Eliezer Wiesel, né à Sighet (Roumanie) le 30 septembre 1928, est un écrivain américain de langue française. Il est Prix Nobel de la paix et consacre une partie de son œuvre à l’étude de la Shoah dont il est rescapé.
Biographie
Eliezer Wiesel a une enfance pauvre mais heureuse à Sighet, dans la région de Marmatie (Roumanie) d’abord épargnée par la guerre. Mais à 15 ans, il est déporté avec sa famille par les nazis à Auschwitz-Birkenau, puis Buchenwald. Il y perdra ses parents et sa sœur.
Libéré par les Américains, il passe une dizaine d’années en France, durant lesquelles il fait des études de philosophie à la Sorbonne. Il devient journaliste dans le quotidien israélien Yediot Aharonot, ce qui lui permet de parcourir le monde et de rencontrer d’importantes personnalités, des artistes, des philosophes, et des chefs d’États ; il se lie d’amitié avec François Mauriac (qui l’aidera à publier sa toute première œuvre, La Nuit) et Golda Meir.
À trente ans, il commence à décrire son expérience concentrationnaire, à témoigner pour les victimes de la Shoah. Ainsi commence une longue œuvre littéraire. Outre une quinzaine de romans, Élie Wiesel est l’auteur de trois pièces de théâtre, de nombreux essais traitant de sujets d’actualité, de judaïsme (avec notamment la série des Célébrations : hassidique, biblique, talmudique, prophétique, en attendant un prochain volume « mystique »), le lien entre tous ces ouvrages se situant dans la défense de la Mémoire. Plus qu’un romancier, un dramaturge ou un essayiste, Élie Wiesel se définit avant tout comme un « conteur ».
Devenu citoyen américain en 1963, il obtient une chaire en sciences humaines à l’université de Boston. Il a entre autres soutenu la cause des juifs d’Union soviétique.
Il se marie à l’âge de 41 ans et est père d’un enfant, Elisha.
Il fonde en 1980 le conseil de l’Holocauste américain. Décoré en 1984 en France de la Légion d’honneur, ayant reçu la Médaille du Congrès américain, fait docteur honoris causa par plus de cent universités, il reçoit le Prix Nobel de la paix en 1986.
Peu après avoir reçu le prix Nobel, il fonde avec son épouse la Fondation Élie Wiesel pour l’humanité. Durant plus de deux décennies, cette Fondation lutte pour la mémoire de l’Holocauste et contre l’indifférence, l’intolérance et l’injustice, en particulier en organisant des actions de dialogue international et de sensibilisation de la jeunesse[3]. Mais en décembre 2008, la Fondation annonce que la quasi-totalité de ses fonds propres (équivalant à 15,2 millions de dollars) se sont évaporés dans l’escroquerie montée par Bernard Madoff.
Il préside, depuis sa création en 1993, l’Académie universelle des Cultures.
Ses œuvres ont également reçu plusieurs prix littéraires.
Le 12 mars 2003, il écrit dans le San Francisco Chronicle : « Bien que je sois opposé à la guerre, je suis favorable à une intervention quand aucune autre option n’est possible, et telle est la situation présente, en raison des louvoiements de Saddam Hussein et de sa constante procrastination ». Élie Wiesel affirme croire Colin Powell, « un grand soldat et un homme qui n’aime pas la guerre », quand il affirme que l’armée irakienne possède des armes de destruction massives. Il a depuis regretté cette prise de position.
En octobre 2006, le Premier ministre israélien Ehud Olmert lui a proposé le poste de Président de l’État d’Israël, en remplacement de Moshe Katsav. Élie Wiesel a refusé l’offre en expliquant qu’il n’est « qu’un écrivain ».
En septembre 2008 sort son quatorzième roman, Le cas Sonderberg.
