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10 novembre 2009
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Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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J'ai couvé un oeuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent.
Citations de Erasme
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Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Le docteur Mekki Yahia est praticien au laboratoire de virologie à l’hôpital Edouard Herriot et à la faculté Claude Bernard de médecine à Lyon, chef de service sérologie virale, membre de la commission du diagnostic prénatal des affections virales chez la femme enceinte, membre de l’association de suivi des transplantés d’organes et des greffes de tissus à Lyon.
Bediar Bouharket
Bédiar Bouharket est un modeste sculpteur originaire de la région de Sougueur . Il est ingénieur en physique de formation mais grand amateur de beaux-arts, il a d’ailleurs suivi une formation dans ce domaine dans les années 94/96 dans la ville italienne berceau de l’art, Florence
Kelouche Mohamed Kheir Eddine
Né le 17 décembre 1966 à Sougueur
http://nadorculture.unblog.fr/2008/08/24/kelouche-mohamed-kheir-eddine/
Zami Mohamed
Né le 25 janvier 1972 à Sougueur.
http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/31/zami-mohamed-cv/
Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud est journaliste au Quotidien d'Oran. Il y tient la chronique « Raïna Raïkoum », réputée pour son franc-parler et la clarté de ses analyses.
, شكرا جزيلا على زيارتكم و نتمنى عودتكم
12 novembre 2009 à 20 08 54 115411
Culture (Jeudi 12 Novembre 2009)
Concert littéraire
L’absurde histoire d’“Uncle Claude”
Par : Amine Idjer
Sur des airs blues et des mots limpides, le duo Yann Apperry-Claude Barthélémy invita le public présent, mardi passé, au Centre culturel français d’Alger, à découvrir “Steel Blue”, la dernière création de Bruit Blanc.
C’est l’histoire d’un poète français qui voulait se réincarner ou se transformer en un bluesman noir américain. Pour ce faire, il fera un pacte avec le diable ou un de ses serviteurs. Cependant, le prix à payer est cher : il perdra sa fille dans une rivière, emportée par les torrents… C’est en ces quelques phrases qu’on peut résumer l’histoire qui nous a été contée et chantée par le duo Yann Apperry (romancier et auteur de pièces de théâtre) et Claude Barthélémy (musicien, compositeur et chef d’orchestre).
Sous un éclairage mi-feutré, mi-ambiant, les deux artistes avaient pris possession de la scène, nous invitant à un voyage aux États-Unis. Une traversée dans le registre folk & blues et même vaudou en compagnie d’un bluesman noir et de son neveu blanc venu du Montana, à la Nouvelle Orléans.
Une histoire très rocambolesque, avec beaucoup de rebondissements… ça va, ça vient, emportant le spectateur dans un tourbillon d’évènements, un spirale qui n’en finit pas. Grattant une guitare acoustique, Claude Barthélémy joue des airs très blues, rappelant l’Amérique du temps des plantations de coton et de canne à sucre, où les travailleurs (tous des esclaves venus d’Afrique) chantaient leur quotidien, leur peine…
Cette musique accompagnait Yann Apperry qui, d’une voix très nuancée et joueuse, racontait l’histoire. Il l’interprétait plutôt. Jouant et titillant les mots, le narrateur nous transportait. Le spectateur vivait de plus près l’histoire du personnage principal “Uncle Claude”. Il était avec lui, le suivant pas à pas, comme son ombre.
Ses péripéties — souvent rigolotes de par leur côté grotesque, voire ubuesque — sont aussi ponctuées de chansons, toutes des compositions personnelles de Claude Barthélémy et les textes de Yann Apperry. Même si certaines d’entre elles rappellent des classiques du répertoire blues afro-américain. Uncle Claude a des moments d’éveil ou de conscience. Se rendant compte de l’absurdité de son pacte, surtout que sa fille périt… Très rythmé, ce concert littéraire dénotait par son mouvement qui souvent n’allait pas crescendo, mais attirait par les différents accents qui en ressortaient.
