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Nora aceval ,l’invitée de l’émission « Qaada » de Lynda Tamdrari

30 décembre 2009

Nora Aceval


jeanfranoiskahn.jpgL’ÉMISSION « QAADA » DE LYNDA TAMDRARI, ÉMISSION FRANCOnoraaceval.jpg

PHONE TRÈS REGARDÉE PAR LES ALGÉRIENS, TANT EN ALGÉRIE QUE DANS LA DIASPORA, ENREGISTRÉE SOUS LA TENTE À TINERKOUK, SERA DIFFUSÉE EN DIRECT SUR LE SITE DE CANAL ALGÉRIE « entv.dz » , LE 1er JANVIER 2010 À 21 HEURES (heure algérienne).

rachidarhab.jpgInvités : Nora Aceval, Sylvie Brunel, Rachid Arhab, Jean-François

sylviebrunel.jpg

Kahn, Titcho, guitariste et chanteur gipsy ,Maurice Freud, Association Djoua , Hervé Bourges

Débat, conte et musiques des déserts du monde

 

mauricefreud.jpglyndatamdrari.jpghervbourges.jpg

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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13 Réponses à “Nora aceval ,l’invitée de l’émission « Qaada » de Lynda Tamdrari”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Sylvie Brunel
    Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

    Sylvie Brunel, née le 13 juillet 1960, est géographe, économiste et écrivain, spécialiste des questions de développement. Elle a travaillé pendant plus de quinze années dans l’humanitaire (Médecins sans frontières, Action contre la faim) et a publié une vingtaine d’ouvrages consacrés au développement, en particulier aux questions de famine. Elle est à ce jour professeur des universités à l’Université Paris IV-Sorbonne.

    Elle a également une activité d’élevage de chevaux dans la Drôme. Son roman Cavalcades et dérobades, paru en 2008 aux éditions Jean-Claude Lattès, a obtenu en 2009 le prix Pégase, décerné chaque année par l’École nationale d’équitation (Saumur) pour « récompenser un ouvrage qui contribue à une large diffusion de la culture équestre ».
    Biographie

    Outre une maîtrise en droit public, Sylvie Brunel est agrégée en géographie, docteur en économie et diplômée du Centre de formation des journalistes.

    Elle s’est également investie pendant plus de quinze ans dans l’action humanitaire. De 1984 à 1989, Sylvie Brunel travaille pour Médecins sans frontières puis de 1989 à 2002 pour Action contre la faim (ACF) en tant que conseillère stratégique, directrice entre 1992 et 1993 et présidente de juin 2001 à mars 2002.

    Elle a été élue « femme de l’année » en 1991, a fait partie d’un groupe de personnalités sur le développement de l’Afrique auprès du Secrétaire général des Nations unies de 1991 à 1996. Elle a également été membre du Haut Conseil de la coopération internationale.

    De 2002 à 2007, elle est professeur à l’Université Paul Valéry de Montpellier (Montpellier III) et, de 1988 à 2007, à l’Institut d’études politiques de Paris. Elle est professeur des universités en géographie à l’Université Paris IV-Sorbonne depuis 2007, où elle dirige un master professionnel consacré aux pays du Sud face au développement durable.

    Elle est administratrice de la Société de géographie et de la Fondation pour l’Agriculture et la Ruralité dans le monde (FARM) et membre de l’Académie Pégase.
    Prises de position [modifier]
    Critique de l’humanitaire [modifier]

    Après avoir passé une dizaine d’années à des postes décisionnels stratégiques dans l’humanitaire, elle est faite chevalier de la Légion d’honneur en 2002.

    Dans les semaines qui suivent, elle démissionne de sa qualité de présidente d’Action contre la faim, en même temps qu’elle sort un roman, Frontières, dans lequel elle expose plusieurs critiques de l’humanitaire, en particulier la dérive marchande de certaines ONG[1][2].
    Développement durable

    En 2008, elle publie un ouvrage À qui profite le développement durable dans lequel elle développe une vision critique du développement durable. Elle s’interroge en particulier sur les fondements idéologiques du développement durable :

    * Elle s’oppose ainsi à la dualité entre un état de nature idéalisé et un homme vu comme un parasite. Elle souligne à l’inverse que l’action humaine peut être utile pour la bio-diversité et réhabilite les bienfaits du développement économique[3]. La nature sauvage est dangereuse et non pas bienveillante.
    * Elle estime en outre que l’invocation du développement durable peut servir de paravent à la défense des intérêts des pays du Nord contre ceux du Sud, en particulier aux riches des pays du Nord, aux entreprises et aux organisations non gouvernementales (ONG) de l’environnement. Pour Sylvie Brunel, le développement durable « légitime un certain nombre de barrières à l’entrée »[4]. Offrant ainsi un prétexte au protectionnisme des pays développés, « le sentiment que donne le développement durable, c’est qu’il sert parfaitement le capitalisme »[4].

    Le développement durable tel qu’il est actuellement présenté sert donc les intérêts des riches plus que ceux des pauvres, qu’ils soient dans le Tiers Monde ou dans les pays développés.

    Pour atteindre vraiment ses objectifs, le développement durable doit cesser d’être, comme il l’est actuellement pour Sylvie Brunel, un gadget « écolo-responsable », une religion avec ses fanatiques néo-convertis ou une culpabilisation allant jusqu’à la déformation, à la peur et au « flicage »[5]. Mener une politique de développement durable efficace doit consister non pas à rechercher « un vaste retour en arrière », comme c’est actuellement le cas selon elle, mais à prendre en compte tous les éléments, en particulier la dimension sociale[6]. Pour elle, « il faut toujours garder présent à l’esprit que sa finalité doit être l’humain. La planète n’existe pas indépendamment de l’homme »[7].

