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Mercredi 25 Novembre 2009 11h40mn 45s
De:
« mandelkorn »
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beninstitdjam@yahoo.fr
mandelkorn a écrit:
Société d’édition : societedesecrivains.com
Mon ouvrage « ESSAIS » disponible sur internet
Auteur : Marcel MANDELKORN
Au cours de son service militaire, on lui signale une gêne qui bien qu’inférieure au minimum indemnisable donneras lieu à un procès qu’il intente à l’armée avec l’aide d’un psychiatre civil et d’une association d’anciens combattants.
Où commence la personnalité pathologique, le syndrome d’influence, une autorité mal marquée des parents, une culture mal imprégnée, en résumé car la liste s’allonge et il y a pléthore de termes emphatique d’une culture freudienne qui pourrais accompagner à sa demande son réquisitoire pour une cause juste, objective, rectiligne . Ce qu’on lui indique pourtant juridiquement est vrai, ce n’est pas un rêve c’est la règle de droit qui rend tout caduque. Personnellement , il s’insurge, le mot n’est pas trop fort, sur l’idée qui associe le degré de normalité avec bons nombre de commentaires et diagnostics qui figure en bonne place sur une requête qui est en tout et pour tout purement administrative. Ce qui se présente devant l’État ne se traite pas comme il le souhaiterais et il lui faut se contenter de peu.
C’est à partir de 1974 pendant que j’effectuai mon service militaire,écrit-il ensuite sur son ouvrage « ESSAIS », que j’ai perçu une très mauvaise ambiance, une trop forte pression, des propos fallacieux,décrit par plusieurs avocats commis d’office comme ayant réellement existé. Sur une autobiographie psychiatrique, on peut lire pléthore de termes psychiatriques. Or, on en déduit que finalement sa mise s’est révélée des plus hasardeuse pour ne pas dire abusive, il conteste une décision de l’État et en cela il a tord car ni les épisodes les plus anciens, c’est à dire ceux de sa prime enfance l’intérêt qui supposerait pouvoir faire un lien, une preuve avec des séquelles psychiatriques plus précises ne montrent pas d’ épisodes hors temps militaire qui de toute façon ne peuvent lui imputer des taux plus forts donc un cas vraiment handicapant qui puisse être compris. Seul l’armée et son temps effectif est pris en compte. Il s’agit du Tribunal des Pensions (Nanterre et Versailles) et les taux sont de toutes façons très faible. Aucun des épisodes les plus récents est pris en compte même si le risque de dépression est avancé par deux médecins de prévention. Il prend un traitement, mais ce qui a été avancé à l’armée prend une forme juridique d’inexistence. L’arsenal juridique de l’État n’a qu’un but mettre fin à la procédure, cela semble le seul souci juridique. En rendant le tout non imputable à l’armée et non recevable, on se rend compte bien vite que l’État a débouté depuis le départ ces requêtes. À bien y réfléchir, il y a un psychisme qui n’est en rien altéré et seul le bon vouloir de l’armée prévaut à penser le contraire. Le concept « psy » a été créé de toute pièce par la présence militaire et médicale à la fois de façon inopinée et de façon brutale : est-il besoin de montrer à quel points il est difficile de prouver la vérité. Une hospitalisation forcée, une dite convalescence, une mise à part qui tout au contraire concoure à l’échec universitaire, au blocage des sens, à l’obstacle forcée.
À ce propos, il est peu probable qu’une autre action psychiatrique soit engagée de façon aussi forte, la chose de la raison juridique s’assume en droit jusqu’au bout à l’inverse de ce qui la engager comme la force de l’État à laquelle , on se heurte.
Vous pouvez prendre contact avec ! societedesecrivains.com pour lire son livre ou en faire une petite publicité car éditer un livre coute cher et j’ aimerais tellement en vendre quelques uns pour au moins récupérer de son effort financier et intellectuel.
aphie
Site Web: societedesecrivains.com
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14 janvier 2010 à 17 05 03 01031
On estime que de 5 à 15% de la population adulte présente un trouble de la personnalité. Nous avons probablement tous un ou quelques traits de personnalité qu’il serait avantageux de modifier. Dans le trouble de personnalité cependant, certains traits sont vraiment rigides et envahissants. Ils amènent de la souffrance ou nuisent véritablement à l’adaptation et au fonctionnement dans diverses situations. L’Etat à qui j’ai intenté un procès abuse parfois. En fait, il occulte les vrais destinataires qui vont passer à l’acte de délinquance et s’attache à soigner des gens normaux car il lui est plus facile de prétendre un lien à toutes sortes d’afflictions qui n’ont qu’une importance relative voire un faux risque psychotique : placer le plus souvent sur un mode théorique non pratiquable et hyper subjectif , suréaliste. La psychiatrie garderait ses lettres de noblesse si sa prévention s’attaquait aux vrais problèmes, à savoir une conjoncture et non un concept sanitaire. # Une approches dite dimensionnelle, qui consiste à caractériser la personnalité d’un sujet selon un répertoire de traits de personnalité (dimensions) plus ou moins accusatrice : un individu peut ainsi être plus ou moins impulsif, introverti, dépendant, etc.
# Une approche dite catégorielle, qui consiste à définir plusieurs types de personnalités pathologiques et à rechercher si un sujet donné présente ou non les caractéristiques d’un (ou de plusieurs) de ces types. Cette approche est celle de la clinique psychiatrique mais trop souvent de l’armée, de l’Etat, etc.. Celles-ci reposent sur des regroupements statistiquement validés d’attitudes et de comportement, sans préjuger des raisons pouvant expliquer ces regroupements; Ce sont souvent des raisons trop généreuse de la part du praticien qui fond, qu’on se crois à tendance névrotique, avecdes risques schyzophréniques , de la labilité émotionnelle, de l’angoisse, des séquelles interprétatives ou autres, en fait, la pluspart du temps, il n’y a rien d’alarmant et pourtant si l’on en crois ces gens, il y a toujours de l’anormalité, de la déréalité, des problèmes relationels, tout cela et plus encore favorisant la maladie psychique. En science, c’est comme disait MOLIERE dans s apièce le médecin malgrès lui, il y a fagot et fagot, il y a les bons arguments et les mauvais arguments même s’ils se ressemblent au point de se confondre.
19 février 2010 à 15 03 13 02132
Les agissements thérapeutiques de conception psychiatrique sont censés soutenir « Personnalité pathologique » et « Psychose chronique ».
En tant qu’être humain dans sa dignité et son identité, j’ai été choqué depuis que j’ai été maintenu au sein de bâtiments sanitaires durant l’Armée. Pendant que je terminais mon service militaire, l’inexistence de droits censés m’appartenir m’a paru s’engagé sur des indéterminismes fondamentaux à l’égard desquelles des précautions abstraites du monde « psy » estiment le droit « de mise à part » comme normale. C’est donc à l’appui d’une pression implacable des services hospitaliers qu’il est souvent difficile de connaître ses droits, notamment avant que ces dernières s’installent au titre de votre prévention. Ce genre fort, débouchait déjà sur un faible appointage d’imputabilité. Il semble que le monde infirmier soit plutôt fermé à tout mon contexte parce que celui ci recèle des faits que l’Armée écarte et que le monde juridique revoit à la baisse. L’ensemble est resté très subjectif et c’est même un paradoxe qui jaillit du monde régulier et objectif, lui-même souvent discuté quand il s’installe dans une simple démesure. Oublier le contexte donc les faits c’est s’inscrire à l’essentiel dévoilé au fil du temps par la création d’un passif psychiatrique.. Les causes nécessaires à l’étude régulière de la définition d’une psychose ne sont pas remplies, par ailleurs l’armée a écarté toute sa responsabilité. Ce que je dis est pourtant limpide, on n’endort personne sous somnifère quand il dort normalement, il s’agit bien pour moi de me défendre en montrant qu’il s’est agit d’une injonction de force où les observations qui s’y sont inscrites ne sont pas conforme à ce qui se dit en pareil cas. Le major du service où j’ai été dirigé au sein de l’hôpital de Dijon s’est prononcé en amont des faits pour faire ressortir le risque « psychotique ». Il en est ressortit que ce contexte psychotique a été vu et revu puis abandonné. Depuis, on a tenté comme on fait en pareil cas d’examiner de plus prêt et de dire qui avait pu ressortir de l’enfance voire de l’adolescence, Pour autant ces thèmes se retrouvent dans deux expertises, notifiés comme corroborant les éléments d’écoles du domaine psychiatrique. Tout ce qui a été entretenu sur la foi du dossier administratif et médical ne pourrait aujourd’hui plus être imputé de façon civile montrant ainsi ce qui ne valait pas la peine d’être relevé dès la dite origine d’un trouble qui m’a valu cinq mois de plus sous les drapeaux.
On a perduré dans cette situation pour ajouter : problèmes dans la vie professionnelle, privée, familiale, affective, ces problèmes valent-ils la peine d’être soutenu ? En autre terme, qu’est-ce qui continue à gêner sur le plan mental et psychique ? . ..
L’Armée sur le plan psychiatrique dit avoir des croyances, une démarche aussi appliquée est une manifestation qui touche à la reconnaissance obligatoire d’un soutien médicamenteux sur le mode de l’infirmité humaine.
En ajoutant la personnalité pathologique, celle qui se déforme au contact d’une société dans son fonctionnement et non d’un modèle, je pense que l’État s’égare, par l’exercice partiel et véhément de son pouvoir, de sa gouvernance. Un État qui n’a jamais cessé de proclamer mes manques à travers les anomalies du seul mode de fonctionnement.
Quel est l’intérêt de souscrire à une imputabilité caricaturale que le mode militaire fait ensuite disparaître !. Ce contenant lorsqu’il se porte sur le système de renvoi tel qu’il s’inscrit sur les expertises fait apparaître un contenant qu’on friche au délit relationnel,
Imaginez les doutes de santé occasionnée par l’inexistence. Le rôle sanitaire durant l’armée m’a désorienté en détruisant ce qui était déjà sécurisé en famille.
D’une part la pratique de l’exercice physique a toujours été mon point fort, effectuée pour se préparer à l’involution physiologique et à un résultat tout autre, de la charge mentale dans lequel on décèle au contraire une activité nerveuse plutôt bienfaitrice tant sur le plan physique que mental, preuve à l’appui, là où s’inscrit une bonne fatigue plutôt qu’une fatigue indigne de mon état physique, la panacée de ces contradictions ne mène pas le débat juridique, on y avancé un délit de relation notamment vis à vis de ma vie familiale, des plaintes hypochondriaques, une labilité émotionnelle, des problèmes professionnelles et privés qui somment toutes ne seront jamais prouvés, ces fausses pressions exercées sur un état psychique délirant, psychoses, ce sont autant de fausses allégations de l’État
Ma normalité, à mon sens, n’était pas à remettre en cause, c’est l’anormalité qui creuse une différence, un obstacle, un drame. Il n’y a pas d’actions de formation privée ou de formation parallèle qui ont fait de moi l’identification à un être malmené, pourtant s’il fallait rappeler le nombre d’effets nerveux et sensitifs graves d’une ambition brisée à portée de la littérature psychiatrique, on détiendrait sur les bonnes ou mauvaises influences, des rapports hors de ma propre formation initiale, l’aspect ponctuel de l’individualisme conjoncturel comme conceptuel. Mes compétences se sont exprimées face à un domaine familial favorable comme face aux besoins sociaux et éducatifs normaux, suffisants, souvent renouvelés : il est donc paradoxal que dans les différents services associatifs ou sportifs où j’ai eu des responsabilités qu’on n’hésite à me voir tel que je suis, on ne peut mettre toute cette ambiguïté sur une personne. Ce qui est mis en exergue est un abus mal contrôlé juridiquement, ce qui est au plan nerveux est signalé, ne touche pas à mon sens à mon caractère ni à des difficultés réelles. J’ai donc l’assurance que ce qui s’exerce est mal définit. Je me suis plutôt intéressé à mon travail, j’ai surtout servi et assumé des taches professionnelles sur lequel, l’expert s’attarde peu si ce n’est en parlant de vérification trop forte de mon travail, laissant entendre une forme de maniaquerie dépressive sue une base de connaissances comptable. Cela me semble mal venu pourtant je comprends ces terme, cet aperçu ambivalent, où l’on voit qu’il est difficile de scinder le travail et l’emploi, et le besoin de défoulement, de loisirs. Mais de là à en faire une donne psychiatrique ayant valeur de sujet !