6 novembre 2009 à 9 09 35 113511
Bibliographie
En français :
* Et le monde se taisait (témoignage en yiddish vernaculaire, traduit/condensé en français sous le titre La Nuit – 1956)
* La Nuit (témoignage, éditions de Minuit – 1958 ; réédition en 2007 avec une nouvelle préface d’Elie Wiesel, ISBN 978-2-7073-1992-0)
* L’Aube (récit, éditions du Seuil – 1960)
* Le Jour (roman, éditions du Seuil – 1961)
* La Ville de la chance (roman, éditions du Seuil – 1962, Prix Rivarol 1964)
* Les Portes de la forêt (roman, éditions du Seuil – 1964)
* Le Chant des morts (nouvelles et textes, éditions du Seuil – 1966)
* Les Juifs du silence (témoignage, éditions du Seuil – 1966)
* Le Mendiant de Jérusalem (roman, éditions du Seuil – 1968, Prix Médicis 1968)
* Zalmen ou la folie de Dieu (théâtre, éditions du Seuil – 1968)
* Entre deux soleils (essais et récits, éditions du Seuil – 1970)
* Célébration hassidique : portraits et légendes, éditions du Seuil, 1972, 285 p.
* Le Serment de Kolvillàg (roman, éditions du Seuil – 1973)
* Ani Maamin : Un chant perdu et retrouvé (cantate, édition bilingue Random House – 1973), repris dans Un juif aujourd’hui (Voir la Cantate Ani Maamin sur une musique de Darius Milhaud pour chœur, orchestre, 4 comédiens : le récitant, Abraham, Isaac et Jacob. ed. Eschig)
* Célébration biblique (portraits et légendes, éditions du Seuil – 1975)
* Un Juif aujourd’hui (récits, essais, dialogues, éditions du Seuil – 1977)
* Le procès de Shamgorod tel qu’il se déroula le 25 février 1649 (théâtre, éditions du Seuil – 1979)
* Le Testament d’un poète juif assassiné (roman, éditions du Seuil – 1980, Prix Livre Inter 1980, Prix des Bibliothécaires 1981)
* Contre la mélancolie (Célébration hassidique II, éditions du Seuil – 1981)
* Paroles d’étranger (textes, contes, dialogues, éditions du Seuil – 1982)
* Le Golem, illustré par Mark Podwal (récit, éditions du Rocher – 1983, publié en français en 1998)
* Le cinquième fils (roman, éditions Grasset – 1983, Grand prix du roman de la Ville de Paris 1983)
* Signes d’exode (essais, histoires, dialogues, éditions Grasset – 1985)
* Job ou Dieu dans la tempête, avec Josy Eisenberg (essai, éditions Fayard-Verdier – 1986)
* Discours d’Oslo (éditions Grasset – 1987)
* Le crépuscule, au loin (roman, éditions Grasset – 1987)
* Silences et mémoire d’hommes (essais, histoires, dialogues, éditions du Seuil – 1989)
* L’oublié (roman, éditions du Seuil – 1989)
* Célébration talmudique (portraits et légendes, éditions du Seuil – 1991)
* Célébrations (édition reliée, éditions du Seuil – 1994)
* Tous les fleuves vont à la mer (Mémoires I, éditions du Seuil – 1994)
* Mémoire à deux voix, avec François Mitterrand (dialogues, éditions Odile Jacob – 1995)
* Se taire est impossible, avec Jorge Semprún (dialogue, éditions Arte / Mille et Une Nuits – 1995)
* … Et la mer n’est pas remplie (Mémoires II, éditions du Seuil – 1996)
* La Haggadah de Pâque, illustré par Mark Podwal (commentaires, éditions Le Livre de poche – 1997)
* Célébration prophétique (portraits et légendes, éditions du Seuil – 1998)
* Les juges (roman, éditions du Seuil – 1999)
* Le mal et l’exil : 10 ans après, avec Michaël de Saint-Cheron (dialogues, éditions Nouvelle Cité – 1999)
* Le roi Salomon et sa bague magique, illustré par Mark Podwal (récit, éditions Le Rocher-Bibliophane – 1999)
* D’où viens-tu ? (textes, essais, dialogues, éditions du Seuil – 2001)
* Le chant qui habite le chant, commentaires des Songes, énigmes et paraboles de Rabbi Nahman de Bratslav (essai, éditions Daniel Radford -Bibliophane – 2002)
* Le temps des déracinés (roman, éditions du Seuil – 2003)
* Et où vas-tu ? (textes, essais, dialogues, éditions du Seuil – 2004)
* Un désir fou de danser (roman, éditions du Seuil – 2006)
