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Asloka asloka .Le fond de la personne

31 décembre 2009

Non classé

Une phrase de Kateb Yacine, au demeurant pleine d’indulgence à l’égard de l’écrivain pied-noir, résume à elle seule la place qui est faite aux « indigènes » dans l’œuvre de Camus : « Je préfère un écrivain comme Faulkner qui est parfois raciste mais dont l’un des héros est un Noir, à un Camus qui affiche des opinions anticolonialistes (sic) alors que les Algériens sont absents de son œuvre et que pour lui l’Algérie c’est Tipaza, un paysage… »

Extrait de l’article :Camus : Entre la mère et la justice

Par Bélaïd Abane

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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2 Réponses à “Asloka asloka .Le fond de la personne”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    William Faulkner
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    William Faulkner
    William Faulkner en 1954, photographié par Carl Van Vechten
    William Faulkner en 1954, photographié par Carl Van Vechten
    Nom de naissance William Falkner
    Activité(s) romancier, scénariste
    Naissance 25 septembre 1897
    New Albany Mississippi, États-Unis États-Unis
    Décès 6 juillet 1962
    Byhalia, Mississippi, États-Unis États-Unis
    Mouvement(s) Littérature moderniste, courant de conscience
    Distinctions Prix Pulitzer
    Prix Nobel de littérature
    National Book Award
    Œuvres principales

    * Le Bruit et la fureur (1929)
    * Tandis que j’agonise (1930)
    * Sanctuaire (1931)
    * Absalon, Absalon! (1936)
    * Lumière d’août (1938)

    William Faulkner (25 septembre 1897 – 6 juillet 1962) est un romancier américain.

    Même s’il publia des poèmes et exerça occasionnellement comme scénariste pour le cinéma, il est surtout connu pour ses romans et ses nouvelles. Écrivain majeur du XXe siècle, il eut une grande influence sur les générations suivantes.

    Situant la plupart des ses récits dans son état natif du Mississippi, il demeure l’un des écrivains du sud les plus connus, aux côtés de Mark Twain, Robert Penn Warren, Flannery O’Connor, Truman Capote, Eudora Welty, et Tennessee Williams.

    Régulièrement publié depuis les années 1920, Faulkner était encore peu connu avant de recevoir le Prix Nobel de littérature en 1949. Il est à présent célébré comme le plus grand écrivain américain de tous les temps
    Biographie

    Issu d’une famille aristocratique, Faulkner est né sous le nom de William Falkner (et non Faulkner) à New Albany dans le comté de Union (Mississippi) et fut profondément influencé par la vie des États du sud américain. Le Mississippi marqua son sens de l’humour, du tragique (par le clivage social entre Noirs et Blancs en vigueur à l’époque), sa capacité à forger des personnages typiques du sud (l’un d’eux étant celui de l’homme vif et intelligent, masqué derrière la façade du brave garçon un peu simple). Il prit le nom de Faulkner pour, dit il, « se singulariser », principalement vis à vis de son père qu’il n’aimait guère ; ce fut aussi pour lui une façon de s’affirmer comme écrivain.

    Il s’engagea dans l’aviation canadienne durant la Première Guerre mondiale, mais l’armistice de 1918 fut signé avant qu’il n’ait pu faire son premier vol, ce qui ne l’empêchera pas à son retour d’affecter un boitillement dû à une blessure qu’il aurait reçue au combat ; il continuera d’ailleurs longtemps à mentir à ses proches sur ses prétendus exploits.

    Déjà très porté sur l’alcool, Faulkner est vendeur en librairie puis postier mais passe l’essentiel de son temps à écrire et lire. Parmi ses auteurs favoris, on trouve Balzac. Les biographes font d’ailleurs un rapprochement entre la Yoknapatawpha saga de l’auteur américain et la Comédie humaine dont on a retrouvé une traduction complète dans sa bibliothèque de Rowan Oak, maison qu’il achète en 1930 à Oxford (Mississippi) [2] et où il s’installe peu après son mariage. Ce mariage avec Estelle est un désastre, les deux époux étant alcooliques ; (Estelle fait une cure par la suite). Ils ont eu une fille, Jill. Dans les années 1940 et 1950, William Faulkner multiplie les liaisons avec des jeunes femmes. Si, dans sa jeunesse, il n’écrivit que des poèmes (le premier d’entre eux Après-midi d’un faune fut publié en 1919), c’est par ses nouvelles et romans qu’il devient célèbre.