Les bâtiments militaires ont leurs méthodes, à travers les entretiens avec les gradés, ils identifient rarement les effets qu’eux-mêmes insufflent par leur action. De ce qui a été réalisé au titre de la formation active dans son cadre associatif hasardeux de type militaire, je retire mise à l’écart, et ce n’est pas normal.
Là où cette orientation est né, elle a fait apparaître l’affaiblissement de mon orientation préalable, ceci nécessite donc des explications différentes au lieu de nourrir des informations comme archivées sur l’instabilité de cette période, étant en quelque sorte le produit de sortie de cette phase, une drôle d’issue ou d’assise :
19 février 2010 à 15 03 14 02142
Je traite d’une vision personnelle qui vise, face à des notifications du TRIBUNAL des PENSIONS MILITAIRES de NANTERRE et de VERSAILLES à clarifier la nécessité des dévolus successifs subit pré ou post-période lors d’un passage obligé sur mon passé. Je veux aussi parler du service militaire encore obligatoire à mon époque où jeune j’ai trouvé cette mise à part
A l’évidence ou immédiatement après la sévère dose de médicaments que je pense avoir du prendre pour des causes qui tenaient au manque d’encadrement précisément pour rattraper des conséquences in disciplinaires entendues qui pointait son nez ; Une mise à part qui a pris naissance au départ de mon capitaine quand celui-ci a été remplacé par un maréchal des logis chef. D’un point de vue pédagogique, la spécialisation disciplinaire de ma caserne de Saint Florentin était déjà à l’origine d’une rupture, en l’occurrence préjudiciable pour les étudiants (circulaire FONTANET l’année précédente mon départ à l’armée). Pour des collègues de même âge parfois en difficultés scolaires, l’effort d’adaptation demandé a aussi été important.
Par ailleurs, cette spécialisation disciplinaire a sans doute contribué à renforcer le contenu brutal des demandes souvent hétéroclites des gradés , des relations composites, irrégulières, au détriment de la dimension pédagogique des rapports collectifs ou intra-personnels. Il est à noter que l’armée a toujours accueilli des publics de plus en plus diversifiés.
La dépression, qu’on m’a indiqué sans que je la vois naître durant l’armée, c’est l’existence mal fondée de toute introspection vers le recul marqué via un trouble réel du fait limitrophe de la Caserne de Saint Florentin. . Trente ans après et même plus, cette fâcheuse conjoncture ne me permet pas de croire au sens de la justice. Il en ressort que tous les désagréments subit de ma part ont été vivement ressentis, au plus vif de moi-même. Lorsque je travaillais en bureau à l’armée tout allait bien
On rechercha si une gêne particulière au cœur de mes relations intra personnelles existait vraiment. En effet, ces commandes médicales que rien ne prévoyait, se déclare à l’écart d’une commande normale.. Ma question s’inclut au sein du champ de compétence médicale. L’autorité s’attache plutôt à ce qui a déjà été écrit au regard d’une personnalité malade. Depuis, rien ne fait état d’une gêne suffisante précédent l’armée et encore moins du fait entendu durant cette période militaire de causes évidentes, vis à vis d’une gêne particulière ou d’un vrai besoin, rien ne sous-entend donc qu’il fallait agir de la sorte.
Un sujet type personnalité névrotique, neutralisé médicalement en quelques jours, ne peut concevoir que l’inquiétude ne naisse pas à cette occasion, l’inquiétude et le reste étaient donc de mise, le contraire aurait montré que je n’étais pas conscient du contexte ou que je me moquais de mon état. J’ai consenti avec tout mon charisme de jeune à tout admettre, ainsi pour laisser faire, sans élever la voix, sans gêner consort, j’avais peu de chose pour me prévaloir ailleurs d’autres normes. Ambiguïté d’un droit que j’estime à quelques degrés très loin de ce que j’ai vécu, quitte à faire régner plus de psychologie et moins d’introspection à mon égard, on s’éloigne d’autant plus du mode assimilateur en s’y collant durant toutes ces années qui m’en sépare. Ainsi selon, l’assimilation lequel on vous éloigne de vous-même, un sens acquis a fait place à une personnalité interrogative qui se communique aussi pour se développer comme elle peut. Un mode d’introspection incombant à la patience des aînés, à qui reproche peut être fait au passage d’y croire, et pour tout ce qui générait un tel handicap, en indiquant des délits sensitifs au même titre que des délits de relation sur ce qui par essence comporte à ce jour un passif.,
Je crois pourtant que le monde écolier, familial, patriotique avait fais le nécessaire, l’important me semblait passé. Ce qui a été soigné en accord avec un tangible besoin qu’à mon sens rien ne suscitait. D’ailleurs l’Armée faute de preuve ne peut continuer à le soutenir.
19 février 2010 à 15 03 15 02152
Les agissements thérapeutiques de conception psychiatrique sont censés soutenir irrecevable « Personnalité pathologique » et « Psychose chronique. La personnalité est le résultat de l’intégration dynamique des composantes affectives, intellectuelles, biologiques et comportementales qui caractérise la manière dont l’individu interagit avec lui-même et son environnement
Il est important de pouvoir faire la distinction entre personnalité normale et pathologique.
La peur d’être mal jugé à un examen oral est considérée comme normal.
L’impression d’être juger en permanence est l’émanation d’une
Personnalité pathologique.
Tel qu’on se croit jugé négativement par les gens qu’on croise dans la rue.
On parlera donc de personnalités pathologiques à partir du moment où le sujet présente des troubles de la personnalité, signalés par une altération significative de l’adaptation sociale, familiale ou professionnelle et/ou une souffrance subjective.
Si la notion de personnalité_ n’est pas facile à définir, la personnalité pathologique est considérée comme aléatoire. Au fond, il n’existe pas de personnalité normale ou pathologique type ; ce qui a été décrit est une sorte d’esquisses d’autant plus incertaine qu’indéterminée, on peut parler de galeries de portraits.
Or, l’être humain est plus varié et plus complexe que ce que ces classifications en font même s’il est parfaitement normal de se retrouver dans ces caractéristiques de personnalités décrites
En tant qu’être humain, j’ai été choqué dans ma dignité et mon identité.
Choqué de toutes ces distinctions, heurté de cette « mise à part.
J’’ai été maintenu au sein de bâtiments sanitaires à un moment où ma patience a été constante pour ne pas dire inébranlable, j’ai depuis eu tout le temps de réaliser que malgré que les plaidoiries se révèlent à mon avantage, on tournait en rond ; Il me semble que l’existence de droits censés m’appartenir n’est pas respectée ; Il semble aussi que le dite prévention dont j’ai fait les frais durant ma période n’était pas nécessaire et encore moins obligatoire. Ceci est essentiel et fondamental pour comprendre qu’au fond les nécessités vitales étaient ailleurs. Ce qui a été commandé, ordonné, prescrit s’est imposé à moi de façon brutale quitte à orienter mon esprit uniquement dans le rôle de patient, de malade. D’ailleurs une personnalité pathologique peut développer les mêmes troubles mentaux qu’une personnalité normale : ex.
La plupart des personnalités. Ainsi sont décrit des associations préférentielles entre les personnalités névrotiques et névroses. En ce qui concernent les troubles dépressifs, un certain nombre d’auteurs pensent que des troubles relationnels précoces dans l’histoire du sujet peuvent prédisposer à l’organisation de personnalités favorisant le développement de dépressions ultérieures.
La dépression peut exacerber des traits de personnalité et les rendre pathologiques. Distinguer une personnalité dépressive d’une dépression chronique n’est pas non plus facile
Les faits sont là, je fais les frais du vocabulaire méticuleux qui traite mon état. En réalité, j’aurais pu développer une simple peur …
Oublier le contexte donc les faits c’est s’inscrire au concept dévoilé autrement, dans l’étude d’un passif.. Les causes nécessaires à l’étude régulière de la définition d’une psychose ne sont par exemple pas remplies, par ailleurs l’armée a écarté toute sa responsabilité. Ce que je dis est pourtant limpide, « on n’endort personne sous somnifère quand il dort normalement « , il s’agit bien pour moi de me défendre ainsi en montrant qu’il s’est s’agit d’une injonction de force où les observations qui s’y sont inscrites ne sont pas conforme à ce qui se pratique en de pareil cas ; Il suffit pour s’en convaincre de s’inscrire en amont soit sur le risque « psychotique » tel qu’il a été indiqué soit sur d’autres thèmes. Il en ressort en autre que ce contexte psychotique a été vu et revu comme une probité puis il fut abandonné, pourtant il existe bien plus théoriquement. En fait, on a tenté d’examiner de prêt ce qui pouvait se regarder de loin, en faisant ressortir de l’enfance voire de l’adolescence un éventuel lien qui servirait de preuve même modeste pour expliquer l’origine d’un trouble, d’une gêne, Pour autant les thèmes sur la relation se retrouvent dans deux expertises, comme corroborant les éléments d’écoles ou sublimatoires.
Tout ce qui a été entretenu sur la foi du dossier administratif et médical ne pourrait aujourd’hui plus être imputé de façon égale sur le plan civil.
Et cela m’oblige a montré ce qui ne valait pas la peine d’être relevé.
On a perduré dans cette situation pour m’imputer durant cette procédure « problèmes dans la vie professionnelle, privée, familiale, affective, ces complications valent-ils la peine d’être soutenu ? En autre terme, qu’est-ce qui continue à gêner, n’est-il pas tout autant exagéré de s’appesantir sur des causes externes qui en plus ne sont guère démontrées
Certains intellectuels se sont efforcés de démontrer que l’inquiétude par exemple est davantage liée à nos représentations qu’à nos perceptions. Autrement dit, on peut ressentir de la peur alors qu’objectivement, on n’est pas en danger. La peur telle qu’on l’entend en milieu professionnel s’apparente plutôt à l’inquiétude et à la crainte, voire à l’anxiété. Les deux premières sont des peurs orientées vers le futur et trahissent différents degrés.
La troisième est récurrente. Elle est l’émanation d’une personnalité. A noter que cette « peur » ne saurait se confondre avec le stress, qui n’est jamais qu’une réaction physique instantanée, un générateur d’émotions.
Rien n’était légalement induit, pour m’affirmer ce à quoi on me destinait, il fallait en être sur. L’Armée sur le plan psychiatrique fait preuve de croyances ineffables, d’une démarche étonnante aussi appliquée que sa puissance. Ceci est une manifestation qui conclue à la reconnaissance d’un soutien médicamenteux sur le mode de l’infirmité soudaine.
Je tiens à souligner que j’en ai retiré des frayeurs, une peur, des craintes, une panique et j’essaye de définir la « peur » plutôt deux fois qu’une.