Pour rappel, Bruit Blanc est un répertoire développé par le duo Yann Apperry-Claude Barthélémy. Il a été créé en 2006, lors du Festival des Correspondances de Manosque. Depuis ce jour, le duo présente à chaque fois une création au public. Et ça été le cas, ce mardi, avec Stell Blue (qui signifie bleu acier en français).
Ce spectacle a été créé en Allemagne ; il mêle les langues et les idiomes musicaux.
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12 novembre 2009 à 20 08 56 115611
La 32 (Jeudi 12 Novembre 2009)
Il a reçu le prix des libraires algériens 2009
Hamid Grine : “Je suis ému”
Par : Amine Idjer
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C’est au milieu d’une assistance fort nombreuse que la cérémonie de remise du prix des Libraires algériens a eu lieu à la salle El-Djazaïr de la Safex, à Alger. Le prix de cette année, décerné par l’Association des libraires algériens (Aslia), a été remis à l’auteur Hamid Grine pour son dernier roman Il ne fera pas long feu, paru aux éditions Alpha.
Par ce prix, l’Aslia vient récompenser un talent, un style, une écriture et un succès. Dans son allocution d’ouverture, Mme Fatiha Soal, présidente de ladite association, a parlé de l’importance des librairies et du rôle que jouent les libraires. Le libraire est “une vitrine de la production éditoriale” de la société, dira l’oratrice. Toujours selon elle, si le choix de cette association s’est porté sur Hamid Grine, c’est que l’auteur correspond au mieux aux critères de sélection. C’est aussi “le chouchou des lecteurs, des lectrices et des libraires”, a-t-elle ajouté. Elle abordera, entre autres, le parcours du lauréat qui compte à son actif sept ouvrages dont deux vont être bientôt adaptés au cinéma. Et d’enchaîner que l’écrivain “à succès” et à “l’écriture réelle et courageuse” a sorti un CD audio en arabe et en français du roman La Nuit du henné. Se succéderont ensuite Sid-Ali Sakhri de l’Aslia et Lazhari Labter d’Alpha éditions, qui parleront, pour le premier, du dur travail des libraires, fustigeant au passage la presse, l’accusant presque de ne pas collaborer. Alors que le second fera l’éloge du lauréat. Pour plus de convivialité, des personnalités, mais surtout ses amis, tels que Azzedine Mihoubi, Fergani, Khomri… prendront la parole pour rendre hommage, à leur manière, au vainqueur.
Très ému, d’ailleurs, il le dira ; Hamid Grine prend enfin la parole pour exprimer sa joie et surtout remercier ces hommes et femmes qui se battent tous les jours pour promouvoir le livre, à savoir les libraires. Son émotion est due au fait que c’est la première fois qu’il prend la parole non pas pour parler d’une autre personne ou pour débattre d’un sujet quelconque, mais pour remercier ceux qui lui ont rendu hommage en lui décernant ce prix. À rappeler que depuis sa création, c’est la première fois cette année que le prix des Libraires algériens est décerné après et en dehors du Salon du livre qui s’est tenu récemment à Alger.
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12 novembre 2009 à 20 08 57 115711
Culture (Jeudi 12 Novembre 2009)
Commémoration de la mort du cheikh El Hadj M’rizek
Un album en guise d’hommage
Par : Hana Menasria
En hommage au quarante-cinquième anniversaire de la disparition d’un des plus grands maîtres de la chanson chaâbi, El Cheikh El Hadj M’rizek, un album regroupant ses titres-phares vient de sortir au plus grand bonheur des mélomanes.
