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France, Syrie, Nouvelle-Calédonie… Sur les traces des pionniers de l’exil

4 janvier 2010

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France, Syrie, Nouvelle-Calédonie…
Sur les traces des pionniers de l’exil
Par Imaad Zoheir

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Avec 1 200 km de côtes et une fenêtre ouverte à deux battants sur le monde, l’Algérien qui, par nature, a la bougeotte, ne pouvait que se laisser aspirer par la douceur du large. Et cap sur l’aventure ! Déjà en 1881, dans le petit journal d’Oran édité par quelques riches colons, les chroniqueurs de l’époque comptabilisaient quotidiennement dans leurs articles la qualité du vrac en partance pour Marseille et même… les noms des passagers. Ainsi, on pouvait lire sur cette gazette d’un autre âge : «Dame Fatma et consorts embarquent au port demain après-midi vers la capitale phocéenne.» On aurait tendance à croire que cette brave femme parfaitement anonyme fait partie des premières Algériennes à émigrer vers l’Hexagone. Erreur !

I. Z.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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4 Réponses à “France, Syrie, Nouvelle-Calédonie… Sur les traces des pionniers de l’exil”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Ces Algériens adulés par la France

    Genèse n La première vague historique de notre émigration daterait du XVe siècle ! Et c’est même quelqu’un qui ne porte pas les Algériens dans son cœur qui l’a confirmé : Jean-Marie le Pen !

    Selon le leader de l’extrême droite, cette petite communauté d’expatriés se réunissait souvent au niveau de l’actuel Boul’mich où elle avait ses habitudes, parfois même ses échoppes de commerce. Ces émigrés de la première génération essaimeront au fur et à mesure toutes les régions de France jusqu’à se fondre totalement dans sa population.
    Certains de leurs descendants, pour des raisons que nous n’avons pas à développer, changeront de nom ou franciseront leur patronyme. Et c’est ainsi que nous apprendrons du même Le Pen que l’une des plus grandes familles de France, les Mondebourg par exemple est d’origine algérienne dont, bien sûr, le bouillonnant député du PS Arnaud de Mondebourg.
    Face à Le Pen qui pensait le déstabiliser devant la caméra, Arnaud avancera très fièrement son origine, sans se démonter le moins du monde et donnera même le nom de son trisaïeul : Aoudia, Aït Aoudia pour être plus précis. Il a fallu, par exemple, la mort de Pierre Mesmer pour que l’on sache que cet ancien Premier ministre de la France, ancien ministre de la Défense nationale et compagnon de la résistance était, lui aussi, d’origine algérienne, probablement par sa mère. Nous supposons que des familles moins exposées aux feux de l’actualité et de la rampe préfèrent garder discrètement leur origine… Comme si être Algérien était une tare. Mais là n’est pas le propos. Il est ailleurs, dans ce que cette émigration a donné à ce pays comme talents et comme personnalités de premier plan.
    Alain Mimoun dont les lointains ancêtres venaient de Telagh au sud de Sidi Bel Abbes offrit dans les années 1950 à la France sa première (et dernière) médaille d’or aux jeux olympiques de Melbourne dans une discipline qu’elle n’a jamais maîtrisée faute d’athlètes de haut niveau : le marathon. Fait insolite dans les mœurs politiques de la quatrième République : le président René Coty le félicitera au téléphone.
    A la même période, un chanteur presque inconnu jusque-là faisait brusquement monter l’audimat sur toutes les chaînes de radio avec une chanson culte qui l’a depuis immortalisé Le petit coquelicot. Il tiendra l’affiche des cabarets et des salles de concert pendant des années à Paris, il tournera même quelques films.
    Mouloudji, car c’est de lui qu’il s’agit, était issu, lui aussi, d’une très vieille émigration qui a fait le bonheur des planches du théâtre et du show-biz. Comme l’inégalable Prévost, un comédien hors pair que les producteurs s’arrachent et qui n’a jamais oublié sa lointaine Kabylie.
    Il en parle avec passion, avec tendresse, avec souvent la gorge nouée. Pour ceux qui ne le connaissent pas, voici un repère : il passe souvent dans une pub à la télé, les célèbres assurances Maaf, avec ce mot rageur et plein de dépit «Je l’aurais un jour, je l’aurais…»
    Nous avons sciemment laissé le meilleur pour la fin, tant la chose va surprendre et plus d’un. Edith Piaf, ce monstre sacré qui a fait chalouper bien des têtes, mis le feu aux nuits parisiennes et fait pleurer plus d’un amoureux dans les chaumières, était d’origine algérienne (par sa mère, une mère célibataire qui a connu bien des misères, le froid, la faim, le mépris). N’est-ce pas finalement pour elle que cette majestueuse diva a chanté «Allez venez Milord, vous asseoir à ma table, il fait si froid dehors…»

    I.Z.

