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Un phénomène nouveau et honteux Battus et violentés par leur propre progéniture

29 décembre 2009

Non classé

Un phénomène nouveau et honteux
Battus et violentés par leur propre progéniture
Par Imaad Zoheir

Un phénomène nouveau et honteux Battus et violentés par leur propre progéniture nksa70

Cas : De nombreuses mères de famille ont été frappées au visage et à la tête par leurs propres enfants sans que l’entourage et encore moins les voisins le sachent.

u’ils pêchent les nuages ou chassent la mousson comme les Peuls et les Haoussas, qu’ils traquent le tigre ou piègent l’éléphant comme les Zoulous ou les Bambaras, qu’ils sèment le pavot à Tora Bora ou à Medelin, pour tous les peuples du monde, les parents sont sacrés, aussi sacrés que la vie et bien plus encore.
Ils sont intouchables, inviolables, au-dessus de tout, au-dessus de tous.
Jusqu’en 1950 par exemple, un père pouvait «savonner» son fils souvent devant sa femme sans que ce dernier ose avancer la plus petite réplique pour se défendre, la moindre petite remarque.
Et tout cela pour ne pas offenser l’aïeul, pour ne pas le froisser. Il encaissait sans sourciller toutes les insultes lâchées par les digues de la colère, de son vieillard de père…
Il était de bon ton à cette époque que les enfants obéissent, sans se plaindre sinon… à huis clos.
Ce n’était pas de la docilité stérile, mais les pères considéraient que leur fougue avait besoin d’être corrigée, orientée, nuancée.
C’était pour eux la marque de la bonne éducation, de la bonne «fabrique» le label aujourd’hui déprécié des «ouled el-familia» (les fils de famille).
Elevés à la trique, à la baguette ou à la spartiate, ces enfants étaient destinés d’abord et avant tout à être des hommes.
Des responsables capables de faire la part des choses, de séparer le bon grain de l’ivraie, l’interdit et le défendu, le licite et l’illicite, le bien et le mal, le vrai et le faux, la droite et la courbe.
Tous ces repères, malheureusement ont disparu ou sont en voie de l’être. Par petites touches, parfois par pans entiers. L’alcool, les drogues, l’oisiveté, l’absence cruelle d’autorité familiale ont fini, dans certains milieux, par corrompre le sentiment le plus élémentaire d’un enfant : le respect des parents.
Cette dérive filiale, souvent radicalisée par le poids des problèmes, est à l’origine aujourd’hui d’un phénomène absolument nouveau chez nous : la violence sur ascendants.
De nombreuses mères de famille ont été frappées au visage et à la tête par leurs propres enfants sans que l’entourage et encore moins les voisins le sachent.
Quelques-unes d’entre elles, à force d’être martyrisées par des enfants paranos n’ont eu d’autre choix que de déposer plainte auprès du commissariat le plus proche.
A Mascara, le mois dernier, un brave père de famille s’est retrouvé le soir, en rentrant à la maison, au beau milieu d’une dispute qui opposait son fils à sa fille et de toute évidence, c’était le fils qui corrigeait copieusement sa sœur.
Malgré les appels au calme réitérés par le père, l’indécrotable rejeton continuera encore à battre la malheureuse victime. Excédé par son attitude, il lui donnera une paire de claques pour le calmer et le ramener à la raison. Peine perdue, le jeune homme humilié par une gifle qu’il n’avait pas vu venir, sortira alors un couteau à cran d’arrêt et chargera son père. Sans même réfléchir. L’octogénaire recevra la lame à l’avant-bras en voulant se protéger. Au poste de police où il déposera plainte, les agents de service découvriront dans le fichier du prévenu… qu’il a déjà été condamné trois fois… pour les mêmes motifs.
Il y a deux mois, à l’est du pays, un homme âgé d’une quarantaine d’années, à moitié drogué, rejoignait très tard dans la soirée le domicile de ses parents. Fraîchement accueilli par les remontrances d’une mère qui en avait assez de la vie dissolue de son fils et qui refusait en plus de lui servir à dîner, l’indigne enfant ne trouvera d’autre issue que de larder sa maman de plusieurs coups de couteau qui auront raison d’elle.
Enfanter son propre assassin, le nourrir, le chérir, le soigner, lui donner le sein et le voir grandir, n’est-ce pas un métier à risque d’être maman ?

I.Z.

