Vendredi 19 février 2010 14h16
Nouveau commentaire sur l’article #9018 « Auteur : Marcel MANDELKORN »
Auteur : mandelkorn (IP: 172.31.235.6 , 172.31.235.6)
E-mail : marcel.mandelkorn@equipement.gouv.fr
URL : http://societedesecrivains.com
Commentaire:
Pendant l’intervalle, où j’achevais mon service militaire, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer, je venais de tout subir sans pour cela opposer une once de résistance. J’étais convaincu que ma propre psychologie n’était pas la qualité d’un phénomène psychologique particulier ou persistant. Il me semblait avoir été utilisé dans un processus de conditionnement.
Tout me semblait désigner un ensemble d’opérations permettant de provoquer une nouvelle. Conduite d’un sujet, conduite inscrite dans un Cadre dans lequel se déroule une action qu’on ne maîtrise pas. Les caractéristiques contextuelles (des personnes présentes, etc…) m’ont influencé directement, notamment à travers les comportement et les attitudes
Des faits similaires (bagarres, plaisanteries par exemple), pourront faire l’objet d’une interprétation très différente selon le contexte dans lequel le contexte environnemental et temporel existe. Tout comportement a une motivation visant la satisfaction d’une tension. Le comportement peut s’orienter vers la recherche d’un objet ou la mise en place d’une certaine situation. Tous les comportements sont adaptatifs. La qualité de l’adaptation est fonction des croyances sur place et des capacités physiques, économiques et intellectuelles du sujet, ainsi que de son emprise.
Le but peut être de supprimer ces réflexes si nous utilisons des stimulus désagréables ou bien de les renforcer en y ajoutant un stimulus agréable (renforcement positif). Il est aussi possible de créer de nouveaux réflexes ou de nouvelles habitudes.
Les multiples possibilités offertes par la technique du conditionnement en font un outil utilisé fréquemment en psychiatrie, notamment dans le traitement des alcooliques (prises de médicaments déclenchant des crises de vomissements en cas d’absorption d’alcool par exemple conditionnement pour qualifier une réaction conditionnelle difficile à modifier même après plusieurs essais.
Ce qui s’énonce sur le plan médical de façon très précise n’avait encore de ma part suscité aucunes interrogations. Mon occupation n’introduisait plus rien de neuf que de me prendre en charge physiquement, à partir du moment où tout ce qui a été noté de façon psychiatrique avait été fait de façon théorique, comme si j’ avais été dévisagé, ou qu’on s’était contenté de scruter une apparence, une physionomie, un air dont les diagnostics qui en ressortent relataient un ensemble subjectif très abstrait. Ceci à eu pour effet de me surprendre, notamment « cet air bizarre » qu’on m’a attribué faute de me connaître vraiment, faute de l’intérêt de vraiment cerner ma personnalité.. Depuis l’origine des afflictions jusqu’aux termes du procès, l’influence, pour entamer une cure de sommeil sur les bases concrètes d’un état le suscitant est restée ancrée en moi, un obstacle, c’est ce qui en ressort à travers ces syndromes qu’aucun psychiatre, n’a relevé depuis, ni avant ni après. Sans ses secrets d’alcôve et pourvu de quelques conseils juridiques, ni moi ni personne n’ont pu apporter d’éléments nouveaux au dossier, des séquelles et des afflictions dont il semble qu’elles induisent plus un modèle de société qui se sacrifie à la liberté. Au profit d’un objectif illusoire qui est le facteur temps. Quels besoins d’appliquer aux règles de droit ce qui se changent objectivement tout seul pour une évaluation égale à elle-même Taux faibles et sans rapport avec les afflictions, taux non imputables, marquant à la fois la non-recevabilité et l’inexistence. ! Les anciennes présomptions qui chargent en quelques sortes la preuve qu’en 1974, j’étais souffrant ont aussi choqué mes parents, il est une preuve qui consiste à rétablir la vérité à travers la présomption d’une incitation aux soins alors que comme d’autres médecins l’ont constaté je n’étais pas enclin à consommer des barbituriques. Dans le civil, il s’agit plutôt d’une présomption de non-besoins revus par le fait qu’on ne peut pas les arrêter brusquement. Par contre, un professeur de psychiatrie a essayé de dissuader mes parents de me les faire continuer, et de ne plus se fier aux idées militaires. De la part de mes activités habituelles, je suis resté plutôt subordonné à l’assujettissement des observations psychiatriques qui s’en sont suivi, tout s’est négocié au fur et à mesure de la reprise d’une activité normale.
Un grand engagement est né de la part intime et familiale, m’aider parce que la présomption était née comme le terme d’handicap qui suscitait un sentiment d’obligation à se rétablir. Il y a eu beaucoup de stupeur de la part de mon généraliste comme des spécialistes qui ont l’habitude de traiter des cas apparents, concrets et non des cas bénins comme le mien avec des études de validité scabreuses qui ont permis d’établir avec une bonne certitude de non -validité dès l’armée… Néanmoins, dès qu’il a été anticipé, mon cas m’a fait régresser civilement, mes anciens contacts sont devenus moins fréquents, mes efforts moins réguliers, mon ambition a stoppé et mon dynamisme a finit par disparaître. Je me souvenais trop de cette étape, j’en avais fais une fixation, au-delà de la période légale, j’escomptais reprendre une activité normale, notamment me réadapter aussitôt de manière civile, tenir bien loin de moi l’avatar que je venais de vivre mais j’ai en fait perdu de ma confiance au contact du suivi régulier induit par la demande.
La présomption d’une pathologie comme la psychose aurait du se traiter à tous les niveaux de l’appareil et du fonctionnement judiciaire et non pas simplement en fonction de ce qui a déjà été plaidé , c’est à dire l’abus voir l’outrance. …
J’avais l’intuition qu’officiellement, je ne perdrais pas de temps, mais que j’en gagnais pas non plus en me soumettant à des prises de neuroleptiques. Les soins et les quelques hospitalisations civiles qui ont suivi parce que mes parents tentaient de réparer soit mes atteintes soit à la non – validité sur la base rapportée. Il y a bien eu une autorité parentale critiquée depuis par un expert, de plus le droit s’arroge l’autorité de la force jugée en sa force dernière
Dans le cas d’une culture judéo-chrétienne qualifiée de trop forte de mon père, il y a à mon sens de la discrimination concernant mon père comme du concept envahissant de ma mère, au final un « délit de relation » Or un juge ne peut sanctionner le fait que ses propres parents soit plus que d’autres impliqué dans mon psychisme, évoquant une empreinte parentale trop forte. Le premier constat qui s’impose est celui de l’absence du concept d’autonomie au rang des concepts juridiques utilisés couramment. C’est ainsi que si on cherche “ autonomie ” ou “ autonome ” dans le Code, aucun article ne contient expressément ces termes. Il en va différemment bien sûr, si on se livre à la même expérience au sein du Code de l’action sociale et des familles.
Encore convient-il de noter que l’introduction du terme « autonomie » a subi une si forte explosion par l’intermédiaire de l’autonomie, et surtout par l’effet de la loi du 11 février 2005 “pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes « handicapées ». La notion d’autonomie fait ici une entrée remarquée dans les droits spécialisés, mais ne pénètre pas encore les « monuments juridiques » .
Pour autant, il faut admettre que les réalités couvertes par la notion d’autonomie ne sont pas ignorées par le droit. C’est ainsi que l’indépendance que suppose l’autonomie est prise en charge juridiquement par les principes de liberté individuelle et d’égalité civile. C’est ainsi que les facultés d’autonomie sont couvertes par la notion de capacité.
Il y a quelques années, le constat d’une absence de prise en compte de l’autonomie aurait été rigoureusement identique en droit de la santé, mais une grande partie de l’effort législatif récent qui s’est précisément orienté vers la prise en compte de la décision du malade, replaçant l’autonomie du patient au cœur de la décision médicale.
Par ailleurs, on ne retrouve pas ici une problématique existentielle, donc on est en droit de contester ce genre de commentaires et de justifications. On retrouve ici exactement les mêmes ambiguïtés que dans le droit commun. Appliqué au droit de la santé, ces arguments ne tiennent pas et peuvent même inciter à ne pas prendre en compte les volontés exprimées par ses parents. La seconde interrogation ramène à la force de la présomption d’autonomie. Ne va t-on pas parfois trop loin en postulant une autonomie générale différente sans prendre en compte suffisamment que la réalité du vécu en famille est plutôt bonne. N’est-ce donc pas cette autonomie qui en l’occurrence sous couvert d’autorité casse la relation, en s’individualisant de trop. Pour le monde médical, le questionnement éthique sur ce point est constant : à partir de quand dépasse-t-on l’apparente autonomie de l’autre ? Doit-on continuer à soigner sous prétexte de bienfaisance en opposition avec une autonomie exprimée si largement à l’encontre de la personnalité ? Est-on en capacité d’apprécier l’autonomie de l’autre et quel critère peut-on utiliser ? Autant d’interrogations qui ne font que poser les termes du débat qui me semble confondre et supposer de trop.
Or, le principe même de ces droits suppose non pas une présomption d’existence comme celle qui s’étend durant la période antérieure au jugement . C’est paraît –t-il l’état de psychose d’une famille un peu trop possessive, comme ces familles juives pendant la guerre. Peut-on parler de valeur psychiatrique ou de valeur militaire plus juste selon l’ attitude de ma famille.
Dans les faits, c’est au mois de juillet 1974, qu’on m’intima sur ma seconde caserne, l’ordre fallacieux, d’aller voir les médecins, quel rapport cela pouvait avoir avec tout ce qui s’est traité depuis..
Chez tout un chacun, cela provoque une grande interrogation.
L’ordre se transforma « rejoindre une infirmerie » « consulter »
C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de voir. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, chose facile. J’avais pratiquement passé la fin de mon armée à faire des temps de garde et de corvée, j’exécutais ces tâches parfois de la veille jusqu’à l’aube du lendemain.
Je n’ai jamais participé à ces excès de boissons, où l’on entendait quolibets et plaisanteries de corps de garde, où l’on côtoyait des fortes têtes.
Lorsque j’ai eu cette période de convalescence et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté le service actif, j’avais pratiquement oublié ma caserne de saint florentin, j’avais ôté de ma mémoire, un maximum de choses
J’avais finalement été dirigé un peu sans raison de SAINT FLORENTIN à JOIGNY, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital de Dijon.
Depuis, pour les psychiatres que j’ai vu, rien n’était grave mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne les avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux et je me sentais inférioriser, tellement habituer à un emploi du temps plus rigoureux.
Je me souviens n’avoir rien reçu durant ces années durant, qu’un grand silence, il n’y eu aucun dialogue juridique ni médical d’envergure mais l’aspect théorique qu’on retrouve partout était déjà comble. Hors, de ces périodes, je fus maintenu sous anxiolytiques, conduit à d’autres spécialistes, mon père pensait que l’œil exercé des uns et des autres, me tranquilliserait. ,
Je ne pensais à rien de bien discernable que ce soit sur le plan mental ou sur le plan des idées.
Pour être plus précis, l’autobiographie qui a investit le juge et le docteur GUERIN depuis la plainte augurée en justice par le psychiatre NAHON, proche de Percy, relève aussi d’une investigation critique, on voit qu’elle se base sur une autobiographie qui bloque toute ambition personnelle, pour laquelle il suffit de vérifier un lien avec moi sur les affections même qui s’en dégagent
Le premier psychiatre se base sur la période médicale parentale où l’autorité est forte, car inquiète : ceci signifie aux yeux de mes parents une relation, trouver une solution, admettre qu’il s’agit d’un préjugé qui n’intéresse qu’un verbiage de haute échelle sous influence au point qu’on se sent désunis, où les attributions particulières ne s’ impliquent pas vraiment.
Illogisme en terme de contribution, où je ne réussi pas à asseoir une piste qui répondrait de toute façon à des objectifs moindres, à travers mon activité réelle.
Une activité qui ne m’a encore rien jamais confronté avec des conditions semblables face à des situations analogues.
Près des affections, l’aspect spécifique d’une maladie a tourné vers l’aspect documentaire, globalement tout a été écarté juridiquement au sens des afflictions. Toutefois, force est de constater les abus en nombre que la représentation a exécuté dans des proportions démesurées, plus criantes et sans doute moins apparentes, en déplaçant la psychiatrie ou la neurologie vers un temps forts qui apparaît plutôt en un temps faible, il y a outre une personnalité sensitive décrite selon l’attitude qu’on reconnaît à l’individu, qui semble décrire comme des troubles sérieux propre à trop personnaliser l’individu d’un côté et à le dépersonnaliser de l’autre au contact de certaines situations. Ceci s’effectue le plus normalement dans des circonstances des plus douteuses, l’offre et la désignation, pour ce genre d’épreuves parallèles et qu’on m’impute sans une vraie différence personnelle, ce me semble être une attitude de ma part et aussi un moyen que s’offre l’armée pour qu’on ne lui résiste, les provocations passent par la mauvaise autorité, c’est l’influence de tout manque à son principe de neutralité, puis d’autorité de mon père, que s’attribue le désengagement militaire. Ceci reste une part dite scientifique, où l’on a tendance à véhiculer des conditions particulières ou familiales, serviles et crédules, où l’activité sensorielle est nuancée par des comportements étatistes.