Un lieutenant-colonel venait de me confier une tache nouvelle dans son propre bureau, pus j’ai été harangué par un appelé qui visiblement savait qu’il ne pouvait sortir rien de positif de sa façon de faire. J’ai été sensible ensuite aux critiques que j’ai pu recevoir de façon voilée, voire anecdotique dans mon rapport oral avec mon adjudant de compagnie.
En ajoutant la personnalité pathologique, celle qui se déforme au contact d’une société boiteuse dans son fonctionnement et non d’un modèle, l’État s’égare, et m’égare aussi par l’exercice partiel et véhément de son pouvoir, de sa gouvernance. Un État qui n’a jamais cessé de proclamer haut et fort qu’il fallait lutter contre la désinvolture, la délinquance, la discrimination et qui m’a orienté vers des manques à travers des anomalies du seul mode de fonctionnement MENTAL.
Il est normal de se préoccuper ce que sera son travail dans un proche avenir, à cette époque il semblait que je n’en avais pas le droit.
Il y a une imputabilité dite caricaturale, burlesque que le mode militaire connaît trop, ceci montre au minimum l’avantage unique de me reconnaître sur un air particulier. Le bien être au travail, qu’il soit psychologique, physique, ou social, est plutôt à l’évidence un facteur de performance pour les entreprises et pour l’économie comme pour l’armée, alors pourquoi briser ce bien être.
J’ai regardé de prêt ce qu’on entend par personnalité pathologique, j’ai lu qu’il y avait des problèmes atypiques, sédatifs ou incisifs. Je ne doute pas que l’armée possède une expertise reconnue dans le domaine du stress : stress lié aux contraintes et exigences du travail, aux changements organisationnels, aux relations difficiles, aux agressions et à la violence . Aux cadences. Moi je dis simplement que cela ne nécessite pas obligatoirement la prise de médicaments, occasionnant de la sécheresse buccale débouchant sur des caries, un risque de constipation, des risques occlusifs, un possible adénome prostatique, de la confusion ou une altération de la conscience, quelques convulsions. Au fond, ce sont aussi des risques secondaires qui correspondent aux prises de ces médicaments psychiatriques
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On peut de l’extérieur de l’armée, dire que les dites infirmités qui m’ont été signalé ne sont pas nées durant les dates précitées, mais à ce titre les expériences et la perception qui sont nées ne peuvent qu’infirmer voire remettre en cause l’ensemble ( le syndrome d’influence, la personnalité pathologique, la psychose sur le plan civil, etc.…).
Pour cela il faudrait redéfinir la connaissance qu’en font ces notifications quand il s’agit de me faire connaître mes grands traits de caractères.
Ceci est valable pour les principales personnalités pathologiques.
Avant de parler de personnalité pathologique, on aurait pu définir ce qu’est la personnalité et ce n’est pas simple.
La personnalité ne devient pathologique que lorsqu’elle se rigidifie.
Certaines organisations de la personnalité, prédisposent à une pathologie psychiatrique (exemple : Personnalité schizoïde -> schizophrénie) ;
Le développement de la personnalité durant la vie d’un individu se découpe en différents stades de développement. . Les troubles de la personnalité prennent plusieurs formes. Leur influence sur les relations interpersonnelles varie de légère à grave. Ces troubles apparaissent habituellement à l’adolescence ou au début de la vie adulte.
Les troubles de la personnalité causent des modes durables d’expérience et de comportement qui sont contraires aux attentes de la société, qui sont profonds, inflexibles et stables dans le temps et conduisent à la détresse ou à une déficience ;
La personnalité s’organise autour des différentes composantes de l’individu (affective, comportementale, intellectuelle, physiologique, morphologique…), et est la résultante de facteurs innés et acquis. Les troubles de la personnalité désignent des modes prédominant de fonctionnement à l’origine de comportements inadaptés et rigides, au cours desquels l’individu répète les mêmes attitudes et les mêmes conflits. Ces troubles apparaissent au cours de l’adolescence et persistent pendant toute la vie. Ils entraînent une souffrance de l’individu et/ ou de l’entourage et une plus grande vulnérabilité dans les relations sociales et face aux difficultés de l’existence. On définit les troubles de la personnalité par des « comportements ou traits caractéristiques à la fois d’un comportement récent et du comportement au long cours depuis l’âge adulte.
L’ensemble de ces comportements, ou de ces traits, est responsable soit d’une altération significative du fonctionnement social ou professionnel, soit d’une souffrance subjective » . Ces manifestations sont à différencier d’épisodes psychopathologiques ; Personnalité normale ou pathologique
· Une personnalité normale:
Se définit par la capacité du sujet à vivre de manière positive et en harmonie avec son environnement.
· Une personnalité pathologique:
Se définit par le mode relationnel que le sujet entretient avec les autres:
Il se caractérise par une perte d’harmonie et par une souffrance ressentie par le sujet, ses proches
La distinction entre la personnalité normale et la personnalité pathologique n’est pas aisée à déterminer.
La personnalité pathologique est une déviation permanente de la personnalité. La personnalité pathologique regroupe des entités pathologiques stables et durables tout au long de la vie ; Il est essentiel de faire le distinguo entre la notion de troubles de la personnalité et celles de personnalité pathologique. Si l’on considère que la personnalité résulte de l’ensemble des constructions mentales personnelles que nous élaborons tout au long de notre vie pour interpréter le monde, les personnalités pathologiques témoigneraient de l’inadaptation de ces représentations, de leur absence ou de leur rigidité. Je ne pense pas pour moi que ce soit le cas.
L’approche cognitive de la personnalité renouvelle la psychologie pathologique et replace dans l’évolution du sujet des troubles trop longtemps considérés comme définitifs ou invariants. Cette conception permet de comprendre l’organisation des personnalités pathologiques et d’élaborer une thérapeutique rationnelle.
Approche cognitive et thérapeutique, reprend la structure des treize types de personnalité. Chaque partie est axée sur un trouble de la personnalité et adopte systématiquement un plan identique, lui conférant un caractère pédagogique. L’abord est cognitivocomportementaliste, les protocoles reprennent le travail entre le praticien et son patient sur les situations, les croyances, les émotions, les comportements et les schémas cognitifs sous-jacents ; L’approche cognitive permet de comprendre de façon claire l’organisation des personnalités pathologiques et d’élaborer une thérapeutique rationnelle. Les schémas cognitifs, les stratégies comportementales, la gestion des émotions sont autant de secteurs fonctionnels qui se sont mis en place au cours de l’enfance et de l’adolescence pour réaliser une personnalité qui, par ses excès ou sa dysharmonie, peut devenir pathologique.
Les paranoïaques, les histrioniques, les obsessionnels, les psychopathes constituent ici les cas les plus connus, les plus typiques. Mais il faut également considérer les personnalités dépendantes, évitantes, limites et narcissiques, plus subtiles, plus complexes. Les personnalités schizoïdes, schizotypiques et passives-agressives, plus rares, vont de pair avec les difficultés majeures d’insertion sociale. Une thérapeutique patiente mais résolue, visant à remodeler les schémas de croyance et les comportements, permet d’envisager une évolution de ces différentes personnalités. L’approche cognitive de la personnalité renouvelle la psychologie pathologique et replace dans l’évolution du sujet des troubles trop longtemps considérés comme définitifs ou invariants. Cet avis est actualisé, plus particulièrement les personnalités borderline, antisociale (ou psychopathiques) et dépressives. Ce que j’écris pourrait s’adresser aux psychiatres, aux psychologues et à tous les cliniciens concernés par la psychologie de leurs patient
Par ailleurs on parle de trouble de la personnalité lorsque certains traits de la personnalité se rigidifient entraînant soit une souffrance, soit des dysfonctionnements. Il s’agit d’une affection chronique, apparaissant généralement au cours de l’adolescence. Les troubles de la personnalité sont souvent associés à d’autres affections psychiatriques, dont ils aggravent le pronostic. De même, la personnalité peut être définie par « le résultat chez un sujet donné de l’intégration dynamique de composantes cognitives, pulsionnelles et émotionnelles, l’agencement de ces différents facteurs constituent les traits de personnalité, à savoir les modalités relationnelles de la personne, sa façon de percevoir le monde et de se penser dans son environnement ». [Il s'agit d'une modalité durable de fonctionnement, qui peut être appréhendée selon une perspective catégorielle décrivant des personnalités pathologiques, ou selon une perspective dimensionnelle (conception psychodynamique) envisageant un continuum entre les divers traits de personnalités et l'état normal, sans rupture notable1]
La personnalité présente deux propriétés :
· Elle est stable dans le temps, ce qui garantit la continuité d’être de la personne,
· Elle est unique, caractéristique du sujet, le distinguant des autres
Je voudrais faire partir ma réflexion d’une interrogation assez simple, basée sur l’examen du dossier qui reste pour chaque patient à titre d’archives depuis de nombreuses années et qui devrait comporter plusieurs volets : identification, conditions de prise en charge, diagnostic, actes-traitements, modes de sortie et orientation. Dans les motifs de la prise en charge en fin de période, il y a au moins trois motifs : État anxieux. État dépressif. Psychose aiguë. Une première remarque porte sur le fait que le diagnostic secondaire est parfois non renseigné par le clinicien, alors que le diagnostic principal l’est de manière constante. Cette constatation est plutôt rassurante, tant il paraît difficile de prétendre poser un diagnostic de personnalité ou de réaliser une évaluation de fonctionnement psychosocial, sur un seul entretien et dans des conditions parfois difficiles, comme c’est souvent le cas dans un service d’urgence ou en psychiatrie de liaison. Il arrive parfois qu’un interne en psychiatrie revienne de ses périples au sein de l’établissement avec des diagnostics de personnalité, ce qui me parait toujours un peu abruptes ou péremptoires : « C’est une personnalité hystérique… une personnalité immature… un obsessionnel typique… »
Je me trouve d’une part, toujours un peu choqué par la rapidité de telles évaluations à l’emporte-pièce et d’autre part, je suis à peu près convaincu que, même et peut-être a fortiori, si le médecin trouve parfois devant de véritables caricatures de personnalités, obsessionnelles ou psychopathiques, il se trompe régulièrement, et que la clinique de la personnalité est toujours et heureusement beaucoup plus complexe que ces évaluations, dont la délicatesse méthodologique est souvent voisine de celle d’un ours. Je veux dire que le propre d’une caricature est précisément d’être dépourvue d’épaisseur et qu’une caricature peut à son tour fonctionner comme un masque, ce qui constitue après tout l’étymologie même des mots. Les troubles de la personnalité en eux-mêmes motivent en effet rarement des demandes de soins spécifiques et ils sont plutôt appréhendés et saisis par le PRATICIEN à travers leurs complications. Celles-ci vont à leur tour se retrouver codées qu’il s’agisse de troubles de l’humeur, de troubles du comportement, de troubles additifs ou de tentatives de suicide.
Il me semble que l’on trouve donc là un premier élément de réponse à la question posée, qui est aussi celle de l’utilité du regard diagnostic : oui, la recherche et le dépistage d’un trouble de la personnalité doivent faire partie de l’évaluation psychiatrique en urgence et en liaison, car on sait qu’une personnalité pathologique peut être à l’origine de troubles et de désordres, plus ou moins spécifiques, comme des troubles additifs ou des troubles dépressifs ou un risque suicidaire, vis à vis desquels des stratégies thérapeutiques plus ou moins spécifiques peuvent être mises en place.