* Entretiens avec Elie Wiesel, avec Michaël de Saint-Cheron (dialogues, éditions Parole Silence – 2008)
* Le cas Sonderberg (roman, éditions Grasset – 2008)
En anglais, sans équivalent en français (liste non exhaustive) :
* A Journey of Faith (dialogues avec le Cardinal C. O’Connor – 1990)
* Conversations with Elie Wiesel (dialogues avec H.J. Cargas – 1976 et 1992)
* Hope Against Hope (entretiens de Johann Baptits Metz et d’Elie Wiesel avec Ekkehard Schuster & Reinhold Boschert-Kimming – 1999)
* Conversations with Elie Wiesel (dialogues avec R. Heffner – 2001)
* Elie Wiesel: Conversations (Robert Franciosi, editor – 2002)
* After the Darkness (essais – 2002)
* Rashi (essai – 2009)[9]
En anglais, avec plus ou moins d’équivalent en français (liste non exhaustive) :
* Legends of Our Time (essais – 1968)
* One Generation After (essais – 1971)
* Souls on Fire (essais – 1972)
* Messengers of God: Biblical Portraits & Legends (essais – 1976)
* Four Hasidic Masters (essais – 1978)
* Images from the Bible (essais – 1980)
* Five Biblical Portraits (essais – 1981)
* Somewhere a Master (essais – 1982)
* Against Silence: The Voice & Vision of Elie Wiesel (essais – 1985)
* The Six Days of Destruction (essais – 1988)
* From the Kingdom of Memory (essais – 1990)
* Sages and Dreamers: Portraits & Legends (essais – 1991)
* Evil and exile with Michaël de Saint-Cheron (conversations – 2000)
* Wise Men and Their Tales (essais – 2003)
Elie Wiesel a aussi participé non pas à la rédaction de livres mais à leur enrichissement en accordant à l’auteur un long entretien :
* Monsieur Chouchani, L’énigme d’un maître du XXe siècle (Salomon Malka – 1994)
* Le Roi David : une biographie mystique (Laurent Cohen – 2000)
Elie Wiesel est également l’auteur de nombreuses préfaces, postfaces (liste non exhaustive) :
* Veilleur, où en est la nuit ? (Alexandre Donat – 1967)
* La mémoire oubliée (Guy Suarès – 1979)
* Jérusalem l’irremplaçable (Jagodnik Franklin – 1980)
* Les enfants du Buchenwald (Judith Hemmendinger – 1984)
* Un monde disparu (Roman Vishniac – 1986)
* Histoire du Ghetto de Venise (Ricardo Calimani – 1988)
* Ces enfants qui nous manquent/Izieu, 6 avril 1944 (Antoine Spire – 1990)
* Le sionisme trahi ou les Israëliens du dimanche (Roger Ascot – 1991)
* Ma vigne à moi (Miriam Akavia – 1991)
* Why my Father died (Annette Kahn – ed. Simon and Schuster New York 1991)
* L’abandon des Juifs (David S. Wyman – 1992)
* Le Testament de Liou-Lio-Lian (Léon Leneman – 1992)
* La Prison n° 5 (Mehdi Zana – 1995)
* Un maillon dans la chaîne (André Neher – 1995), Ed.: Septentrion, coll.: Racines & modèles, (ISBN 2859394761)
* Coupable d’être née adolescente à Auschwitz (Simone Lagrange – 1997)
* Holy Brother. Inspiring Stories And Enchanted Tales About Rabbi Shlomo Carlebach (Yitta Halberstam Mandelbaum – 1997)
* Le Roi Salomon (Laurent Cohen – 1997)
* L’Âme d’Israël (Schlomoh Brodowicz – 1998)
* Le Livre et l’épée (David Weiss Halivni – 1999)
* L’homme qui ne s’arrêtait jamais (Pierre Huth – 1999)
* Être juif (Manès Sperber – 1999)
* Migrations et Errances (Académie universelle des cultures – 2000)
* Les Emeraudes de l’Étoile (Jean-Pierre Allali – 2001)
* Sauvé par le dessin : Buchenwald (Walter Spitzer – 2004)
* L’Alliance et l’exil (Ariane Kalfa – 2004)
* Convoi N° 6 : Destination : Auschwitz 17 juillet 1942 (Antoine Mercier – 2005)
* Là où il n’y a pas d’hommes, tâche d’être un homme… (Yael Vered – 2006)
* The Righteous Among the Nations: Rescuers of Jews During the Holocaust (Mordecai Paldiel – 2007)
* Lettres à maman, Par-delà l’enfer (Ingrid Betancourt – 2008)
* La Boxe ou la Vie (Noah Klieger – 2008)
* A Lucky Child: A Memoir of Surviving Auschwitz As a Young Boy (Thomas Buergenthal – 2009)