    Le développement durable doit donc passer par une réflexion en profondeur de nos modes de production qui prenne en compte cet impératif social. Dans la même veine, elle rappelle qu’il ne suffit pas d’invoquer l’écologie pour justifier des actions mais que les choix effectués doivent se fonder sur une réflexion globale. L’urgence écologique ne vaut que si elle est mise au service du bien-être de l’humanité, et particulièrement des plus pauvres.
    Faim et famines

    Sylvie Brunel travaille depuis la fin des années 1980 sur les questions de la faim, notamment sur la problématique des famines qui constitue le sujet de son habilitation à diriger des recherches (HDR) en géographie et de son doctorat en économie. Convaincue que la terre peut nourrir une humanité bien plus nombreuse qu’aujourd’hui, elle montre que les famines actuelles n’ont rien à voir avec la malnutrition — laquelle est toujours la conséquence de la pauvreté — et sont généralement liées à une volonté politique de soumettre, déplacer ou éliminer des minorités indésirables. Elle plaide pour des politiques agricoles qui garantiraient une juste rémunération et une protection foncière des paysans. Elle ne s’oppose ni aux organismes génétiquement modifiés (OGM) ni aux agrocarburants à condition que leur utilisation soit sévèrement encadrée et orientée dans le sens de l’intérêt général.
    Famille

    Mariée à Éric Besson de 1983 à 2009[8], elle est mère de trois enfants, dont l’aînée, née en 1989, est elle-même écrivain sous le nom d’Ariane Fornia. Elle se sépare de son mari en 2009 après trente ans de vie commune et en publie un livre en novembre 2009, Manuel de guérilla à l’usage des femmes, où elle mêle, dit-elle, une analyse de la situation des femmes aujourd’hui, trop souvent délaissées à mi-vie, à son histoire « personnelle et singulière ».
    Bibliographie

    * La Vache du riche mange le grain… du riche, LSF, 1985
    * Asie, Afrique : grenier vides, greniers pleins, Economica, « Économie agricole », 1986
    * Le Nordeste brésilien, les véritables enjeux, LSF, 1986
    * Tiers Mondes. Controverses et réalités, Economica, 1987
    * Une Tragédie banalisée, la faim dans le monde, Hachette-Pluriel, 1991
    * Les Tiers Mondes, La Documentation photographique, no 7014, La Documentation française, 1992
    * Le Gaspillage de l’aide publique, Seuil, 1993
    * Le Sud dans la nouvelle économie mondiale, PUF, 1995
    * Le Sous-développement, PUF, « Que sais-je? », 1996
    * Ceux qui vont mourir de faim, Seuil, 1997
    * La Coopération Nord-Sud, PUF, « Que sais-je ? », 1997
    * La Faim dans le monde. Comprendre pour agir, PUF, 1999
    Prix Conrad Malte-Brun, Société de Géographie 2002
    * Action contre la faim, sous la coord. de Sylvie Brunel : Géopolitique de la faim (2001) (ISBN 2-13-050132-X)
    * Famines et politique, Presses de Sciences Po., 2002 (ISBN 2-7246-0873-9), Prix sciences po du meilleur livre 2002
    * Frontières, Denoël, 2003. (ISBN 2-207-25462-3)
    Roman
    * Le Développement durable, PUF, « Que sais-je ? », 2004, nouvelle édition 2009
    * L’Afrique. Un continent en réserve de développement, Éditions Bréal, 2004 (ISBN 2-84291-866-5)Prix Robert Cornevin de l’Académie des Sciences d’Outre mer
    * L’Afrique dans la mondialisation, La documentation photographique, no 8048, La Documentation française, 2005
    * La Déliaison, Denoël, 2005 Roman co-écrit avec sa fille Ariane Fornia.
    * La Planète disneylandisée. Chroniques d’un tour du monde, Éditions Sciences humaines, 2006
    * Cavalcades et dérobades, éditions Jean-Claude Lattès, 2008 (roman), Prix Pégase-ENE 2009
    * À qui profite le développement durable, Larousse, 2008, Prix Luc Durand-Réville de l’Académie des sciences morales et politiques
    * Nourrir le monde. Vaincre la faim, Larousse, 2009
    * Manuel de guérilla à l’usage des femmes, Grasset, 2009

    Notes et références

    1. ↑ « Les dérives de l’humanitaire », Libération, 7 mars 2002
    2. ↑ Le Monde, 19 décembre 2002, « Quand la famine fait des heureux »
    3. ↑ Brunel, 2008, p.78 et suivantes.
    4. ↑ a et b « Les enjeux internationaux », entretien avec Sylvie Brunel sur France Culture, 11 juin 2008.
    5. ↑ Brunel, 2008, p.38.
    6. ↑ Brunel, 2008, p.29 et 39.
    7. ↑ Brunel, 2008, p.39.
    8. ↑ Gala.fr : l’ex-épouse d’Éric Besson lève les voiles [archive]

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    Elle est géographe, professeur de géographie à l’université de Montpellier et à Sciences Po Paris. Elle a travaillé 17 ans chez l’ ONG Action Contre la Faim. C’est frote de ces expéricnes qu’elle dénonce le business humanitaire. Elle a publié une vingtaine d’ouvrages consacrés au développement.

    L’un des ouvrages de Sylvie Brunel que l’on apprécie est “A qui profite le Développement durable ?” paru le 04/06/2008. Elle y brosse, avec pertinence, un état des lieux de ce qui se fait en matière de développement durable et met dos à dos les anti et les pour en ce domaine.