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    L’Emir et les autres…

    Rappel n L’Histoire de l’émigration algérienne vers le Moyen-Orient commence en 1847 depuis le port de Ghazaouet à l’ouest du pays.

    Le 24 février au soir, l’Emir Abdelkader et ses lieutenants embarquent pour la France où ils seront assignés à résidence pendant des années.
    Après lui avoir opposé une quinzaine de généraux, plusieurs princes, deux maréchaux et tous les régiments disponibles en terre de conquête, Paris a fini par user et lasser les troupes de l’Emir qui se rendront dans la dignité. L’Emir Abdelkader subjuguera les Français par sa simplicité, sa disponibilité et un sens aigu de l’honneur qui fera pâlir les meilleurs sabres de l’Empire. Tout le monde veut voir cet impétueux cavalier du désert qui fait déjà rêver.
    Napoléon III l’invitera à l’Opéra. Victor Hugo n’aura pas assez de mots justes pour louer les qualités morales d’un homme apparemment au-dessus des contingences. Sous la passion d’une opinion publique de plus en plus favorable à l’élargissement d’un homme dont le seul délit est d’avoir été vaincu, l’empereur encouragé par une assemblée nationale qui abonde dans le même sens, est contraint, malgré lui, de libérer l’Emir sous condition qu’il ne remette jamais les pieds en Algérie. Abdelkader choisira lui-même le lieu de son nouvel exil : la Syrie. Et c’est ainsi qu’il débarquera, lui et ses hommes, quelques mois plus tard, à Damas.
    Il ne sera pas seul évidemment. Des dizaines de familles qui avaient pris part directement ou indirectement au conflit le rejoindront. Si la première vague d’Algériens s’établit à Damas pour être plus près de l’Emir, leurs enfants et leurs petits-enfants, en revanche, voleront de leurs propres ailes. Certaines s’établiront à Alep, d’autres au Yémen, en Jordanie, quelques-uns en Egypte où ils se fondront dans la masse. Très jalouses de leur origine et même fières de les exhiber, des familles feront volontairement suivre leurs noms par le qualificatif identitaire de «El Djazaïri». En 1962, au lendemain de l’Indépendance, beaucoup d’entre elles viendront en pèlerinage pour visiter le pays de leurs ancêtres. Parmi elles, l’Emir Saïd, petit-fils de l’Emir. Un avion spécial sera même affrété pour rapatrier ceux qui le désiraient.
    Il n’est pas inutile de rappeler, dans ce même contexte, qu’une très forte délégation de descendants des anciens prisonniers de Nouvelle-Calédonie est venue, elle aussi, voir cette Algérie pour laquelle leurs aïeux ont tout donné et tout sacrifié. Indépendamment de cette émigration de masse vers les pays du Proche et du Moyen-Orient, des personnalités de premier plan ont également marqué leur présence sous ces climats même si elles sont totalement oubliées aujourd’hui. Leïla El-Djazaïri par exemple, a imposé sa voix et son talent sur les planches dans les années 1950 au Caire où elle a, d’ailleurs, joué aux côtés d’un monstre sacré de la chanson et de l’écran : Mohamed Abdelwaheb. Un autre Algérien, originaire de Tiaret, Hamimi, s’établira volontairement en Egypte après avoir coupé tous les ponts avec son pays et se consacrera à la lutte pour l’émancipation des peuples opprimés. Il décédera dans un crash d’avion au-dessus du Pakistan, alors qu’il se rendait en Russie pour une conférence mondiale. C’était en 1948. Un très beau livre, écrit par le journaliste Amar Belkhodja, de Tiaret lui aussi, lui sera consacré.

    Avec 320 francs n Partis en France dans les années 70 en qualité de touristes, quand le visa n’était pas exigé, certains algériens n’ayant pour tout viatique que les 320 francs lourds qu’on leur octroyait à l’époque des autorisations de sortie ont réussi non seulement à s’installer dans le pays hôte mais à brasser de juteuses affaires. Quelques-uns sont à la tête d’immenses fortunes comme celui qui a lancé à partir de Marseille, dans le style Tati, les vêtements Papi les moins chers d’Europe.