Sur Elie Wiesel (liste non exhaustive, certains de ces livres contenant des entretiens et/ou des inédits d’Elie Wiesel) :
* The Vision of the Void. Theological Reflections on the Works of Elie Wiesel (Michael Berenbaum – 1979) ISBN 0-8195-6189-4 PA
* Rire dans l’univers tragique d’Élie Wiesel (Joë Friedemann – 1981)
* Elie Wiesel : un message à l’humanité (Robert McAfee Brown – 1983)
* Elie Wiesel. Qui êtes-vous ? (Brigitte-Fanny Cohen – 1987)
* Elie Wiesel : Variations sur le silence (Myriam B. Cohen – 1988)
* Fou de Dieu ou dieu des fous. L’œuvre tragique d’Elie Wiesel. (Vincent Engel – 1989)
* Présence d’Elie Wiesel (David Banon – 1991)
* La paix pour destin (Daniel Morgaine – 1995)
* Une parole pour l’avenir (Michaël de Saint Cheron – 1996)
* Au nom du père, de Dieu et d’Auschwitz ; regards littéraires sur des questions contemporaines au travers de l’œuvre d’Elie Wiesel (Vincent Engel – 1997)
* Elie Wiesel en hommage (Ariane Kalfa et Michaël de Saint Cheron – 1998)
* Elie Wiesel : L’homme de la mémoire (Michaël de Saint Cheron – 1998)
* Celebrating Elie Wiesel. Stories, Essays, Reflections. (Alan Rosen – 1998)
* Choisir le français pour exprimer l’indicible. Elie Wiesel (Olivier Rota), in Mythe et mondialisation. L’exil dans les littératures francophones, Actes du colloque organisé dans le cadre du projet bilatéral franco-roumain « Mythes et stratégies de la francophonie en Europe, en Roumanie et dans les Balkans », programme Brâcuşi des 8-9 septembre 2005, Editura Universităţii Suceava, Suceava, 2006, rééd. in Sens, dec. 2007
* Elie Wiesel And the Art of Storytelling (Rosemary Horowitz – 2006)
* Is God Man’s Friend?: Theodicy And Friendship in Elie Wiesel’s Novels (Carole J. Lambert – 2006)
* Elie Wiesel : Un témoin face à l’écriture (Delphine Auffret – 2009)[10]
Elie Wiesel a participé à plusieurs documentaires. On citera trois films ayant pour sujet Elie Wiesel lui-même :
* Elie Wiesel ou La ferveur hassidique (Marlène Bertin, Marie Grinewald – 1982)
* Dire l’indicible : la quête d’Élie Wiesel (Judit Elek – 1997)
* Elie Wiesel – Messager de la mémoire (Emmanuel Descombes et Guy Job – 2008)[11
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Biographie d’Elie Wiesel
Prix Nobel de la paix en 1986, Elie Wiesel est un défenseur inconditionnel de la liberté, une valeur qui ne cesse de motiver son oeuvre littéraire. Déporté à Auschwitz alors qu’il n’a que 15 ans, il est le seul survivant de sa famille à la Libération. Recueilli en France par l’Oeuvre au secours des enfants, le jeune homme fait des études de philosophie à la Sorbonne. Son expérience de la Shoah, il la relate dès 1958 dans ‘La Nuit’, un récit publié avec l’aide de François Mauriac et qui s’est vendu depuis à plus d’1, 5 million d’exemplaires. Devenu citoyen américain en 1963, Wiesel obtient une chaire en sciences humaines de l’université de Boston. Fervent défenseur des droits de l’homme, ce révolté se bat sur tous les fronts et soutient aussi bien la cause des juifs soviétiques, que celles des Indiens du Nicaragua, des réfugiés cambodgiens, des Kurdes, ou celle des victimes de l’apartheid en Afrique du Sud. En 1980, il fonde le conseil de l’Holocauste américain. Auteur d’une trentaine d’ouvrages, l’écrivain multiplie les formes littéraires et les modes d’expression pour transmettre son message de paix. Ainsi, son oeuvre est constituée de romans : ‘Un désir fou de danser’, ‘L’ Oublié’, ‘Le Cas Sonderberg’, d’essais tels ‘Se taire est impossible’, ‘D’ où viens-tu ?’ et de pièces de théâtre comme ‘Zalmen ou la folie de Dieu’, ‘Le Procès de Shamgorod’. Comme le rappelle le titre du film réalisé à son sujet par Judih Elek, le but que se donne Elie Wiesel est de ‘dire l’indicible’ pour mieux le combattre.