Une deuxième remarque porte sur la constatation d’une antinomie certaine entre la personnalité et ses troubles d’un côté et, de l’autre, les qualificatifs, en particulier d’ordre temporel, qui sont régulièrement associés à la description d’une personnalité ; Si l’on admet que la personnalité représente au premier chef une forme de continuité : continuité entre ce que nous avons été et ce que nous sommes, entre passé et présent, continuité de nos souvenirs, de notre mémoire, de notre vie imaginative et fantasmatique ; si l’on admet encore que la personnalité représente une réalité du moi, entendue comme une réalité stable ou capable de stabilité, une réalité apte à la durée, correspondant, jusque dans ses troubles et ses ratés, à un fonctionnement habituel, à une allure stabilisée, à un régime stable et durable de fonctionnement, l’hospitalisation critique peut alors représenter une occasion (mais très relative) sinon de changement, du moins de vacillations ou d’interrogations.
C’est sans doute pourquoi subsiste encore « personnalité pathologique et personnalité pathologique » Un trouble de la personnalité, ou personnalité pathologique désigne en psychiatrie une anomalie de la manière d’être au monde d’un sujet (dans ses pensées, ses sentiments, ses relations aux autres) telle qu’elle entraîne des perturbations significatives de son fonctionnement social ou bien un état de souffrance.
La personnalité présente deux propriétés :
· Elle est stable dans le temps, ce qui garantit la continuité d’être de la personne,
· Elle est unique, caractéristique du sujet, le distinguant des autres
La question que je me pose alors est de savoir quels sont les liens entre les deux pathologies que sont la psychose et le trouble de la personnalité, mais surtout, quels rapports entretiennent-elles avec la réalité et plus particulièrement avec l’identité même du sujet. Plus précisément, il s’agit de déterminer de quelle manière les individus atteints de ces pathologies appréhendent le monde extérieur et en quoi la relation à la personnalité et plus spécifiquement à l’identité, est-elle fondamentale.
C’est pourquoi, dans un premier temps, Je dirais qu’on n’a pas le droit de m’attribuer une définition globale de la personnalité en la confrontant à la notion d’identité. Plus particulièrement au trouble de la personnalité et à son rapport à autrui. Et enfin, je conteste la psychose dans son rapport au réel.
L’intérêt de ce sujet a pris naissance suite à la lecture des deux expertises, dont l’une en partie consacrée à la fonction parentale. Dans cette expertise, il était question de carences et d’abus lors de l’éducation et j’ai souhaité approfondir le sujet. Cette expertise n’a pas cherché à comprendre l’importance des rôles parentaux à l’adolescence et à ouvrir mon champ de vision à ce propos. Elle a choisi de centrer son étude sur la comparaison du rôle du père et de la mère à l’adolescence. Je tenterai de mieux comprendre l’importance de la fonction des deux parents, et ce, d’un point de vue tant à la fois théorique que pratique. Après avoir développé l’importance de ces deux rôles distincts, je tenterai de comprendre pourquoi l’on dénonce habituellement plutôt l’absence du rôle paternel dans le foyer familial, pour terminer par les enjeux de l’éducation, ici l’expertise dénonce sa trop grande emprise, sa trop grande importance..
Les psychoses sont un ensemble de psychopathologies caractérisées par l’existence d’« épisodes psychotiques » . Au niveau des manifestations, l’épisode psychotique se traduit par une altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations. Celui-ci, de durée variable, peut-être transitoire (plus d’un jour, moins d’un mois, hors traitement) (exemple : épisode psychotique bref) ou prolongé. L’anosognosie, c’est-à-dire l’absence de conscience de l’état pathologique lors de l’épisode psychotique, est la règle.
Le terme psychose a été repris par de nombreux auteurs, courants théoriques, dans des acceptions parfois radicalement différentes, parfois partiellement partagées. Il s’agit d’un terme générique dont il est difficile de donner une définition précise sans envisager l’ensemble des acceptions les plus courantes et les classifications qui leur correspondent.
Actuellement, la psychose n’est pas considérée comme un diagnostic en soi, mais comme un état associé à certaines pathologies psychiatriques
Je voudrai revenir sur « séquelles d’épisodes psychotiques aiguës, labilité émotionnelle… » . A cette époque on parlait de bouffée délirante, bouffée délirante aiguë qui est une affection psychiatrique de la famille des psychoses et qui est son homologue moderne. Le malade est alors totalement convaincu de la réalité de l’expérience qu’il vit. La perception que le patient a de lui-même est également très bouleversée, et ce dernier finit par perdre ses repères. Ces bouleversements peuvent d’ailleurs entraîner de sévères troubles du sommeil, de l’humeur et du comportement, avec des risques de suicide ou d’agression.
Lorsqu’elles ne sont pas dues à la prise de drogues ni à des antécédents familiaux clairement définis, plusieurs autres facteurs peuvent être la cause de ces crises. Une des plus fréquentes est la transplantation, c’est-à-dire le fait de se retrouver dans un environnement complètement nouveau ou dans une culture très différente de la sienne. Mais tout traumatisme affectif peut constituer un « facteur déclenchant », comme un emprisonnement, un échec amoureux ou professionnel, ou même, la première relation sexuelle.
Il est très souvent nécessaire d’hospitaliser rapidement un individu souffrant de bouffées délirantes, à la fois pour l’isoler de la société temporairement et lui fournir un traitement adapté. Le traitement est surtout basé sur des médicaments spécifiques : les neuroleptiques, qui inhibent certains messages au niveau du cerveau pour réduire les psychoses et calmer les émotions du patient. Les doses de médicaments sont ensuite diminuées progressivement à la fin des signes de la maladie.
Si les médicaments ne suffisent pas, d’autres techniques sont parfois utilisées, comme la sismothérapie, les fameux électrochocs. Ou encore, plus récemment, une stimulation magnétique d’une zone très précise du cerveau pour réduire l’intensité des crises.
Dans la plupart des cas, la bouffée délirante est un épisode unique qui guérit sans séquelles, mais elle peut se répéter de façon chronique et se transformer en une maladie mentale persistante.
Il faut savoir que les patients sont suivis après leur première crise, en général, pendant au moins un an en consultation externe. Et si nécessaire, une psychothérapie de soutien et des mesures de réinsertion professionnelles peuvent aussi être proposées.
Les états psychotiques brefs sont caractérisés par la survenue brutale d’un état psychotique aigu intense chez un patient ne présentant pas d’antécédents psychiatriques. Par définition, son évolution est limitée à un ou quelques épisodes durant la vie du patient, sans symptômes intercurrents. Il n’est pas possible à l’heure actuelle de différencier de manière fiable les états psychotiques brefs des états psychotiques aigus inclus dans une pathologie chronique. Souvent, le critère de brutalité d’apparition, d’absence de symptômes pré morbides ou d’antécédents familiaux, le contexte de stress intense psychosocial ou environnemental marquant la survenue de l’épisode, la rapidité d’évolution sous traitement médicamenteux antipsychotique et les faibles doses nécessaires, sont autant d’arguments orientant le diagnostique. Mais, seul un suivi psychiatrique durable et une observation prolongée peuvent à l’heure actuelle valider a posteriori le diagnostic d’état psychotique bref.. Pour moi un peu de psychologie aurait suffit ;. La psychologie, du grec psukhê (âme) et logos (science), est l’étude scientifique des faits psychiques, la connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements, l’ensemble des manières de penser, de sentir, d’agir qui caractérisent une personne, un animal, un groupe, un personnage.
Divisée en de nombreuses branches d’étude, ses disciplines abordent le domaine tant au plan théorique que pratique, avec des applications thérapeutiques, sociales, politiques, commerciales (marketing) ou théologiques.
La psychologie a pour objectif l’investigation du psychisme comme fondement d’une structure subjective et d’un fonctionnement spécifique (processus et mécanisme) articulé à la perception et représentation du monde extérieur. Elle m’aurait maintenu en caserne me faisant faire mon temps normal sans augmentation à titre sanitaire seulement la tendance en a décidé autrement..
La différence entre psychose et névrose est sans doute la première approche indispensable pour percevoir avec clarté les maladies psychiatriques. Le sujet atteint de psychose n’est pas conscient du désordre de sa personnalité, alors que celui qui souffre de névrose perçoit le caractère maladif de ses troubles. La personnalité est ce qui caractérise une personne, et les troubles de la personnalité chez les psychotiques s’accompagnent de troubles du comportement associés à une perte intermittente du contact avec la réalité. Au cours du siècle dernier, le terme de psychose regroupait toutes les atteintes cérébrales comme, entre autres, les démences ou les intoxications à l’alcool, qui étaient particulièrement graves (on se souvient des empoisonnements par l’absinthe). Peu à peu, le terme de psychose a été écarté de ce fourre-tout de maladies mentales regroupant les atteintes graves du psychisme. Aujourd’hui, il correspond aux maladies mentales ne s’accompagnant pas de lésions cérébrales évidentes (c’est-à-dire d’un fonctionnement défectueux du système nerveux), mais plutôt d’une modification de la perception des faits quotidiens. La notion psychiatrique de psychose n’a rien avoir le sens commun du terme, qui correspond en quelque sorte à la peur d’événements (comme la psychose de la guerre). La psychose dans son acception psychiatrique équivaut à la notion familière de folie. La psychose, c’est aussi des symptômes psychologiques tels que les bouffées délirantes (accès de délires qui surviennent et disparaissent brusquement). La paraphrénie, la schizophrénie (voir plus loin), exemple de psychose qui apparaît le plus souvent sous forme de délires chroniques paranoïdes (voir plus loin) et la psychose maniaco-dépressive font partie de la famille des psychoses ; Certains délires sont qualifié d’imaginatif, c’est-à-dire créatif, non pas au sens constructif du terme mais plutôt malsain, voire nocif. L’imagination maladive du paraphrène est débordante et le plus souvent, il lui est impossible de différencier l’imaginaire du réel. En résumer, un sujet qui souffre de paraphrénie semble vivre dans deux mondes différents. D’un côté, le monde tel que nous le connaissons et de l’autre, celui du délire dans lequel il se situe. D’autre part, il ne cesse d’enrichir ce délire grâce à son imagination. On distingue 2 types de paraphrénies : la paraphrénie systématique où le malade se voit au centre de son délire, et la paraphrénie fantasmatique et de confabulation, dans laquelle la réalité est vécue de façon purement imaginaire (à la manière des enfants, chez qui elle est très fréquente et normale). Cet égarement, mieux perçu par l’entourage médical que par le milieu familial, donne l’impression au malade paraphrène d’assister à un film ou de vivre dans un conte merveilleux. Cette maladie n’empêche pas d’avoir une vie normale et son traitement repose sur celui de ses accès délirants. J’ai le sentiment d’avoir eu affaire à des gens souffrants de paranoïa, terme qui par contre fait partie des psychoses qui se caractérisent par un délire systématisé ne s’accompagnant pas de diminution des capacités intellectuelles, la surestimation du Moi (orgueil et mégalomanie)
· des erreurs de jugement liées à un raisonnement logique sur des bases fausses reposant sur des a-priori purement subjectifs
· une rigidité psychique
· une méfiance allant jusqu’au délire de persécution (la mal vient toujours de l’Autre)
· le dogmatisme (attitude intellectuelle affirmant des idées sans les discuter).
·
Le paranoïaque finit par s’enfermer dans un cercle vicieux persécuté-persécuteur. Son credo consiste à convertir les autres à ses propres idées. Le traitement du paranoïaque nécessite généralement l’hospitalisation, et parfois même l’internement du malade. Les autorités médicales sont souvent obligées d’intervenir avec résolution et de décider un placement d’office. Les médicaments employés sont les neuroleptiques (voir plus loin) et parfois la psychothérapie à la recherche de contenus émotionnels apparaissant.