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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6 Réponses à “Un phénomène nouveau et honteux Battus et violentés par leur propre progéniture”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    En attendant… Le prochain virement

    Un fils indigne, qui avait placé volontairement sa mère dans ce type d’institution pour s’en débarrasser, a mis au point une combine imparable pour la dépouiller régulièrement.
    A chaque 23 du mois, il se rendait au centre et demandait à la direction de l’établissement l’autorisation de ramener sa mère à la maison pour deux jours, le temps, soutenait-il avec un aplomb pas possible, que ses petits-enfants l’embrassent et la cajolent parce qu’elle leur manquait terriblement.
    Le soir, son épouse et complice préparait à sa belle-mère son plat favori : du couscous au lait qu’elle mangeait avec bon appétit.
    Le lendemain matin, elle était accompagnée à la poste où elle faisait la chaîne pendant une heure pour encaisser sa maigre retraite qu’elle remettait intégralement à son fils, lequel se faisait un plaisir de la raccompagner l’après-midi même à la pension. C’est devant la porte presque blindée du lugubre blockhaus qu’il l’abandonnait en attendant le prochain virement…

    I. Z.

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  2. Artisans de l'ombre Dit :

    Mille et une façons de s’en débarrasser

    Formules n Le centre de vieillesse. Voilà une belle invention du système qui permet de cacher, derrière de hautes palissades, tous les mendiants et mendiantes qui «jonchent» et encombrent nos rues.

    Et puis comment expliquer aux étrangers qu’un pays qui vend du pétrole et qui importe des Mercedes est incapable de prendre en charge la frange la plus vulnérable de sa société : les seniors déshérités.
    Et c’est ainsi que l’on a assisté, il y a quelques années, à de véritables descentes de fonctionnaires du Croissant-Rouge qui «ramasseront» par fourgons entiers ces épaves échouées sur la berge de la vie et les trottoirs…des grandes villes sans cœur.
    Mais si la plupart viennent de trous perdus, de lieux sans nom, souvent sans attache et sans mémoire, quelques-uns d’entre eux ont été volontairement menés là et abandonnés par les leurs comme des baluchons inutiles. Qui sont-ils ?
    Certains pensionnaires avaient un domicile, une famille, des enfants, des petits-enfants et une dignité qui n’avait pas besoin d’avoir pignon sur rue.
    Elles avaient des belles-filles, menaient une existence presque insouciante quand le mari, encore vivant, avait son mot à dire et décidait de ce qui était bien et de ce qui ne l’était pas et auquel tout le monde obéissait au doigt et à l’œil.
    Sa seule présence dissuadait plus d’une fronde, refoulait plus d’une rancœur et faisait obstacle à toutes les velléités.
    Et quand l’unique barrage cède, c’est l’inondation.
    Il n’y a plus rien à sauver. Pas même les meubles.
    Commencent alors les premiers couacs à la maison, une maison vidée par ce qui faisait sa sève, devenue sans écho, sans relief.
    C’est tantôt la belle-fille qui sermonne copieusement la belle-mère, souvent pour une broutille, tantôt le fils qui ose faire des reproches désobligeants à sa propre mère. Poussé en général par sa femme qui a d’autres ambitions. De scènes de ménage en scènes de ménage, de disputes en disputes, de provocations en provocations, la vie devient bientôt impossible au domicile et les belles-filles qui ont besoin d’espace vital, font tout pour entretenir cette atmosphère.
    Les unes accusent la pauvre dame de sorcellerie, les autres les traitent de vipère et menacent leurs époux de partir. C’est elle ou c’est moi.
    Et généralement c’est elle, la malheureuse maman, qui prendra la porte.
    En minorité chez elle, mal acceptée, objet de toutes les frustrations des belles-filles auxquelles elle bouchait l’horizon, n’ayant plus de famille à son âge, elle n’aura d’autre alternative que de se soumettre à la sentence de ses enfants : le foyer des personnes âgées.
    Là au moins, elle aura la paix, ses belles-filles aussi et tout le monde y trouverait son compte.
    Il y a une dizaine d’années, les téléspectateurs algériens ont été littéralement bouleversés de voir parmi les locataires du centre de Blida… l’épouse de Mohamed Touri, l’un des hommes les plus talentueux de son époque, l’un des hommes les plus riches aussi et les plus nantis de la Mitidja.
    Dans le centre de Tlemcen, certaines femmes dont on protégera l’anonymat sont issues des plus grandes familles de la région. Leur tort : elles sont inutiles et posent problème. Autrement dit, elles ont fait leur vie, qu’elles fichent la paix aux autres et qu’elles attendent sagement leur tour pour aller au ciel.