C’est le moment d’inviter ce vocabulaire à sortir de sa condition, de sécuriser plutôt que mal juger autrement dit sans maintenir une pression sur moi en m’enfermant dans des applications qui ne peuvent me correspondre.
Pourtant la plus par des études scientifiques n’ont pas vocations à nuire, elles sont même conseillères à apprendre seul, à l’écart des livres de spécialistes comme à l’écart de tout discours scolaire parallèle et paradoxal d’aujourd’hui ou d’hier, mais ces études ne feront jamais reculer l’autre existence plus compliquée ou pas assez connue, l’armée qui est une existence parallèle, de la même façon, notre vie pré période plutôt que de ressentir avec amertume sur la force par sur influence, des bons ou des faux sentiments, Il est lassant de se voir annoncer aux différents protagonistes de cette affaire, que jamais ils n’ont ressentit que tout le monde a intériorisé, la même chose ; ceux qui fuit toujours devant leurs difficultés sont en proie à d’énormes oublis, les investigations avec la réalité ne collent pas, les impressions ou les nuances qui leur impose une sur culture, ce sont quand même une justice. On croit confirmer leurs conditions de vie outre des douleurs particulièrement discutables qui ne sont ni plus inventifs ni plus complets au fur et à mesure que leurs intelligences en fait foi.
Certains publics ont souvent sauter le pas de la psychiatrie comme un mensonge, il gît en la psychiatrie un vie péjorative
L’ordre se transforma de « rejoindre une infirmerie », sans compréhension aucune, j’étais en attente de voir et j’ai pu constater que l’enfermement à travers l’abus pratiqué a aussi relégué mes idées en dernier.
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1 mars 2010 à 11 11 54 03543
Le domaine de la santé et de la maladie mentale en France devrait dévoiler une pluralité de recours joignant à la prise en charge psychiatrique, une prise en charge par un système de soins traditionnel, ceci dévoilant évidemment l’existence d’autres grilles d’interprétations de la pathologie mentale que celles proposées par les tenants du traitement scientifique.
En tant qu’être humain, on voit que des pathologies sont mises en oeuvre culturellement par ces mêmes discours. Je renvoie la Cour à la légitimité psychiatrique de la maladie mentale lorsqu’elle s’inscrit dans un contexte culturel donné, la seconde question porte sur la valeur thérapeutique dont disposent ces techniques.
A ce jour il y a à la fois non-recevabilité, mais en plus un rejet sur des indéterminismes fondamentaux. Premièrement, ce qui est nommé « pathologie mentale », base de la psychiatrie devrait poser des questions psychiatriques, biologiques, psychologiques, philosophiques, politiques et sociologiques en ce qu’elle n’est pas un simple fait. De fait, ces paramètres constituent des appuis pour les débats théoriques visant à expliciter un dysfonctionnement intervenant dans mon existence et notamment en tentant de répondre à la question-clé en psychiatrie, à savoir, quelle limite comportementale sépare normal et pathologique ? Pour répondre à cette question, j’ai déjà tenté de définir d’abord ce qui est normal.. J’ai compris que l’expert a eu plutôt tendance à conclure de ces deux principes que la maladie et la culture sont liées ;
A défaut de définir la pathologie mentale par ces courants, les psychiatres se sont tournés vers la définition de ce qu’est la « normalité psychique » . J’aurais souhaité entre autres, qu’enfin, on nous amène à interpréter la description de ces rites thérapeutiques pour en dégager les portées thérapeutiques et notamment qu’ils se basent sur des efficacités corporelles, symboliques et groupales.
Par conséquent, je ne peux adhérer à la conclusion du psychologue qu’au-delà d’une simple étude des systèmes traditionnels, j’ai appris la place qu’occupe la psychiatrie moderne : celle-ci se doit d’être plus ouverte à l’intelligibilité des signifiants culturels intervenant au niveau de l’expression/interprétation des symptômes afin de comprendre le sens que j’en ai eu ainsi que ma famille.
Au-delà de l’abus déjà plaidé, il y a une manipulation du comportement, le contrôle social, les drogues psychotropes, voire même la répression.
Certes, il pourrait sembler que j’écris sur un ton polémique mais néanmoins fidèle au réel, ce qu’est cette consonance consommée mais également et surtout ses effets «piégeurs » et notamment sur moi-même. En se demandant même si l’information ne sert pas les desseins d’opérateurs qui s’en sont amusés.
Je lis la presse et j’y trouve cet article : « D’autre part, la psychiatrie et la biologie psychiatrique (la recherche de médicaments psychotropes) ont trouvé une alliance extrêmement rémunératrice et fertile en s’alliant avec les militaires pour pratiquer des recherches sur le comportement humain ».
Il y a de quoi s’interroger !
.Au niveau du grand public (et non pas au niveau de ceux qui sont déjà intéressés par le sujet), les derniers lambeaux de confiance que l’on plaçait dans les institutions militaires, les services discrets du monde libre se consument sous l’intensité de mes doutes.
Il est écrit dans certaines presses par exemple que tout les comportements mystiques, religieux, les pensées irrationnelles portées sur la métaphysique ne sont rien d’autres que des bouffées délirantes, des signes de déséquilibre mental assez sérieux. De quoi interner-les ¾ de la planète si la psychiatrie se voyait ériger en une nouvelle religion inquisitrice, un nouveau dogme sans failles parce que se parant des atours de la science. C’est aussi là que le bât blesse : la psychiatrie moderne, parce qu’elle utilise l’observation clinique et l’outil de la statistique, se présente comme une science, une science médicale, une presque science exacte alors qu’elle est une science humaine toujours vacillante (comme le sont la sociologie, la psychologie, l’anthropologie etc.…) et surtout une idéologie.
Une idéologie qui tend à supplanter tout sur son passage.
Ce qu’il me semble c’est qu’on m’a dirigé dans le droit fil idéologique et qu’on a voulu répondre à la dépression – maladie quelque part créée de toutes pièces- par la camisole chimique qui débouchent sur une opération occulte de la science du comportement. Voilà donc c’est « une étrange machine qui fonctionne toute seule »
Autre effet pervers du système : du fait que le psychiatre se voit le seul à être autorisé à prescrire des médicaments, il détient un pouvoir supplémentaire et définitif : il est le seul à avoir le droit de délivrer ce qui est perçu comme le remède matériel, concret, scientifique. Et par conséquent, sa discipline et son diagnostic auront quelque part le dernier mot et donc aussi l’ascendant sur les autres disciplines, les autres approches thérapeutiques. C’est aussi la meilleure façon de voir mon dossier s’enfermer sur lui-même, ne pas se remettre en question et perpétuer à l’infini son approche de l’humain. Il n’y a rien à faire, on peut dire que le système est à ce titre bien fait (ou mal fait selon l’approche) parce que bien protégé. Il ne peut être remis en question.
D’où un pouvoir quasi juridique conféré à l’approche psychiatrique.
Enfin, pour mieux comprendre encore comment ce système de la psychiatrie se perpétue, fonctionne et prospère, il convient également de mettre en évidence la façon dont les psychiatres traitent leurs patients : comme je l’ai mentionné plus haut, le psychiatre ne s’intéresse pas vraiment aux récits de patient, au contenu de sa douleur mais s’attache plutôt à repérer dans ce récit les indices de diagnostiques qui lui permettent de classer son patient, de nommer le mal dont il souffre. Par exemple, la dépression est repérée dans le genre « tristesse excessive », « problème d’appétit », « problèmes de sommeil » etc.…sur base desquels le psychiatre va repérer puis en quelque sorte créer ou formater son patient dépressif qui en contrepartie s’identifiera à ce que son thérapeute a verbalisé comme diagnostic.
La dépression est devenue une véritable épidémie qui a été induite par une propagande efficace et par des agents extérieurs dans le but de « formater » des personnes en mal de vivre dans un même moule, celui des items identifiant le « patient dépressif ».
La force des antidépresseurs n’est pas du tout liée à leur action sur une cause biologique qui aurait été enfin identifiée. Les antidépresseurs n’ont pas besoin de théories. Pour eux tout est bon ; ils sont en situation permanente d’avaler l’ensemble du champ des troubles psychologiques, ce qui les distingue des premiers psychotropes, les neuroleptiques dont l’action sur le corps était brutale et puissante. La dépression devient « ce qui se guérit par antidépresseur » et rien d’autre. Le médicament devient roi, c’est lui qui identifie ce qu’est le malade et l’on s’en fout en fin de compte du vécu du patient, des causes individuelles, subjectives de son mal être.
Reste à délimiter une forme de conclusion à cette longue série de constatations, une conclusion en peu de mots. Certes, cette énumération de faits ressemble plus à un réquisitoire à charge, un acte d’accusation à l’encontre d’une certaine conception de la psychiatrie, de la société et d’un mode de gouvernement. Le flirt entre la recherche, une partie de l’industrie pharmaceutique et les militaires est plus que suspect. Les modèles idéologiques des fondateurs de psychiatrie le sont tout autant.. Tout n’est pas mauvais dans les techniques de santé mentale et il n’y a pas lieu de jeter l’enfant avec l’eau du bain. Mais il n’en demeure pas moins inquiétant que ce sont les aspects les plus malsains et les plus normatifs du problème, cette conception totalitaire sous entendu impérieuse et autoritaire de l’homme et de la psychiatrie qui ont pris l’ascendant. Plus révélateur encore est le fait que les prédictions et modèles sociaux chaotiques et dictatoriaux se soient matérialisés avec une belle constance en ce début du 21 ième siècle… Comme si l’on s’était conformé …Une chose que ces théoriciens n’avaient peut-être pas prévu : la peur peut rendre intelligent!
1 mars 2010 à 12 12 05 03053
Je traite d’une vision personnelle qui vise, face à des notifications du TRIBUNAL des PENSIONS MILITAIRES de NANTERRE et de VERSAILLES à clarifier la nécessité des dévolus successifs subit pré ou post-période lors d’un passage obligé sur mon passé. Je veux aussi parler du service militaire encore obligatoire à mon époque où jeune j’ai trouvé cette mise à part
A l’évidence ou immédiatement après la sévère dose de médicaments que je pense avoir du prendre pour des causes qui tenaient au manque d’encadrement précisément pour rattraper des conséquences in disciplinaires entendues qui pointait son nez ; Une mise à part qui a pris naissance au départ de mon capitaine quand celui-ci a été remplacé par un maréchal des logis chef. D’un point de vue pédagogique, la spécialisation disciplinaire de ma caserne de Saint Florentin était déjà à l’origine d’une rupture, en l’occurrence préjudiciable pour les étudiants (circulaire FONTANET l’année précédente mon départ à l’armée). Pour des collègues de même âge parfois en difficultés scolaires, l’effort d’adaptation demandé a aussi été important.
Par ailleurs, cette spécialisation disciplinaire a sans doute contribué à renforcer le contenu brutal des demandes souvent hétéroclites des gradés , des relations composites, irrégulières, au détriment de la dimension pédagogique des rapports collectifs ou intra-personnels. Il est à noter que l’armée a toujours accueilli des publics de plus en plus diversifiés.
La dépression, qu’on m’a indiqué sans que je la vois naître durant l’armée, c’est l’existence mal fondée de toute introspection vers le recul marqué via un trouble réel du fait limitrophe de la Caserne de Saint Florentin. . Trente ans après et même plus, cette fâcheuse conjoncture ne me permet pas de croire au sens de la justice. Il en ressort que tous les désagréments subit de ma part ont été vivement ressentis, au plus vif de moi-même. Lorsque je travaillais en bureau à l’armée tout allait bien
On rechercha si une gêne particulière au cœur de mes relations intra personnelles existait vraiment. En effet, ces commandes médicales que rien ne prévoyait, se déclare à l’écart d’une commande normale.. Ma question s’inclut au sein du champ de compétence médicale. L’autorité s’attache plutôt à ce qui a déjà été écrit au regard d’une personnalité malade. Depuis, rien ne fait état d’une gêne suffisante précédent l’armée et encore moins du fait entendu durant cette période militaire de causes évidentes, vis à vis d’une gêne particulière ou d’un vrai besoin, rien ne sous-entend donc qu’il fallait agir de la sorte.
