquoi ?
Ma contestation est claire, soit ces affections mentales n’existent pas et donc n’ont pu exister normalement à l’intérieur de la période normale d’activité et dans ce cas à l’extérieur non plus et c’est l’abus sur temps actif durant l’armée qui y a prévalu en donnant lieu à deux handicaps que le discours médical a repris à sa source sans en faire dépendre à long terme l’état général et humain qui appartient surtout à la médecine généraliste.
Actuellement, il faudrait consentir à admettre que les commentaires se sont transformés, ce qui tend à déplacer ce type d’intervention. A l’écriture, les diagnostics sont déjà de faibles indicateurs psychiatriques réels, ceux qui explorent des choses sans conséquences et sans importance. Il y a des répercussions sur le concept d’appartenance militaire, qui pour se désengager montre la non-imputabilité. D’autre part le comparatif à travers les points de réception de toute psychiatrie civile prévaut. Il y a aussi ce vocabulaire juridique qui à titre indicatif ne dégage pas les informations parce que celles-ci ne sont jamais communiquées en temps utile, ce qui est réceptionné est donc toujours pareil, ceci provoque l’autorité acquise de l’État, dans l’isolement médical le plus influent comme dans l’isolement physique qu’on m’a imposé., Les indicateurs juridiques, montrent bien que mon appel ne puisse être supporté par le code. Ma défense n’entre plus dans le temps d’armée, elle a parlé d’abus, de contexte fallacieux qui est la cause la plus juste pour apprécier de la gêne globale, une gêne qui est nécessaire pour satisfaire à l’évaluation moyenne, en façade de ma personnalité. Celle ci s’est déduit par l’isolation, en accord avec une propriété que seul le concept militaire éclaire alors qu’il s’en désintéresse aussitôt.
Élucidée en expert, les indicateurs de l’analyse montrent une enquête corrélative en privé, qu’on adapte en demi – mesure, pour une baisse sensible d’appartenance aux textes et bien plus au civil
Mes affections psychiatriques émergent à peine de l’iceberg, j’aurais souhaité une meilleure transparence de l’État, j’aurais souhaité encore plus connaître sur la psychiatrie, son indicateur. De façon précise, bien que ne soit pas pris en compte l’oralité de mon discours, et que face à un psychiatre est pris en compte un patient assis à une table dont ne sera pris en compte que le confort médicamenteux du présent. Au fond, je suis soumis à une transformation grossière de mon existence, ce qui semble normal parce que l’existence se fonde sur des faits transformés en vue d’une guérison. Voici donc ma détermination à comprendre quelle guérison on a cherché ; . Je conteste le vocabulaire juridique au sein de cette procédure judiciaire et médicale dont on ne sait plus si c’est ma personnalité qui sème la contradiction.
Tout en ayant essayé de me tenir au plus prêt des aspects privés et professionnels, de mes sentiments quotidiens, je montre que les problèmes n’existent que sous certaines formes contenues bien trop théoriquement, comme avance la procédure, mon dernier conseille dit que « j’ai surtout servi la France.. C’est ce qui a été déplacé de notre lecture que je tente de notifier, pour montrer que je n’ai cessé d’examiner ce qui a marqué finalement l’inexistence. Vis à vis des faits récents, on pourrait sélectionner l’attitude et le comportement quant il dit « par quelle extravagance du psychisme hors certitude en est-on là, et c’est de cette conviction là que sur tous les registres je recherche l’existence lors des faits. Je ne veux pas surnager ou sous commenté ce qui est avancé, de même je ne sépare pas vraiment ce qui est vraisemblable de ce qui ne l’est plus, je m’indigne de ce mode d’emploi qui s’accommode si bien du fléau existentiel pour le comparer à plus grave. D’un coté une plainte sans justice qui parle d’inquiétude, de mœurs ou d’usages familiaux sans retentissements officiels alors qu’à eux seuls, ils prennent la majeure partie de la place telle qu’elle est expertisée. On suggère un syndrome d’influence, une psychose chronique, une personnalité pathologique. Cette demande augurée en justice n’avait rien de tels pour être corroborées de façon symbolique ensuite, par des observations évolutives dites actuelles. Notamment, chaque demande est une fraction de vie, pour ce que j’en ai vécu, vu et entendu, je ne crois pas qu’ hors du champs militaire et vis à vis du temps écoulé depuis, de cette durée que les dates soient un obstacle, elles