    Nous avons eu la chance d’assister à l’une de ses conférences à Nantes le 21 septembre 2009, avec environ autres 300 personnes. C’était un moment très fort, on pouvait sentir l’intérêt de la salle de conférence. A lire donc….
    En tant qu’ex femme d’Eric Besson, elle a écrit un livre a son sujet: on ne parle dans l’Express de cette semaine. Sa fille aînée est aussi très prolifique, car dès l’âge de 14 ans, elle a aussi écrit un livre intitulé ” Dieu est une femme”, tout un programme qui ne nous laisse pas indifférents.

    Sylvie brunel, A qui profite le développement durable ? , Larousse, coll. A dire vrai, ISBN: 978-2-03-583972-5

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  3. Artisans de l'ombre Dit :

    2.Rachid Arhab
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    Rachid Arhab
    Rachid Arhab.Photo Ph.BRIZARD.jpg
    Naissance 26 juin 1955 (1955-06-26) (54 ans)
    Larba Nat Iraten (Algérie)
    Nationalité Algérie Algérie France France
    Pays d’accueil France
    Profession(s) Journaliste et Animateur de télévision
    Formation Journaliste

    Rachid Arhab, né le 26 juin 1955 à Larba Nat Iraten en Algérie, est un journaliste franco-algérien, actuel membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA).
    Biographie [modifier]

    Né le 26 juin 1955 à Larba Nat Iraten (anciennement Fort-National), dans une région montagneuse du nord de l’Algérie[1], Rachid Arhab a vécu son enfance à Fameck près de Thionville en Lorraine. Il obtient la nationalité française en 1992[2].

    Diplômé de l’école de journalisme de Strasbourg (le Cuej), il devient journaliste à FR3 Nancy en 1977, puis à Reims et Paris.

    C’est également le beau-père d’Ilona Mitrecey.
    Carrière à la télévision
    Journaux télévisés

    En 1985, il rejoint le service Politique intérieure d’Antenne 2, dont il devient le chef de service en 1990. Il assure le remplacement estival du journal télévisé de France 2 de 1992 à 1994, tout en continuant son travail de grand reporter pour les émissions Envoyé Spécial et Géopolis. En octobre 1997, il est nommé rédacteur en chef adjoint du journal de France 2 et chargé de magazines.

    De septembre 1998 à septembre 2000, il assure la présentation du journal de 13 heures de France 2 en duo avec Carole Gaessler, avant leur remplacement par Gérard Holtz.
    Emissions

    Rachid Arhab a présenté l’émission quotidienne Ecomatin sur France 5 et, deux ans plus tard, l’émission Dans la lumière sur France 2.

    A partir de 2000, il anime sur France 2 l’émission J’ai rendez-vous avec vous, dont il est également le concepteur. Tous les dimanches, en direct d’une ville française, l’animateur recueille le témoignage de téléspectateurs souhaitant faire part de leurs points de vue sur l’actualité. L’émission est interrompue par sa nomination au sein du Conseil supérieur de l’audiovisuel en janvier 2007.
    Conseil supérieur de l’audiovisuel

    En janvier 2007, il est nommé membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel par Jean-Louis Debré en sa qualité de Président de l’Assemblée nationale[3].
    Décorations

    Pour la promotion de Pâques 2006, Rachid Arhab est promu au grade de Chevalier de la Légion d’honneur.

    Pour la co-présentation du journal de 13 heures de France 2 avec Carole Gaessler, il obtient le Sept d’or du meilleur présentateur de journal télévisé en 2000.

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    3.Jean-François Kahn, né le 12 juin 1938 à Viroflay (Yvelines), est un journaliste, écrivain et homme politique français.
    Jean-François Kahn est le fils d’un philosophe Jean Kahn-Dessertenne (1916-1970). Il est le frère du généticien Axel Kahn (né en 1944) et du chimiste Olivier Kahn (1942-1999).

    Ses parents viennent de Mussy-sur-Seine, dans le sud de l’Aube[1]. Son grand-père paternel, d’origine juive alsacienne, y possédait une maison de campagne et y rencontra son épouse qui habitait une maison voisine. Son grand-père maternel y était un petit industriel dans le bois et épousa une institutrice, d’origine suisse-allemande, en poste dans l’école du village[1]. Un des ses arrière-grand-pères était peintre qui illustra l’encyclopédie Larousse. Sous l’Occupation, Jean-Francois Kahn portera le nom de jeune-fille de sa mère, Ferriot, et ne reprendra son nom de Kahn qu’à la fin des 1950[1][2].

    Il obtient sa licence d’histoire. Jeune adhérent au Parti communiste (il ne le restera que 2 ans[1]), il travaille dans un tri postal, puis dans une imprimerie. Il se tourne ensuite vers le journalisme.

    Il débute ainsi dans le journal Paris Presse l’Intransigeant en 1959[1], où il est envoyé couvrir la guerre d’Algérie, Le Monde, puis L’Express (en 1964, comme reporter). C’est lui qui mène l’enquête journalistique qui aboutit à la révélation de l’affaire Ben Barka. Il est chroniqueur sur Europe 1. Il est nommé directeur de la rédaction des Nouvelles littéraires (en 1977 et qu’il contribue à redresser). Dans les années 1970 et 1980, il est souvent un des interviewers lors d’émissions politiques télévisées comme L’Heure de vérité. En 1984, il crée L’Événement du jeudi puis en 1997 l’hebdomadaire d’information Marianne dont il est le directeur jusqu’en 2007. À cette date, il quitte sa fonction de directeur et se retire du monde du journalisme.

    Il signe certaines de ses interventions sous le pseudonyme de François Darras, Thomas Vallières, P.M.O.