    En 1925, il publie son premier roman : Monnaie de singe. Faulkner visite ensuite l’Europe, s’arrêtant en Italie du Nord, à Paris (où il entreprend l’écriture de son deuxième roman Moustiques). Il commence une tournée des champs de bataille français (Rouen, Amiens, Compiègne, Dieppe), se rend à Londres qu’il n’apprécie pas, et rentre à Oxford où il rédige Étendards dans la poussière (1927) (intitulé également Sartoris suivant les éditions) dont il est très fier. C’est dans ce roman que ses personnages évoluent pour la première fois dans le comté de Yoknapatawpha, cadre de la plupart de ses romans futurs. Alors qu’il n’arrive toujours pas à vivre de sa plume, il continue d’alterner petits travaux et écriture, publiant quatre de ses romans majeurs (le Bruit et la fureur, Tandis que j’agonise, Sanctuaire, Lumière d’août) en seulement quatre ans (1929-1932). Sanctuaire (« l’intrusion de la tragédie grecque dans le roman policier » selon la formule célèbre de Malraux) fait scandale mais apporte à l’auteur argent et notoriété.

    Son premier recueil Treize Histoires (1931) réunit ses nouvelles les plus connues, parmi lesquelles Une rose pour Emily.

    C’est également l’époque où il rencontre l’écrivain de romans noirs Dashiell Hammet, grand buveur comme lui : les deux hommes deviennent amis.

    Plus tard dans sa carrière (1932-1937), Faulkner commence une longue série d’allers-retours entre Oxford et Hollywood où il devient scénariste. Le cinéma ne l’intéresse pas particulièrement mais l’argent qu’il lui procure le fait persévérer ; surtout il se lie d’amitié avec Hawks : les deux hommes ont en commun un goût prononcé pour l’alcool, l’aviation et la chasse. Lors de son premier séjour à Hollywood, Faulkner travaille successivement pour la MGM puis la Twentieth Century Fox. À cette époque, il a une liaison avec la secrétaire de Hawks, Meta Carpenter qui sera le grand amour (plus tard trahi) de sa vie. Son travail de scénariste ne l’empêche pas de publier romans et nouvelles et non des moindres puisque l’année 1936 voit notamment la publication d’Absalon, Absalon ! et l’année 1940 celle du Hameau premier tome de ce qui deviendra, avec La Ville (1954) et Le Domaine (1959) la Trilogie des Snopes.

    Lorsque les États-Unis rentrent dans la Seconde Guerre mondiale, Faulkner s’engage dans la défense passive.

    Toujours pour l’argent il retourne alors à Hollywood écrivant entre autres pour Howard Hawks et en collaboration avec Francis Scott Fitzgerald le scénario du film Le Grand Sommeil, tiré du livre de Raymond Chandler, ainsi que celui du film Le Port de l’angoisse, tiré du livre d’Ernest Hemingway En avoir ou pas. Le Port de l’angoisse, en anglais « To have and have not », est la première rencontre à l’écran du couple Humphrey Bogart-Lauren Bacall, et contient des répliques restées célèbres : « You know how to whistle don’t ya? Just put your lips together and blow » (Lauren Bacall) et « Have you ever been bitten by a dead bee? » (Walter Brennan).

    Il collabore au film de Jean Renoir L’Homme du sud et écrit un scénario fleuve pour un film retraçant la carrière du Général de Gaulle mais qui ne se fera jamais.

    En 1946, de retour à Oxford, il rencontre une de ses jeunes admiratrices, Joan Williams qu’il prend sous son aile. Il reçoit le prix Nobel de littérature en 1949 (cinq ans avant Hemingway). Il boit peu de temps avant de partir chercher la récompense à Stockholm où il donne un discours, déclarant « [refuser] d’accepter la fin de l’Homme [...]. L’Homme ne fera pas que subir, il prévaudra [...] ». Faulkner donne la somme reçue afin « d’établir un fonds de soutien aux nouveaux romanciers », qui devint le PEN/Faulkner Award for Fiction.

    Par la suite, Faulkner voyage, acceptant une mission du Secrétariat d’État au Japon et en Italie.

    En 1953, il retrouve Howard Hawks pour travailler au scénario de ce qui deviendra La Terre des pharaons.

    Il devient « écrivain-résident » à l’Université de Virginie, de 1957 à 1958. Il y passe l’essentiel de son temps, se consacrant à ses passions pour l’équitation (qui lui vaudra de nombreuses chutes) et l’écriture, ne sortant que peu ; Il refusa même une invitation à diner à la Maison blanche « parce qu’un dîner ne vaut pas 200 kilomètres ». Son alcoolisme est source de nombreuses hospitalisations. Faulkner meurt dans la nuit du 5 au 6 juillet 1962, après une dernière chute de cheval survenue quelques jours plus tôt.

    Il reçut le prix Pulitzer de la Fiction pour Parabole (A Fable), puis le National Book Award à titre posthume pour l’ensemble de son œuvre.
    L’œuvre

    William Faulkner écrivit des romans relevant du drame psychologique, dans un grand souci des émotions, et faits d’une prose tortueuse et subtile et d’une prosodie très travaillée. Comme la plupart des auteurs prolifiques, il souffrit de la jalousie et du mépris des autres, et fut considéré comme le rival stylistique d’Ernest Hemingway (ses longues phrases s’opposant au style incisif et minimaliste de Hemingway). Il est aussi vu de nos jours comme un représentant majeur du modernisme littéraire américain des années 1930, suivant la tradition expérimentale d’auteurs européens tels que James Joyce, Virginia Woolf, et Marcel Proust, connus pour leur usage de la narration multiple, du point de vue multiple, de la focalisation interne, et des ellipses narratives. Faulkner élabora quant à lui ce qu’il convient d’appeler le « courant de conscience », style donnant une apparence erratique et spontanée, et pourtant très travaillé.

    Les romans les plus connus de Faulkner sont probablement Le Bruit et la fureur (1929), Tandis que j’agonise (1930), Sanctuaire (1931), Lumière d’août (1938), et Absalon, Absalon! (1936), – ce dernier étant volontiers considéré comme son chef-d’œuvre, qui dépeint la réussite d’un planteur et sa tragique déconfiture provoquée par les préjugés raciaux et le manque d’amour.

    Plus encore on peut lire son œuvre comme une longue interrogation sur les raisons du naufrage sudiste ; la population du Sud se survivait après l’événement que constitue la défaite lors de la guerre de sécession ; Faulkner lui-même insistait sur le poids de celle-ci et disait être né en 1898 mais mort en 1865. Cette insistance à tourner autour de cette matrice de ses romans se retrouve dans Absalon ! Absalon ! qui refuse un Sud victime du Nord et de ses Carpet Baggers mais insiste – et c’est la fonction de tous les anormaux de ses romans – à commencer par celui du Bruit et de la fureur – sur la pourriture intérieure et antérieure du Sud avant même l’événement de la défaite. Il peut se lire alors comme un anti-Margaret Mitchell ; Autant en emporte le vent est d’ailleurs publié la même année qu’Absalon, Absalon ! et en est le complet contrepoids (à succès qui plus est) car ce roman flattait l’héroïsme du Sud là où Faulkner l’enterrait.

    Il y a donc chez Faulkner une haine de soi autant qu’une proclamation d’amour pour le sud qui conclut le roman ; celle-ci reste étrange car son auteur meurt -sans raison apparente- l’année suivante. La longue narration -quasi-psychanalytique – qui ouvre le texte n’est là que pour dire l’immense colère et la frustration de ce sud qui se sent bafoué -comme l’héroïne – à la fois abusée et reniée et qui rumine sa colère dans sa pudeur outragée alors qu’elle porte autant les causes de la défaite en elle que les événements extérieurs. Le héros Sutpen n’apparait alors que comme un ferment antérieur, un signe du pourrissement du sud, car son irruption est celle de toutes les corruptions, celle du sang et de l’argent ; la reconnaissance qui fait suite à celle-ci, même si elle est tardive et le fait d’hommes à l’esprit trop ouvert, montre que le sud même s’il se voulait encore aristocratique acceptait déjà ce qu’il reniera plus tard (la place de l’argent) et dont il prétendra que c’est une valeur venue du Nord à laquelle il serait resté étranger sans cela. La quête éperdue du fils caché et noir (plus précisément octavon dans le langage épris de précision de l’époque – mais cela fait quand même de lui un Noir pour les Blancs) n’est que le signe que Sutpen, qui cherche une respectabilité faite de préjugés, érigés d’abord contre lui, tente lui même d’effacer sa propre vie pour obtenir cette reconnaissance et tente de construire un mythe sudiste de pureté. La participation de ses deux fils (qui s’entretueront à la fin du conflit) à la guerre sonne comme une adhésion à un système de valeurs (aristocratiques et racistes) que le fils caché -en réalité l’aîné – veut pousser son père à renier -en reconnaissant sa faute antérieure (il a eu un enfant avec une métis et l’a reconnu un temps) en lui demandant en mariage sa fille et donc sa propre sœur ; c’est pour cela -taire l’inceste possible ou la mixité du sang – que le fils cadet (celui qui pense être le seul et légitime enfant) tue son frère. Difficile après cela de proclamer que Faulkner aime ou n’aime pas le sud, il est du sud et à ce titre il porte sa défaite comme il porte le fardeau d’avoir été mobilisé en 1918 sans avoir pu combattre.