Il existe ici aussi une prédisposition génétique. La crise de manie se traduit par une fuite des idées s’accompagnant d’une incohérence de celles-ci. Cette crise d’euphorie peut aboutir à l’extravagance la plus totale. Le patient se trouve en état d’excitation extrême pendant lequel il est très désinhibé : par exemple, il est capable de déchirer ses vêtements, de hurler, de faire des achats inutiles et extrêmement onéreux, etc.. Habituellement, ces crises s’accompagnent de ce que l’on appelle une logorrhée (le patient se met à parler de façon continue et intarissable). Le discours contient des jeux de mots et des obscénités. Généralement, le tout est accompagné d’insomnie. La crise de mélancolie, quant à elle, correspond à une dépression profonde qui se caractérise par une tristesse permanente sans relation avec les circonstances extérieures. Le malade ressent des sensations internes de malaise et une angoisse assez intense. Il existe parfois un délire s’accompagnant de culpabilité et d’un refus d’alimentation assez fréquent. Le danger le plus grave de ces épisodes est le suicide. Ceci nécessite une surveillance étroite et attentive. La crise de mélancolie, d’autre part, s’accompagne de ce que l’on appelle une inhibition intellectuelle avec manque de concentration et fabrication d’idées lente. Les gestes sont ralentis, l’indécision est habituelle avec un sentiment d’impuissance et une absence de volonté (aboulie). Le traitement, autant dans la crise de manie que dans la crise de mélancolie, nécessite une hospitalisation, surtout dans les formes graves (généralement contre l’avis du malade).
. … Amalgamer psychiatrie et contrôle social, stigmatiser La personne normale pour la transformer en malade mental et sa prétendue dangerosité risquent surtout de dissuader les milliers de malades qui se rendent volontairement à l’hôpital psychiatrique chaque année (540 000 hospitalisations en service libre en 2008), trop effrayés par l’image carcérale de la psychiatrie que charrie cette réforme. Les malades non repérés et donc non soignés ou pris en charge, sont pourtant les plus dangereux, et cette dangerosité que l’on croit maîtrisée en les incitant à fuir les soins ne cessera d’augmenter. Cette confusion entre folie et dangerosité ne peut que renforcer l’isolement des malades, et par-là même l’insécurité alors même que dans mon cas je signalais l’insécurité dans la cadre du temps passé sous les drapeaux et notamment en fin de période.
Interrogeons-nous. Ces réformes contre-productives répondent à un fantasme, reconnaissons-le, assez infantile : le risque zéro, qui semble être le fer de lance des pouvoirs publics depuis plus de deux ans, n’existe pas. Dicter de telles réformes sous couvert de la souffrance des victimes ne conduisent qu’à augmenter le risque de dangerosité de ces deux catégories d’individus enfermés dans leur stigmatisation. La stigmatisation empêche l’aveu, et les professionnels ne le savent que trop, eux qui ont à traiter de vraies psychoses et de vraies pathologies
. Comment exiger d’une personne qui vous insulte ou qui vous harcèle un travail psychologique digne de ce nom lorsque seul le silence sur ce qu’il commet pourra le sauver de ses idées ? Les «pointeurs», parce que les arrêts de rigueur ont été ce qu’ils sont et que la diabolisation d’une autre forme d’autorité perdure, parce que ceux qui s’y sentent confortés depuis des décennies, sont tous conduits à affirmer qu’ils sont prévenus pour des faits provocants, sous peine pour moi de me voir frappé ou humilié. Cette stigmatisation qui confine à la diabolisation interdit l’aveu, le travail psychologique et psychiatrique, et ancre ceux dont on aurait tord de ne pas se plaindre dans ce qu’ils sont. Il ne faudrait donc pas que l’idée d’afflictions devienne ce fou croque-mitaine si habilement dépeint, et les hommes et les femmes conscients de leur fragilité et de leur éventuelle dangerosité rebrousseront chemin devant ce nouvel univers médical, spectre d’une psychiatrie asilaire sans retour, devenant de ce fait plus dangereux pour eux-mêmes et pour les autres.
Il s’agit pour ce qui me concerne de faits divers qui pourraient trouver sans conteste un écho en chacun d’entre nous, leur exploitation et les réponses qui y sont apportées vont à l’inverse du but recherché. La question est : pourquoi ?
Ma contestation est claire, soit ces affections mentales n’existent pas et donc n’ont pu exister normalement à l’intérieur de la période normale d’activité et dans ce cas à l’extérieur non plus et c’est l’abus sur temps actif durant l’armée qui y a prévalu en donnant lieu à deux handicaps que le discours médical a repris à sa source sans en faire dépendre à long terme l’état général et humain qui appartient surtout à la médecine généraliste.
Actuellement, il faudrait consentir à admettre que les commentaires se sont transformés, ce qui tend à déplacer ce type d’intervention. A l’écriture, les diagnostics sont déjà de faibles indicateurs psychiatriques réels, ceux qui explorent des choses sans conséquences et sans importance. Il y a des répercussions sur le concept d’appartenance militaire, qui pour se désengager montre la non-imputabilité. D’autre part le comparatif à travers les points de réception de toute psychiatrie civile prévaut. Il y a aussi ce vocabulaire juridique qui à titre indicatif ne dégage pas les informations parce que celles-ci ne sont jamais communiquées en temps utile, ce qui est réceptionné est donc toujours pareil, ceci provoque l’autorité acquise de l’État, dans l’isolement médical le plus influent comme dans l’isolement physique qu’on m’a imposé., Les indicateurs juridiques, montrent bien que mon appel ne puisse être supporté par le code. Ma défense n’entre plus dans le temps d’armée, elle a parlé d’abus, de contexte fallacieux qui est la cause la plus juste pour apprécier de la gêne globale, une gêne qui est nécessaire pour satisfaire à l’évaluation moyenne, en façade de ma personnalité. Celle ci s’est déduit par l’isolation, en accord avec une propriété que seul le concept militaire éclaire alors qu’il s’en désintéresse aussitôt.
Élucidée en expert, les indicateurs de l’analyse montrent une enquête corrélative en privé, qu’on adapte en demi – mesure, pour une baisse sensible d’appartenance aux textes et bien plus au civil
Mes affections psychiatriques émergent à peine de l’iceberg, j’aurais souhaité une meilleure transparence de l’État, j’aurais souhaité encore plus connaître sur la psychiatrie, son indicateur. De façon précise, bien que ne soit pas pris en compte l’oralité de mon discours, et que face à un psychiatre est pris en compte un patient assis à une table dont ne sera pris en compte que le confort médicamenteux du présent. Au fond, je suis soumis à une transformation grossière de mon existence, ce qui semble normal parce que l’existence se fonde sur des faits transformés en vue d’une guérison. Voici donc ma détermination à comprendre quelle guérison on a cherché ; . Je conteste le vocabulaire juridique au sein de cette procédure judiciaire et médicale dont on ne sait plus si c’est ma personnalité qui sème la contradiction.
Tout en ayant essayé de me tenir au plus prêt des aspects privés et professionnels, de mes sentiments quotidiens, je montre que les problèmes n’existent que sous certaines formes contenues bien trop théoriquement, comme avance la procédure, mon dernier conseille dit que « j’ai surtout servi la France.. C’est ce qui a été déplacé de notre lecture que je tente de notifier, pour montrer que je n’ai cessé d’examiner ce qui a marqué finalement l’inexistence. Vis à vis des faits récents, on pourrait sélectionner l’attitude et le comportement quant il dit « par quelle extravagance du psychisme hors certitude en est-on là, et c’est de cette conviction là que sur tous les registres je recherche l’existence lors des faits. Je ne veux pas surnager ou sous commenté ce qui est avancé, de même je ne sépare pas vraiment ce qui est vraisemblable de ce qui ne l’est plus, je m’indigne de ce mode d’emploi qui s’accommode si bien du fléau existentiel pour le comparer à plus grave. D’un coté une plainte sans justice qui parle d’inquiétude, de mœurs ou d’usages familiaux sans retentissements officiels alors qu’à eux seuls, ils prennent la majeure partie de la place telle qu’elle est expertisée. On suggère un syndrome d’influence, une psychose chronique, une personnalité pathologique. Cette demande augurée en justice n’avait rien de tels pour être corroborées de façon symbolique ensuite, par des observations évolutives dites actuelles. Notamment, chaque demande est une fraction de vie, pour ce que j’en ai vécu, vu et entendu, je ne crois pas qu’ hors du champs militaire et vis à vis du temps écoulé depuis, de cette durée que les dates soient un obstacle, elles sont peut-être trop éloignées pour être relevées mais durant cette période la chose partagée ne s’accrédite pas ailleurs. En sorte que rien ne peut être donné ailleurs du même tenant et du même aboutissant que ce que je crois et exprime. Jamais, il n’y eu d’informations suffisantes, et je peux soutenir mes informations avec raison, avec les thèses d’études cliniques, face au milieu hospitalier, telles qu’elles existent dans les affections citées. j’intériorisais bien trop auparavant à l’écart du sujet parce que je n’étais pas au fait des diagnostics. C’est après mure réflexion que je considère que ma personnalité ne pose pas problème à travers mon sérieux, l’intérêt au contraire ne semble pas vieillir, pour en parler, je me suis heurté à des phénomènes intra personnels, et aussi à des flashs militaires d’appelés dont la médiocrité n’est pas pour moi l’expression d’un raisonnement normal, ce qui pour moi au contraire avait de l’importance paraissait ne plus en avoir pour certains
D’ailleurs, si j’ai été dirigé vers les médecins, vers là où l’on dérange moins parce que l’on vous observait tant. Ce que les spécialités définissent comme « un air bizarre ». Ce qui cache l’importance des faits exercés à mon sens trop librement sur un mode qui favorise l’idée du mode d’existence à l’inverse de l’hygiène mentale. Ce blocage s’avère incontournable. Non seulement le signifiant dans la durée de son emprise, n’est pas autre chose que ce vécu contrarié sans estime, ni pour soi ni pour la justice.
Une justice qu’on est seul à défendre à ce moment là justement et dont on ne voit pas l’importance, après quoi je me vois imposé une sorte de « fiction ». Alors cette justice est complètement repliée sur elle-même en concevant une hiérarchie qui ne souhaite pas s’expliquer vers ceux qui sont compris sans agir, dont les normes sont aussi d’un seul tenant montrant l’apport psychologique souhaité et souhaitable de toutes parts, Faute d’appliquer cette psychologie, la législation reste encore absente à conclure qu’un peu de psychologie aurait suffit. Plutôt que s’émouvoir sur mon faciès, on tente donc de la remplacer par un mode de vie qui montre des mœurs récalcitrantes. Ce réflexe de dévisager celui qui aurait comme moi, l’air bizarre, pour des circonstances interprétatives qui s’offrent de façon assez anachronique, dont la relation est le premier accessoire de la cause. Pris à sa source, rien n’alimente la raison de l’intérieur, à l’extérieur, la procédure n’est plus qu’un symbole. Il ne peut y avoir de pratiques PSYCHIATRIQUES même parfaites qui portent les ambitions médicales de l’Armée tout en portant aussi hautement l’ignorance qu’on s’en fait. Ce qui a été exercé s’est exercé sans mal par des pratiques prêtes à l’emploi, conçu pour durer, bien sur critiqué par le monde de l’enseignement psychiatrique actuel qui bien évidemment exprime une critique professionnelle qui se dissous dans les exagérations. Mon expérience fait face des connaissances universitaires et technologiques qui conduisent à conclure vite que j’ai subit un mode d’action délégué qui ne met pas fin aux disproportions publiques de l’armée. Que n’ais je pas entendu une fois le sujet sans importance conduit à opposer des gens, sur un thème libérateur
Or, ces problèmes de santé s’exercent toujours comme des sens suffisamment décelables au départ, plus le malade fait preuve d’un peu trop d’engagement vers un thème, plus il peut être dénommé et déclassé de son sujet selon des critères infirmiers, n’oublions que l’ennemi est le plus souvent un assentiment particulier, qui en cas d’échec peut déboucher sur l’écoute médicale. Une écoute loin du sujet de telle sorte que n’existe plus beaucoup, autreS choses que ces soins psychiatriques. Médicalement, le soignant dans sa thérapeutique a pour consigne d’éviter de parler des critères du soigné, mais plutôt d’attirer l’attention sur le caractère et la personnalité du soigné. Ce qui s’est développée de toutes manières doit être soigné à l’inverse d’une assise de pensée directrice en fait des troubles ou considérée comme tel. C’est cette maturité médicale, cette écoute extravagante qui est surtout l’école de la pensée du monde des soignants, faute d’une autre volonté de rentrer dans le débat du soigné et d’un autre apprentissage qui ne serviront qu’à prolonger l’attente du soigné au détriment du reste. Les arguments comme le fait exprès, sont occultés, on parle troubles de celui qui ignore en fait ce qu’il a subit.
