Dimanche 31 Janvier 2010 19h46mn 49s
Nouveau commentaire sur l’article #10944 « Chrono CAN «
Auteur : Omar l’altitude (IP: 86.203.129.15 , APlessis-Bouchard-153-1-74-15.w86-203.abo.wanadoo.fr)
E-mail : omar20@wanadoo.fr
Commentaire:
Lettre à Son Excellence Thomas Yayi Boni, Président du Bénin
Excellence
Votre beau pays vient, en Angola, de se déshonorer
En la personne de Koffi Codjia, votre administré
C’est la seule Vertu qui me fait parler ainsi
Car ce Judas a fait trop de tort à l’Algérie
Confessez-le, Excellence, il ne saura se défaire
Du témoignage des caméras et de tous mes frères.
Certes, le traître a commis son crime avec adresse
Saadane vous le confirmera, j’en ai la lettre expresse ;
Et peut-être aujourd’hui vos yeux seront témoins
De ce que votre esprit s’imagine le moins
Un sifflet assassins et une main qui commandent aux rois
A ruiné les Verts et du football bafoué toutes les lois.
Cet arbitre a de l’ambition mai plus de vice que de vertu
Mon cœur souffrirait moins quand arrogance sera abattue
Je sais, Excellence, que vous êtes un fin lettré
Pour lire sous ma fureur Corneille et la mort de Pompée.
Omar l’altitude. Sous l’œil goguenard de Ticouc.
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31 janvier 2010 à 21 09 45 01451
Thomas Yayi Boni (né en 1952 à Tchaourou, Bénin), est un économiste et homme politique béninois, président de la République depuis le 6 avril 2006.
Biographie [modifier]
Yayi Boni est né à Tchaourou, dans le nord du pays, dans une famille musulmane mais il s’est converti au protestantisme. Il appartient à trois ethnies influentes du Bénin: Nago (de la famille Youba) par son père, Peul et Bariba du côté de sa mère.
Il est docteur en économie, diplômé de l’université de l’Université de Paris IX Dauphine. Il fut conseiller technique aux affaires monétaires et bancaires, sous la présidence de Soglo, de 1991 à 1996, avant d’être nommé président de la Banque ouest africaine de développement (BOAD) en décembre 1994 jusqu’en février 2006 suite à sa démission pour se présenter aux élections présidentielles.
Marié et père de cinq enfants, il est un candidat indépendant soutenu par une coalition de mouvements et de petits partis politiques. Son slogan était « Ça peut changer ! Ça doit changer ! Ça va changer ! ». Le 5 mars, il arrive en tête du premier tour de l’élection présindentielle avec 35,60%. Le 19 mars, lors du second tour il remporte l’élection avec 74,51% face à Adrien Houngbédji. En l’absence de parti, il a su rallier à sa cause des personnalités respectées dans le pays telles qu’Albert Tevoedjré, ancien secrétaire général adjoint de l’ONU ou l’ex-chef de l’État Émile Zinsou.
Son score élevé au second tour peut s’expliquer par le rejet populaire du système Kérékou, dont Adrien Hongbedji avait été le ministre, et l’affairisme qu’il avait développé. En plus d’une bonne gouvernance, Boni déclare vouloir agir sur le développement du secteur privé (« faire du Bénin le Hong-Kong de l’Afrique »), sur la scolarisation des filles, ou encore sur la réhabilitation de l’agriculture. Pour eux, par cette manière, les vrais acteurs de la mouvance sont brimés en raison des jeux mafieux de l’entourage du président Boni qui ne veut pas promouvoir les co-partisants, au risque de perdre leurs places. Pour les mécontents de la mouvance, il y a beaucoup de données à changer, dans la mesure où ceux qui jouissent du pouvoir ne font rien pour apporter un plus au gouvernement et à la base.
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