sont peut-être trop éloignées pour être relevées mais durant cette période la chose partagée ne s’accrédite pas ailleurs. En sorte que rien ne peut être donné ailleurs du même tenant et du même aboutissant que ce que je crois et exprime. Jamais, il n’y eu d’informations suffisantes, et je peux soutenir mes informations avec raison, avec les thèses d’études cliniques, face au milieu hospitalier, telles qu’elles existent dans les affections citées. j’intériorisais bien trop auparavant à l’écart du sujet parce que je n’étais pas au fait des diagnostics. C’est après mure réflexion que je considère que ma personnalité ne pose pas problème à travers mon sérieux, l’intérêt au contraire ne semble pas vieillir, pour en parler, je me suis heurté à des phénomènes intra personnels, et aussi à des flashs militaires d’appelés dont la médiocrité n’est pas pour moi l’expression d’un raisonnement normal, ce qui pour moi au contraire avait de l’importance paraissait ne plus en avoir pour certains
D’ailleurs, si j’ai été dirigé vers les médecins, vers là où l’on dérange moins parce que l’on vous observait tant. Ce que les spécialités définissent comme « un air bizarre ». Ce qui cache l’importance des faits exercés à mon sens trop librement sur un mode qui favorise l’idée du mode d’existence à l’inverse de l’hygiène mentale. Ce blocage s’avère incontournable. Non seulement le signifiant dans la durée de son emprise, n’est pas autre chose que ce vécu contrarié sans estime, ni pour soi ni pour la justice.
Une justice qu’on est seul à défendre à ce moment là justement et dont on ne voit pas l’importance, après quoi je me vois imposé une sorte de « fiction ». Alors cette justice est complètement repliée sur elle-même en concevant une hiérarchie qui ne souhaite pas s’expliquer vers ceux qui sont compris sans agir, dont les normes sont aussi d’un seul tenant montrant l’apport psychologique souhaité et souhaitable de toutes parts, Faute d’appliquer cette psychologie, la législation reste encore absente à conclure qu’un peu de psychologie aurait suffit. Plutôt que s’émouvoir sur mon faciès, on tente donc de la remplacer par un mode de vie qui montre des mœurs récalcitrantes. Ce réflexe de dévisager celui qui aurait comme moi, l’air bizarre, pour des circonstances interprétatives qui s’offrent de façon assez anachronique, dont la relation est le premier accessoire de la cause. Pris à sa source, rien n’alimente la raison de l’intérieur, à l’extérieur, la procédure n’est plus qu’un symbole. Il ne peut y avoir de pratiques PSYCHIATRIQUES même parfaites qui portent les ambitions médicales de l’Armée tout en portant aussi hautement l’ignorance qu’on s’en fait. Ce qui a été exercé s’est exercé sans mal par des pratiques prêtes à l’emploi, conçu pour durer, bien sur critiqué par le monde de l’enseignement psychiatrique actuel qui bien évidemment exprime une critique professionnelle qui se dissous dans les exagérations. Mon expérience fait face des connaissances universitaires et technologiques qui conduisent à conclure vite que j’ai subit un mode d’action délégué qui ne met pas fin aux disproportions publiques de l’armée. Que n’ais je pas entendu une fois le sujet sans importance conduit à opposer des gens, sur un thème libérateur
Or, ces problèmes de santé s’exercent toujours comme des sens suffisamment décelables au départ, plus le malade fait preuve d’un peu trop d’engagement vers un thème, plus il peut être dénommé et déclassé de son sujet selon des critères infirmiers, n’oublions que l’ennemi est le plus souvent un assentiment particulier, qui en cas d’échec peut déboucher sur l’écoute médicale. Une écoute loin du sujet de telle sorte que n’existe plus beaucoup, autreS choses que ces soins psychiatriques. Médicalement, le soignant dans sa thérapeutique a pour consigne d’éviter de parler des critères du soigné, mais plutôt d’attirer l’attention sur le caractère et la personnalité du soigné. Ce qui s’est développée de toutes manières doit être soigné à l’inverse d’une assise de pensée directrice en fait des troubles ou considérée comme tel. C’est cette maturité médicale, cette écoute extravagante qui est surtout l’école de la pensée du monde des soignants, faute d’une autre volonté de rentrer dans le débat du soigné et d’un autre apprentissage qui ne serviront qu’à prolonger l’attente du soigné au détriment du reste. Les arguments comme le fait exprès, sont occultés, on parle troubles de celui qui ignore en fait ce qu’il a subit.