Il est distribué gratuitement. En effet, le CD contient dix chansons, dont Lilah ya hali adrouni, El kahwa wa latey, Kifech hilti ou Ya el kadi, et tant d’autres, tirées de son riche répertoire. Cette initiative a été prise par l’Association des amis de la rampe Louni-Arezki (ex-rampe Vallée), présidée par M. Aït Aoudia. “Cette évocation se veut un hymne de reconnaissance et de gratitude à l’endroit d’un symbole culturel dont l’œuvre est immortelle”, peut-on lire sur le dépliant édité par ladite association. Cette reconnaissance avait entre autres débuté en septembre dernier par une journée “Mémoire, évocation, souvenir”, sous forme de communications, débats et témoignages sur la vie, le parcours et l’œuvre musicale du regretté artiste, animés par des experts en musicologie. Pour rappel, ce monstre de la musique s’est éteint en 1955 à la fleur de l’âge, il avait 43 ans. À ses débuts, attiré par le monde du hawzi, il était percussionniste à la derbouka puis il s’est reconverti au chaâbi, se caractérisant par une voix cristalline à travers un style exceptionnel. L’hommage rendu par l’Association des amis de la rampe Louni-Arezki l’a été dans le seul but de perpétuer le patrimoine musical dans le cœur des gens et faire en sorte que notre culture ne s’éteigne pas avec le temps mais surtout que ses musiciens de renom ne sombrent pas dans l’oubli.
Liberté
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12 novembre 2009 à 20 08 59 115911
Culture (Jeudi 12 Novembre 2009)
Souffles…
Les pleureuses intellectuelles
Par : Amine Zaoui
Je ne suis pas historien. Mais l’Histoire me fascine. M’interpelle. M’intrigue.
Face à cette “Chose qui est l’Histoire”, souvent, je me demande : pourquoi les musulmans, les Berbères et les Arabes ne réussissent à produire la civilisation que lorsqu’ils sont ailleurs. Quand ils sont dans un espace, une autre géographie qui n’est pas la leur ?
Pourquoi les Berbères et les Arabes, ces musulmans ont-ils grandement construit la civilisation en “Andalousie”, sur la terre de l’autre, et pas chez eux ?
Je ne suis pas historien, mais cette question m’habite, me torture !
Et pourquoi, une fois, ces Berbères et Arabes, chassés en 1492, peu importe la date, de cette “Andalousie”, n’ont pas pu construire une Chose pareille chez “eux”, à Fez, à Tlemcen, à Bougie, à Tunis, à Damas ou à Tripoli ?
Je ne suis pas historien, mais l’Histoire, notre histoire me hante !
Pourquoi ces Berbères et ces Arabes n’ont pas bâti, dans cette terre de l’islam, étendue de la mer jusqu’à la mer, de l’eau jusqu’à l’eau, des cités pareilles à celles de l’Andalousie ?
Je ne suis pas historien, mais en tant qu’écrivain romancier, je ne peux pas me passer de l’histoire !
Nous remémorons ce temps andalous musulman, un temps dit en or, et nous pleurons ce “paradis perdu”.
Nous n’arrêtons pas de faire toutes les sortes des éloges à cette période musulmane d’Andalousie, la qualifiant tantôt de la période de la tolérance : coexistence des religions, cohabitation de cultures et des langues, tantôt de l’âge de la liberté et de la raison : la liberté d’opinions et d’expressions.
Je ne suis pas historien, mais notre histoire me perturbe, me donne le vertige ! Nos historiens aussi !
Dans l’euphorie des éloges, nous oublions que sur cette même terre dite de tolérance, de cohabitation et de liberté, les livres d’Ibn Rochd (Averroès) (Cordoue 1126- Marrakech 1198), grand commentateur d’Aristote, ont été brûlés.
Merci au cinéaste Youcef Chahine qui, par son film (le Destin), nous a rappelé à une nouvelle lecture de l’Histoire.
Je ne suis pas Historien, mais j’adore lire et relire ce livre d’Ibn Hazm al Andalousi intitulé le Collier de la colombe (Tawk Al Hamama), un traité de l’amour.
.. et nous oublions que sur cette même terre, ce grand littérateur, historien, juriste, philosophe et théologien, c’est-à-dire Ibn Hazm (994-1064), a été chassé de la mosquée de Cortoba (Cordoue), où il enseignait et guidait la prière de fidèles.
Nous pleurons cette terre, ce “paradis perdu” !! et nous oublions que le dernier prince Boabdil, abattu en 1492 par les armées de la reconquête catholique, celui qui sa propre mère lui eut crié au visage : “Pleure, comme une femme, un royaume que tu n’as pas su défendre comme un homme”, c’est lui qui a fait la guerre à son père et l’a destitué pour régner, enfin, sur “rien”, sur la défaite. Sur les larmes !