    Amateur et connaisseur de la chanson française, il anima dans les années 70 l’émission « Avec tambour et trompette » sur France Inter.
    Positionnement politique [modifier]

    Il se positionne clairement sur de nombreux sujets médiatiques :

    * dénonciation du néolibéralisme, comme opposé aux vraies valeurs libérales en 1995[réf. nécessaire] ;
    * dénonciation de l’intervention de l’OTAN en Serbie en 1999 ;
    * dénonciation de l’intervention américaine en Irak en 2003 ;
    * il prend position pour le « oui » au projet de Constitution européenne en 2005 mais dénonce la prise de position de presque toute la presse pour le « oui » ;
    * en 2007, il soutient « par défaut » la candidature de François Bayrou à l’élection présidentielle, tout en prenant clairement position contre Nicolas Sarkozy, notamment avec la publication d’un numéro de Marianne titré Le Vrai Sarkozy dans lequel le service France de l’hebdomadaire et lui reviennent sur le candidat, sa carrière, ainsi que sur les coulisses de sa campagne et les circonstances ayant présidé à sa prise de pouvoir au sein de l’UMP, et ce à une semaine du premier tour[3].
    * en juillet 2008, il annonce son intention de se présenter aux élections européennes[4]. Il confirme cette intention à l’université d’été du Mouvement démocrate. Il souhaite être la tête de liste du MoDem dans la région Grand-Est[5]. L’investiture comme tête de liste dans la circonscription Est lui est d’ailleurs donnée après vote des adhérents du parti lors de la Conférence nationale du Mouvement démocrate du 8 février 2009 (à la Maison de la Mutualité, Paris). Grâce au score de 9,43 % des suffrages recueillis par cette liste, il est élu au parlement européen mais, conformément à ses engagements de campagne, lors de laquelle il avait annoncé qu’il siégerait si la liste qu’il menait obtenait au moins deux élus, et renoncerait à siéger au profit de sa numéro 2 s’il était seul élu, il renonce à ce mandat au profit de la députée sortante, Nathalie Griesbeck[6].
    * en 2009, il annonce la création d’un club de réflexion nommé Crréa (centre de réflexion et de recherche pour l’élaboration d’alternatives), destiné à « travailler à des alternatives qui dépassent les discours anciens et les approches qui ont fait faillite »[7].

    Essais [modifier]

    * La Guerre civile, Seuil, 1982
    * Et si on essayait autre chose ?, Seuil, 1983
    * Les Français sont formidables, Balland, 1987
    * Esquisse d’une philosophie du mensonge, Flammarion, 1992
    * On prend les mêmes et on recommence, Grasset et Fasquelle, 1997
    * Les Poèmes politiques, Fayard, 1998
    * Tout était faux, Fayard, 1998
    * Demain la révolution, Flammarion, 1999
    * Chacun son tour, Stock, 2000
    * Complot contre la Démocratie, Denoël, 2000
    * La Pensée unique, Fayard, 1995
    * Le Retour de terre de Djid Andrew, Critique de la raison capitaliste, Fayard, 2000
    * Victor Hugo un révolutionnaire, L’Extraordinaire Métamorphose, Fayard 2001
    * Moi, l’autre et le loup, Fayard, 2001
    * Les rebelles, ceux et celles qui ont dit non, Plon, 2001
    * Ce que Marianne en pense, éditions des Mille et une nuits, 2002
    * Le Camp de la guerre, Critique de la déraison impure, Fayard, 2004
    * Dictionnaire incorrect, Plon, 2005
    * Comme deux frères – mémoire et visions croisées (avec Axel Kahn), Stock, 2006
    * Les Bullocrates, Fayard, 2006
    * Tout change parce que rien ne change, Fayard, 2006
    * L’Abécédaire mal-pensant, Plon, 2007
    * Sur l’invariance en politique, Fayard, 2008
    * Où va-t-on ? Comment on y va, Fayard, 2008
    * Pourquoi il faut dissoudre le PS, Larousse, 2008
    * L’Alternative. Oui, c’est possible !, Fayard, 2009

    Notes et références [modifier]

    1. ↑ a, b, c, d et e « Jean-François Kahn, l’électron libre », documentaire télévisé de Frank Eskenazi pour la collection Empreinte, produite par France 5, 2009.
    2. ↑ Il indiquera alors, reprenant le mot de Sartre, avoir ressenti ce qu’était d’être juif dans le regard de l’autre.
    3. ↑ Le Vrai Visage de Sarkozy dans Marianne, numéro XX, 14 avril 2007.
    4. ↑ « JFK, un destin français » sur France Inter [archive], émission J’ai mes sources du 11 juillet 2008.
    5. ↑ LE JDD [archive]
    6. ↑ Brice Hortefeux et Jean-François Kahn ne siègeront pas au parlement européen [archive] dans La Tribune du 9 juin 2009
    7. ↑ Solenn De Royer et Céline Rouden, « Jean-François Kahn :  » Travailler à des alternatives aux discours anciens  » », La Croix, 5 août 2009.