Ce qui immédiatement communicable est occulté de manière à ne pas servir d’alibi pour le malade. C’est au fond du compte désobligeant, par manque de cohésion avec le malade, on a déplacé l’intérêt, de toutes ces petites choses mal emboîtés, qui ont aboutit à une dépression pour sortir de ces contextes pernicieux, insistant qui ne font qu’augmenter en durée comme en peine les afflictions comme les tords des uns et des autres ;
Comment n’entendre ni la vérité ni le mensonge du plaignant sur le mode du plaignant sans réelles voies d’accréditation si long à se mettre en place puisqu’on l’oublie !
On oublie cette superficialité qui heurte profondément l’aspect caché de tous et toutes, ces voies sacrées du vrai ou du faux caché lui aussi, enfoui très loin car , « toute vérité n’est pas bonne à dire »,
Parce que le monde des soignants se sera seulement imprégné d’un assentiment qui a valeur sensitive et de jouissance pour le malade dans la mesure ou pour bien se convaincre, il faut mieux n’engager que les vraies circonstances que pour soi et nullement pour les autres. C’est ce qui a été bloqué sous formes précises, grâce à ce vocabulaire méticuleux du monde psychiatrique, c’est ce qui apparaît vite dépassé par les soins qui restent toujours sans grandes reconnaissances du conflit subit.
Contraint à ne pas être reconnu prouve que son sujet personnel se surmonte obligatoirement par l’habitude infirmier surtout lorsque les bases conceptuelles sont de montrer que cela n’a jamais été grave.
. Ceux qui ouvrent sur la psychose, une si large observation vont développer plus tard comme une paranoïa, un délire et plus encore si j’en crois toute la psychiatrie parce qu’un désordre règle nos échanges directs, sensitifs, commun à tout ce que nous ne manquons pas de faire en exagérant notre esprit, notre âme diront ceux qui aiment ou affectionnent l’exégèse, tout ce vocabulaire est nuancé par la réalité, nous n’attribuons jamais ce qu’il faut quant il faut et nous croyons faire, défaire sans trop exagérer, nos moyens intra personnels, ne sont pas ceux des chasseurs de tête parce que l’influence civile devient partielle, souffrant de l’excès d’ailleurs parce qu’il est ignoré des capacités sensorielles comme cet excès règle pour tous passages à l’acte innovant comme ici un État attaqué sur se deniers. , Une sorte de contre culture pédagogique, une sorte de contre médiation, une étrange concertation où il ne sert plus à rien de contester. Ce qui n’amène que pure coïncidence, pure amalgame, pur rapport, l’idée de nos actions conservatrices, des idées qui pourtant me semble bonne par qu’elle sous tend que nous agissons moins pour avoir respecté l’esprit que l’action elle-même.
C’est cadrer sa propre autonomie à l’inverse d’une action médicale bipolaire qui ne peut apparemment pas changé. Il faut avoir été soigné sur place par le besoin futur de revenir sans être reconnu pour comprendre que le domaine santé est aussi figé que l’est l’action quand elle est limpide voire trop forte, trop vaste, trop ample.
