Dopage lors de la CAN : Des études ont confirmé que les « égyptiens » violent la charte olympique
Tous les égyptiens, les journalistes, les responsable jusqu’au simple citoyen, n’ont cessé depuis le début de la 27eme édition de la CAN, qui se déroule en Angola,
de sa vanter de la sélection « Oum Eddounia », qui a tout terrassé sur son passage en
Angola, et ce grâce au « magicien blanc », tel qu’ils surnomment leur sélectionneur Hassan Shehata, qui fut l’objet de critiques virulentes après le choc Oum-Dourman, avan
t de devenir un héros suite aux grandes réalisations de son équipe en Angola.
• Mais, ce que beaucoup de gens ignorent, c’est que le secret de la « Réussite » des pharaons en CAN renvoi aux paramètres n’ayant aucun lien avec la préparation scientifique et méthodique pour une aussi grande compétition, et cette hypothèse commence à se frayer un chemin parmi les observateurs. Et pour cause, les doutes commencent à s’installer quant la « Recette » concoctée par Shehata pour redonner l’esprit à une équipe faible, qui rêvait toujours d’une qualification au mondial, avant de se rendre compte, durant la nuit d’un certain 18 novembre, de la vérité amère à Oum-Dourman. • • • La nouvelle hypothèse qui commence à se confirmer par des études objectives indique que les joueurs de la sélection égyptienne sont soupçonnés de dopage durant le rendez-vous africain, et qui a baissé rideau hier en Angola. • • Un site Camerounais a élaboré un rapport accablant dans ce sens, indiquant que les rumeurs qui circulaient sur la sélection égyptienne sont maintenant confirmées, après qu’elles eurent été un sujet de polémiques depuis plusieurs années… • • Le site a indiqué que plusieurs études, effectuées par différentes parties, à l’image du rendement des joueurs de la sélection égyptienne durant les dernières phases finales abritées par l’Égypte, le Ghana et l’Angola, durant lesquelles les protégés de Shehata se sont transformés en « Monstres» humains, qui ne souffrent pas de paramètres sportifs et extra sportifs, à l’image de la haute température et de l’humidité, pendant que les joueurs des sélections nord-africaines, telle que l’Algérie et la Tunisie, en souffrent. • • • Les études effectuées sur le rendement des joueurs de la sélection égyptienne durant les phases finales des CAN, viennent pour démasquer beaucoup de choses, qui ont surpris des chercheurs, eux-mêmes, mais auxquelles ils ont fini par trouver une réponses. • • Des chercheurs ont découvert que le rendement des joueurs de la sélection égyptienne lors des CAN est très différent que celui lors des qualifications en coupe du monde. La différence est tellement grande qu’on ne peut s’empêcher de se poser des questions. • • Les différentes études ont confirmé que cela et du au dopage des joueurs égyptiens durant les rendez-vous africains, alors qu’ils ne peuvent pas faire autant lors des qualifications en coupe du monde. Et si la FIFA est dotée de systèmes très précis pour détecter le dopage, eh bien, ce n’est pas la même chose pour la CAF, sise au Caire, et de ce fait tout marchent au profit des égyptiens, ce qui ne peut pas se faire avec la FIFA, dont le siége se trouve à Zurich, en Suisse. Et si les égyptiens se dopaient lors des qualifications en coupe du monde, ils seraient privés de la coupe du monde définitivement. • • Une question méritait d’être posée, lit-on sur ce site : Est-ce logique que la sélection égyptienne joue avec une telle force de la première jusqu’à la dernière rencontre avec le même niveau, alors qu’elle en souffrait depuis quelques semaines pour aller au mondial, ce dont elle a échoué justement ? Evidemment, le dopage démontre la cause de la constance du niveau du rendement des égyptiens dans cette compétition, car ils ont commencé la compétition avec le même rythme sans qu’il y ait une évolution dans le rendement d’une rencontre à une rencontre, à l’image de la sélection Camerounaise ainsi que le reste des sélections qualifiées au mondial. • • Et c’est parce que les « Pharaons » ont trouvé leur compte en CAN que, depuis quelques temps, ils veulent changer le système de qualification au mondial, en demandant de procéder au classement lors des phases finales africaines comme paramètre déterminant la qualification des cinq nations au mondial pour la zone africaine. Tout cela parce qu’ils sont convaincus qu’ils ne peuvent pas rivaliser avec les autres nations, lorsqu’il s’agit de qualification durant lesquelles ils ne peuvent utiliser de leur « Recette» pour s’illustrer, même au détriment du fair-play et des principes olympiques, qui interdisent un tel acte.