Ce qui immédiatement communicable est occulté de manière à ne pas servir d’alibi pour le malade. C’est au fond du compte désobligeant, par manque de cohésion avec le malade, on a déplacé l’intérêt, de toutes ces petites choses mal emboîtés, qui ont aboutit à une dépression pour sortir de ces contextes pernicieux, insistant qui ne font qu’augmenter en durée comme en peine les afflictions comme les tords des uns et des autres ;
Comment n’entendre ni la vérité ni le mensonge du plaignant sur le mode du plaignant sans réelles voies d’accréditation si long à se mettre en place puisqu’on l’oublie !
On oublie cette superficialité qui heurte profondément l’aspect caché de tous et toutes, ces voies sacrées du vrai ou du faux caché lui aussi, enfoui très loin car , « toute vérité n’est pas bonne à dire »,
Parce que le monde des soignants se sera seulement imprégné d’un assentiment qui a valeur sensitive et de jouissance pour le malade dans la mesure ou pour bien se convaincre, il faut mieux n’engager que les vraies circonstances que pour soi et nullement pour les autres. C’est ce qui a été bloqué sous formes précises, grâce à ce vocabulaire méticuleux du monde psychiatrique, c’est ce qui apparaît vite dépassé par les soins qui restent toujours sans grandes reconnaissances du conflit subit.
Contraint à ne pas être reconnu prouve que son sujet personnel se surmonte obligatoirement par l’habitude infirmier surtout lorsque les bases conceptuelles sont de montrer que cela n’a jamais été grave.
. Ceux qui ouvrent sur la psychose, une si large observation vont développer plus tard comme une paranoïa, un délire et plus encore si j’en crois toute la psychiatrie parce qu’un désordre règle nos échanges directs, sensitifs, commun à tout ce que nous ne manquons pas de faire en exagérant notre esprit, notre âme diront ceux qui aiment ou affectionnent l’exégèse, tout ce vocabulaire est nuancé par la réalité, nous n’attribuons jamais ce qu’il faut quant il faut et nous croyons faire, défaire sans trop exagérer, nos moyens intra personnels, ne sont pas ceux des chasseurs de tête parce que l’influence civile devient partielle, souffrant de l’excès d’ailleurs parce qu’il est ignoré des capacités sensorielles comme cet excès règle pour tous passages à l’acte innovant comme ici un État attaqué sur se deniers. , Une sorte de contre culture pédagogique, une sorte de contre médiation, une étrange concertation où il ne sert plus à rien de contester. Ce qui n’amène que pure coïncidence, pure amalgame, pur rapport, l’idée de nos actions conservatrices, des idées qui pourtant me semble bonne par qu’elle sous tend que nous agissons moins pour avoir respecté l’esprit que l’action elle-même.
C’est cadrer sa propre autonomie à l’inverse d’une action médicale bipolaire qui ne peut apparemment pas changé. Il faut avoir été soigné sur place par le besoin futur de revenir sans être reconnu pour comprendre que le domaine santé est aussi figé que l’est l’action quand elle est limpide voire trop forte, trop vaste, trop ample.
Je relève que le terme dominant doit tout autant traiter du possible et du raisonnable, syndrome du conscient au même titre que le syndrome de compréhension, les effets indésirables qui doivent montrer l’attractivité hiérarchique de vous engager pour le fait médicamenteux et lui seul.
Autant dire que malgré le harcèlement qui a pesé sur moi, le simple dépassement de soi, serait de relever le terme psychologique et dépasser le terme, en y croyant, là où cette responsabilité s’exerce à l’inverse d’une cause. Cette cause n’est pas soi, qu’elle s’interroge sur l’avenir des autres à travers soi. Le terme psychose ou influence, est très compliqué comme un désordre au sens propre signifie aussi ne pas connaître, ne pas savoir ce dont parle les autres quant ils sont médecins, ce qui s’est passé sur le terrain secret de ce vocabulaire., . C’est cette différence que j’essaye de mettre en relief et non un fragment des conclusions, je me souviens bien des défenses subjectives, passées sous silence. Des défenses normalement relatives au signal apparent, dit rentré, d’agressivité restreinte, douteuse de son propre instinct. En remplacement de la preuve qui restera toujours une valeur indivise avant d’être normalement médicale. Ce qui est exercé sous contrainte, ou sans contrainte, voilée de la part exclusive des experts contraints de se perdent et sans doute dans l’excessif où se juge en appel mon affaire ;
. Or ce qui a suscité la constitution de ce dossier s’imprègne en somme de l’idéal habituel qui dérange sans jamais triomphé. Comme cette seconde expertise qui restant basé sur la première, montre une autobiographie authentique s’intéressant à la cause parentale, sociale, ainsi qu’aux faits suscitant de la part de l’expert son propre intérêt.
Ce que je rapporte lors du dialogue avec l’expert, ne peut avoir d’autre voie judiciaire qu’un investissement au-delà des dates, c’est ce que commet l’État. De plus ce qui y figure, délègue un intérêt au propre renouvellement de la sensitivité sur le mode du dialogue, comme du développement et l’explication qui s’en suivit. À la lecture de la seconde expertise, dont l’ensemble ne manque d’intérêt, il n’y a pas lieu de s’exécuter en justice, l’initiative de l’armée en amont est d’ailleurs extérieure à l’action scripturale de tout ce qui figure dès lors, à la fois en excès de son action militaire et de ce qu’à commis l’État quand il s’inscrit dans cette recherche. Moi-même pourvu des éléments réels, mon importance dans ce cadre n’est que faible, d’autant qu’augmente mon intérêt à y souscrire. Et c’est ce que je fais, de cette période à nos jours et dans cette structure passée, , ce qui ne me permet pas d’y adjoindre des textes réglementaires, mais ce qui me permet de parler de l’égalité des droits et des chances, de la participation à cette période d’un autre déploiement. Quel document particulier utilisé va se permettre d’être et de renouveler un tel support sur le processus engagé, mis caractéristiquement mon état psychique, sur l’instance médicale. Faute d’être remis strictement comme extérieur au syndrome d’influence et à la psychose. Car si l’on veut être nécessairement plus clairs, il ne peut y avoir inexistence et imputabilité, ce qui est grossièrement consentit à l’action empirique de l’armée quand elle a soigné, est inconciliable avec l’imputabilité des recherches.
Mais ces recherches sont fournies surtout sur une valeur empirique, et ceci semble être le cas de toutes expertises qui conforte les mêmes taux à travers un vocabulaire appris, qui n’est pas du tout naturel, qui consent la chose jugée, surtout si l’autorité de cette chose disparaît par la période, si cette non imputabilité, s’appuie sur une autorité différente qui se dégage de fait et de droit de l’action juridique du temps passé pré – période pour revenir à son essentiel. Pour expliquer un tel essentiel, l’étude va jusqu’à contraindre quelques acteurs de mieux s’expliquer de façon transversale, pour montrer aussi ce lien qui manque à l’assujettissement à une cause médicale réelle et soutenue qui n’apparaît pas à cause ou du fait humain.
Scientifiquement, il n’y a pas la preuve que l’action a été juste et l’État ne s’en soucie pas, je fais rétroactivement observer que je conteste la valeur autobiographique, psychiatrique, neurologique non pas parce qu’elle me déplait, au contraire elle est passionnante, mais ce qui s’est exercé n’a pas la nécessité d’agir face à des problèmes parentaux ou environnementaux lointains D’une part en montrant que les raisons de ces investissements sont plus lointaines que cette période, je ne peux aboutir de la part civile à satisfaire la demande du juge, ceci n’étant pas suffisant pour interner la preuve différemment quand ces investissements s’exécutent, et d’autres part ceci montrant que le système nerveux, qui était le bien durant ma période fonctionnait bien, que certaines circonstances Identiques auraient pu être meilleures mais auraient forcément pu être pire. À l’inverse des observations durant les soins, que je ne connaissais pas et qui ont montré un ressentit de la part psychiatrique des armées qui ne se fondent pas sur la période, ce que conteste M. NAHON, psychiatre civil puisque ce qu’il inaugure la plainte invitant l’Armée de s’expliquer jusqu’à montrer la dangerosité de ce traitement qui pour d’autres paraît inoffensif, j’en conclue que la part de ces médicaments fut prescrite face à mon désappointement, que tous médicaments ne peuvent remplacer la seule psychologie. Non seulement les effets indésirables sont plus ou moins importants, et les informations à connaître étaient, à l’instar des expertises, fortement ignoré de l’objet de ces expertises. Comment prendre une décision qui conclue sur la conservation des mêmes jugements de valeurs, en augmentant les informations supplémentaires, faisant apparaître l’utilisation de barbituriques, tantôt pour sécuriser ce qui est inutile, indissociable du traitement justement pour causes inutiles, car la croyance scientifique reste de l’autre côté, un combat qui s’exerce contre la rationalité, l’exercice excessif ou utile d’une cause où se qui se sent est réel et non utilisé comme une maladie. Voir ou entendre des propos à son égard, montrant une hiérarchie erronée comme la notification ferait apparaître comme une croyance, car l’habitude à vivre ainsi a créé une dite suspicion inhabituelle qui montre toujours la preuve que l’habitude, telle qu’une habitude que l’on vous contraint à avoir, n’est pas toujours normale. Si ce qui avait bien fonctionné en moi n’a pas vraiment montré ses limites, il n’y avait rien a changé, or hormis l’initiative militaire sur le plan sanitaire, la maintenance n’a rien montré de consensuelle, pour appuyer l’État sur de nouvelles réformes, comme l’arrêt CHAIX ou d’autre levier juridique qui ne s’appuie pas sur les mêmes échéances. Bien que ces échéances existent par une autorité financière que je conçois s’occupant dans le cadre des pensions militaires, de cas existants, j’observe que le seul recours est neuf exempts de ce recours face aux greffes des pensions, que ceci s’observent très différemment.
La maîtrise du discours juridique, l’évolution des termes médicaux, les mêmes problèmes administratifs, les manquements psychologiques. En ce qui concerne l’âge donné où l’on voit s’essayer le fonctionnement nerveux sur à mon sens un trop plein mal vécu, qui s’installe bien évidemment en amont, de plus en plus floue, puisque l’armée refuse de s’y imputer au jour d’aujourd’hui.
L’inné et l’acquis, l’hérédité ou l’influence de l’environnement, l’éducation ne m’ont pas amené à un quelconque refus de consentement qui induirait de la part prépondérante, une autre vision de la ^part hiérarchique qui non contente qu’on obéisse comme du pain béni, à des petits officiers ou compagnons d’armes comme à soi même, se voit mettre en demeure quelques instants, quelques personnes, pour vous entendre dire un certain nombre de termes fallacieux et indignes d’un grade supérieur, le vôtre n’étant pas en mesure ni en volonté, de faire jouer une différence, ceci est généralement le fait d’obligations injustes, et c’est le cas, ici une fois de plus..