Je relève que le terme dominant doit tout autant traiter du possible et du raisonnable, syndrome du conscient au même titre que le syndrome de compréhension, les effets indésirables qui doivent montrer l’attractivité hiérarchique de vous engager pour le fait médicamenteux et lui seul.
Autant dire que malgré le harcèlement qui a pesé sur moi, le simple dépassement de soi, serait de relever le terme psychologique et dépasser le terme, en y croyant, là où cette responsabilité s’exerce à l’inverse d’une cause. Cette cause n’est pas soi, qu’elle s’interroge sur l’avenir des autres à travers soi. Le terme psychose ou influence, est très compliqué comme un désordre au sens propre signifie aussi ne pas connaître, ne pas savoir ce dont parle les autres quant ils sont médecins, ce qui s’est passé sur le terrain secret de ce vocabulaire., . C’est cette différence que j’essaye de mettre en relief et non un fragment des conclusions, je me souviens bien des défenses subjectives, passées sous silence. Des défenses normalement relatives au signal apparent, dit rentré, d’agressivité restreinte, douteuse de son propre instinct. En remplacement de la preuve qui restera toujours une valeur indivise avant d’être normalement médicale. Ce qui est exercé sous contrainte, ou sans contrainte, voilée de la part exclusive des experts contraints de se perdent et sans doute dans l’excessif où se juge en appel mon affaire ;
. Or ce qui a suscité la constitution de ce dossier s’imprègne en somme de l’idéal habituel qui dérange sans jamais triomphé. Comme cette seconde expertise qui restant basé sur la première, montre une autobiographie authentique s’intéressant à la cause parentale, sociale, ainsi qu’aux faits suscitant de la part de l’expert son propre intérêt.
Ce que je rapporte lors du dialogue avec l’expert, ne peut avoir d’autre voie judiciaire qu’un investissement au-delà des dates, c’est ce que commet l’État. De plus ce qui y figure, délègue un intérêt au propre renouvellement de la sensitivité sur le mode du dialogue, comme du développement et l’explication qui s’en suivit. À la lecture de la seconde expertise, dont l’ensemble ne manque d’intérêt, il n’y a pas lieu de s’exécuter en justice, l’initiative de l’armée en amont est d’ailleurs extérieure à l’action scripturale de tout ce qui figure dès lors, à la fois en excès de son action militaire et de ce qu’à commis l’État quand il s’inscrit dans cette recherche. Moi-même pourvu des éléments réels, mon importance dans ce cadre n’est que faible, d’autant qu’augmente mon intérêt à y souscrire. Et c’est ce que je fais, de cette période à nos jours et dans cette structure passée, , ce qui ne me permet pas d’y adjoindre des textes réglementaires, mais ce qui me permet de parler de l’égalité des droits et des chances, de la participation à cette période d’un autre déploiement. Quel document particulier utilisé va se permettre d’être et de renouveler un tel support sur le processus engagé, mis caractéristiquement mon état psychique, sur l’instance médicale. Faute d’être remis strictement comme extérieur au syndrome d’influence et à la psychose. Car si l’on veut être nécessairement plus clairs, il ne peut y avoir inexistence et imputabilité, ce qui est grossièrement consentit à l’action empirique de l’armée quand elle a soigné, est inconciliable avec l’imputabilité des recherches.
Mais ces recherches sont fournies surtout sur une valeur empirique, et ceci semble être le cas de toutes expertises qui conforte les mêmes taux à travers un vocabulaire appris, qui n’est pas du tout naturel, qui consent la chose jugée, surtout si l’autorité de cette chose disparaît par la période, si cette non imputabilité, s’appuie sur une autorité différente qui se dégage de fait et de droit de l’action juridique du temps passé pré – période pour revenir à son essentiel. Pour expliquer un tel essentiel, l’étude va jusqu’à contraindre quelques acteurs de mieux s’expliquer de façon transversale, pour montrer aussi ce lien qui manque à l’assujettissement à une cause médicale réelle et soutenue qui n’apparaît pas à cause ou du fait humain.