Un sujet type personnalité névrotique, neutralisé médicalement en quelques jours, ne peut concevoir que l’inquiétude ne naisse pas à cette occasion, l’inquiétude et le reste étaient donc de mise, le contraire aurait montré que je n’étais pas conscient du contexte ou que je me moquais de mon état. J’ai consenti avec tout mon charisme de jeune à tout admettre, ainsi pour laisser faire, sans élever la voix, sans gêner consort, j’avais peu de chose pour me prévaloir ailleurs d’autres normes. Ambiguïté d’un droit que j’estime à quelques degrés très loin de ce que j’ai vécu, quitte à faire régner plus de psychologie et moins d’introspection à mon égard, on s’éloigne d’autant plus du mode assimilateur en s’y collant durant toutes ces années qui m’en sépare. Ainsi selon, l’assimilation lequel on vous éloigne de vous-même, un sens acquis a fait place à une personnalité interrogative qui se communique aussi pour se développer comme elle peut. Un mode d’introspection incombant à la patience des aînés, à qui reproche peut être fait au passage d’y croire, et pour tout ce qui générait un tel handicap, en indiquant des délits sensitifs au même titre que des délits de relation sur ce qui par essence comporte à ce jour un passif.,
Je crois pourtant que le monde écolier, familial, patriotique avait fais le nécessaire, l’important me semblait passé. Ce qui a été soigné en accord avec un tangible besoin qu’à mon sens rien ne suscitait. D’ailleurs l’Armée faute de preuve ne peut continuer à le soutenir.
26 mars 2010 à 12 12 35 03353
Il y a des conditions dans la névrose qui semble se situer entre une finalité qui agit faussement et le blocage qui survient parce que l’on ne parvient pas à distancer ce qui dans son tempérament est vital. On se perçoit critiquable, un soupçon de vanité, on s’attribue des tords, on s’accuse et on supporte mal la carence de sentiment. Tout ceci semble former une sphère perverse qui se ferme sur soi. Bien sur pour cela, on a affaire à des épisodes défavorables dont l’emprise augmente, on a du mal à évacuer, on a un comportement fragile. Il peut y avoir des réponses insuffisantes, moins de stimulation de sa vie, notre culpabilité est combattue par notre vanité, mais ceci reste déformé, anormal. Dans ces refoulements, il y a sans cesse du nouveau, rien n’est immuable, On finit par s’enfoncer dans son subconscient. On s’affaiblit psychiquement car il y a un fossé qui se creuse entre réalité et ce qu’on croyait être. L’approximative intention ne suffit plus, on devient soucieux, songeur, rêveur et sur une forme irrationnelle, personnalité névrotique. Intellectuellement parlant, c’est notre pensée affective, passionnelle, on rêve de l’affect, on se justifie de façon fausse. L’énergie dont on dispose psychiquement décline. Nos connaissances et notre opinion régressent de façon spectaculaire tout en sur-entendant notre excitation au moment où notre comportement humain n’est pas encore très différent mais où nous commençons à nous heurter à des désirs, des appétences insatisfaits. Sans même que l’on se sente négligé, on s’exalte à cause de l’insatisfaction. C’est comme si nos sentiments accusaient un monde devenu hostile, incapable de nous accorder ce qui est important pour chacun, finalement c’est le lot de toute une population qui représenterait l’expression parfaite de nos gouvernants, de leur impuissance, c’est aussi ce qui nous ferait trépider, au contraire de ce qui est vital, capital. À force de sublimer, d’entreprendre une démarche spirituelle, ce qui en toute situation de principe est l’opposé de ce que nous pourrions prévoir. En effet ce qui pour nous serait important de réussir n’a rien de plaisant même si ci ce côté nous acceptait de vaincre nos stimulations, pour se convertir en une autre résolution. En convertissant aussi notre contrariété en jeux importants, en se projetant de façon mystérieuse..
3 juin 2010 à 15 03 23 06236
Je ne comprenais pas ce qui s’était passé. L’arsenal juridique et thérapeutique est fort, j’ai revu la personne qui m’a dit à l’armée: 3les médecins vous demande », c’était dans une clinique en Normandie, il jurait d’en parler syndicalement, je ne comprenais toujours pas, s’ilvoulait d’une part mettre en évidence le fait qu’il m’avait connu quelque part, et qu’il se souvenait des lieux, des évènements, des personnes qu’ils avaient cotoyée avec moi, qu’il m’avait pris en sympathie et qu’il m’avait en quelque sorte couver comme un oeuf, un embryon, un foetuus. Voulait-il marcher sur mon père, sur l’autorité familiale, sur l’emprunte culturelle, ce n’était pas que pure coïncidence qu’il m’est dirigé en tout cas lors de la fin de mon service militaire sur l’autorité sanitaire des armées. Mais à ce stade ce n’étais que pure villégiature, que congé de convalescence, à un stade disons vraiment neutre. Souvent s’occuper de malades mentaux quant on a soi-même été versé dans le monde sanitaire ne relève pas que de la fiction. Avouez que ce serait bête de s’en priver. Si les noms, les personnages, les lieux et les évènements sont le plus souvent le fruit de l’imagination ou sont utilisés malheureusement fictivement, la ressemblances réelles, vivantes et mortes, des évènements ou des lieux reste aussi le plus souvent une pure coïncidence. Mais quand la mémoire reprend ces droits, c’est la vérité, il faut l’admettre. Ce voeu s’est donc réalisé et il fait suite au hasard des circonstances qui me pousseront un jour à écrire le tome deux des ESSAIS; Mais qui pilote vraiment le premier ouvrage, quel mot résumerait un livre peu propice aux réalités du secteur sanitaire d’un petit service militaire qui va devenir si grand, que ce sera bien ma politique, posture en partie psychiatrique, qui va triompher. Je n’ai pas tort, mais cette fois ce n’est plus un an et quelques, ou cette filature s’exerce, ce serait tout une vie…Finalement, on peut dire que je ne suis pas trop habitué au drame des autres mais je colle et devance comme un cadeau l’inepsie. Je ne peux plus décrocher car j’ai dépensé beaucoup pour coller ma vie à l’erreur humaine. Dans des endroits où règne l’hygiène mentale et la psychologie, on peut se le permettre, en dédoublants l’évènement et en le couplant aux lieux. Mais ça c’est après l’histoire sans cesse renouvelée. On m’a cherché, on va me trouver
9 juin 2010 à 13 01 28 06286
Le trouble de la personnalité est en général sérieux. Je parle là d’une personne obscure, louche, vraiment bizarre. Pas une fausse bizarrerie mais bien quelqu’un qui présente une anomalie, une particularité qui nuit véritablement à l’adaptation de la personne.
Il ne s’agit pas de quelques petits défauts ou travers que tout le monde peut avoir et qu’un matin on vous impute pour d’autres raisons, d’autres logiques instantanées sans lendemain ou presque. ,
Dans mon cas, nul ne peut dire que durant l’armée la moindre petite émotion a engendré une réaction difficilement contrôlable.
Par contre j’ai rencontré bon nombre de personnes dont la personnalité se caractérisait par une tendance à agir avec impulsivité et sans considération pour les conséquences possibles, associées à une instabilité de l’humeur. Les capacités d’anticipation étaient souvent très réduites et des éclats de colère ont parfois conduit à de la violence ou à des comportements explosifs; ceux-ci sont volontiers déclenchés lorsque les actes impulsifs sont contrariés ou critiqués par autrui. J’ai vraiment tenté de me mettre à l’abri de certains actes impulsifs ce qui n’est pas si facile, j’ai agis sans broncher en subissant certains accès de brusquerie. Mais face à des comportements menaçants, je craque ce qui dans le cadre d’un service militaire finit par desservir. Je pensais que cela aurait du être le contraire, j’ai été critiqué par autrui, notamment pour critique encore imparfaite d’éléments déréels (notons que ce genre de diagnostic est des plus délicats et assez difficile à expliquer, l’idée d’approximation, de valeurs approchées ou qu’on compare parce que c’est discutable, vague, contestable, dans un principe de milieu. . Ce sont ce genre de facteurs déclenchant qui ont été soignés, ils ne se sont pas toujours véhiculés sans laisser de traces, et c’est le concept qui l’emporte sur les faits, les faits que j’ai vécu ne se sont pourtant pas manifestés à mon sens dans une idée de retour au calme et de normalité, ceux à qui je me suis heurté ne changeront pas de caractère, ils pourront à mon sens présenté dans leurs agissements un danger réel, j’en veux pour preuve ce dont ils se sont servis comme approche de ce qu’ils sont vraiment, je serais curieux de savoir ce qu’ils sont devenus, ont-ils virés de leur façon d’agir ou se sont-ils confrontés de nouveau à d’autres.
Je pense que j’ai agis avec ma propre logique, une logique qui n’est pas illimité, qui ne tends pas vers l’infini.
Qui n’ose pas affronter, les difficultés ne peut saisir mon action
Ce travail de recherche que je vous livre a pour objectif de définir les livres de bien-être et de
Développement personnel notamment dès le début de mon service national. comme un nouveau genre de la culture de masse et comme un nouveau modèle de subjectivation sociale puisqu’on m’attribue dès le quatrième jour après l’incorporation à MONTLUCON des troubles du comportement.. Utilisant les concepts de « technologies du moi » je me sens décrits selon un procédé à la fois discursif et corporel qui met en lumière les problèmes de la subjectivité contemporaine, leurs symptômes sans modalité socialement proposée pour les surmonter. Normalement ce discours émanant d’un Colonel a pour but d’améliorer l’adaptation de l’individu aux conditions de vie déjà instituées.
L’objectif de ma réponse est de faire une étude des notions significatives présentes dans
le concept de bien-être et d’analyser ce type de procédés ainsi que leur rôle dans la formation et le contrôle de la subjectivité.
Les hypothèses qui guident mon appel sont les suivantes: a) la prééminence de ce
nouveau fait est un des effets de l’affaiblissement d’autres technologies de domination, dont les dispositifs normatifs se sont flexibilisés ou fragmentés ; b) les liens qui
assujettissaient les individus à l’organisation sociale se sont dissous et ont été partiellement
remplacés par ces nouvelles formes de gouvernement ou d’auto gouvernement qui utilisent
principalement les concepts établis dans l’imaginaire collectif: succès, concurrence, efficacité,
optimisme.
De manière à travailler le phénomène qui me préoccupe de façon historique, tout en comparant deux contextes différents, tout en entamant une analyse comparative aux caractéristiques contraires : le volontariat et l’assimilation
Finalement, dans le but d’identifier la perspective de signification sociale dans laquelle
ce cas s’inscrit, tout en m’appuyant sur une méthodologie herméneutique complexe qui se
nourrie des textes référentiels
A certaines occasions, la vie sociale même à l’Armée stimule et recueille les réflexions provenant des différents champs du savoir. De façon directe ou indirecte, le thème de la subjectivité semble une des clés de compréhension du paysage contemporain ainsi qu’une voie d’accès pour l’examen des transformations historiques et sociales les plus récentes. C’est donc aussi bien un objet théorique qu’une catégorie analytique ; mais aussi un objet réel désignant une dimension de la personne, une signification vaste qu’abordent les discours en circulation et une catégorie couramment utilisée et de plus en plus installée dans le sens commun. Dans la sphère du quotidien, le thème de la subjectivité peut être interprété comme un revival idéaliste, un spiritualisme sui generis, un appel à l’imagination et au renforcement de l’idée que rien –un « rien » qui se prétend totalisateur, mais qui finit par se réduire à la dimension individuelle-qui n’est immuable et que tout peut être transformé, aussi bien la psyché que le corps. Je me trouve ici face à une seule et même élaboration discursive, qu’elle
surgisse dans l’un ou l’autre domaine. Cette inquiétude vis-à-vis de la subjectivité prend la forme d’un regard inquisiteur sur l’intériorité qui prend note des affects, des peurs et des phobies, de l’intelligence, de la créativité: l’information diffusée à grande échelle déchiffre les différents processus cognitifs, explique la « chimie des émotions » et suggère une prophylaxie de la psyché. Le langage ordinaire, matière sensible où se cristallisent les moindres transformations culturelles, incorpore des termes techniques en provenance de disciplines scientifiques telles que la psychanalyse et la neuropsychiatrie, qui jusque-là, étaient des champs spécialisés réfractaires au savoir commun.
La tendance à scruter les aspects subjectifs de la personne peut exagérer l’originalité du
sujet, en surlignant ces moindres expressions distinctives. Les « modèles » socialement
approuvés ne sont pas pris en compte par ce regard aveuglé, il ne perçoit que le « moi ». La
perception de soi propre à la singularité a ainsi besoin de trouver des corrélats objectifs qui
racontent une identité exceptionnelle se distinguant des formules courantes. En écho à ce
besoin dans l’ « air du temps », la production libérale se diversifie, et donne une place aux
goûts particuliers. « Se distinguer » semble être l’objectif numéro 1. L’aspect personnel
résiste face à la sérialité et s’efforce de manifester ses différences, aussi petites qu’elles
soient.