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  5. Artisans de l'ombre Dit :

    Hervé Bourges
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    Hervé Bourges
    Hervé Bourges lors des fêtes du 80e anniversaire de l’ESJ, à Lille, en 2004.
    Hervé Bourges lors des fêtes du 80e anniversaire de l’ESJ, à Lille, en 2004.
    Naissance 2 mai 1933
    Rennes, Ille-et-Vilaine
    Nationalité France France
    Profession(s) Journaliste
    Autres activités Dirigeant de station de radio et de chaîne de télévision
    Formation École supérieure de journalisme de Lille

    Hervé Bourges, né le 2 mai 1933 à Rennes, est un journaliste et dirigeant de l’audiovisuel français.
    Études [modifier]

    * École supérieure de journalisme de Lille
    * Doctorat en sciences politiques

    Carrière [modifier]

    * 1956 : rédacteur en chef de Témoignage chrétien,
    * 1962 : conseiller du Président Ben Bella, il avait pris la nationalité algérienne[1]
    * 1970 : directeur de l’École supérieure de journalisme de Yaoundé (Cameroun),
    * 1976 : directeur, puis président de l’École supérieure de journalisme de Lille,
    * 1980 : porte-parole du directeur général de l’Unesco,
    * 1981 : directeur général de Radio France Internationale,
    * 1983 : président de TF1 (jusqu’à sa privatisation en 1987),
    * 1988 : président de Canal Plus Afrique,
    * 1989 : directeur général de RMC, président de la Sofirad et de Radio Nostalgie,
    * 1990 : président de A2/FR3, jusqu’en septembre 1992 où Antenne 2 et FR3 sont devenues France 2 et France 3, formant ainsi le Groupe France Télévision.
    * 1993 : ambassadeur auprès de l’UNESCO,
    * 1995 : président du Conseil supérieur de l’audiovisuel,
    * 2001 : président de l’UPF (Union internationale de la presse francophone).
    * 2009 : président du Comité permanent de la diversité de France Télévisions

    Il a beaucoup été brocardé par les Guignols de l’info avec sa caricature moraliste du paysage audiovisuel français. Il est l’auteur de la phrase (j’aime pas que vous parliez de « cabanis »)
    Bibliographie [modifier]

    * ‘L’Algérie à l’épreuve du pouvoir, Grasset, 1967
    * La révolte étudiante, le Seuil 1968
    * Décoloniser l’information, Cana 1976
    * Les cinquante Afriques, en collaboration avec C. Wauthier, Seuil, 1978
    * Une chaîne sur les bras, Seuil, 1987
    * La télévision du public, Flammarion, 1993
    * De mémoire d’éléphant, Grasset, 2000
    * Sur la télé : mes 4 vérités, Ramsay, 2005
    * Léopold Sedar Senghor: Lumière Noire 2006
    * Ma rue Montmartre, Ramsay, 2007
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Herv%C3%A9_Bourges

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  6. Artisans de l'ombre Dit :

    Nous avons reçu Hervé Bourges le 30 novembre dernier sur le plateau de Thé d’Afrik, l’émission de la rédaction réalisée en partenariat avec Alatélé.com. Hervé Bourges a bien voulu répondre à nos questions, notamment sur son long parcours africain. Voici, en substance, quelques moments forts de notre entretien.

    Afrik.com : Ne vous trouvez-vous pas trop jeune pour écrire vos mémoires ?
    Hervé Bourges : Je vous remercie du compliment. Je craignais de ne plus être en mesure de le faire d’ici quelques années (rires).

    Afrik.com : A la lecture de votre oeuvre, l’on s’aperçoit que l’Algérie a été un tournant dans votre existence. Vous y aviez côtoyé les pères de l’indépendance africaine, que vous rencontrerez plus tard dans vos pérégrinations sur le continent. Qu’en est-il ?
    H.B : L’Algérie a été plus qu’un tournant dans ma vie. J’y ai séjourné longuement à deux reprises. La première fois, en 1958, en tant qu’officier de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Puis mon second séjour a duré quatre ans, de 1962 à 1966. Un séjour pendant lequel je travaillerai, entres autres, comme conseiller au cabinet du premier président algérien Ahmed Ben Bella. Puis auprès d’Abdelaziz Bouteflika, alors ministre de la Jeunesse et des Sports. Ceci jusqu’au coup d’Etat de Houari Boumediene, après lequel je rentrerai au service de Bachir Boumaza , ministre de l’Information. L’une des mes principales tâches, à cette époque, sera la formation des journalistes algériens.

    Afrik.com : A la fin de votre livre, vous parlez de votre double nature. Ne vous êtes-vous pas senti schizophrène en travaillant pour le gouvernement Boumediene après le coup d’Etat qui avait démis votre ami Ben Bella de la présidence algérienne ?
    H.B : C’est une très bonne question. J’irai plus loin : ne vous êtes-vous pas senti dans la peau d’un traître en travaillant pour Boumediene ? Je répondrai que j’étais là avant tout pour l’Algérie ! Et que par ailleurs, ma présence en terre algérienne contribuait à la lutte que nous menions pour la libération de Ben Bella, emprisonné depuis le coup d’Etat de 1965.

    Afrik.com : Vous n’avez pas seulement formé des journalistes algériens, vous en avez aussi formés à l’ESSTIC, l’école de journalisme de Yaoundé (Cameroun). L’école vient de fêter ses 30 ans. A quoi cela sert-il de former des individus qui mourront d’avoir exercé leur métier ?
    H.B : Il est vrai que la libre expression n’est pas toujours de bon ton en Afrique quand il s’agit de certains gouvernements. Il est aussi vrai que certains de mes élèves ont été assassinés ou emprisonnés. Mais les choses changent et ont changé. Au delà même de la liberté d’expression, il s’agit de la survie économique de ces quotidiens. Au Cameroun, un trentaine de titres sont sur le marché. Comment survivent-ils quand on sait que le marché de la publicité, qui finance la presse, est quasi inexistant ? Le paramètre financier entrave aussi le travail des journalistes. C’est un problème qu’il ne faut pas éclipser.