Scientifiquement, il n’y a pas la preuve que l’action a été juste et l’État ne s’en soucie pas, je fais rétroactivement observer que je conteste la valeur autobiographique, psychiatrique, neurologique non pas parce qu’elle me déplait, au contraire elle est passionnante, mais ce qui s’est exercé n’a pas la nécessité d’agir face à des problèmes parentaux ou environnementaux lointains D’une part en montrant que les raisons de ces investissements sont plus lointaines que cette période, je ne peux aboutir de la part civile à satisfaire la demande du juge, ceci n’étant pas suffisant pour interner la preuve différemment quand ces investissements s’exécutent, et d’autres part ceci montrant que le système nerveux, qui était le bien durant ma période fonctionnait bien, que certaines circonstances Identiques auraient pu être meilleures mais auraient forcément pu être pire. À l’inverse des observations durant les soins, que je ne connaissais pas et qui ont montré un ressentit de la part psychiatrique des armées qui ne se fondent pas sur la période, ce que conteste M. NAHON, psychiatre civil puisque ce qu’il inaugure la plainte invitant l’Armée de s’expliquer jusqu’à montrer la dangerosité de ce traitement qui pour d’autres paraît inoffensif, j’en conclue que la part de ces médicaments fut prescrite face à mon désappointement, que tous médicaments ne peuvent remplacer la seule psychologie. Non seulement les effets indésirables sont plus ou moins importants, et les informations à connaître étaient, à l’instar des expertises, fortement ignoré de l’objet de ces expertises. Comment prendre une décision qui conclue sur la conservation des mêmes jugements de valeurs, en augmentant les informations supplémentaires, faisant apparaître l’utilisation de barbituriques, tantôt pour sécuriser ce qui est inutile, indissociable du traitement justement pour causes inutiles, car la croyance scientifique reste de l’autre côté, un combat qui s’exerce contre la rationalité, l’exercice excessif ou utile d’une cause où se qui se sent est réel et non utilisé comme une maladie. Voir ou entendre des propos à son égard, montrant une hiérarchie erronée comme la notification ferait apparaître comme une croyance, car l’habitude à vivre ainsi a créé une dite suspicion inhabituelle qui montre toujours la preuve que l’habitude, telle qu’une habitude que l’on vous contraint à avoir, n’est pas toujours normale. Si ce qui avait bien fonctionné en moi n’a pas vraiment montré ses limites, il n’y avait rien a changé, or hormis l’initiative militaire sur le plan sanitaire, la maintenance n’a rien montré de consensuelle, pour appuyer l’État sur de nouvelles réformes, comme l’arrêt CHAIX ou d’autre levier juridique qui ne s’appuie pas sur les mêmes échéances. Bien que ces échéances existent par une autorité financière que je conçois s’occupant dans le cadre des pensions militaires, de cas existants, j’observe que le seul recours est neuf exempts de ce recours face aux greffes des pensions, que ceci s’observent très différemment.
La maîtrise du discours juridique, l’évolution des termes médicaux, les mêmes problèmes administratifs, les manquements psychologiques. En ce qui concerne l’âge donné où l’on voit s’essayer le fonctionnement nerveux sur à mon sens un trop plein mal vécu, qui s’installe bien évidemment en amont, de plus en plus floue, puisque l’armée refuse de s’y imputer au jour d’aujourd’hui.
L’inné et l’acquis, l’hérédité ou l’influence de l’environnement, l’éducation ne m’ont pas amené à un quelconque refus de consentement qui induirait de la part prépondérante, une autre vision de la ^part hiérarchique qui non contente qu’on obéisse comme du pain béni, à des petits officiers ou compagnons d’armes comme à soi même, se voit mettre en demeure quelques instants, quelques personnes, pour vous entendre dire un certain nombre de termes fallacieux et indignes d’un grade supérieur, le vôtre n’étant pas en mesure ni en volonté, de faire jouer une différence, ceci est généralement le fait d’obligations injustes, et c’est le cas, ici une fois de plus..