    I. Z.

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  3. Artisans de l'ombre Dit :

    Les déportés de la Calédonie

    Injustice n Pour vider l’Algérie de ses habitants et surtout de ses leaders qui menaçaient sérieusement sa politique de peuplement, la France n’a trouvé, à la fin du XIXe siècle, qu’une seule solution : le bannissement des desperados.

    Ceux-ci lui empoisonnaient l’existence et il fallait, donc, les éloigner vers les îles du bout du monde, d’où l’on ne revient plus jamais. Et quel meilleur choix que la grande île de la Nouvelle-Calédonie, un immense caillou sauvage posé au milieu de l’océan à 20 000 km environ des côtes algériennes. C’est tellement loin qu’une navette assurait la liaison entre la métropole et sa nouvelle colonie : un vieux paquebot à vapeur où l’on déchargeait après le vrac, deux bonnes douzaines de prisonniers venus de toutes les parties de l’Empire pour expurger leurs peines. En pleine jungle. La Nouvelle-Calédonie en 1880 était un bagne à ciel ouvert où personne, jusqu’à preuve du contraire, ne s’était échappé.
    C’est là, dans cet enfer du bout du monde, que la France enverra pendant trente ans, jusqu’en 1904, tous les grondeurs dangereux dont les insurgés de la commune de Paris et les résistants algériens.
    Ils seront des centaines à venir s’échouer par vagues, pieds et poings liés sur les berges du pays, solidement encadrés par des gardes qui n’auront aucune pitié pour eux.
    Les insurgés de 1871 en Kabylie feront partie du premier lot de prisonniers algériens à débarquer sur l’île. Soudée comme un seul homme, la petite colonie de forçats formera bientôt une communauté à part dans l’île visible de loin à la couleur cuivre de ses burnous.
    Malgré la faim, les privations, les chaînes et les cactus, ces hommes feront preuve, face aux coups du sort, d’un courage absolument remarquable. Ils ne se plaindront jamais à leurs geôliers. Ils souffriront en silence loin de leurs familles loin du pays pour lequel ils ont tout sacrifié. Un administrateur fera d’ailleurs cette remarque confidentielle à ses chefs : «Comment peut-on dompter des hommes aussi rectilignes, qui ne boivent pas, qui ne jurent pas et qui prient cinq fois pas jour la face tournée vers le Sud ?». Grâce à une campagne médiatique sans précédent déclenchée à Paris par les anciens camarades libérés, les conditions de détention des prisonniers «indigènes» s’améliorent de jour en jour, puis vient la libération d’abord graduelle, puis totale. Fatigués par plus de 20 ans de bagne, en plus d’avoir perdu tout contact avec les leurs, de nombreux Algériens préféreront rester sur place et mourir. Les plus jeunes parmi les vétérans se marieront avec des Créoles ou des métis, des femmes du pays.
    Toujours tenus à l’œil d’une administration tatillonne qui veut désormais former les différences, les Algériens seront priés et même sommés de donner à leurs enfants nés sur l’île des prénoms chrétiens. Plus de prénoms musulmans, sauf à l’intérieur des foyers et discrètement, il leur sera interdit de travailler et de s’établir hors de la seule région de Borane, à l’intérieur du pays…
    Alors que les enfants de ces ex-forçats auront presque honte de leurs parents malgré ce qu’ils ont enduré, les petits-enfants en revanche, aujourd’hui adultes et parfaitement vaccinés, se font une gloire du sacrifice des anciens. Quelques-uns parmi eux sont même venus en Algérie à la recherche de leurs racines, douar par douar, dechra par dechra.
    Certains ont même retrouvé les anciennes terres et les anciennes propriétés de leurs ancêtres. Pas pour les reprendre, mais pour le souvenir. Un fermier aurait même essayé d’acclimater la datte de Biskra dans l’île, mais sans succès apparemment. La langue arabe et la langue berbère sont toujours parlées, l’islam est encore enseigné et les traditions de la fantaisie et du couscous sont plus vivaces que jamais.
    Certains de ces descendants sont devenus de très gros propriétaires avec ranch, bétail, chapeau de cow-boy et lasso à l’appui, d’autres se sont lancés à cœur perdu dans le commerce et dans la politique. Un petit-fils de forçat est même devenu maire de la capitale de l’île, Nouméa et qu’un journaliste méprisant a appelé «L’émir de Nouméa».

    I. Z.

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    Les premiers pharaons étaient-ils algériens ?