    Afrik.com : A compter du 24 janvier 2001, vous quitterez le CSA. Que va faire l’homme dynamique que vous êtes ?
    H B : J’ai été nommé, en 1995, par le président Mitterrand à la tête du CSA. Durant ce mandat de 6 ans, vous êtes inamovible. En me retirant, je laisse la possibilité à M. Chirac de nommer à son tour quelqu’un. Je pense que j’aurai de quoi faire pour occuper mon temps. Je vous rappelle d’ailleurs à ce propos que je suis depuis peu, le président de l’Union internationale des journalistes francophones.
    http://images.google.com/imgres?imgurl=http://www.afrik.com/local/cache-vignettes/L220xH305/arton1631-2f34a.jpg&imgrefurl=http://www.afrik.com/article1631.html&usg=__bcnyyeztaCb2wyM2ndkLoaovjWo=&h=305&w=220&sz=9&hl=fr&start=3&um=1&tbnid=E0yvVn9ZF0zVDM:&tbnh=116&tbnw=84&prev=/images%3Fq%3DHerv%25C3%25A9%2BBourges%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DN%26um%3D1

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  7. Artisans de l'ombre Dit :

    Nous avons reçu Hervé Bourges le 30 novembre dernier sur le plateau de Thé d’Afrik, l’émission de la rédaction réalisée en partenariat avec Alatélé.com. Hervé Bourges a bien voulu répondre à nos questions, notamment sur son long parcours africain. Voici, en substance, quelques moments forts de notre entretien.

    Afrik.com : Ne vous trouvez-vous pas trop jeune pour écrire vos mémoires ?
    Hervé Bourges : Je vous remercie du compliment. Je craignais de ne plus être en mesure de le faire d’ici quelques années (rires).

    Afrik.com : A la lecture de votre oeuvre, l’on s’aperçoit que l’Algérie a été un tournant dans votre existence. Vous y aviez côtoyé les pères de l’indépendance africaine, que vous rencontrerez plus tard dans vos pérégrinations sur le continent. Qu’en est-il ?
    H.B : L’Algérie a été plus qu’un tournant dans ma vie. J’y ai séjourné longuement à deux reprises. La première fois, en 1958, en tant qu’officier de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Puis mon second séjour a duré quatre ans, de 1962 à 1966. Un séjour pendant lequel je travaillerai, entres autres, comme conseiller au cabinet du premier président algérien Ahmed Ben Bella. Puis auprès d’Abdelaziz Bouteflika, alors ministre de la Jeunesse et des Sports. Ceci jusqu’au coup d’Etat de Houari Boumediene, après lequel je rentrerai au service de Bachir Boumaza , ministre de l’Information. L’une des mes principales tâches, à cette époque, sera la formation des journalistes algériens.

    Afrik.com : A la fin de votre livre, vous parlez de votre double nature. Ne vous êtes-vous pas senti schizophrène en travaillant pour le gouvernement Boumediene après le coup d’Etat qui avait démis votre ami Ben Bella de la présidence algérienne ?
    H.B : C’est une très bonne question. J’irai plus loin : ne vous êtes-vous pas senti dans la peau d’un traître en travaillant pour Boumediene ? Je répondrai que j’étais là avant tout pour l’Algérie ! Et que par ailleurs, ma présence en terre algérienne contribuait à la lutte que nous menions pour la libération de Ben Bella, emprisonné depuis le coup d’Etat de 1965.

    Afrik.com : Vous n’avez pas seulement formé des journalistes algériens, vous en avez aussi formés à l’ESSTIC, l’école de journalisme de Yaoundé (Cameroun). L’école vient de fêter ses 30 ans. A quoi cela sert-il de former des individus qui mourront d’avoir exercé leur métier ?
    H.B : Il est vrai que la libre expression n’est pas toujours de bon ton en Afrique quand il s’agit de certains gouvernements. Il est aussi vrai que certains de mes élèves ont été assassinés ou emprisonnés. Mais les choses changent et ont changé. Au delà même de la liberté d’expression, il s’agit de la survie économique de ces quotidiens. Au Cameroun, un trentaine de titres sont sur le marché. Comment survivent-ils quand on sait que le marché de la publicité, qui finance la presse, est quasi inexistant ? Le paramètre financier entrave aussi le travail des journalistes. C’est un problème qu’il ne faut pas éclipser.

    Afrik.com : A compter du 24 janvier 2001, vous quitterez le CSA. Que va faire l’homme dynamique que vous êtes ?
    H B : J’ai été nommé, en 1995, par le président Mitterrand à la tête du CSA. Durant ce mandat de 6 ans, vous êtes inamovible. En me retirant, je laisse la possibilité à M. Chirac de nommer à son tour quelqu’un. Je pense que j’aurai de quoi faire pour occuper mon temps. Je vous rappelle d’ailleurs à ce propos que je suis depuis peu, le président de l’Union internationale des journalistes francophones.

    http://images.google.com/imgres?imgurl=http://www.afrik.com/local/cache-vignettes/L220xH305/arton1631-2f34a.jpg&imgrefurl=http://www.afrik.com/article1631.html&usg=__bcnyyeztaCb2wyM2ndkLoaovjWo=&h=305&w=220&sz=9&hl=fr&start=3&um=1&tbnid=E0yvVn9ZF0zVDM:&tbnh=116&tbnw=84&prev=/images%3Fq%3DHerv%25C3%25A9%2BBourges%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DN%26um%3D1

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  8. Artisans de l'ombre Dit :

    Hervé Bourges
    Nous avons reçu Hervé Bourges le 30 novembre dernier sur le plateau de Thé d’Afrik, l’émission de la rédaction réalisée en partenariat avec Alatélé.com. Hervé Bourges a bien voulu répondre à nos questions, notamment sur son long parcours africain. Voici, en substance, quelques moments forts de notre entretien.