Malgré l’irruption des singularités, la prise en compte des traits d’identifications
personnels et l’individualisation des pratiques ne font pas partie d’un processus de ruptures
vis-à-vis des dogmes, us et coutumes. Bien au contraire, ce sont les résonances des modes de
subjectivation de l’époque contemporaine. Si le sujet passe à occuper le devant de la scène,
c’est parce que d’autres acteurs s’effacent. Telle est la thèse de l’individualisme contemporain
qui souligne le « décrochage » du sujet et la dissolution des liens sociaux connus.
Un mouvement de libération des anciennes sujétions –qui retenaient et soumettaient-le
sujet- supposerait l’émergence et la solidification d’une figure puissante, une sorte de
champion acteur des évènements. Au contraire, le temps présent découvre une subjectivité
fragile et un sujet en crise, « expulsé » -plus qu’indépendant- des institutions, peu pris en
charge et désemparé. La prosopopée du sujet contemporain ne semble pas être
l’accomplissement d’une tendance postmoderne mais plutôt un fait tout à fait nouveau
camouflé à l’aide de discours biens connus qui exaltent l’autonomie individuelle.
Le sujet court un risque et l’ampleur des difficultés peut se mesurer grâce aux aides
qu’on lui propose. Mis au défi de se suffire à lui-même, arraché à un paysage stable et
réinséré dans des scénarios sans cesse changeant, il ne compte que sur lui-même pour tenir
debout. La crise et les dilemmes de la subjectivité contemporaine répliquent intérieurement la
litanie apprise par l’optimisme libérale : « tu en es capable ! », ou alors déclarent la rupture
morale. Entre les deux extrêmes, le sujet utilise tous les subterfuges qu’on lui propose afin de
se maintenir sur pied et droit.
Par eux-mêmes
Le préfixe « auto », qui provient du grec, s’applique à une grande variété de termes –
verbes, adjectifs, et substantifs. Son sens –« lui-même »- possède deux sens complémentaires;
appliqué à un substantif, il signifie la réflexivité, comme dans « autonomie », dans le cas
d’actions réalisées par des êtres humains, cela ajoute une nuance : la volonté. Ainsi, un sujet
autonome non seulement se suffit à lui-même mais exerce ainsi, et de façon volontaire son
indépendance. C’est ce qui arrive ici dans ces faits qu’on décrit en corrélation, ce n’est pas seulement une–une assistance de soi-même à soi-même-, cela constitue bien un processus volontairement appliqué.
L’usage répété de ce préfixe nous interpelle et signale une caractéristique de la culture
moderne, c’est-à-dire précisément, la conscience de soi, ce mouvement de repli qui se signale
« lui-même », caractéristique de la modernité. Il y a aussi une autre raison qui alimente la
prolifération des mots composés de ce préfixe: l’automatisation, -dont l’ « auto-mobile » en
est l’exemple-, le fonctionnement sans intervention humaine, semble indiquer un mouvement
qui provient de l’intérieur de la chose, qui lui est inhérent et qui ne demande donc aucun
réflexion. Cette insinuation créée la sensation que ce qui est « auto » est encouragé: une fois que le dispositif est mis en marche, le processus se poursuit mécaniquement.
La notion d’auto-aide comme une aide de soi à soi participe à la constellation de
significations et d’insinuations associées à ce préfixe. Mais elle implique quelque chose de
plus : l’idée qu’il ne faut rien attendre de la part des autres. Dans ce sens, les théories de
l’individualisme contemporain devraient être comprises comme des théories de la toute puissance du moi. Conscience réflexive, volonté de se transformer soi-même, et puissance
intrinsèque : les éléments relevés dans ce type d’hygiène mentale et de psychologie semblent franchement suggestifs.
Une spirale de forces centripètes semble absorber le sujet, je suis lecteur de cette procédure, en la soustrayant à d’autres éventuelles aides possibles provenant de l’extérieur. Cependant
l’hypothèse d’un sujet souverain de lui-même, pouvant se passer de l’aide d’autrui, et même
de toute relation sociale, semble peut convaincante. Au contraire, la résistance subjective, loin
de se solidifier, se détériore visiblement, excédée par des exigences toujours croissantes.
Le terme « résilience », récemment forgé, désigne la capacité de surmonter, de
supporter la douleur ( tout est relatif) et de s’adapter. Ce mot, en provenance du domaine de la physique des matériaux, désigne une qualité devenue indispensable et valorisée à tel point qu’elle en devient un don. Résister à tout, à tout prix, est une victoire intérieure parfois forcée qui fait pression sur le sujet. Cette capacité, appliquée en première instance à ceux qui supportent la douleur sans doute parle-t-on de la douleur mentale, psychologique, morale, psychique, intellectuelle ou même spirituelle, à vrai dire je ne sais trop rien,. Peut-être pense –t-on que j’ai du mal à surmonter un traumatisme particulier tel que la vie en caserne. Tout ceci me semble chargé de dramatisme et ceci pèse presque exclusivement de façon aveuglante sur le sujet de droit.
Si la crise du sujet tel qu’on peut la concevoir est bel et bien réelle, personne n’a trouver des solutions sans avoir à faire appel à d’autres instances. Je rappelle, que c’est un psychiatre civil et non moi qui ait engagé cette plainte. Depuis ma recherche tente ainsi de traiter les processus qui se déclenchent, par rapport à une subjectivité en crise, à partir du dispositif tel qu’il est décrit avec ses caractéristiques spécifiques ; un
Dispositif que je n’ai pas inventé qui, comme vous pouvez le voir présente une longue trajectoire qui aboutit ces dernières décennies par un accueil peu enthousiaste. Il s’agit bien pour moi de signaler ce type d’abus
La croissance spectaculaire du genre à partir des années 90 me force à m’ interroger
sur les données sociales et historiques qui interviennent dans la multiplication de toute ces
productions, cette circulation et cette réception. Quels sont les conditions et les intérêts de cette augmentation? La question ne cherche pas à faire émerger une cause efficiente mais elle sert plutôt comme question heuristique, qui pousse à produire des descriptions complexes et attentives aux différentes dimensions en jeu:
Tout ou presque reste lié au sujet lui-même ; sujet culturel, poussées par les processus appliqués aux circuits de masse ; sociale, lié aux conditions qui poussent à rechercher ces béquilles historiques, en ceci que je cherche à comprendre les caractéristiques du présent ;
philosophiques, lorsque ces questionnements réfléchissent sur les conditions de l’existence
contemporaine.
Même en tenant compte de ces différentes approches, il est nécessaire de définir le point
de vue spécifique de la recherche qui est développé. Il s’agit d’une perspective
propre au champ de la communication. Ce choix n’est pas arbitraire : ce qui peut être traité
doit être abords avant tout comme partie intégrante d’un répertoire de productions propres à la culture de masse. Dans ce sens, il s’ élaboré et il circule en vertu des règles dont dispose cette culture et ils adhèrent beaucoup plus à ces déterminations de genre que toute oeuvre ayant une valeur désignée.
En tentant de soutenir ainsi la pertinence de l’approche depuis le champ de la communication,
Si cela proposait une perspective particulièrement fertile : en parlant de bien-être, ou d’auto aide, comme une série homogène, en s’intéressant à des caractéristiques communes
et à leur orientation en direction du marché, nous pourions délimiter une catégorie spécifique.
La culture de masse n’oppose aucune résistance face aux systèmes de classements ; au
contraire, elle s’appuie sur eux et les utilise aisément, tout en sachant qu’ils constituent une
socle de compréhension et d’accord avec le groupe.
La typification du genre , mais aussi du bien-être, est une tâche qui, aussi loin que je pu mener ma recherche, n’a pas encore été réalisée. Le fait n’en est pas moins curieux. On pourrait croire qu’il existe encore certains préjugés sur la production de culture
de consommation de masse, pouvant faire obstacle à son examen. Elles sont peut-être mises
de côté de par leur trivialité, ou bien, il est difficile de voir ce qui se trouve juste sous nos yeux.
C’est de ce point de vue que je vous engage à parcourit les différentes voies mises en jeu : dans tout texte proclamant une valeur « pratique » où résonne l’écho du temps présent ; à condition toutefois que ces leçons à caractère particulier acquièrent un sens par rapport à un contexte auquel, de façon implicite ou explicite, elles me renvois. On peut y trouver une évocation culturelle du monde duquel ils proviennent, dans lequel on se contient et que je vous invite en partie à explorer comme une constellation de significations qui surgissent afin de montrer la diversité des chemins pris par les êtres humains. Mais leur destination semble être unique: le bonheur, un état que l’on peut atteindre pendant la durée de l’existence, telle est la promesse sous-jacente à l’ensemble des textes que tous spécialistes aiment à analyser.
Parcours
En tenant compte de ce qui nous intéresse, mon travail de recherche implique la
traversée de différents niveaux d’analyse allant du texte au contexte, de la culture à son aspect
historique et des structures objectives à leur dimension psychologique. Ainsi, le sujet est
situé, raconté à partir de la facticité objective qui le contient et de la trame de significations
qui le soutient. A partir d’une caractérisation sociale et historique, il fait face à un horizon de
sens collectif compris dans sa dimension subjective, effet et reflet de son monde.
La première partie de cette enquête est dédiée à l’élaboration d’une perspective
théorique et méthodologique qui rende « saisissable » les processus de subjectivation. Nous
construisons une définition de la subjectivité, en adéquation avec la dimension sociale, Je m’efforçe aussi d’expliquer le rôle de la culture dans les processus de subjectivation, en
faisant particulièrement référence à la culture de masse en tant que culture commune au fait tel qu’il est décrit La perspective choisie pose le problème dans le champ de la
communication, manifestement familiarisé avec le traitement de problèmes de cet ordre, se
situe dans ce champ la filiation théorique à laquelle je réponds
Un deuxième moment, je pose mon regard sur les desseins du bonheur et les
chemins qui semblent y conduire. Bien qu’il soit annoncé comme un évènement séculaire
certain, les discours en circulation s’occupent plus des moyens de dissipation de la douleur
que de signaler comment aura lieu son avènement. Cette spéculation rend visibles les champs
dans lesquels s’inscrit la promesse de bonheur, ainsi que les avatars du bien-être et de la
douleur. Le parcours, réflexif et opératif à la fois, conclut avec l’annonce du plan.
La description du genre sera celle que tout un chacun pourra adopter, cette définition est indispensable afin de composer ce qui est analyser concrètement. Le travail implique une analyse, afin d’établir les caractéristiques particulières de ces dits troubles du comportement et de fixer des paramètres d’identifications permettant de le distinguer des genres qui en sont proches. Donc par rapport à un domaine culturel plus large, qui comprend fondamentalement les discours présentant une tonalité émotive, et des modélisations de langage proches de celui de cet objet d’étude. Pour y arriver, il est nécessaire d’établir une série de passages qui conduisent de l’objet à ses contextes, et de là à un horizon de sens propre à notre époque. La réflexion sur le langage comme théorie de l’interprétation sont les chemins qu’il faut choisir
pour pénétrer le problème. C’ est le fruit d’une lente sédimentationpar rapport à un problème méthodologique précis: trouver un chemin d’analyse qui permette,
à partir de l’examen , d’esquisser un monde de sens –un sens du monde transcendant dirais-je. La stratégie méthodologique utilise différentes théories de l’interprétation et, en s’appuyant sur celles-ci, ou en prenant ses distances, tente un type de traitement qui facilite le passage entre les différentes dimensions, en cherchant à éviter de ne reposer que sur l’intuition du chercheur ici ce Colonel. Ce n’est donc pas un paragraphe technique qui
explique les opérations d’investigation réalisées, il construit plutôt un deuxième apport –bien
que ce ne soit qu’une tentative- à la recherche en communication.
La deuxième partie pourrait se fournir d’ une base qui faciliterait la perception du contraste dans lequel surgiraient mon rôle le plus récent, et dont le traitement se déploie le long de cette procédure
Un travail plus précis et plus profond exige que l’on limite ce qui s’écrit ou qu’on l’allonge. A partir d’un examen minutieux, je serais tenté de reconnaître les caractéristiques rhétoriques en matière d’auto aide, les significations qui traversent, les consignes et les impératifs qui s’
installent. L’analyse concernant le processus de configuration de la
subjectivité que je reprends
Enfin, la dernière étape du parcours tentera de relier l’auto aide et les contextes dans lesquels il pourrait se manifester. En premier lieu, je m’occuperais d’identifier les discours qui le justifient, qui revoient à un ordre de légitimations sociales valides et qui excèdent de loin le genre examiné. En second lieu, il faudrait établir les dispositifs corporels prescrit et qui renvoient directement au processus de modélisation de la subjectivité.