Ma recherche comme la recherche du Juge porte sur la personnalité sensible, parce qu’elle est censée m’appartenir, mais aucun travail, hors citation, n’est reconnu de cette façon. Ce qui se modifie rapidement ou se fige sur le travail des premiers médicaments, n’est rien au regard de l’interrogation future, en tant que vocabulaire ou certificat médical, l’État n’a rien à produire d’autres que des lectures investit déjà sur la prime enfance, à l’époque où personnellement j’épousais les valeurs littéraires de lycée, où je lisais mon programme, où de façon littérale, je me préparais à vaincre et à convaincre, à la fois pour me sociabiliser, or c’est en des termes ambitieux que je le dis, que cherchais cette structure militaire semi disciplinaire, pendant, que je sortais à peine des mots comme âme, esprit, corps, cartésianisme…Il arrive qu’une personne, généralement jeune, se lance momentanément dans un discours incohérent ou se mette à commettre des actes en dehors de toute logique. Elle peut parler des Champs Elysées comme de sa propriété, être persuadée que le présentateur télé s’adresse personnellement à elle ou encore écrire une cinquantaine de pages incompréhensible en une soirée…C’est que ses fantasmes, souvent avec hallucinations, prennent alors la place de la réalité. Ces épisodes, lorsqu’ils n’ont pas été précédés de troubles psychiques graves, s’estompent au bout de quelques jours ou quelques semaines et guérissent généralement sans séquelle. On ne doit pas les confondre avec le délire chronique.. A quel moment ais-je rompu avec le réel ?
J’ai appris à prévoir avec ou sans les suppositions exagérées du domaine psychiatrique, j’ai plutôt appris autre chose à travers le manque de diversité et même de logique, ce que j’ai appris de l’analytique comptable et des budgets prévisionnels, est corrompue, jusqu’à ce que cesse toute forme irréalisme, tout discours abstrait sans certitude, avec ou sans ce déterminisme immatériel, indéfinissable tel que ce principe selon lequel il y a des différences et que c’est justement parce que ces différences existes, que les dictatures sont prêtes non pas à étudier, une volonté collective mais à montrer la force, simplement parce que l’obligation touche tout le monde. Ainsi apprise, ces formes de sociétés m’ont obligé à montrer l’humanisme mais à soigner aussi en moi, mon manque d’acceptation car pour ce qui est des conséquences littérales, j’ai surtout différencier les attitudes au plus faible de mes appointages militaires, donc bien après cette période, conséquences introduites par le fait générateur, la guerre et ces réalités lors du brusque changement de générations, comme il se devrait d’une substance différente contenu dans le sevrage obtenu par l’abstinence et l’abstention de façon claire le désarroi pour renouer à des termes de philosophie, eux difficiles, métaphysique , psychisme qui se veut représenter à l’écart de ma mise à part par de brèves versets de la Bible en tous points pareils à des êtres méchants qui adore l’idée de Dieu tout puissant,, avec beaucoup de mal une notion scientifique, technique, de représentions scéniques, philosophique à son tour qu’il faut s’efforcer d’admettre en se cachant derrière ce que l’on est pas . Je parlais des difficultés pour acquérir un autre langage au-delà de mes aptitudes pour continuer à filtrer le programme complet d’une formation de gestion. Je n’étais pas soucieux d’apprendre le comportement humain sur un milieu déformé, boiteux, il est fondamental d’être proche de son travail de bureau ou de sa famille, eh bien non, les scientifiques en font reproche sur un mode de pratique et de recours à une manie dite protectrice. Initialement prévu pour soigner des fous et étendu vers une révolte des connaissances en tout point pareil à l’élargissement des conditions de travail, on parle des conditions de vie en milieu de formations mais pas seulement, en milieu ouvert, mixte, fermé, je me concentrais non plus sur ce que j’avais compris, et je ne pouvais plus appliquer des études récentes, des cas concrets, pratiques à dévoiler si tant qu’ils existent dans les bilans d’entreprises internationales comme on nous l’a enseigné à l’école. La réinsertion professionnelle pour moi n’était nécessaire qu’à partir d’une faute ou d’un handicap, je ne relève donc pas d’autre chose que mes études et mon travail, pour le reste je suis aux trois quarts autodidacte : la physiologie du corps humain, l’anatomie, j’ai observé à travers ce qui affecte un sujet, que si l’on ne m’imposait pas de mauvaises techniques et des moyens inefficaces de la part d’une autorité qui en plus impose et juge, rien n’affecterait mon comportement si tant est que ce qui m’affecte soit considéré comme anormale ou justement là pour bloquer l’évolution telle que ces mêmes personnes détaillent les étapes, les trajectoires, ces épiphénomènes auxquels j’accorde initialement aucun crédit sont observés en plus par la mise de ces pratiques qui en plus sont enfermés dans un discours augural, de soins tout juste nécessaire pour traité ce qui serait apparu. Thérapie des névroses. Il y a beaucoup à dire pour se dire psychiatre, quand l’action consiste à aider un malade, à l’aider sachant qu’on l’enferme, sur la base non anatomique, que l’on décrit bien vite en angoisses, obsessions,phobies, ce ne sont pas pour mon cas, l’altération profonde d’une personnalité qu’on compare à la psychose, mais on a tôt fait en disant que les séquelles psychotiques aigues sont une maladie qui ne datent pas du moment où on les diagnostique, maladie mentale ou simple affection nerveuse quant on s’y attarde, sont vécu pour le compte aussi de la raison, de la justesse, de l’équité. Beaucoup de techniques extérieurs à ce que je viens de dire font d’un homme, à la fois un grand littéraire, un grand scientifique ou un grand chef d’Etat, tous ont vu se définir sur leur courants de pensée le pendant des courants qui va les mettre soi disant en difficulté parce ce que justement leur talent les démarque de ceux qui n’en ont pas et qui refusent de parler équitablement, et de défendre les injustices, ces raisons sont parfois à ne pas voir comme étant le terrain d’élection du besoin de guérir en eux soit le cadre malade, soit le cadre tel qu’on refuse qu’il soit élaboré pour être partagé. Il y a un boulevard d’Idées entre la notion d’âme et la notion scientifique de psychisme, il faut pourtant considérer que mot s’est modifié au cours des âges, refuser cette similitude revient à traiter un sujet qui n’admet pas d’exister en ceci et par le fait du non-savoir ou du refus de savoir,
D’abord parce que les définitions sont proches et non scindés en fluctuation inconsciente montrant que l’esprit conflictuel est toujours là, soit par le désir de ne pas aller plus loin, soit par le refoulement aux manifestations , pris comme un danger et non pris comme la signification d’avoir à lutter. Même principe social, même principe juridique, même principe étatique et administratif, où nul ne peut croire que le danger s’évite ainsi, ou va être éviter. Antagonismes externes, foulant la personnalité. Masquant l’aspiration matérielle, ou morale, luttant contre un désir superficiel ou profond, pourvu d’une lutte sans intégrité, contradiction donc inutile avec la partie digne collectivement parce que justement les éléments déréels manquent le désir collectif pour ne s’intéresser qu’à ce qui se manifeste au plus loin du sujet, en soi face à son unique et propre psychisme .
Conséquences ou signaux, appétence en tout cas, apparition à la lucidité, aux commémorations, pour démêler certains antagonismes, voire un maximum, de dangers d’embrouillement, exécuté par l’environnement hiérarchique mal réparti tel qu’il n’a cessé de s’imposer à moi. Les orientations fines ou carrément les propriétés spécifiques comme les épreuves sur l’assimilation intime, sociale, courante sont des thèmes vérifiés vers des formules d’examen qui accumulent dans l’utile bon nombre de contradiction ; A partir de la théorie, aucunes résurgences d’erreurs obscures, assemblage de méprises dans la pratique des spécialistes ; Dans la pratique aimable de l’influence, l’autorité ascendante ou de l’environnement peut se convertir pour modérer des dispositions naturelles, éventuelle domination à un moment où l’entourage devient le seul environnement social et affectif
19 février 2010 à 15 03 16 02162
Pendant l’intervalle, où j’achevais mon service militaire, je ne comprenais pas ce qui venait de se passer, je venais de tout subir sans pour cela opposer une once de résistance. J’étais convaincu que ma propre psychologie n’était pas la qualité d’un phénomène psychologique particulier ou persistant. Il me semblait avoir été utilisé dans un processus de conditionnement. Tout me semblait désigner un ensemble d’opérations permettant de provoquer une nouvelle. Conduite d’un sujet, conduite inscrite dans un Cadre dans lequel se déroule une action qu’on ne maîtrise pas. Les caractéristiques contextuelles (des personnes présentes, etc…) m’ont influencé directement, notamment à travers les comportement et les attitudes
Des faits similaires (bagarres, plaisanteries par exemple), pourront faire l’objet d’une interprétation très différente selon le contexte dans lequel le contexte environnemental et temporel existe. Tout comportement a une motivation visant la satisfaction d’une tension. Le comportement peut s’orienter vers la recherche d’un objet ou la mise en place d’une certaine situation. Tous les comportements sont adaptatifs. La qualité de l’adaptation est fonction des croyances sur place et des capacités physiques, économiques et intellectuelles du sujet, ainsi que de son emprise.
Le but peut être de supprimer ces réflexes si nous utilisons des stimulus désagréables ou bien de les renforcer en y ajoutant un stimulus agréable (renforcement positif). Il est aussi possible de créer de nouveaux réflexes ou de nouvelles habitudes.
Les multiples possibilités offertes par la technique du conditionnement en font un outil utilisé fréquemment en psychiatrie, notamment dans le traitement des alcooliques (prises de médicaments déclenchant des crises de vomissements en cas d’absorption d’alcool par exemple conditionnement pour qualifier une réaction conditionnelle difficile à modifier même après plusieurs essais.
Ce qui s’énonce sur le plan médical de façon très précise n’avait encore de ma part suscité aucunes interrogations. Mon occupation n’introduisait plus rien de neuf que de me prendre en charge physiquement, à partir du moment où tout ce qui a été noté de façon psychiatrique avait été fait de façon théorique, comme si j’ avais été dévisagé, ou qu’on s’était contenté de scruter une apparence, une physionomie, un air dont les diagnostics qui en ressortent relataient un ensemble subjectif très abstrait. Ceci à eu pour effet de me surprendre, notamment « cet air bizarre » qu’on m’a attribué faute de me connaître vraiment, faute de l’intérêt de vraiment cerner ma personnalité.. Depuis l’origine des afflictions jusqu’aux termes du procès, l’influence, pour entamer une cure de sommeil sur les bases concrètes d’un état le suscitant est restée ancrée en moi, un obstacle, c’est ce qui en ressort à travers ces syndromes qu’aucun psychiatre, n’a relevé depuis, ni avant ni après. Sans ses secrets d’alcôve et pourvu de quelques conseils juridiques, ni moi ni personne n’ont pu apporter d’éléments nouveaux au dossier, des séquelles et des afflictions dont il semble qu’elles induisent plus un modèle de société qui se sacrifie à la liberté. Au profit d’un objectif illusoire qui est le facteur temps. Quels besoins d’appliquer aux règles de droit ce qui se changent objectivement tout seul pour une évaluation égale à elle-même Taux faibles et sans rapport avec les afflictions, taux non imputables, marquant à la fois la non-recevabilité et l’inexistence. ! Les anciennes présomptions qui chargent en quelques sortes la preuve qu’en 1974, j’étais souffrant ont aussi choqué mes parents, il est une preuve qui consiste à rétablir la vérité à travers la présomption d’une incitation aux soins alors que comme d’autres médecins l’ont constaté je n’étais pas enclin à consommer des barbituriques. Dans le civil, il s’agit plutôt d’une présomption de non-besoins revus par le fait qu’on ne peut pas les arrêter brusquement. Par contre, un professeur de psychiatrie a essayé de dissuader mes parents de me les faire continuer, et de ne plus se fier aux idées militaires. De la part de mes activités habituelles, je suis resté plutôt subordonné à l’assujettissement des observations psychiatriques qui s’en sont suivi, tout s’est négocié au fur et à mesure de la reprise d’une activité normale.