    I. Z.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  3. Artisans de l'ombre Dit :

    Blanchis sous le harnais d’un régime

    Aïeux n Indigènes impitoyables qui ne faisaient pas de quartier, souvent seuls à travailler à la force de leurs bras pour nourrir de nombreuses bouches, ils ont fini par devenir les pasteurs incontestés de la famille, les bergers incontournables de la «tribu» juchés au sommet de la pyramide.

    Ils conseillaient les enfants, orientaient les petits-enfants sermonnaient les brus ou prenaient leur défense quand elles étaient victimes de la moindre «hogra».
    Ils étaient la force et la justice réunies. Rien ne se faisait à la maison, ou ne se décidait sans leur accord. Par respect pour leurs cheveux blancs.
    Ils avaient l’œil sur tout, étaient au courant de tout. Et s’ils acceptaient la contradiction des juniors, ils supportaient très mal qu’on remette leurs décisions en cause. Ils mettaient si bien le chèche qui soulignait leurs rides qu’on avait l’impression qu’ils portaient une couronne et que la canne à pommeau métallique sur lequel ils s’appuyaient était un sceptre, le bâton de Moïse qui indiquait la direction de la terre promise.
    De leur burnous protecteur, chacun avait sa part et tous l’avaient en entier. Comme le sein maternel. Le fils et la belle-fille ne pouvaient s’installer ailleurs et voler de leurs propres ailes qu’avec leur bénédiction. La petite-fille ne pouvait convoler en justes noces et construire son nid qu’avec leur permission, leur bénédiction. Ce sont eux les patriarches qui accordaient ou refusaient la main. Leur parole était un décret. Et rien n’était trop bien pour leur être agréable pour leur plaire et se mettre sous leur aile. Leur baraka n’avait pas de prix.
    Même les tout petits, pour échapper à la fessée, cherchaient refuge auprès de l’aïeul. Il est le centre et le cercle à la fois.
    Et quand bien même les enfants qui s’en allaient pour vivre leur vie à leur guise, la maison parentale n’était jamais vide. Jamais.
    Il y avait toujours une belle-fille pour aider mamy à étendre le linge sur la terrasse ou à repasser. Il y avait toujours un fils qui passait aux nouvelles pour s’enquérir de la santé des «vieux» ou pour leur demander leur avis sur telle ou telle question qu’il n’arrivait pas à trancher. Il y avait toujours un petit-fils ou une petite-fille qui traînait au fond de la cour ou du jardin pour vandaliser les fleurs que mamy a mis tant de soin et tant d’amour à planter. Le cordon ombilical n’était jamais coupé. C’est là, dans cette maison nourricière qui les a vus naître et grandir, que tous se réuniront le jour de l’Aïd autour des anciens pour fêter dans la communion familiale le sacrifice d’Abraham. Aucune excuse n’est tolérée. Le grand-père sera chéri jusqu’à son dernier souffle, la grand-mère sera assistée jusqu’à son ultime prière. Et dans la maison qui ne sera jamais vide, il restera toujours un objet, une étoffe, un cadre, un bibelot ou une odeur qui rappellera aux juniors le doux souvenir de ceux qui ne sont plus là «riht el waladine» c’est ça…

    I .Z.

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    La valise infernale

    Interrogation n Peut-on mesurer l’horreur ? Si oui, sur quels critères ? Le nombre de litres de sang qui aura giclé sur les murs, l’atrocité particulièrement sordide du crime ou l’angoisse qu’il soulève ?