Il faudrait tracer des parallélismes et des divergences significatives, en tenant compte du fait que le processus de subjectivisation, tel qu’il est mis en place à partir du procédé d’auto aide, excède la particularité des limites nationales. En soulignant selon deux axes d’analyse choisis, deux contextes qui présentent d’importantes différences –le volontariat et l’assimilation-, en tentant de mesurer le poids de l’organisation et de la culture nationale relativement à ce qui semble être un vecteur de mondialisation.
En dernier lieu, je reviendrais sur les considérations théoriques précédemment
définie afin de comprendre le paysage actuel et la place réservée au sujet, en discutant la
notion d’individu et en faisant référence à la situation du sujet contemporain aussi bien à
partir de ses nouvelles dépendances qu’à partir des co-actions proposées concernant le travail
et la concurrence.
Ce développement recherche les clés d’interprétation qui permettent de comprendre,
non seulement le cas particulier de l’analyse, mais aussi l’articulation entre la dimension
subjective et les conditions sociales actuelles. Ce dernier niveau de synthèse est cristallisé
dans les conclusions : ayant traversé les différents reliefs du parcours, nous osons définir ce
que signifie la « normalité » dans le paysage contemporain. Modèle abstrait et mesure de
réalisation personnelle, la normalité est un impératif qui menace la contingence de la vie, bien
plus difficile que l’exécution d’une recette, moins net, plein de zones d’ombres et de non sens,
sans modèle exemplaire. L’image radiante de l’idéal du moi peut devenir une pression
insupportable quand le sujet ne peut que se réfugier dans lui-même. Mais cette solution n’est
peut être pas la seule et toute la culture contemporaine n’est pas prisonnière de ces tendances.
Son examen nous permet de comprendre de quelle façon le sujet est en
train d’être façonné et ce qui est en train d’être constitué, quels sont les processus de
subjectivation qui soutiennent ce modèle, quelles sont les significations sur lesquelles il s’appuit.
Né en 1952, Marcel MANDELKORN je pensais être grand- père mais on peut dire que c’est pas vraiment ce qu’on croit.
De parents israélites, ma famille a subi les pogroms de Russie et les ghettos de Pologne.
La plupart sont morts dans la débâcle de 1939.
J’ai souvent rêve d’éviter les pièges contemporains, mais est-ce vraiment un piège, l’avenir nous renseignera.
Il s’agissait tout d’abord d’une gène bien inférieur au minimum indemnisable en matières de troubles du comportement. On ne saurait où commence une personnalité pathologique et ou finit la chronicité d’une psychose.
Durant l’année 1974 , j’effectuais encore mon service militaire, je dis encore puisque ce dernier a été depuis aboli.
Mais des épisodes bien plus anciens me reviennent…….
Nul doute que nous ayons une finalité que nous sommes libres. Car la spécificité de l’humain, c’est précisément de déterminer lui-même la finalité qu’il veut bien s’octroyer… dans un cadre à la fois déterministe et dépendant de ses choix c’est bien différent de la pure théorie sur la perte de sens de la vie
Donc, une gêne bien inférieure au minimum indemnisable suite à un procès intenté à l’armée avec l’aide d’un psychiatre civil et d’une association d’anciens combattants, un peu où finit le BREVET de normalité d’une convalescence établis en bonne et due forme, là où foisonnent bon nombre de commentaires et diagnostics ayant trait à l’hygiène mentale et la psychologie. Pendant que j’effectuai mon service militaire, je vivais une très mauvaise ambiance, une certaine pression d’un bataillon sur l’autre, parfois, on m’adressait une insulte, ou encore je devais assumer des propos fallacieux d’un adjudant, des brimade d’un brigadier. Il y eu finalement une mise à l’épreuve digne de brimades volontaires avec une bonne part d’abus. La justice n’offre aucun intérêt à cette affaire, c’est devenu une affaire classée, une affaire qui supposait pourtant être le socle psychiatrique des abus de toute nature, les taux dit handicapant sont très faibles. Quant aux épisodes les plus concrets, ils restent sur la forme juridique définitivement absent. A entendre tout ce tralala, on reste voué à l’incertitude de ce qui s’est passé et ce passe encore, il y autorité de la force jugée, surtout si l’autorité a montré ces failles, et quelles failles, on s’est obstinément chargé de mettre fin à une procédure puisque rien ne peut se poursuivre indéfiniment. Il y a pour moi de nos jours peu de jugement identique en appel d’un règlement militaire. J’ai en tout état de cause bénéficié d’ un reclassement professionnel que j’ai accepté, mon travail de fonctionnaire invite à réfléchir sur les efforts estudiantins a trouver un travail, j’aimais tant bouger avant que je rentre au ministère de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de la mer. Moi, je pensais que normalement j’aurais un travail d’expert en gestion, ue mes études supérieures aboutiraient, que ce que j’avais entrepris aboutirait et devait d’une manière comme d’une autre m’amener à la réussite. Je sais aujourd’hui que les examens supérieurs ne suffisent pas, que l’ambition est souvent dangereuse comme tous projets de ce genre, qu’il faut comprendre et accepter certaines contraintes très éloignées de sa motivation et de ses aptitudes. Or le concept « psy » et « militaire » a tendance à opposer deux luttes, il y a la lutte des dits soignants et il y a l’autre militaire et civil confondus. À ce propos, il est peu probable qu’une autre action soit engagée puisque je suis censé être très éloigné de la chose militaire, la chose de la raison publique est à l’avantage de la justice, cette idée de grandeur qui fait du raisonnement juridique ce qui s’assume petitement. Et particulièrement en droit en pure perte. Je me suis heurté, enfin plus exactement cette idée s’est heurtée jusqu’au bout à la force d’un l’État fort qui dispose d’un arsenal juridique très puissant. Le plaignant se contente de peu. L’arsenal thérapeutique fait tache d’huile, il y a accoutumance, rien a voir pourtant avec sa propre discipline corporelle, physique. A l’Armée, je ne buvais pas, ne fumais pas, avait une discipline de fer enfouie derrière ma personnalité, j’avais toujours à mes heures de liberté un livre à lire, je pratiquais en cachette et régulièrement le sport, dont d’ailleurs on m’avait exempté, et puis globalement, vis à vis de ce genre de trajectoire, je tentais de me protéger de la première agression mentale venue, celle qu’on qualifie de malveillante, que je qualifie comme une malchance, pas d’excès en toutes circonstances bien sur mais ce qu’il faut pour qu’on réagisse, même si la petite violence reste une foutaise vis à vis du procès intenté à l’État , lui même attaqué sur ces deniers.. Charlatanisme puisqu’il y a une théorie surpuissante et une pratique en demi-teinte. Pourtant je me suis senti fragilisé par le traitement médicamenteux qui était là pourtant pour me protéger, en effet j’ai été dirigé quand cette petite caserne tournait mal, puis gentiment je suis devenu demandeur de ce genre de médicaments. Je veux parler de ces remèdes qui ont vocation à masquer l’anxiété, le mal être, à relaxer le mental jusqu’à ne plus envisager de s’en priver, pour un meilleur confort d’esprit, dirait un praticien. Après tout l’autorité mal marquée du père, une mère plutôt envahissante a fait en quelque sorte redondance sur ce qui navre la psychiatrie, ne pas se défouler suffisamment, ne pas éliminer son trop plein sensitif. J’ai rencontré Rose-Marie en psychiatrie, son histoire dont elle parlait peu se révèle après plus de vingt ans de vie commune laissé aussi aux frais du monde « psy », je devrais du monde associé, que je pense à divorcer ou rester avec Rose-Marie n’a pas d’importance, je suis mal marié comme l’autorité mal marqué de mon père, comme l’envahissement de ma mère, que les circonstances prévisibles où cette femme a finit par aliéner sa vie, aprsès un avortement et non un « enfant mort né » comme elle dit ne change en rien sa situation. Elle était seule en France, comme une fille au pair sans ses parents qui ont finit par la déshériter. Son état civil est faux et vrai à la fois, et je n’ai pas d’enfant avec elle, même si aux yeux de la loi, je suis marié civilement, l’enfant dont nous héritons n’est ni le mien ni le sien, quant on parle à un avocat du tissu conjugal, il accepterait qu’on divorce maintenant que l’enfant qu’on a élevé est sorti de la famille et s’est accouplé mais pas marié car lui aussi ces parents refusent son mariage. On me dit que Rose sera marié à un africain, qu’elle a déjà accouché, selon la volonté de sa mère et de sa demi-sœur, par insémination de son futur. Quel futur ais-je ?, elle parti le jour où sa fausse mais néanmoins précieuse identité a fait d’elle une enfant adopté par une grande dame de la Martinique, une dame qui a créé une crèche pour des cas analogues et difficiles, Monique joseph disons sœur joseph a su que la fille que j’ai élevé déjà été changé deux fois quand l’âge était de 6 mois et de 8 mois, enfin environ, cette dernière a obtenu une licence et a trouvé un petit appartement , elle se fiance mais ce ne sera pas son fiancé qui sera son vrai mari. Elle aura aussi une fausse fille, une insémination au désir de ses vrais parents, la société toute entière ne sors donc pas grandi de cette expérience de quarante ans, peut être la livrera -t-il plus tard à la postérité, Mais moi que vais-je devenir, je serais sans doute bon pour la postérité dans un ouvrage sur la libération de la femme, pour l’instant on me livre une expérience forcée qui va déborder de mon instinct, trop loin de la psychanalyse, un thérapeute n’y croirait pas.
21 octobre 2010 à 12 12 02 100210
Tous les avocats commis d’office ont plaidés en ma faveur dans cette longue procédure judiciaire où l’on voit l’État attaqué sur ses deniers disposé de plusieurs arrêts du Conseil d’Etat face à un simple appellé comme moi. Ces arrêts sont réputés « contradictoires », le Juge dernièrement s’est gravement inquiété lorsque je lui ai dis en « appel » que je n’avais jamais été devant la justice , ni devant le Tribunal des pensions militaires pour être pensionné. J’ai indiqué que les termes afflictifs qu’on m’a imputé sont si troubles et si floue qu’un cochon n’y retrouverait pas ses petits. Je lui ai rappellé que c’est un psychiatre civil qui a mis en place ma plainte face à l’inquiétude de mon père décédé depuis, mon père était juste, il a finit par me parler de « charlatanisme », ce en croit je ne peux lui donner tord , surtout à lui, non pas qu’il ait été mon père, mais bien parce qu’il a fait la guerre dans des conditions que je ne souhaite à personne. Je n’oublie pas qu’il a vu son père et son frère déporté devnat lui quand il avait 17 ans, la psychiatrie à son époque, ce n’aurait pas été du luxe, mais quand on est issue d’une famille juive, qui se soucie de vous en 1939, si ce n’est les nazis. Les expertises psychiatriques bien qu’ incorporées en France dès 1900 n’ont rien donné, encore une fois l’ETAT a un métro de retard, pour rien, donc, pour du beurre, pour des soucis supplémentaire, pour des observations à caractère scolaire voire universitaire plus que sanitaire ou de soins justes que demande vraiment votre santé du moins en ce qui me concerne sont obscurs et stygmatisantes. Voyez ces médecins qui usent de ces stratagème pour vous hospitaliser d’office. Dans ces cinq ou dix pour cents des cas, ils se trompent lourdement. Et ces médecins qui vous demandent et ne vous attendent pas font place à l’abus quant ce n’est pas les vrais propos fallacieux dont ils se réservent le droit de les nier au profit du concept étatique qui dit que je ne peux prouver autre chose, c’est bien la, je n’apporte pas les preuves à contrario, c’est le concept régulier des affaires juridiques, du Juge, non content de voir que j’étais en consultation pour le compte d’autrui, dont il ne veux plus entendre parler, ni même du contexte familier où ces abus se disproportionnent pour amener crechendos des bavardages sur des multiples interprétations dont je reste au fond du compte bien conscient que le juge les admet en demi teinte sans pouvoir y faire grand chose. Il juge, et je suis face à une administration qui n’agirait que si j’étais considéré comme fou, je suis donc victimes de façon autocratique et dictatoriale de propos déplacés, et trop forts pour exister en l’âme et conscience de l’Administration. Pour le compte d’autrui, j’ai subit ce que je n’avais pas à subir. Il ne s’agit pas que je m’exonère de ce que l’on peut voir en moi en termes savants issue de ce vocabulaire précis et méticuleux, plus vrais que la simple parole médicale, j’entends m’exonérer d’ un vocabulaire psychiatrique écrit de façon vulgaire mais avec qui on a tôt fait de parait savant et prendre ces termes avec sérieux, pourtant il s’agit de donneurs d’ordres pour le conte d’autrui, non de de vrais spécialistes, il s’agit d’un psy globale et générale. De cette langue savante, on a affaire à des singeries qui paraissent vrais, comme l’exploitation désastreuse de ceux qui emploient des termes savants pour se montrer aussi convainquant que d’autres. Ceci est de la vulgarisation qui va du simple au plus compliquée. On a vite faite de paraitre informé alors qu’on ne connais presque rien, c’est pourquoi tant d’erreurs subsistent en science humaine et particulièrement en psychologie et psychiatrie.