Ma recherche comme la recherche du Juge porte sur la personnalité sensible, parce qu’elle est censée m’appartenir, mais aucun travail, hors citation, n’est reconnu de cette façon. Ce qui se modifie rapidement ou se fige sur le travail des premiers médicaments, n’est rien au regard de l’interrogation future, en tant que vocabulaire ou certificat médical, l’État n’a rien à produire d’autres que des lectures investit déjà sur la prime enfance, à l’époque où personnellement j’épousais les valeurs littéraires de lycée, où je lisais mon programme, où de façon littérale, je me préparais à vaincre et à convaincre, à la fois pour me sociabiliser, or c’est en des termes ambitieux que je le dis, que cherchais cette structure militaire semi disciplinaire, pendant, que je sortais à peine des mots comme âme, esprit, corps, cartésianisme…Il arrive qu’une personne, généralement jeune, se lance momentanément dans un discours incohérent ou se mette à commettre des actes en dehors de toute logique. Elle peut parler des Champs Elysées comme de sa propriété, être persuadée que le présentateur télé s’adresse personnellement à elle ou encore écrire une cinquantaine de pages incompréhensible en une soirée…C’est que ses fantasmes, souvent avec hallucinations, prennent alors la place de la réalité. Ces épisodes, lorsqu’ils n’ont pas été précédés de troubles psychiques graves, s’estompent au bout de quelques jours ou quelques semaines et guérissent généralement sans séquelle. On ne doit pas les confondre avec le délire chronique.. A quel moment ais-je rompu avec le réel ?
J’ai appris à prévoir avec ou sans les suppositions exagérées du domaine psychiatrique, j’ai plutôt appris autre chose à travers le manque de diversité et même de logique, ce que j’ai appris de l’analytique comptable et des budgets prévisionnels, est corrompue, jusqu’à ce que cesse toute forme irréalisme, tout discours abstrait sans certitude, avec ou sans ce déterminisme immatériel, indéfinissable tel que ce principe selon lequel il y a des différences et que c’est justement parce que ces différences existes, que les dictatures sont prêtes non pas à étudier, une volonté collective mais à montrer la force, simplement parce que l’obligation touche tout le monde. Ainsi apprise, ces formes de sociétés m’ont obligé à montrer l’humanisme mais à soigner aussi en moi, mon manque d’acceptation car pour ce qui est des conséquences littérales, j’ai surtout différencier les attitudes au plus faible de mes appointages militaires, donc bien après cette période, conséquences introduites par le fait générateur, la guerre et ces réalités lors du brusque changement de générations, comme il se devrait d’une substance différente contenu dans le sevrage obtenu par l’abstinence et l’abstention de façon claire le désarroi pour renouer à des termes de philosophie, eux difficiles, métaphysique , psychisme qui se veut représenter à l’écart de ma mise à part par de brèves versets de la Bible en tous points pareils à des êtres méchants qui adore l’idée de Dieu tout puissant,, avec beaucoup de mal une notion scientifique, technique, de représentions scéniques, philosophique à son tour qu’il faut s’efforcer d’admettre en se cachant derrière ce que l’on est pas . Je parlais des difficultés pour acquérir un autre langage au-delà de mes aptitudes pour continuer à filtrer le programme complet d’une formation de gestion. Je n’étais pas soucieux d’apprendre le comportement humain sur un milieu déformé, boiteux, il est fondamental d’être proche de son travail de bureau ou de sa famille, eh bien non, les scientifiques en font reproche sur un mode de pratique et de recours à une manie dite protectrice. Initialement prévu pour soigner des fous et étendu vers une révolte des connaissances en tout point pareil à l’élargissement des conditions de travail, on parle des conditions de vie en milieu de formations mais pas seulement, en milieu ouvert, mixte, fermé, je me concentrais non plus sur ce que j’avais compris, et je ne pouvais plus appliquer des études récentes, des cas concrets, pratiques à dévoiler si tant qu’ils existent dans les bilans d’entreprises internationales comme on nous l’a enseigné à l’école. La réinsertion professionnelle pour moi n’était