    Formulons la question autrement : peut-on concevoir une échelle comparable à celle de Richter ou de Mercali capable d’indiquer tous les degrés dans l’épouvante ?
    Bref, jusqu’où peut aller l’horreur ?
    Il est difficile de lui fixer des balises quand des cinéastes à Hollywood font reculer tous les jours ses limites.
    De l’antique Dracula, que l’on peut considérer comme une référence, à meurtres à la tronçonneuse, les scénaristes de la Warner Bros décidément toujours inspirés, ont su jouer avec un rare génie sur toutes les touches du morbide.
    L’histoire que nous allons vous raconter est non seulement véridique — monstrueusement véridique — mais son caractère exceptionnel dépasse tout ce que les blondinets de Beverly Hills peuvent imprimer sur leurs pellicules.
    C’est l’été 2007. Nous sommes à Oran. Les cortèges de mariages se croisent et s’entrecroisent dans une indescriptible pagaïe et couvrent de leurs clameurs joyeuses toute la ville.
    Les uns défilent au son de la zorna, les autres au rythme de la trompette.
    Les orchestres prendront plus tard le relais quand les premières brises de fraîcheur souffleront sur les terrasses.
    Une femme dans le quartier de Maraval à l’ouest de la ville contemple du haut de son balcon cette noria de voitures rutilantes, les unes plus belles que les autres.
    Elle aussi attend son carton, une fête somptueuse en perspective, dans laquelle elle devrait briller. Lorsqu’il arrive la semaine suivante, elle se rend chez sa mère à Protin, autre quartier en vue, mais plus huppé encore, pour lui emprunter ses bijoux.
    Et les bijoux, sa maman les collectionnait littéralement.
    D’ailleurs, elle lui en a toujours voulu secrètement pour ça.
    Il y avait dans les petits coffrets en fer blanc soigneusement dissimulés dans l’armoire, des douzaines de broches, des pendentifs, des colliers, des bracelets de toutes les tailles, des louis achetés à 2 500 f des doublons à l’effigie de Napoléon, des bagues, une couronne même, bref un véritable trésor patiemment amassé au cours des ans. Harnaché d’or de la tête aux pieds comme Semiramus ou la reine de Saba, la femme fera énormément d’effet auprès des convives, ce qui n’était pas pour lui déplaire.
    Les lampions de la fête s’éteignent.
    Une semaine passe. Puis deux. Inquiète, la maman appellera au téléphone pour réclamer ses bijoux.
    Deux autres semaines passent et point de bijoux. Silence radio sur toute la ligne. Inquiétant.
    C’est alors que la vieille dame prendra son courage à deux mains pour aller aux nouvelles et tirer une bonne fois pour toutes cette affaire au clair.
    Elle ne savait pas qu’en franchissant le seuil de la maison de sa fille, elle n’en sortirait jamais vivante. Le ton est plutôt glacial entre les trois femmes : la mère, la fille et la fille de cette dernière.
    Mais le plan était déjà arrêté. A l’avance : d’abord le poison, ensuite on avisera. Une fois le forfait accompli, il ne restait plus qu’à se débarrasser du cadavre.
    Et un cadavre, c’est plutôt encombrant.
    Une idée diabolique germa aussitôt dans la tête de la fille : et si elle découpait ce gros morceau de viande, dans la salle de bains, comme le mouton de l’Aïd ?
    Et c’est ainsi qu’avec l’aide de sa propre fille, elle trancha la tête, débarrassera le tronc des bras et des jambes, en fit plusieurs tas.
    A sa fille de se débarrasser des jambes et d’un avant-bras et à elle de faire disparaître le reste. C’est à Canastel, à 8 km d’Oran que la petite-fille sera arrêtée par la police. Elle portait une grosse valise et son comportement bizarre précipita sa perte.
    Elle avouera tout d’un bloc. Sa mère sera arrêtée. Le père apparemment n’était au courant de rien.

    I. Z.

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  5. Artisans de l'ombre Dit :

    Même en prison

    l Frappées, souvent insultées et maltraitées par leurs enfants, de nombreuses mères de famille sont si terrorisées par leurs rejetons qu’elles n’hésitent pas, quand ils sont en prison pour un motif quelconque, de leur faire parvenir jusqu’à l’intérieur de leurs cellules leurs doses de cachets ou de «zetla» sous peine de représailles une fois élargis.
    Le phénomène est surtout visible à St Pierre à Oran, un quartier malfamé, marginal et plaque tournante de toute espèce de drogue.

    I. Z.

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  6. Artisans de l'ombre Dit :

    Liens de sang

    Ils avaient fière allure nos grands-pères. Et sur les rares photos jaunies par le temps et oubliées au fond d’une malle, ils en imposaient avec leur moustache broussailleuse, leur fez impeccablement plissé et leur montre à gousset…
    Et même s’ils sentent aujourd’hui le camphre d’une mode surannée et désuète ils n’ont strictement rien à voir avec les papys d’aujourd’hui, un peu cool, un peu «techno» et que l’on dit supe-sympas.
    C’était une autre espèce d’homme. Une autre trempe.

    I. Z.

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