    Sa littérature peut tenir en cette idée qu’il développe à propos de son personnage quasi éponyme -le colonel Sartoris qui « s’était fixé un idéal assez grand pour ne jamais le perdre de vue » on pourrait ajouter même en lui tournant le dos. Ce personnage meurt d’une façon loufoque, abattu pour être allé récupérer une boite d’anchois qu’il ne voulait pas laisser aux mains des nordistes. Il y a de la grandeur et de la dérision dans l’œuvre de Faulkner, comme une sorte de grand écart entre une vie – et une mort – rêvées et une destinée qu’il n’arrivait pas à accomplir ; pas plus et pas moins que le Sud. La haine rancie – puisqu’elle est celle d’une morte, et le loufoque – son cercueil finit par descendre un rapide et son jeune fils la prend pour un poisson – se retrouvent d’ailleurs dans Tandis que j’agonise ; ils sont comme le cœur de l’œuvre, laquelle semble toujours plus complexe au fur-et-à-mesure qu’on l’analyse ; la comparaison avec la psychanalyse n’est donc pas fortuite : des événements mineurs acquièrent une résonance quasi mythologique et semblent autant de traumatismes fondateurs ; ceux du Sud se confondant d’ailleurs avec les traumatismes intimes dans un chassé-croisé permanent et vertigineux. Une telle œuvre explique à elle seule pourquoi Faulkner passe pour être le père de la littérature contemporaine ; c’est pourquoi tant de grands et de petits maitres se réclament de lui et disent ne pouvoir écrire qu’à l’ombre de ses romans.

    Mais le plus abordable et le plus représentatif de son style est L’Intrus ; une histoire digne d’un western du grand John Ford. Une enquête policière, menée par des gamins avant tout, une dame âgée, et des adultes dont le fameux oncle Gavin que l’on retrouvera dans d’autres romans. Une histoire grave et truculente dans laquelle il s’agit de sauver la vie d’un noir, ce qui n’est alors pas très bien vu dans le Sud. On sent Faulkner à son aise dans ce type d’histoire, sombre et pleine d’humour. Faulkner fut aussi un prolifique auteur de nouvelles.

    Il fut aussi un auteur apprécié pour ses histoires policières, publiant cinq nouvelles noires sous le titre Le Gambit du cavalier dont le héros commun, Gavin Stevens, est le procureur d’une petite ville du Mississippi dans le comté de Yoknapatawpha. Plusieurs de ses autres nouvelles et romans se déroulent dans ce comté, avatar littéraire du comté de Lafayette où se situe Oxford. Yoknapatawpha prit une telle place dans l’œuvre de Faulkner qu’il en est devenu une des créations de fiction les plus monumentales de l’histoire de la littérature.
    Bibliographie [modifier]

    Également, voir la liste des publications de Faulkner en français.
    Romans

    * 1926 : Monnaie de singe (Soldiers Pay)
    * 1927 : Moustiques (Mosquitoes)
    * 1929 : Sartoris
    * 1929 : Le Bruit et la Fureur (The Sound and the Fury)
    * 1930 : Tandis que j’agonise (As I Lay Dying)
    * 1931 : Sanctuaire (Sanctuary)
    * 1932 : Lumière d’août (Light in August)
    * 1935 : Pylône (Pylon)
    * 1936 : Absalon, Absalon! (Absalom, Absalom!)
    * 1938 : L’Invaincu (The Unvanquished)