nécessaire qu’à partir d’une faute ou d’un handicap, je ne relève donc pas d’autre chose que mes études et mon travail, pour le reste je suis aux trois quarts autodidacte : la physiologie du corps humain, l’anatomie, j’ai observé à travers ce qui affecte un sujet, que si l’on ne m’imposait pas de mauvaises techniques et des moyens inefficaces de la part d’une autorité qui en plus impose et juge, rien n’affecterait mon comportement si tant est que ce qui m’affecte soit considéré comme anormale ou justement là pour bloquer l’évolution telle que ces mêmes personnes détaillent les étapes, les trajectoires, ces épiphénomènes auxquels j’accorde initialement aucun crédit sont observés en plus par la mise de ces pratiques qui en plus sont enfermés dans un discours augural, de soins tout juste nécessaire pour traité ce qui serait apparu. Thérapie des névroses. Il y a beaucoup à dire pour se dire psychiatre, quand l’action consiste à aider un malade, à l’aider sachant qu’on l’enferme, sur la base non anatomique, que l’on décrit bien vite en angoisses, obsessions,phobies, ce ne sont pas pour mon cas, l’altération profonde d’une personnalité qu’on compare à la psychose, mais on a tôt fait en disant que les séquelles psychotiques aigues sont une maladie qui ne datent pas du moment où on les diagnostique, maladie mentale ou simple affection nerveuse quant on s’y attarde, sont vécu pour le compte aussi de la raison, de la justesse, de l’équité. Beaucoup de techniques extérieurs à ce que je viens de dire font d’un homme, à la fois un grand littéraire, un grand scientifique ou un grand chef d’Etat, tous ont vu se définir sur leur courants de pensée le pendant des courants qui va les mettre soi disant en difficulté parce ce que justement leur talent les démarque de ceux qui n’en ont pas et qui refusent de parler équitablement, et de défendre les injustices, ces raisons sont parfois à ne pas voir comme étant le terrain d’élection du besoin de guérir en eux soit le cadre malade, soit le cadre tel qu’on refuse qu’il soit élaboré pour être partagé. Il y a un boulevard d’Idées entre la notion d’âme et la notion scientifique de psychisme, il faut pourtant considérer que mot s’est modifié au cours des âges, refuser cette similitude revient à traiter un sujet qui n’admet pas d’exister en ceci et par le fait du non-savoir ou du refus de savoir,
D’abord parce que les définitions sont proches et non scindés en fluctuation inconsciente montrant que l’esprit conflictuel est toujours là, soit par le désir de ne pas aller plus loin, soit par le refoulement aux manifestations , pris comme un danger et non pris comme la signification d’avoir à lutter. Même principe social, même principe juridique, même principe étatique et administratif, où nul ne peut croire que le danger s’évite ainsi, ou va être éviter. Antagonismes externes, foulant la personnalité. Masquant l’aspiration matérielle, ou morale, luttant contre un désir superficiel ou profond, pourvu d’une lutte sans intégrité, contradiction donc inutile avec la partie digne collectivement parce que justement les éléments déréels manquent le désir collectif pour ne s’intéresser qu’à ce qui se manifeste au plus loin du sujet, en soi face à son unique et propre psychisme .
Conséquences ou signaux, appétence en tout cas, apparition à la lucidité, aux commémorations, pour démêler certains antagonismes, voire un maximum, de dangers d’embrouillement, exécuté par l’environnement hiérarchique mal réparti tel qu’il n’a cessé de s’imposer à moi. Les orientations fines ou carrément les propriétés spécifiques comme les épreuves sur l’assimilation intime, sociale, courante sont des thèmes vérifiés vers des formules d’examen qui accumulent dans l’utile bon nombre de contradiction ; A partir de la théorie, aucunes résurgences d’erreurs obscures, assemblage de méprises dans la pratique des spécialistes ; Dans la pratique aimable de l’influence, l’autorité ascendante ou de l’environnement peut se convertir pour modérer des dispositions naturelles, éventuelle domination à un moment où l’entourage devient le seul environnement social et affectif
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19 février 2010
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