    Afrik.com : Ne vous trouvez-vous pas trop jeune pour écrire vos mémoires ?
    Hervé Bourges : Je vous remercie du compliment. Je craignais de ne plus être en mesure de le faire d’ici quelques années (rires).

    Afrik.com : A la lecture de votre oeuvre, l’on s’aperçoit que l’Algérie a été un tournant dans votre existence. Vous y aviez côtoyé les pères de l’indépendance africaine, que vous rencontrerez plus tard dans vos pérégrinations sur le continent. Qu’en est-il ?
    H.B : L’Algérie a été plus qu’un tournant dans ma vie. J’y ai séjourné longuement à deux reprises. La première fois, en 1958, en tant qu’officier de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Puis mon second séjour a duré quatre ans, de 1962 à 1966. Un séjour pendant lequel je travaillerai, entres autres, comme conseiller au cabinet du premier président algérien Ahmed Ben Bella. Puis auprès d’Abdelaziz Bouteflika, alors ministre de la Jeunesse et des Sports. Ceci jusqu’au coup d’Etat de Houari Boumediene, après lequel je rentrerai au service de Bachir Boumaza , ministre de l’Information. L’une des mes principales tâches, à cette époque, sera la formation des journalistes algériens.

    Afrik.com : A la fin de votre livre, vous parlez de votre double nature. Ne vous êtes-vous pas senti schizophrène en travaillant pour le gouvernement Boumediene après le coup d’Etat qui avait démis votre ami Ben Bella de la présidence algérienne ?
    H.B : C’est une très bonne question. J’irai plus loin : ne vous êtes-vous pas senti dans la peau d’un traître en travaillant pour Boumediene ? Je répondrai que j’étais là avant tout pour l’Algérie ! Et que par ailleurs, ma présence en terre algérienne contribuait à la lutte que nous menions pour la libération de Ben Bella, emprisonné depuis le coup d’Etat de 1965.

    Afrik.com : Vous n’avez pas seulement formé des journalistes algériens, vous en avez aussi formés à l’ESSTIC, l’école de journalisme de Yaoundé (Cameroun). L’école vient de fêter ses 30 ans. A quoi cela sert-il de former des individus qui mourront d’avoir exercé leur métier ?
    H.B : Il est vrai que la libre expression n’est pas toujours de bon ton en Afrique quand il s’agit de certains gouvernements. Il est aussi vrai que certains de mes élèves ont été assassinés ou emprisonnés. Mais les choses changent et ont changé. Au delà même de la liberté d’expression, il s’agit de la survie économique de ces quotidiens. Au Cameroun, un trentaine de titres sont sur le marché. Comment survivent-ils quand on sait que le marché de la publicité, qui finance la presse, est quasi inexistant ? Le paramètre financier entrave aussi le travail des journalistes. C’est un problème qu’il ne faut pas éclipser.

    Afrik.com : A compter du 24 janvier 2001, vous quitterez le CSA. Que va faire l’homme dynamique que vous êtes ?
    H B : J’ai été nommé, en 1995, par le président Mitterrand à la tête du CSA. Durant ce mandat de 6 ans, vous êtes inamovible. En me retirant, je laisse la possibilité à M. Chirac de nommer à son tour quelqu’un. Je pense que j’aurai de quoi faire pour occuper mon temps. Je vous rappelle d’ailleurs à ce propos que je suis depuis peu, le président de l’Union internationale des journalistes francophones.

    http://images.google.com/imgres?imgurl=http://www.afrik.com/local/cache-vignettes/L220xH305/arton1631-2f34a.jpg&imgrefurl=http://www.afrik.com/article1631.html&usg=__bcnyyeztaCb2wyM2ndkLoaovjWo=&h=305&w=220&sz=9&hl=fr&start=3&um=1&tbnid=E0yvVn9ZF0zVDM:&tbnh=116&tbnw=84&prev=/images%3Fq%3DHerv%25C3%25A9%2BBourges%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DN%26um%3D1

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  9. Artisans de l'ombre Dit :

    terview ( rencontre avec…

    Maurice Freud, président de Point-Afrique
    Depuis 1995, Point-Afrique propose des circuits touristiques originaux dans des zones non desservies par les tour opérator.
    L’objectif : désenclaver des régions isolées sur le continent africain et y réinvestir les bénéfices dégagés.

    Interassos.net : quel est le concept de Point-Afrique ?
    Maurice Freund : Point Afrique est une société anonyme sous forme de coopérative de voyageurs et non un tour opérator ou une agence de voyage. Les coopérateurs signent une charte éthique du voyage. Nous desservons des destinations où le niveau de vie est en queue de peloton des pays “ en voie de développement ” : le Niger, le sud Algérien, la Mauritanie et le Mali. Notre objectif est d’utiliser le vecteur touristique pour développer des activités économiques au niveau des populations hôtes. En particulier investir les bénéfices dégagés par les activités touristiques pour cofinancer certains projets: agrobiologie, appui médical pour les nomades, formation à l’accueil des touristes, etc.

    Comment vous est venue cette idée ?
    Maurice Freund : Elle remonte à 1964, si ce n’est avant. A l’âge de 11 ans, je voulais être prêtre. Adolescent, j’ai rencontré un missionnaire oeuvrant en Inde et j’ai été fasciné. Plus tard, j’ai décidé d’intervenir dans une léproserie indienne. C’est alors que j’ai été confronté au problème du coût du voyage. Nous étions une quarantaine à vouloir nous rendre en Inde. Nous sommes parvenus à affréter un avion depuis la Suisse. Le premier avion Charter. Ce fut le départ de la création de Point Mulhouse, association pionnière des vols charters vers l’Amérique du Sud puis les Antilles et l’Afrique.