    * 1939 : Les Palmiers sauvages – Si je t’oublie, Jérusalem (The Wild Palms)
    * 1940 : Le Hameau (The Hamlet)
    * 1942 : Descends, Moïse (Go Down, Moses)
    * 1948 : L’Intrus (Intruder in the Dust)
    * 1951 : Requiem pour une nonne (Requiem for a Nun)
    * 1954 : Parabole (A Fable)
    * 1957 : La Ville (The Town)
    * 1959 : Le Domaine (The Mansion)
    * 1962 : Les Larrons (The Reivers)
    * 1973 : Étendards dans la poussière (Flags in the Dust)

    Nouvelles

    * 1919 : Landing in Luck
    * 1922 : The Hill
    * New Orleans
    * 1925 : Mirrors of Chartres Street
    * 1925 : Damon and Pythias Unlimited
    * 1925 : Jealousy
    * 1925 : Cheest
    * 1925 : Out of Nazareth
    * 1925 : The Kingdom of God
    * 1925 : The Rosary
    * 1925 : The Cobbler
    * 1925 : Chance
    * 1925 : Sunset
    * 1925 : The Kid Learns
    * 1925 : The Liar
    * 1925 : Home
    * 1925 : Episode
    * 1925 : Country Mice
    * 1925 : Yo Ho and Two Bottles of Rum
    * Music – Sweeter than the Angels Sing
    * 1930 : A Rose for Emily
    * 1930 : Honor
    * 1930 : Thrift
    * 1930 : Red Leaves
    * 1931 : Ad Astra
    * 1931 : Dry September
    * 1931 : That Evening Sun
    * 1931 : Hair
    * 1931 : Spotted Horses
    * 1931 : The Hound
    * 1931 : Fox Hunt
    * 1931 : Carcassonne
    * 1931 : Divorce in Naples
    * 1931 : Victory
    * 1931 : All the Dead Pilots
    * 1931 : Crevasse
    * 1931 : Mistral
    * 1931 : A Justice
    * 1931 : Dr. Martino
    * 1931 : Idyll in the Desert
    * 1932 : Miss Zilphia Gant
    * 1932 : Death Drag
    * 1932 : Centaur in Brass
    * 1032 : Once Aboard the Lugger (I)
    * 1932 : Lizards in Jamshyd’s Courtyard
    * 1932 : Turn about
    * 1932 : Smoke
    * 1932 : Mountain Victory
    * 1933 : There Was a Queen
    * 1933 : Artist at Home
    * 1933 : Beyond
    * 1934 : Elly
    * 1934 : Pennsylvania Station
    * 1934 : Wash
    * 1934 : A Bear Hunt
    * 1934 : The Leg
    * 1934 : Black Music
    * 1934 : Mule in the Yard
    * 1934 : Ambuscade
    * 1934 : Retreat
    * 1934 : Lo!
    * 1934 : Raid
    * 1935 : Skirmish at Sartoris

    * 1935 : Golden Land
    * 1935 : That Will Be Fine
    * 1935 : Uncle Willy
    * 1935 : Lion
    * 1936 : The Brooch
    * 1936 : Two Dollar Wife
    * 1936 : Fool About a Horse
    * 1936 : The Unvanquished
    * 1936 : Vendee
    * 1937 : Monk
    * 1939 : Barn Burning
    * 1939 : Hand Upon the Waters
    * 1940 : A Point of Law
    * 1940 : The Old People
    * 1940 : Pantaloon in Black
    * 1940 : Gold Is Not Always
    * 1940 : Tomorrow
    * 1941 : Go Down, Moses
    * 1941 : The Tall Men
    * 1942 : Two Soldiers
    * 1942 : Delta Autumn
    * 1942 : The Bear
    * 1943 : Afternoon of a Cow
    * 1943 : Shingles for the Lord
    * 1943 : My Grandmother Millard and General Bedford Forrest and the Battle of Harrykin Creek
    * 1943 : Shall Not Perish
    * 1946 : Appendix, Compson, 1699-1945
    * 1946 : An Error in Chemistry
    * 1948 : A Courtship
    * 1949 : Knight’s Gambit
    * 1950 : A Name for the City
    * 1951 : Notes on a Horsethief
    * 1954 : Mississippi
    * 1954 : Sepulture South: Gaslight
    * 1955 : Race at Morning
    * 1955 : By the People
    * 1962 : Hell Creek Crossing
    * 1965 : Mr. Acarius
    * 1967 : The Wishing Tree
    * 1971 : Al Jackson
    * 1973 : And Now What’s To Do
    * 1973 : Nympholepsy
    * 1976 : The Priest
    * 1977 : Mayday
    * 1978 : Frankie and Johnny
    * 1979 : Don Giovanni
    * 1979 : Peter
    * 1979 : A Portrait of Elmer
    * 1979 : Adolescence
    * 1979 : Snow
    * 1979 : Moonlight
    * 1979 : With Caution and Dispatch
    * 1979 : Hog Pawn
    * 1979 : A Dangerous Man
    * 1979 : A Return
    * 1979 : The Big Shot
    * 1979 : Once Aboard the Lugger (II)
    * 1979 : Dull Tale
    * 1979 : Evangeline
    * 1988 : Love
    * 1995 : Christmas Tree
    * 1995 : Rose of Lebanon
    * 1999 : Lucas Beauchamp