Un grand engagement est né de la part intime et familiale, m’aider parce que la présomption était née comme le terme d’handicap qui suscitait un sentiment d’obligation à se rétablir. Il y a eu beaucoup de stupeur de la part de mon généraliste comme des spécialistes qui ont l’habitude de traiter des cas apparents, concrets et non des cas bénins comme le mien avec des études de validité scabreuses qui ont permis d’établir avec une bonne certitude de non -validité dès l’armée… Néanmoins, dès qu’il a été anticipé, mon cas m’a fait régresser civilement, mes anciens contacts sont devenus moins fréquents, mes efforts moins réguliers, mon ambition a stoppé et mon dynamisme a finit par disparaître. Je me souvenais trop de cette étape, j’en avais fais une fixation, au-delà de la période légale, j’escomptais reprendre une activité normale, notamment me réadapter aussitôt de manière civile, tenir bien loin de moi l’avatar que je venais de vivre mais j’ai en fait perdu de ma confiance au contact du suivi régulier induit par la demande.
La présomption d’une pathologie comme la psychose aurait du se traiter à tous les niveaux de l’appareil et du fonctionnement judiciaire et non pas simplement en fonction de ce qui a déjà été plaidé , c’est à dire l’abus voir l’outrance. …
J’avais l’intuition qu’officiellement, je ne perdrais pas de temps, mais que j’en gagnais pas non plus en me soumettant à des prises de neuroleptiques. Les soins et les quelques hospitalisations civiles qui ont suivi parce que mes parents tentaient de réparer soit mes atteintes soit à la non – validité sur la base rapportée. Il y a bien eu une autorité parentale critiquée depuis par un expert, de plus le droit s’arroge l’autorité de la force jugée en sa force dernière
Dans le cas d’une culture judéo-chrétienne qualifiée de trop forte de mon père, il y a à mon sens de la discrimination concernant mon père comme du concept envahissant de ma mère, au final un « délit de relation » Or un juge ne peut sanctionner le fait que ses propres parents soit plus que d’autres impliqué dans mon psychisme, évoquant une empreinte parentale trop forte. Le premier constat qui s’impose est celui de l’absence du concept d’autonomie au rang des concepts juridiques utilisés couramment. C’est ainsi que si on cherche “ autonomie ” ou “ autonome ” dans le Code, aucun article ne contient expressément ces termes. Il en va différemment bien sûr, si on se livre à la même expérience au sein du Code de l’action sociale et des familles.
Encore convient-il de noter que l’introduction du terme « autonomie » a subi une si forte explosion par l’intermédiaire de l’autonomie, et surtout par l’effet de la loi du 11 février 2005 “pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes « handicapées ». La notion d’autonomie fait ici une entrée remarquée dans les droits spécialisés, mais ne pénètre pas encore les « monuments juridiques » .
Pour autant, il faut admettre que les réalités couvertes par la notion d’autonomie ne sont pas ignorées par le droit. C’est ainsi que l’indépendance que suppose l’autonomie est prise en charge juridiquement par les principes de liberté individuelle et d’égalité civile. C’est ainsi que les facultés d’autonomie sont couvertes par la notion de capacité.
Il y a quelques années, le constat d’une absence de prise en compte de l’autonomie aurait été rigoureusement identique en droit de la santé, mais une grande partie de l’effort législatif récent qui s’est précisément orienté vers la prise en compte de la décision du malade, replaçant l’autonomie du patient au cœur de la décision médicale.
Par ailleurs, on ne retrouve pas ici une problématique existentielle, donc on est en droit de contester ce genre de commentaires et de justifications. On retrouve ici exactement les mêmes ambiguïtés que dans le droit commun. Appliqué au droit de la santé, ces arguments ne tiennent pas et peuvent même inciter à ne pas prendre en compte les volontés exprimées par ses parents. La seconde interrogation ramène à la force de la présomption d’autonomie. Ne va t-on pas parfois trop loin en postulant une autonomie générale différente sans prendre en compte suffisamment que la réalité du vécu en famille est plutôt bonne. N’est-ce donc pas cette autonomie qui en l’occurrence sous couvert d’autorité casse la relation, en s’individualisant de trop. Pour le monde médical, le questionnement éthique sur ce point est constant : à partir de quand dépasse-t-on l’apparente autonomie de l’autre ? Doit-on continuer à soigner sous prétexte de bienfaisance en opposition avec une autonomie exprimée si largement à l’encontre de la personnalité ? Est-on en capacité d’apprécier l’autonomie de l’autre et quel critère peut-on utiliser ? Autant d’interrogations qui ne font que poser les termes du débat qui me semble confondre et supposer de trop.
Or, le principe même de ces droits suppose non pas une présomption d’existence comme celle qui s’étend durant la période antérieure au jugement . C’est paraît –t-il l’état de psychose d’une famille un peu trop possessive, comme ces familles juives pendant la guerre. Peut-on parler de valeur psychiatrique ou de valeur militaire plus juste selon l’ attitude de ma famille.
Dans les faits, c’est au mois de juillet 1974, qu’on m’intima sur ma seconde caserne, l’ordre fallacieux, d’aller voir les médecins, quel rapport cela pouvait avoir avec tout ce qui s’est traité depuis..
Chez tout un chacun, cela provoque une grande interrogation.
L’ordre se transforma « rejoindre une infirmerie » « consulter »
C’est ainsi que sans grande confiance durant le trajet sanitaire et sans compréhension, j’étais en attente de voir. On jugea l’enfermement de mes idées à travers le temps actif, chose facile. J’avais pratiquement passé la fin de mon armée à faire des temps de garde et de corvée, j’exécutais ces tâches parfois de la veille jusqu’à l’aube du lendemain.
Je n’ai jamais participé à ces excès de boissons, où l’on entendait quolibets et plaisanteries de corps de garde, où l’on côtoyait des fortes têtes.
Lorsque j’ai eu cette période de convalescence et après une cure de sommeil sous piqûres, j’avais quitté le service actif, j’avais pratiquement oublié ma caserne de saint florentin, j’avais ôté de ma mémoire, un maximum de choses
J’avais finalement été dirigé un peu sans raison de SAINT FLORENTIN à JOIGNY, puis de cette infirmerie près de l’institut géographique des armées, vers l’Hôpital de Dijon.
Depuis, pour les psychiatres que j’ai vu, rien n’était grave mais tout était compliqué, ils étaient conscients que je ne les avais pas alarmé directement, on m’avait amené devant eux et je me sentais inférioriser, tellement habituer à un emploi du temps plus rigoureux.
Je me souviens n’avoir rien reçu durant ces années durant, qu’un grand silence, il n’y eu aucun dialogue juridique ni médical d’envergure mais l’aspect théorique qu’on retrouve partout était déjà comble. Hors, de ces périodes, je fus maintenu sous anxiolytiques, conduit à d’autres spécialistes, mon père pensait que l’œil exercé des uns et des autres, me tranquilliserait. ,
Je ne pensais à rien de bien discernable que ce soit sur le plan mental ou sur le plan des idées.
Pour être plus précis, l’autobiographie qui a investit le juge et le docteur GUERIN depuis la plainte augurée en justice par le psychiatre NAHON, proche de Percy, relève aussi d’une investigation critique, on voit qu’elle se base sur une autobiographie qui bloque toute ambition personnelle, pour laquelle il suffit de vérifier un lien avec moi sur les affections même qui s’en dégagent
Le premier psychiatre se base sur la période médicale parentale où l’autorité est forte, car inquiète : ceci signifie aux yeux de mes parents une relation, trouver une solution, admettre qu’il s’agit d’un préjugé qui n’intéresse qu’un verbiage de haute échelle sous influence au point qu’on se sent désunis, où les attributions particulières ne s’ impliquent pas vraiment.
Illogisme en terme de contribution, où je ne réussi pas à asseoir une piste qui répondrait de toute façon à des objectifs moindres, à travers mon activité réelle.
Une activité qui ne m’a encore rien jamais confronté avec des conditions semblables face à des situations analogues.
Près des affections, l’aspect spécifique d’une maladie a tourné vers l’aspect documentaire, globalement tout a été écarté juridiquement au sens des afflictions. Toutefois, force est de constater les abus en nombre que la représentation a exécuté dans des proportions démesurées, plus criantes et sans doute moins apparentes, en déplaçant la psychiatrie ou la neurologie vers un temps forts qui apparaît plutôt en un temps faible, il y a outre une personnalité sensitive décrite selon l’attitude qu’on reconnaît à l’individu, qui semble décrire comme des troubles sérieux propre à trop personnaliser l’individu d’un côté et à le dépersonnaliser de l’autre au contact de certaines situations. Ceci s’effectue le plus normalement dans des circonstances des plus douteuses, l’offre et la désignation, pour ce genre d’épreuves parallèles et qu’on m’impute sans une vraie différence personnelle, ce me semble être une attitude de ma part et aussi un moyen que s’offre l’armée pour qu’on ne lui résiste, les provocations passent par la mauvaise autorité, c’est l’influence de tout manque à son principe de neutralité, puis d’autorité de mon père, que s’attribue le désengagement militaire. Ceci reste une part dite scientifique, où l’on a tendance à véhiculer des conditions particulières ou familiales, serviles et crédules, où l’activité sensorielle est nuancée par des comportements étatistes.
C’est le moment d’inviter ce vocabulaire à sortir de sa condition, de sécuriser plutôt que mal juger autrement dit sans maintenir une pression sur moi en m’enfermant dans des applications qui ne peuvent me correspondre.
Pourtant la plus par des études scientifiques n’ont pas vocations à nuire, elles sont même conseillères à apprendre seul, à l’écart des livres de spécialistes comme à l’écart de tout discours scolaire parallèle et paradoxal d’aujourd’hui ou d’hier, mais ces études ne feront jamais reculer l’autre existence plus compliquée ou pas assez connue, l’armée qui est une existence parallèle, de la même façon, notre vie pré période plutôt que de ressentir avec amertume sur la force par sur influence, des bons ou des faux sentiments, Il est lassant de se voir annoncer aux différents protagonistes de cette affaire, que jamais ils n’ont ressentit que tout le monde a intériorisé, la même chose ; ceux qui fuit toujours devant leurs difficultés sont en proie à d’énormes oublis, les investigations avec la réalité ne collent pas, les impressions ou les nuances qui leur impose une sur culture, ce sont quand même une justice. On croit confirmer leurs conditions de vie outre des douleurs particulièrement discutables qui ne sont ni plus inventifs ni plus complets au fur et à mesure que leurs intelligences en fait foi.
Certains publics ont souvent sauter le pas de la psychiatrie comme un mensonge, il gît en la psychiatrie un vie péjorative
L’ordre se transforma de « rejoindre une infirmerie », sans compréhension aucune, j’étais en attente de voir et j’ai pu constater que l’enfermement à travers l’abus pratiqué a aussi relégué mes idées en dernier.