    Dicton n Un vieil adage bourré de sagesse prétend que nul n’est prophète dans son pays. Comprenez par-là que les plus belles réussites se réalisent en général sous d’autres cieux et jamais sur la terre qui vous a vu naître.

    Lorsqu’ils ont quitté pour la première fois leur cocon natal pour émigrer vers des contrées lointaines de nombreux Algériens étaient loin de se douter du sort exceptionnel qui les attendait. Laissons parler l’histoire et levons le rideau sur ces émigrés très particuliers dont on ne peut qu’être fiers aujourd’hui. Selon des chroniqueurs sérieux qu’on ne peut soupçonner de complaisance, les premiers pharaons qui occupèrent le trône d’Egypte venaient du Sahara algérien.
    Rien d’étonnant a priori puisque les nomades ont ceci de particulier : ils sillonnaient les déserts de long en large, l’année durant, passaient du territoire algérien en territoire libyen, et du territoire libyen au territoire égyptien. Même s’ils n’apportent pas de preuves irréfutables de ce qu’ils avancent, ces chercheurs ouvrent tout de même quelques pistes très sérieuses et même troublantes. Parmi elles, deux retiennent tout particulièrement l’attention, premièrement la technique et l’art de la momification sont plus anciens dans les gigantesques sables du désert qu’en Egypte.
    Cela a été démontré, ce qui suppose qu’ils ont été introduits par des nomades venus d’ailleurs, certainement du désert algérien. En Libye on ne connaissait d’ailleurs pas encore ce genre de pratique. Deuxièmement, les gravures rupestres, de la chaîne saharienne du Tassili sont apparemment antérieures à celles qui ont été dessinées sous forme de hiéroglyphes par les embaumeurs sur les parois des tombes des pharaons.
    Rien n’empêche de penser par exemple que des tribus guerrières du Sahara aient occupé une partie de l’Egypte et se seraient sédentarisées, encouragées par un Nil fécond et abondant dont les villes antiques de Memphis et Thèbes seraient le couronnement.
    Encore un détail qui plaide en faveur de cette thèse : contrairement aux derniers Pharaons qui s’étaient vautrés dans le luxe et le raffinement d’une vie faite de plaisir, les premiers monarques avaient des goûts plutôt rustiques, se contentaient de peu, adoraient le désert dans lequel ils se sentaient dans leur élément et savaient parfaitement lire la carte du ciel… tout comme les nomades du désert algérien. Un autre Algérien occupera, lui aussi, un trône, et pas n’importe lequel, celui du royaume libyen. C’est à partir d’une petite bourgade de la wilaya de Mostaganem appelée Sidi Senouci que les premiers Senouci émigrèrent à Tripoli pour fonder la dynastie des Senouci.
    Le dernier roi en date, Idris Ier, sera renversé en 1969 par le colonel Khadafi. Il abdiquera et se réfugiera dans un premier temps en Turquie. Bien avant ce coup d’Etat qui donnera naissance à la Jamahiriya, son fils, l’héritier du trône, visitera pour la première fois de sa vie la terre de ses ancêtres et le mausolée qui porte leur nom. Le Dr Ahmed Taleb lui servira alors de guide. Un autre Algérien, un érudit et un pédagogue exceptionnel quittera sa Kabylie natale pour exercer au Maroc. Sa réputation est telle que le sultan à son retour d’exil l’appellera auprès de lui pour servir de précepteur à son fils, le futur Hassan II. Comblé d’honneur et de prébendes par un monarque reconnaissant, jalousé par une cour minée par les intrigues, le vieil homme, à la fin de sa vie ne demandera qu’une seule faveur : celle d’être enterré au milieu des siens. Dans cette courte galerie de portraits, un autre nom retient également l’attention : Berrah.
    Berrah est un brillant universitaire de l’est du pays, probablement de Constantine, où réside une parie de sa famille.
    Nous ne savons pas avec précision si c’est à partir de Paris ou d’Abidjan qu’il a tissé ses relations avec les hommes politiques les plus en vue de Côte d’Ivoire mais il a fini par devenir le principal conseiller du président Houphonett Boigny et même son plus proche confident.
    Les missions les plus sensibles et les plus délicates auprès de certains chefs d’Etats ou de gouvernement lui étaient confiées. Pour l’anecdote il sera reçu plusieurs fois en audience d’El Mouradia par le président Boumedienne en tant qu’émissaire ivoirien porteur de message.

    I. Z.

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