    Poésies [modifier]

    * 1921 : Vision in Spring
    * 1924 : Le faune de marbre (The Marble Faun)
    * 1932 : This Earth, a Poem
    * 1965 : A Green Bough
    * 1979 : Mississippi Poems
    * 1981 : Helen, a Courtship and Mississippi Poems

    Filmographie

    * 1932 : Une femme survint (Flesh) de John Ford (non-crédité)
    * 1933 : Après nous le déluge (Today We Live) d’Howard Hawks (dialogue)
    * 1933 : La déchéance de miss Drake (The Story of Temple Drake) (d’après son roman Sanctuary)
    * 1936 : Les Chemins de la gloire (The Road to Glory) d’Howard Hawks
    * 1937 : Le Dernier négrier (Slave Ship) de Tay Garnett
    * 1938 : Quatre hommes et une prière (Four Men and a Prayer) de John Ford (non-crédité)
    * 1938 : Patrouille en mer (Submarine Patrol)
    * 1939 : Gunga Din de George Stevens (non-crédité)
    * 1939 : Sur la piste des Mohawks (Drums Along the Mohawk) de John Ford (non-crédité)
    * 1943 : Air Force d’Howard Hawks (non-crédité)
    * 1943 : Intrigues en Orient (Background to Danger) de Raoul Walsh (non-crédité)
    * 1943 : Northern Pursuit (non-crédité)
    * 1944 : Le Port de l’angoisse (To Have and Have Not) d’Howard Hawks (scénario)
    * 1945 : God Is My Co-Pilot (non-crédité)
    * 1945 : L’Homme du sud (The Southerner) de Jean Renoir (non-crédité)
    * 1945 : Le Roman de Mildred Pierce (Mildred Pierce) de Michael Curtiz (non-crédité)
    * 1946 : Le Grand sommeil (The Big Sleep) d’Howard Hawks (scénario)

    * 1947 : Deep Valley (non-crédité)
    * 1948 : Les Aventures de Don Juan (Adventures of Don Juan) de Vincent Sherman (non-crédité)
    * 1949 : L’Intrus (Intruder in the Dust) (d’après son roman éponyme)
    * 1955 : La Terre des pharaons (Land of the Pharaohs) d’Howard Hawks
    * 1958 : La Ronde de l’aube (The Tarnished Angels) de Douglas Sirk (d’après son roman Pylône)
    * 1958 : Les Feux de l’été (The Long, Hot Summer) de Martin Ritt (d’après son roman The Hamlet)
    * 1959 : Le Bruit et la fureur (The Sound and the Fury) de Martin Ritt (d’après son roman éponyme)
    * 1961 : Sanctuaire (Sanctuary) de Tony Richardson (d’après son roman éponyme)
    * 1969 : Reivers (The Reivers) de Mark Rydell (d’après son roman éponyme)
    * 1972 : Tomorrow de Joseph Anthony (histoire)
    * 1982 : Rose for Emily
    * 1985 : Two Soldiers (histoire)
    * 2003 : Two Soldiers (nouvelle)
    * 2009 : Red Leaves de James Franco (nouvelle)

    .

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