26 octobre 2010 à 14 02 18 101810
J’ entreprendrai de lutter contre l’excès en tout et particulièrement contre ceux qui ont l’impudence d’annoncer des fausses fragilités sous couvert d’une hiérarchie médicale et psychiatrique plutôt chancelante. La situation florissante de leur statut INDUIT IMMANQUABLEMENT des contre vérités en matière d’hygiène mentale et de psychologie. Ce sont ces personnes qu’il faut soigner, ce sont eux qui poussent d’honnêtes citoyen à se suicider. Ces acteurs sont infâmes, ils font vivre la vie selon leur propre désordre,tout leur est du, ils se figurent incidemment qu’ils sont obligés d’agir aussi pompeusement, ils imposent un intérêt frelaté à leur charlatanisme. Qu’ils s’estime heureux d’échapper aux gens vraiment dangereux car en étant si imbues d’eux mêmes, ils attirent la violence, le raz le bol. Je me satisfait objectivement, je n’ai pas besoin qu’on prenne avec tant de force des pseudo-douleurs ayant valeur de tempérament défraichis, pour concevoir quelque chose de pire, pour comme ils disent prévenir. Ces libéralités laissés à certains de ces acteurs sont devenu redoutables et redoutés, insatisfaites, agitatrices, c’est devenu un supplice, une infamie. J’ai le souvenir de ces particularités doctrinales et idéologiques et je préfère de loin réfléchir sur les voies que j’emprunte plutôt qu’être lachement en proie à ce syndrome d’afflictons, d’influence, du toujours possibles quand l’inexistence est là, présente. Je ne vois rien qui pût assurer ma liberté de penser, d’en être maitre, puisque ces agissements induise qu’une chose ; l’évasion et sa certitude. Quand l’inutilité de certaines démarches font qu’il est nécessaire de s’en plaindre, il est souvent déjà fort tard et c’est un drame qui se joue, un mal qui se crée de toute pièce, de toute sa force d’auto-persuasion. Il est aisé de vous vaincre quand vous n’opposez plus rien, parce qu’on vous impulse des angoisses que vous n’auriez jamais eu si vous aviez pu presser le pas, des inquiétudes qu’on vous a crée. Un sens vers lequel on vous a dirigé et qui vous tyrannise, c’est un paradoxe insoutenable, ou pour parler plus juste un tissu de malheur au travers duquel la force de l’imagination finit par trouver du plaisirs à des maux inventés. C’est avant tout contradictoire, mais c’est parfois aussi insensé. Surtout quand on s’efforce de prouver que votre différence est à votre avantage, particulièrement en justice. Là où vous n’aurez rien de ce dédommagement puisque vous n’avez rien de conciliable avec une quelconque once de folie, bien sur on pensera que si vous avez engagé une telle procédure c’est pour rendre imputable ce qu’on dit de vous, alors que votre état ne suscité aucune imputabilité et bien entendu ne suscite que l’inexistence de preuves. J’aurais souhaité que l’Etat attaqué sur ces deniers soit effrayé de ce raisonnement, j’aurais aimé avoir affaire à un Etat non figé, qu’il se protège de m’indemniser, c’est son rôle mais qu’il ne se sente ni blessé ni irréel, cela abime le bon sens, le détruit. A travers des diagnostics malheureux, inutiles, c’est à cet égard que je n’ai pu traiter les choses d’égales à égales. Il s’agit de voir la force que possède l’État pour nous faire supporter les peines, l’État n’est pas infaillibles, on trouve plus de tyrannies que de symboles vertueux, paisibles.Mais la morale est très éloigné de notre Justice. C’est une pratique triste, mortifiante. Prédicateurs d’hygiène mentale et de psychologie, vous vous vanter de pouvoir défier trop de monde, il devient absolument nécessaire que vous arrêtiez de vous déguiser de la sorte parce que votre imprécation met en danger la science elle-même et à travers elle, les fausses impressions dont vous êtes l’auteur. Je reconnais votre misère et votre faiblesse, hélas mais l’action est en votre pouvoir et à cause de vous, on ne voit plus clairement ce qu’il faut être. On éprouve trop votre vérité, ce que vous en dite, et on sort indisposé de vos prétextes.
16 novembre 2010 à 12 12 59 115911
Pour faire suite à mon bouquin,…ESSAIS en librairies
On a compris que j’avais exclu un engagement au-delà de la période réglementaire, je continuerais civilement sans avoir fait ni l’école d’officier de réserve ni celle de sous-officiers..
J’avais l’intuition qu’officiellement, l’Armée ne m’apporterait pas une suite logique à ce moment clef de ma jeunesse d’étudiant, plus encore je n’ignorais pas que l’armée est digne d’un ordre de pensée souvent incohérent, d’un déséquilibre citoyen, moi je penchais de façon conventionnel à l’ordre universitaire et professionnel auquel je ne pensais pas être le seul à aspirer. De toute façon, si je ne le disais pas, je devais montrer que déjà, j’étais perturbé et brouillé dans ma tête notamment à l’idée de devoir servir obligatoirement un an à l’issue d’un tout travail, d’un tout autre effort déjà bien engagé dans le civil.
J’ai néanmoins conservé mon calme, avec quand c’était possible une certaine rigueur d’esprit et j’ai collaboré partout où l’on me l’a demandé.
Je me faisais à l’idée qu’un an dans un cadre militaire, c’était vite passé . Je tenais vraiment à reprendre plus tard quelques années d’études. Après avoir réussit un BAC de techniques de gestion, j’étais fier de pouvoir déboucher sur des études supérieures, moi qui venais d’un CAP d’aide comptable. J’avais prévu une formation en alternance s’ouvrant sur un travail dans un cabinet d’audit privé ou me permettant de m’établir à mon compte.
Ceci c’était mes ambitions, je n’en avais pas beaucoup d’autres, et n’avais jamais été signalé dans le domaine de l’angoisse, des maladies psychiatriques ou de l’irritabilité.
D’ailleurs, ce qui m’avait été notifié durant l’armée, ne me paraissait pas important, je n’en faisais pas cas.
J’étais bien plus préoccupé par mon avenir.
A travers le positionnement psychiatrique qui s’est déclaré par la suite inexacte, j’ai quand même du renoncer à ma volonté en matière de défense.
L’État a fait preuve de très peu d’écoute, au plus a-t-il nommer un expert pour aider à a recherche un lien petite enfance.
Selon moi, ce processus aurait pu être évité, il suffit d’admettre qu’il n’y a eu aucunes preuves..
L’idée d’une gêne a été largement dépassée, mais dans le même temps tout se présente comme irrecevable, non imputable
Face à ce concept «juridique» très fort, on s’aperçoit bien vite que l’Etat qui est très engagé en matière de prévention se défend encore mieux quand il s’est trompé, par l’autorité dont il dispose: arrêt, autorité de la chose jugée, … pour se fermer sur lui-même et ne permettre aucune écoute contraire même si cela est valable de façon objective, il ne l’est plus en droit, même s’il est admis qu’il s’agissait d’interprétions.
Ce qui s’est engagé de la part de l’État de façon écrite est pour moi grave
A travers une problématique qu’on peut relire, on compare mon armée à un séjour, on parle de « villégiature » . On s’engage sur l’idée que comparativement à d’autres cas, je n’ai pas le droit de me plaindre alors que dans mon idée, on m’a retardé puis soigné de façon abusive.
Par ailleurs, je note que l’État ne récupère pas ce qu’il a lui-même créé, «les afflictions»
Il assure une irrecevabilité, une pratique «psy» dont aucun vrai professionnel ne se soucie.
Suis je hors sujet, l’armée garde-t-elle un cap constant: ce qui s’est engagé malgré moi ne l’intéresse guère.
Ce mode d’exercice frôlant l’imaginaire traité si bizarrement ne me laisse rien espérer, c’est bien l’armée qui l’a signalé, c’est elle qui parle d’un trop plein et d’un délit de relation.
Je ne suis pas d’accord avec ces mœurs médico-sociales, dite salutaires.
Je ne veux pas de ses soins qui disent redonner du sens à la vie alors même qu’ils détruisent. Pourquoi l’Armée a-t-elle pensé autant faciliter ce qu’elle appelle une trajectoire durant laquelle un épiphénomène serait survenu ? Pourquoi pense-t-elle s’affranchir d’un conditionnel incertain qui est connu et contre lequel, nul ne peut rien.
. Ce côté «psy» doit être considéré comme déviant et dévalorisant. Il ne cesse d’exhiber des valeurs subjectives avec une participation plutôt confinée de la psychologie. Des valeurs occultes à la seule plaie de l’enfermement où on se demande ce que viennent faire ces nombreuses observations cliniques face aux activités d’exercice, montrant un travail à la dérobade, ne participant pas objectivement et concrètement à des activités relationnelles normales.
Un mode «pathologique», une «psychose» dite chronique pour lesquels, il faudrait quand même considérer que ce qui a été institué fondamentalement est différent. En l’occurrence sur ces deux termes, les explications ne correspondent pas, elles démontrent des significations différentes. Il faut revenir sur la définition d’une personnalité pathologique comme sur la définition d’une psychose chronique, mais l’État ne veut plus rien entendre
Il y a donc un mode d’analyse très factuel, très nettement grossis et surtout très décevant sur la pratique des commanditaires car très éloigné de la politique de santé officielle.
Face un État qui refuse de revenir sur tout ce qu’il a produit
Il transparaît une procédure où le mode de recul sur soi et sur les autres existent bien
Le problème n’est pas d’imputer un handicap au cours d’un SERVICE NATIONAL, le problème est que les conclusions ne signifient au bout du compte plus rien. Qu’y a t-il, par exemple de cohérent, de synthétique quand l’armée s’intéresse à mon milieu familial?.
L’existence cachée d’afflictions c’est plutôt un cantonnement où l’on m’a mis. De plus on ne m’épargne ni le mode héréditaire influent ni le mode de filiation, ni même « des séquelles d’épisodes psychotiques, de la labilité émotionnelle, une personnalité à tendance névrotique, etc. …
Je trouve excessif de devoir se reconsidérer à l’excès.
Des évocations hypocondriaques, ou d’autres termes tirés du registre névrotique. Cette crise subaiguë..
Comment souscrire à un tel débat juridique et administratif ? Comment parler de l’intuition du Juge qui va rechercher des preuves durant la petite enfance, la où la volonté paternelle et maternelle lui semble trop forte..
L’ordre modifia mon emploi du temps de façon définitive « rejoindre une infirmerie» «consulter»
C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de comprendre. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, parce que j’aurais eu l’air bizarre, chose facile à dire. J’avais pratiquement toujours assumé mon temps de garde et de corvée, ceci était pour moi banal.
Avec mon tempérament, je ne pouvais disposer d’un quelconque ressentir. Pendant mon temps actif, je ne pouvais pas non plus m’opposer aux excès de boissons, ce n’était pas mon rôle, encore moins lutter contre des quolibets ou des railleries de corps de garde, de plus, je n’en ressentais pas le besoin. Je n’essayais pas de dialoguer avec les fortes têtes que je rencontrais dans ma caserne, les rapports aimables étaient peut-être trop inhabituels, mais dans mon attitude, je faisais mine de ne rien comprendre et de ne rien subir.
Je préférais être ignoré, que de me distinguer pour me faire voir, jamais je n’ai été exalté au point de devoir me retrouver à bon escient en psychiatrie. Lors d’une période de repos obligatoire et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté l’idée de servir, mais le contrat d’être soigné après l’armée m’avait changé. J’avais oublié ma caserne, il y avait longtemps qu’elle n’était plus dans ma mémoire, peu de choses d’ailleurs s’y étaient enfouies, je n’avais pas d’angoisse, ni d’anxiété, ni d’émotion, ni de fatigue. Seulement des difficultés à comprendre à revenir sur des faits finalement assez quelconques quelques jours après mon hospitalisation. Comprendrais-je un jour, ce dernier point de chute, celui pour lequel, contre ou pour, ont planché les spécialistes, je crains que non.
J’avais en tout cas été dirigé sans raison de cette caserne, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital.