Je ne suis pas historien, mais je n’ai jamais imaginé un “paradis” où le fils fait la guerre à son père !
Nous avons besoin de beaucoup de courage intellectuel, beaucoup de “raison” pour remonter notre histoire raisonnée.
Certes, ces Berbères et ces Arabes, ces Musulmans ont contribué à l’édification de l’Histoire de la civilisation humaine, avec toutes ses souffrances et ses joies, mais rien n’est pur, rien n’est parfait !!
Les juifs, comme les musulmans, eux aussi, étaient chassés de ce “paradis” !! dont ils ont participé à son édification.
Je ne suis pas historien, mais cette question m’irrite : pourquoi ces juifs chassés de l’Andalousie ont-ils pu surmonter leur défaite, leur souffrance et ont pu continuer à percer, dans l’Histoire de demain, dans l’argent, la politique et la science ?
Certes, la mémoire n’est pas le passé, mais il ne faut jamais mettre ce passé à la place de notre avenir.
Je ne suis pas historien, mais je ressens une profonde amertume en lisant quelques “pleureuses” de l’histoire.
A. Z.
aminzaoui@yahoo.fr
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12 novembre 2009 à 21 09 00 110011
Culture (Jeudi 12 Novembre 2009)
Sortir
Par :Rubrique Culturelle
Événement
Du 11 au 17 novembre 2009 : 2e édition du Festival culturel régional de la musique et de la chanson chaouies. Maison de la Culture de la wilaya de Khenchela.
Hommage
Un concert hommage pour Maâlem Benaïssa, organisé par la direction de l’animation de l’Oref, avec Joé Batoury, Mohamed Rouane, Africa Influence… Jeudi 12 novembre 2009, à 19h, à la salle Ibn Zeydoun.
Conférence
“La crise financière” par Gilles Finchelstein, délégué général de la fondation Jean-Jaurès et directeur des études d’Euro RSCG, jeudi à 14h30, au Centre culturel français d’Alger.
Concerts
Pour la première fois à Alger, le groupe Ma Valise animera un concert à la salle El Mouggar, jeudi 12 novembre 2009, à 19h.
ll Automne Elektronik : les Frères Teichmann et Kristian Raue de Berlin, concert de musique électronique, demain vendredi à 20h, à la salle Ibn Zeydoun (Oref).
rencontre
L’écrivain et journaliste José Lenzini animera un café littéraire sur Albert Camus, demain vendredi, à 15 au Théâtre régional Malek-Bouguermouh, à Béjaïa.
Cinéma
Les vendredis du cinéma des “Mille et une news” : spécial court métrage, demain vendredi à 17h, à la librairie d’Algérie News.
Dédicaces
L’auteur Bahia Amellal signera son ouvrage La ruche de Kabylie (1940-1975), paru aux éditions Achab, samedi 14 novembre à 14h, à la librairie des Beaux-Arts
Abdelkrim Tazaroute dédicacera son livre Guerouabi le triomphe (Anep éditions) le samedi 14 novembre à 14h30, à la librairie Errachidia (avenue Pasteur, Alger).
Salon national de la créativité
ll Du 9 au 13 novembre 2009, 2e édition du Salon national de la créativité (Anart), à l’auditorium du palais de la culture Moufdi-Zakaria (salles 1 et 2), Alger.
Expositions
Jusqu’au 26 novembre 2009 : “Lumière sur le noir” par le plasticien Pierre Fava, (tous les jours, sauf le week-end), au Centre culturel français d’Alger.
Jusqu’au 30 novembre 2009, exposition de peinture des artistes Marga Rjera, Djahida Houdef et Lamine Amor Idriss Dokman intitulée “A33”, niveau E, hôtel El-Aurassi, Alger.
SALON D’AUTOMNE
2e Salon d’Automne, au palais de la culture Moufdi-Zakaria, Kouba. Exposition de peintures, sculptures et photographies de différents artistes plasticiens algériens (jusqu’au 23 janvier 2010).
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