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Les Prix Nobel de la paix
Elie Wiesel a reçu cette distinction en 1986
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Message de amaxi à Elie Wiesel
Bonjour Monsieur Wiesel,
Je m’appelle Béatrice. Je suis totalement bouleversée de pouvoir vous écrire ! J’ai pour vous une totale et inconditionnelle admiration.
Mes livres de chevet sont la Bible et ‘Tous les fleuves vont à la mer’, ‘Et pourtant…’
Je viens d’entendre à la radio qu’Israël vous pressentait pour entrer à leur gouvernement ! S’il vous plaît, Monsieur, restez loin de toute politique, quelle qu’elle soit : gardez votre bien le plus précieux : votre indépendance grâce à laquelle vous pouvez oeuvrer dans le monde pour la paix – Avec toute mon admiration.
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6 novembre 2009 à 9 09 37 113711
Message de RousselCath à Elie Wiesel
L’ecouter parler, c’est à la fois prendre une grande claque de verité, ça donne envie de lire, de vivre, de rêver, d’esperer aussi. On prend la vie, la paix en plein coeur, et on a qu’une envie après, c’est de la partager au plus vite pour changer le monde.
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6 novembre 2009 à 9 09 38 113811
Les citations d’Elie Wiesel
«Seule la prière approche de cette concision et de cette pureté qui fondent la vérité de l’écriture. Ecrire, c’est comme une prière, aller à l’essentiel.»
[ Elie Wiesel ] – Extrait d’un Entretien avec Antoine de Gaudemar – Octobre 1983
«La liberté de ne pas être libre est peut-être aussi une forme de liberté.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«Le fanatisme est aveugle, il rend sourd et aveugle. Le fanatique ne se pose pas de questions, il ne connaît pas le doute : il sait, il pense qu’il sait.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«Dieu se veut à l’origine de tous nos actes, et à leur dénouement aussi. Il est à la fois question et réponse.»
[ Elie Wiesel ] – Paroles d’étranger
«La mort, c’est le regard des vivants.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«Un être humain est libre, non quand l’autre ne l’est pas, mais quand l’autre l’est aussi.»
[ Elie Wiesel ]
«Parfois pour Dieu, souvent contre lui, et pourtant jamais sans lui.»
[ Elie Wiesel ]
«Quand l’enfant naît, il naît avec toutes les nuances du monde. Il a ses exigences, ses ambitions. C’est l’enfant en moi qui me créé.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«On ne souffre pas seul, on souffre toujours avec ceux qui souffrent à cause de votre souffrance.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«On est toujours plus ou moins exilé : du ventre de sa mère, ensuite de toute la famille, puis du lieu, du souvenir.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
«Ceux qui ne connaissent pas leur histoire s’exposent à ce qu’elle recommence…»
[ Elie Wiesel ]
«La paix n’est pas un don de Dieu à ses créatures. C’est un don que nous nous faisons les uns aux autres.»
[ Elie Wiesel ]
«Nous aimons notre enfance, nous y revenons, nous la jugeons, elle nous juge.»
[ Elie Wiesel ] – Mémoire à deux voix
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