Ma personnalité puis celle de mes parents a été de toutes façons été trop analysée. De plus ce n’était pas de très bon goût. Pour les psychiatres rien n’était grave chez moi mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne les avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux, et le fait de me rejoindre à mon insu était fondamental. Il est à noter que mes parents ont toujours été des gens soucieux à bon escient, ce qui s’est passé de ces relations a pu en un temps paraître obscur. Je rappelle avoir passé une période de détente avant la convalescence militaire, cette période de détente juste avant ma mise à l’écart, après JUIN 1974, ne préfigurait rien de maladif.
Je suis resté effectivement très proche du foyer familial. Ce qui a été investit quasiment contre moi, c’est le report à une condition enfantine particulière,ou d’un risque futur de psychoticité. Je n’invente rien, il s’agissait de l’interrogation d’un médecin major qui a évoqué la nécessité de me faire suivre après l’armée et qui l’a dit à ma mère, un autre médecin a indiqué que le traitement sous neuroleptiques devait ne pas s’arrêter brusquement, mais plusieurs autres était formellement contre ce traitement…
Lorsque j’ai été dégagé des obligations légales, je me suis coupé de mes propres besoins, dormir sous somnifères, quand je n’avais jamais eu d’insomnie me paraissait bizarre. Rien dans mon devenir ne me menaçait. Il n’y a rien de plus gravissime, que de contester des somnifères.
Cela ne pouvait pas me nuire, me disait –on! . J’étais tellement habitué à un emploi du temps sérieux, rigoureux, que j’ai du casser ma cadence, ceci est une réalité qui mérite d’être soulignée. Il faut rendre palpable ce qui peut l’être et faire la distinction de ce qui est éloigné de mon tempérament
J’ai consulté un cabinet civil et psychiatrique au sortir de l’armée, j’étais prêt à prendre fait et cause pour les données essentielles de la science, mais les termes du psychiatre civil furent toutes autres, il ne voyait aucunes justifications à ce qui avait été entamé à l’armée, plus encore, il porterait plainte en mon nom.
Ce dernier m’a donc aidé à porter plainte devant le Tribunal des pensions militaires.
Je me souviens n’avoir rien reçu aucun courrier durant plusieurs années durant, il n’y eu aucun dialogue procédurier ni thérapeutique, autrement dit on ne retrouva que l’aspect théorique des choses.
Hors, de ces périodes, je fus maintenu sous anxiolytiques, conduit à d’autres professionnels, mon père pensait que l’œil exercé des uns et des autres, me soignerait à travers ma santé psychique;
Je n’oubliais pas non plus mes études de droit, et d’économie qui depuis lors étaient stoppées depuis l’acquis de deux examens probatoires. Je pensais que rien de bien perceptible sur le plan mental ou sur le plan des pensées, pouvait se montrer en tant qu’obstacle.
Affections peut-être qui pouvaient exister avant disait-on à titre documentaire. Sans que je le sache, bien sur et au sein de l’Armée de Terre, effet démoralisateur, réelle investigation critique sur laquelle il est facile de jouer. Les exemples ne manquent pas en matière de résultat, et de fallacieuses préoccupations.
De cette manière, il y un traitement de longue duré qui court que pour lui-même
9 novembre 2012 à 15 03 02 110211
C’était un de ces jours où papa fatigué, souhaitait que, on ne le saura jamais, il soupira….
En début de journée, tout allait encore parfaitement, je lui avais dit : « Tu sais, en France, j’ai le sentiment de perdre mon temps, et tout me semble aller de travers, je fuis, je pars en Israël, vivre en kibboutz ». J’avais tout prévu, mais ça n’avait pas arrêté Papa, qui me rétorqua : « ici, tu as des droits, en Israël tu n’en auras pas le quart ».
Il se dépêchait de monter les 5 étages, pour me montrer mon nouvel appartement : « tu a un studio, tu habiteras tout prêt, j’y ai fais tous les travaux, tu mangeras avec nous, ne part pas »
Je rejoignis le nouveau petit appartement qui m’attendait pour m’y installer, je pria Papa de m’excuser et je dis, il est comme neuf. Alors au lieu de m’emmener à l’aéroport pour m’installer en kibboutz, je promis de ne plus le quitter, Maman poussa un juron, son frère, mon oncle venait de décéder d’une crise cardiaque. Je dis, si j’étais là bas (en Israël, il m’aurait à coup sur demandé que je revienne pour enterrer tonton, ils sont respectueux des familles juives en diaspora. Papa se demanda si j’avais pensé à prendre tout ce dont j’aurais besoin pour vivre dans ma nouvelle demeure. Ce déplacement que j’avais envisagé, notamment avec l’Agence juive à Paris et en tout cas vers l’étranger, ça lui semblait si bizarre,cela l’embarrassait beaucoup et les rendez-vous pris par les institutions communautaires pendant mon séjour en Israël aussi. Le premier rendez-vous avec la nation juive avait pourtant été prévu depuis longtemps, mes parents m’avaient eux-mêmes payé un voyage d’études en Israël. . Papa savait que j’avais largement compris l’antisémitisme, le sionisme, la Shoah de son père, Isaac, de son frère aîné dont je portais le même prénom en sa mémoire et auquel on avait ajouté le prénom du frère à ma mère, Lucien. Lucien venait de décéder, il avait la guerre 39-45 avec la Russie, puis avec la France. Il était venu en France avec son père Jacob lui-même mort dans les camps. Jacob avait connu ma grand-mère, en France, femme juive de Lorraine depuis de nombreuses générations. Je pensais à tout cela, à cette vieille famille française, et donc à ma mémé, Suzanne, à mon tonton Lucien, à papa jojo, à maman Jacqueline., à mes vieux cousins, le temps d’arriver en France, ils avaient subit le même sort qu’on connaît, le sort réservé aux juifs, et après la débâcle de 1939, à Paris, après les pogroms, les ghettos, , De s’installer à Paris avant cette sévère répression nazie, Papa qui avait perdu son frère aîné, Marcel s’était engagé volontaire. Il fut versé dans la 2ème DB de Leclerc, dans les chars des spahis marocains, régiments oh combien renommé à la Libération. De Gaulle, n’avait-il pas dit haut et fort, lors d’un discours « Je salue le peuple souverain qui a libéré Paris, je salue la division du Maréchal LECLERC » Décidément, Papa était de mauvais poil, Je décida de prendre sur moi.
Après tout ce monsieur n’y était pour rien dans mes contrariétés et. en fait, il refusa que je m’expatrie, Maman avait été appelée très tard la veille par le fait que son frère venait de succomber à une crise cardiaque.
Je n’oublierai jamais que tonton, le frère de Maman avait employé Maman, en pleine guerre pour porter des peaux de lapins, tonton avait été maroquinier puis patron d’un hôtel-restaurant, à Lyon, son commerce s’appelait « Au bon vigneron ». Il était parti à LYON après avoir travaillé dans la fabrication portes monnaie , collection luxueuse, il avait travaillé longtemps dans son appartement, pour partir couvrir la « fashion » de ¨Paris, c’était du bel ouvrage, du beau cuir de luxe, et un peu fantaisie.
D’habitude, le lieu de travail est différent du domicile, lui et sa femme, tata Rosy, avait une grande pièce dans laquelle, travaillait quelques ouvriers. en maroquinerie. Ses collègues comme il les appelait travaillait durs, , Tonton s’y collait vers 16 heures après une bonne sieste , il relançait l’équipe.
Après la Libération, Maman, sa sœur avait été si malade, qu’elle fut pensionné, elle n’ était plu en état de travailler, de faire les mêmes efforts.
Pendant la guerre, elle avait été contrainte d’aller en zone libre avec son frère.
.Papa aussi adorait la mode, lui aussi avait beaucoup travaillé. D’abord dans les housses automobiles, puis il avait fabriquait des sacs pour dames, des vides poches. Il avait eu comme patron son grand ami d’enfance Louis, de très vieux copains avec Léon le frère de Louis, qui avait monté une entreprise de fabrications de moteurs automobiles. L’ambiance de ma tendre enfance avait été bercée de ces gens, une petite enfance que je qualifie d’ hyper bonne, d’hyper conviviale, il y avait la femme du patron, Hélène qui s’était installé toute jeune à son compte, comme petite main, petite ouvrière, elle avait épousé Louis avant d’acheter plus grand, toujours plus grand. Les week- end, quand j’étais môme, c’était toute une bande copains et copines avec Papa, Maman, c’est à peine si je pensais que sur cette Terre, d’autres existaient ou avaient existé, en bien comme en mal. « . Léon avait épousé une non juive, contrairement à Louis. Moi j’ avais dû annuler tous mes projets et cela durait ’
Papa essayait d’arrêter de fumer et j’étais conscient qui était devenu très irritable. Il était en manque de nicotine et en pleine retraite. Papa ne pouvait pas ce passer du boulot et dans son entourage, il trouva le moyen à peine retraité de créer sous un autre nom, un cordonnerie, cela lui permis de continuer à travailler, cela luis permis des revenus supplémentaire, il acheta une belle voiture toute neuve, il allait souvent au restaurant..
Son frère était mort bizarrement . Il avait trouvé durant la guerre, un travail et lors d’un déplacement, de Million à Paris, il fut arrêté, prié d’aller à une ville Flossembourg, à la frontière allemande où il mourut du typhus. Tonton Marcel, avait à 18 ans déjà réussis ses deux baccalauréat, mathématique et littéraires, s’il n’y avait pas eu les lois de Vichy, tonton aurait fait une grande école.
Il y a longtemps, j’avais interrompu mes études supérieures pour effectuer mon service militaire. On notera que depuis ce service fut abolit. Mes idées furent au préalable de vivre en France. Je ne faisais pas de fixation sur mes conditions de vie en France, toujours est-il que depuis une période sanitaire sur la fin de mon armée, j’avais été contraint de suivre un traitement que je n’affectionnais guère. C’était une faible dose de neuroleptiques associé à des Somnifères. Ce concept médical m’était tout de suite apparu disproportionné et dénué de tous fondements.
C’était donc bien que relatif à l’échec d’une prétention psychiatrique de ce type que j’avais pensé à m’expatrier, de vivre en Israël, cette pseudo-prévention m’enlevait l’envie de continuer à vivre en France.. J’avais eu accès aux archives médicales de cette période. Je compris très vite qu’il s’agissait de documents d’archives . Lorsqu’un psychiatre civil assigna l’État en Justice, les documents étaient trop vieux pour compter, il fallait montrer une aggravation. Un dossier fut créé, mais l’idée de pièces nouvelles, pour montrer qu’il y avait maladie ne se fit pas, au contraire toutes les investigations montraient qu’en aucun cas, il pouvait avoir lieu de me pensionner.
Je ne le savais que trop, pourtant, il fut plaidé que j’avait été victimes de propos fallacieux de plusieurs engagés et donc d’un internement abusif.
Pour autant, cette plainte qui avait été augurée en justice par un premier psychiatre face à l’État attaqué sur ses deniers, dura longtemps, en fonction des appels que relevait tantôt le Tribunal, tantôt le ministère des anciens combattants.
Ce ne sont que quelques mots, quelques suggestions, et commentaires médicaux, mais pour moi, c’était de trop.
Lorsque j’avais été hospitalisé durant les derniers mois de mon service on en avait plaisanté en famille. J’’ai pu me rendre compte ce que ce vocabulaire méticuleux, précis, recelait, on avait créé un fossé entre la réalité et disons la théorie. Tout ce passif psychiatrique ne tient pas la route,me dit un expert : lui était convaincu de ma bonne foi, il avait formellement à mon père d’être influencé, plus encore, il était contre ce traitement, pour lui ce ne sont après tout que des mots, entachés d’incertitudes. J’ai néanmoins tout revu à la baisse, vis à vis de mon père qui préférait que je pris un petit traitement post-dates
À côté du passif de notre dette publique, il reste le passif des mots,, face à un certain inconscient collectif
Bien sur j’aurais aimé qu’un lien soit tissé, mais vu les mouvements d’orgueil, les paroles inutiles qu’on entend chaque jour, vu la maturité ambiante, il faut bien composer avec cela, je finis par entendre ce que je voulais bien entendre, tout m’engageait à prendre du recul avec la France..
Il y eut, à travers l’expertise psychiatrique, l’idée que l’on peut juger trop facilement jugé ambigus et frileux sa propre petite vie, sa petite enfance, son adolescence, ses relations. Après tout, je refusais de devoir obligatoirement devenir dépendant d’un passé. Il y avait eu des termes tels que : 3Séquelles d’épisode psychotiques aiguës. Personnalité névrotique avec élément d’immaturité – Labilité émotionnelle, fatigue, anxiété3, ce sont des limites qui ne courent pas les rues. . Je finis par me dire qu’, il fallait arrêter le massacre de la part « psy » qui s’y régalait, sans compté la hiérarchie judiciaire qui pressait l’avocat commis d’office de rendre ses conclusions. Je n’étais plus devant la psychiatrie, mais devant le manque d’évolution
On ne parlait plus de ma première nuit passé, à dormir sous somnifère à l’hôpital psychiatrique et militaire de Dijon, il me revient une fixation sur ce qui avait précédé avant qu’on m’envoie consulter, j’avais repensé la caserne, à saint florentin dans l’Yonne, une caserne que j’avais quitté après une entrevue avec mon adjudant.
Il me demanda de me présenter. Puis de manière fallacieuse, me posa quelques questions. Me demanda si j’avais eu mal aux oreilles, m’indiquant que je lui avait fait un salut américain, m’intima l’ordre d’allez consulté. Personne, n’aurait compris, à part lui. Comme j’aurais été heureux qu’il soit convoqué en un Tribunal, plutôt qu’entendre l’idée de propos fallacieux sans sa présence..
Bon passons, après 30 ans de procédure, il fut dit dans mes attendus qu’au 4ème jour après cette incorporation, j’avais des troubles du comportement. Il s’agit alors de ma première caserne, à Montluçon. Allez comprendre pourquoi un gradé faisa,nt office pour la circonstance de psychothérapeute pu affirmer ce genre de troubles, quelle anecdote après 4 jours d’armée, pu lui faire dire cela, et ce trente ans après mon incorporation. J’ai rassemblé mes souvenirs, étais-ce une corvée dont on m’a dispensé, était-ce-ce un courrier que j’ai reçu d’un ami de cette époque, allez savoir. Cette hygiène mentale, cette psychologie, m’échappe.
Le principe masculin est réputé, on le voit au-dessus, et suit en cela sa direction naturelle; le principe féminin qui est au-dessous, conformément à la direction de son mouvement. Un état de repos s’est donc établi, car le mouvement est parvenu à sa fin normale. Appliqué à l’homme, la France traite du problème de la paix du cœur à acquérir mais à l’envers, et sans équilibre et sans justesse. Le cœur est très difficile à calmer quand il est meurtri et les plus mal intentionnés parfois l’emporte sur les autres. Tandis que d’autres, plus ZEN s’efforcent d’atteindre le repos par la cessation de tout mouvement dans l’état d’une drôle d’euphorie, le point de vue de mon Livre, intitulé ESSAIS de MANDELKORN est peut-être plus excitant que ma réelle présence en France. En France le repos constitue seulement un état hyper important, qui a toujours pour complément le mouvement. A un moment donné, il faut du repos? Il est possible que mon texte contienne des allusions trop acides à ces pratiques sur le domaines des « afflictions » que tend à banaliser notre société moderne. Disons l’extase d’un repos face au mode organisée, au trop plein de nos efforts, et surtout quand la justesse s’égare.
Il entre dans sa cour et ne voit plus les siens, je fais référence à mon adjudant, il se nomme MASSON. Pourquoi me suis retrouvé en période de repos, à quelle fin.
Pas de blâme mais du repos forcé : Avant cela, une autre personne m’avait dit « les médecins vous demande », non je ne rêvais pas, je fus dirigé en psychiatrie pendant plusieurs périodes sanitaires, transitant par plusieurs établissements médicaux des armées puis civilement. Je devrais dire des périodes morcelées, moi, j’aimerais que ces périodes ne fassent qu’un à travers l’unité de ses acteurs, et cette unité, il n’y a qu’un mot pour la qualifier : vérité ou mensonge.
Le vrai repos est celui où l’homme s’arrête quand le moment est venu de s’arrêter et se meut quand le moment est venu de se mouvoir. Là, il s’agissait de se mouvoir, malgré l’embarras de ce dit congé de convalescence. Ainsi le repos subvient et le mouvement va nourrir tout autre chose que l’affliction, il m’a fallu nourrir le temps supplémentaire, pour cela, je faisais des pompes, m’absentait pour aller courir ou nager, grâce à cela je suis resté en harmonie avec mon corps, j’ai composé avec les exigences du temps supplémentaire.
Je me souviens qu’avant cette période, j’avais passé ma période de détente (230 jours) à la mer avec mes parents, parents qui furent très surpris de me voir en détente prolongée si je puis m’exprimer. Je leur ai téléphoné dès que j’ai pu le faire, il se sont rendu jusqu’à l’hôpital militaire.
En quelque sorte « le moi » s’est évanoui avec mon inquiétude, à cette époque, je ne pouvais me tourner vers le monde extérieur ! Je ne percevais plus rien en lui, ni le combat et le tumulte des êtres individuels et possessifs d’autres malades. En conséquence le calme nécessaire pour comprendre les grandes lois des phénomènes de l’univers et s’y conformer, c’est ma conduite.
On ne peut pas changer cela. Mais les pensées, doivent se limiter à la situation vitale présente. Toutes les songeries et les spéculations qui vont plus loin ne font que nous blesser
Garder les orteils immobiles, donc au garde à vous, c’est demeurer debout sans bouger avant d’avoir commencé à se mouvoir. J’étais en harmonie avec mon innocence originale. On voit avec difficulté les choses de façon intuitive, les choses telles qu’elles sont nous échappent, on manque d’intérêt et de désir. Celui qui se tient immobile au commencement et pour qui on a abandonné la vérité ne trouve pas la juste direction. Même avec une fermeté constante pour ne pas se laisser ballotter sans volonté.
Il s’agissait d’un repos obtenu par la contrainte. Mon internement a été jugé abusif, à Nanterre, à Versailles car il fut jugé..
De tout temps, nous avons toujours cherché à maîtriser l’image que nous donnons de nous aux autres… Mais en fait, c’est bien là toute la différence… Je n’aurais de cesse de le répéter, notre identité virtuelle existe… Oh combien il nous est plus facile de présenter en vitrine une version spirituelle, joyeuse et bien organisée de notre vie, autant durant mon armée, ce fut comme une pièce de théâtre où l’on vous fabrique un personnage».
On m’indiquait à la fin de mon service : Anxiété », je réponds, à mon médecin militaire, vous avez l’angoisse de l’impression, la théorie du livre sur la perplexité dans vos veines, étant donné que malgré vos promesses de connectivité sociale, la technologie de vos mots nous isole davantage en faisant écran à une réelle intimité de mots plus savants.
Avant l’armée, j’avais réussi mon baccalauréat de technologie.
J’avais tout bonnement, définit mon bonheur en fonction de la réalisation de résultats qui sont incertains et de toute façon si temporaire. Ensuite parce que même si on les atteint, la question se pose de ce que l’on fait après. Le risque est en effet de transformer sa vie en une surenchère avide de réussites et donc jamais satisfaite.
D’abord on peut apprendre à donner plus de place dans sa vie aux émotions qui nous atteignent.
Dans notre cerveau, des circuits neuronaux font office d’ “intégrateur central”. En schématisant, on pourrait comparer cet intégrateur à une sorte d’ordinateur qui reçoit et traite en permanence toute une série d’informations.; l’ordinateur est bête, soyons intelligent.
.Le cerveau commande la plupart des fonctions du corps : la respiration, la contraction des muscles, les battements du cœur… C’est aussi dans cet organe que sont analysées les informations sensorielles (la vision, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût).
Enfin, le cerveau est le siège de la mémoire, de l’apprentissage et des émotions. Il faut alléger, décharger, délester, atténuer, diminuer, adoucir, atténuer.
J’étais avant mon service militaire suffisamment avancé pour prétendre à obtenir un diplôme de l’enseignement supérieur, plutôt réservé sur mon sort (j’ai écris un livre « ESSAIS » disponible sur INTERNET à mon nom MANDELKORN
Donc, je ne déforme pas, ni les faits et les choses, ni les propos et concepts, en face, on m’interprète. ce n’était pas nécessaire. Si vous lisez mon livre « ESSAIS » de MANDELKORN, il y a des mots qui n’étaient pas à l’origine les miens.
Fallait-il, que j’écrive cette histoire, fallait-il que je parle d’un traitement qui m’a piqué à vif, du fait que durant ce qui s’est passé durant mon armée n’aurait jamais existé dans le civil,
En fait, c’est ce psychiatre civil, une fois délivré des obligations militaires et « sanitaires » de ma période, qui a eut l’idée de démarrer une plainte en mon nom, sitôt après mon congé « de convalescence ».
Ce fut donc de la suspicion,…
Ce que je peux dire, c’est qu’à cette époque (en octobre 1973, j’étais sursitaire et , deuxième classe.., Ce genre de troubles relèvent de théories médicales affirmés mais à vocation théorique, quelle sur-interprétation, quelle surréalisme
, Sur la base des propos sans relation avec ce qu’on appelle à tord ou à raison « une Normalité ». D’un côté on reproche à « la normalité » de faire stagner les choses, de ne pas être souveraine en tout, de dissimuler aux yeux du plus grand nombre une forme d’incapacité à se montrer. De l’autre, on se montre avec une très grande liberté de pensée et ça dérange, avec cette infini particularité qu’est la spéculation, face à elle on a le sentiment significatif de l’impuissance….
Pourquoi as-t-on jugé utile de m’hospitaliser en fin de période militaire ?
Tout médecin se doit de s’informer de l’existence d’un cas réel ou divulgué, je ne dis pas irréel, je dis divulgué et non pas spécialement réel
L’exploitation de mes informations aurait pu également permis d’apprécier l’évolution globale du phénomène au sein des Armées, du temps actif, d’un simple appelé à celui d’un engagé..!
L’État dit tout le monde est prévenu, en substance, il se pose le problème de tout prévenir pour ne pas avoir à guérir ensuite, donc à devoir réparer
Vers mai 1975 il y a eu plainte. En effet, un psychiatre civil, consulté dès la fin de mon service a vu tout de suite clair. Mais il n’y a pas eu de suite et au besoin, on peut dire que l’État a bien manœuvré, disposant jusqu’à des arrêts pour stopper la procédure TROP BIEN guindée
Au début, j’ai regardé cela de très loin, pris à la légère toute cette forme de prétention sanitaire qui disait faire de la prévention. Finalement, j’ai considéré l’ensemble comme des avatars, malgré cet air « bizarre » qu’on m’a imputé. Pour y avoir rapidement vu que les enjeux n’ existaient pas à travers la pratique psychiatrique mais surtout et encore à travers la pratique médicamenteuse , contemporaine mais aussi et c’est le plus important, l’autorité familiale de mon époque passé et future, une culture héritée du père, qu’on qualité de « judéo-chrétienne », d’autorité mal marquée , d’une mère coléreuse, envahissante, et alors, Il y a en matière d’expertise, plein de choses à décliner. C’est de la théorie fumeuse, faute de me pourvoir en Conseil d’État
Dans la « mosaïque de l’expertise judiciaire », la psychiatrie occupe une place particulièrement sensible, soumise à de multiples critiques, parfois contradictoires : omniprésence de l’expertise psychiatrique, mais manque d’évidences d’experts psychiatres ; leur pouvoir sur la décision des juges : dire qu’il y a plus encore, or, il y a moins, d’où une une grande faillibilité par rapport à la pratique : « l’expert ne bénéficie pas de l’aura de scientificité, d’objectivité et de technicité attachée, par exemple, à son vocabulaire.
. Ces abus ont pris racine, comme un enfant porte dans ses veines le sang de ses parents. DE façon afflictive, on remonte, à l’aide d’une manivelle dans son passé, un vieux phono, et on répète-le tout sur une forme de plus en plus hasardeuse, et finalement trop savant, dans une immobilité absolue. Effectivement, je ne peux nier que d’autres sont bien plus à même à en savoir plus que moi.. Évidemment. Vous savez : les diagnostics ont eu du mal à exister, que ce soit durant la procédure médicale ou la procédure judiciaires : »Séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, labilité émotionnelle, angoisse, anxiété, fatigue, personnalité névrotique aiguë avec séquelles psychotiques (Déjà ancienne)Ancienne et donc à titre documentaire : personnellement le mot documentaire, c’est plutôt du vécu, du concret, mais ce n’est pas le souci du médecin ni de la Cour-, Sentiment de persécution- séquelles interprétatives -Personnalité complexe avec éléments d’immaturité, psychose chronique (il y a forcément un moment de notre où le cerveau se trouble, il y a ce mot Personnalité pathologique qu’on assimile à une psychose chronique), il y a des troubles du comportement qui tourne au charlatanisme, il y a EN FAMILLE comme un drame qu’on m’a inventé, fort exploité bien avant en psychiatrie, puisqu’on a recherché petite enfance. Un psychiatre n’est pas positionné comme un médecin généraliste, il est plutôt contradictoire…