    En résumé vous entriez dans le monde du business aérien ?
    Maurice Freund : Le Point Mulhouse était une association à but non lucratif. Nous avions fait des choix dictés par un certain idéal. Le voyage était un moyen au service d’un objectif. Nous organisions des chantiers de jeunes en Inde, assurions la distribution de pulls fabriqués en Amérique du Sud, mettions en place des formations agrobiologiques pour la revalorisation des sols et permettions de désenclaver des zones isolées. Nous souhaitions aussi rendre les voyages accessibles au plus grand nombre en offrant les prix les plus bas..

    Pourquoi Point Mulhouse a-t-elle disparu ?
    Maurice Freund : A partir du moment où notre développement a fait de l’ombre à certaines compagnies aériennes, notamment sur des destinations comme la Réunion et la Corse, nous nous sommes faits des ennemis. 1987 a marqué le début des difficultés de la compagnie. Les contrôles se sont multipliés dans les avions. Pour des “ raisons de sécurité ”, nous avons été dans l’obligation de laisser nos avions au sol pendant trois mois. Le temps nécessaire pour nous réduire au silence

    Qu’est ce qui vous a poussé à lancer un nouveau  » Point… » ?
    Maurice Freund : Après Point Mulhouse, j’ai occupé les fonctions de directeur général de Air Mali. J’ai été particulièrement sensibilisé aux problématiques de ce pays et de ses voisins. J’avais toujours l’idée de désenclaver certaines zones d’Afrique en développant une activité économique qui crée de la plus-value. Ainsi est né Point-Afrique.

    Quel est l’impact de Point-Afrique sur les populations ?
    Maurice Freund : Le tourisme peut générer le meilleur comme le pire. Nous avons choisi la première option. Point-Afrique ne s’inscrit pas dans une logique d’assistanat des populations mais d’accompagnement de projets. Les bénéfices sont réinvestis en intégralité sur les régions de destinations pour soutenir ou créer des activités économiques génératrices d’emplois et qui répondent à des besoins réels formulés par les populations locales. Par exemple, nous avançons des fonds pour permettre à « un aubergiste » d’améliorer les conditions d’accueil des touristes dans son hôtel. Nous avons participé à la création de 150 emplois à Gao la capitale du Mali. Les bénéfices ont aussi été investis dans des formations d’agrobiologie et la mise en place de potagers pilotes recourant à des techniques de culture respectueuses de l’environnement. Dans l’Adrar mauritanien, cette politique permet à 6 000 personnes de vivre sur place à l’année. Actuellement, nous travaillons à la création d’une mahadra (université Mauritanienne) en plein désert qui accueillerait tant des locaux que des occidentaux souhaitant se ressourcer.

    N’avez-vous pas une idée un peu utopique du tourisme ?
    Maurice Freund : L’appât du gain fait que les Etats sont prêts à tout pour attirer les touristes. Nous pensons qu’en impliquant la population dès les prémices du développement touristique nous pouvons éviter certains effets pervers. Il s’agit de faire un travail de fond et de faire en sorte que les locaux à tous les niveaux s’emparent de l’activité touristique.

    C.V.

    lundi 13 août 2001
    http://images.google.com/imgres?imgurl=http://www.interassos.net/MAGAZINE/MEDIAS/08_freund.jpg&imgrefurl=http://www.interassos.net/MAGAZINE/minterview_003.html&usg=__JLTBmoxuKd3NQZe47ElTM2h2ltw=&h=160&w=133&sz=13&hl=fr&start=2&um=1&tbnid=YO_vgScwiGkhNM:&tbnh=98&tbnw=81&prev=/images%3Fq%3D%2522Maurice%2BFreud%2522%26hl%3Dfr%26lr%3D%26sa%3DN%26um%3D1

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  10. Artisans de l'ombre Dit :

    Télévision // Lynda Tamdrari –présentatrice de l’émission QAADA
    Télévision // Lynda Tamdrari –présentatrice de l’émission QAADA
    Lynda Tamdrari née le 14/08/1967 à Alger – Bologhine 1967-1988 / étude scolarité lycée Aicha Hussein dey. 1988-1994 / diplôme en journalisme. fin 1994 / rejoint la rédaction d’Alger chaîne 3. fin 1995 / rejoint la radio UFC service français où elle anime une émission littéraire culturelle autour des hommes et des femmes de lettres. Présentation du journal de l’information universitaire. Septembre 97 / rejoint la radio chaîne 3 avec une production Algérie terre passion En parallèle de sa vie professionnelle lynda a crée son association culturelle Artissime. Comédienne de théâtre amateur. Présidente association Artissime. Participe a plusieurs spectacles de théâtres. Festival d’Avignon 99 spectacle de théâtre à paris en 2000. Festival d’Avignon 99 spectacle de théâtre en Hongrie. Conférence et débat autour du dialogue de civilisation en 2001 à paris. Formation d’histoire de l’art a florence en Italie. Etude sur la réflexion du dialogue 2002. Dialogue inter religieux à Rome. Actuellement Lynda Tamdrari est présentatrice du journal culturel de la radio chaîne 3.
    http://djazairthaqafa.skyrock.com/269710559-Television-Lynda-Tamdrari-presentatrice-de-l-emission-QAADA.html

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  11. Aceval Nora Dit :

    Oubli impardonnable ! J’ai oublié de signaler la présence de Titcho, guitariste et chanteur gipsy! Nora

  12. mutuelle Dit :

    je ne connais pas personellement l’emmission QAADA mais sa donne vraiment envie de regarder.

  13. Text Spinner Dit :

    Whats up! I just want to give a huge thumbs up for the great info you’ve here on this post. I might be coming again to your weblog for extra soon. Take a look at my Article Spinning Software.

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