- Mais, ce que beaucoup de gens ignorent, c’est que le secret de la « Réussite » des pharaons en CAN renvoi aux paramètres n’ayant aucun lien avec la préparation scientifique et méthodique pour une aussi grande compétition, et cette hypothèse commence à se frayer un chemin parmi les observateurs. Et pour cause, les doutes commencent à s’installer quant la « Recette » concoctée par Shehata pour redonner l’esprit à une équipe faible, qui rêvait toujours d’une qualification au mondial, avant de se rendre compte, durant la nuit d’un certain 18 novembre, de la vérité amère à Oum-Dourman.
- La nouvelle hypothèse qui commence à se confirmer par des études objectives indique que les joueurs de la sélection égyptienne sont soupçonnés de dopage durant le rendez-vous africain, et qui a baissé rideau hier en Angola.
- Un site Camerounais a élaboré un rapport accablant dans ce sens, indiquant que les rumeurs qui circulaient sur la sélection égyptienne sont maintenant confirmées, après qu’elles eurent été un sujet de polémiques depuis plusieurs années…
- Le site a indiqué que plusieurs études, effectuées par différentes parties, à l’image du rendement des joueurs de la sélection égyptienne durant les dernières phases finales abritées par l’Égypte, le Ghana et l’Angola, durant lesquelles les protégés de Shehata se sont transformés en « Monstres» humains, qui ne souffrent pas de paramètres sportifs et extra sportifs, à l’image de la haute température et de l’humidité, pendant que les joueurs des sélections nord-africaines, telle que l’Algérie et la Tunisie, en souffrent.
- Les études effectuées sur le rendement des joueurs de la sélection égyptienne durant les phases finales des CAN, viennent pour démasquer beaucoup de choses, qui ont surpris des chercheurs, eux-mêmes, mais auxquelles ils ont fini par trouver une réponses.
- Des chercheurs ont découvert que le rendement des joueurs de la sélection égyptienne lors des CAN est très différent que celui lors des qualifications en coupe du monde. La différence est tellement grande qu’on ne peut s’empêcher de se poser des questions.
- Les différentes études ont confirmé que cela et du au dopage des joueurs égyptiens durant les rendez-vous africains, alors qu’ils ne peuvent pas faire autant lors des qualifications en coupe du monde. Et si la FIFA est dotée de systèmes très précis pour détecter le dopage, eh bien, ce n’est pas la même chose pour la CAF, sise au Caire, et de ce fait tout marchent au profit des égyptiens, ce qui ne peut pas se faire avec la FIFA, dont le siége se trouve à Zurich, en Suisse. Et si les égyptiens se dopaient lors des qualifications en coupe du monde, ils seraient privés de la coupe du monde définitivement.
- Une question méritait d’être posée, lit-on sur ce site : Est-ce logique que la sélection égyptienne joue avec une telle force de la première jusqu’à la dernière rencontre avec le même niveau, alors qu’elle en souffrait depuis quelques semaines pour aller au mondial, ce dont elle a échoué justement ? Evidemment, le dopage démontre la cause de la constance du niveau du rendement des égyptiens dans cette compétition, car ils ont commencé la compétition avec le même rythme sans qu’il y ait une évolution dans le rendement d’une rencontre à une rencontre, à l’image de la sélection Camerounaise ainsi que le reste des sélections qualifiées au mondial.
Et c’est parce que les « Pharaons » ont trouvé leur compte en CAN que, depuis quelques temps, ils veulent changer le système de qualification au mondial, en demandant de procéder au classement lors des phases finales africaines comme paramètre déterminant la qualification des cinq nations au mondial pour la zone africaine. Tout cela parce qu’ils sont convaincus qu’ils ne peuvent pas rivaliser avec les autres nations, lorsqu’il s’agit de qualification durant lesquelles ils ne peuvent utiliser de leur « Recette» pour s’illustrer, même au détriment du fair-play et des principes olympiques, qui interdisent un tel acte.
Par : Ayoub. B / Hakim Benyahia
1 février 2010
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