La Nuit
d’Elie Wiesel
Editeur : Minuit
Publication : 11/1/2007
Edition de Poche
Nombre de pages : 200 pages ISBN : 9782707319920
Première publication : 1958
Résumé du livre
Né en 1928 à Sighet en Transylvanie, Elie Wiesel était adolescent lorsqu’en 1944 il fut déporté avec sa famille à Auschwitz puis à Birkenau. La Nuit est le récit de ses souvenirs : la séparation d’avec sa mère et sa petite soeur qu’il ne reverra plus jamais, le camp où avec son père il partage la faim, le froid, les coups, les tortures… et la honte de perdre sa dignité d’homme quand il ne répondra pas à son père mourant. ‘La Nuit, écrivait Elie Wiesel en 1983 est un récit, un écrit à part, mais il est la source de tout ce quej’ai écrit par la suite. Le véritable thème de La Nuit est celui du sacrifice d’Isaac, le thème fondateur de l’histoire juive. Abraham veut tuer Isaac, le père veut tuer son fils, et selon une tradition légendaire le père tue en effet son fils. L’expérience de notre génération est, à l’inverse, celle du fils qui tue le père, ou plutôt qui survit au père. La Nuit est l’histoire de cette expérience.’
6 novembre 2009 à 10 10 00 110011
Avis de lilhazel09
Un livre magnifique ! L’écriture est naturelle et donc très simple. Nous connaissions l’histoire des camps, Elie Wiesel nous décrit la vie dans les camps. Des moments attendrissants des liens de la famille et de l’amitié jusqu’aux moments déchirants de… (je ne vous en dis pas plus !) Je le recommande vivement ! Il vous donnera des frissons !
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
6 novembre 2009 à 10 10 00 110011
La revue de [presse]
Télérama – Christine Ferniot (07 Février 2007)
Paru aux Etats-Unis en 1960, retraduit l’an dernier, le livre s’est vendu à plus de deux millions d’exemplaires. une victoire pour le prix Nobel de la paix (1986), qui écrivit ce texte ‘pour les jeunes d’aujourd’ hui, pour les enfants qui naîtrons demain’ . Pour éviter que l’histoire ne se répète.
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup