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Le Grand Meaulnes

26 octobre 2009

Non classé

Le Grand Meaulnes

Le Grand Meaulnes

de Jean-Daniel Verhaeghe

[Drame]

Sortie en salle : 4 Octobre 2006

Sortie DVD : 16 Mai 2007

Film français en couleur, 2006, tout public

Durée : 1 h 40

Présentation
M. et Mme Seurel sont tous deux instituteurs à Sainte-Agathe, une paisible école de Sologne, dans laquelle étudie également leur fils François, 15 ans.
Un mois après la rentrée, un nouveau compagnon de 17 ans, Augustin, vient habiter chez eux. La personnalité mystérieuse et le charisme du nouveau lui valent rapidement d’être surnommé par les autres élèves ‘le grand Meaulnes‘. François et Augustin partagent la même chambre, et se lient d’amitié. Le nouveau va très vite provoquer la fascination et perturber le calme de l’école.


À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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4 Réponses à “Le Grand Meaulnes”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Une oeuvre aux multiples adaptations
    ‘Le Grand Meaulnes’ a déjà fait l’objet d’une adaptation en 1967. A l’époque c’est Jean-Gabriel Albicocco qui porte le roman à l’écran. On y retrouvait Jean Blaise, Alain Noury et Brigitte Fossey.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  2. Artisans de l'ombre Dit :

    TéléCinéObs – B.A. (7 octobre 2006)
    Une adaptation mortellement pantouflarde calibrée pour ne surtout choquer personne lors de sa diffusion télé, une vague histoire de fascination entre collégiens, sans oublier une double aberration de casting qui oblige le très introspectif Nicolas Duvauchelle à sourire comme un ravi de la crèche et l’ex-choriste Jean-Baptiste Maunier à arborer une moustache de carnaval.

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  3. Artisans de l'ombre Dit :

    le 8 Novembre 2006 par Thomas Flamerion

    Ah pour être fidèle, c’est fidèle ! Du pur cinéma pour les scolaires, histoire de faire semblant d’avoir lu le livre alors qu’on s’est contenté de voir le film. Seulement voilà, la poésie surannée de l’oeuvre d’Alain Fournier passe mal sur nos grands écrans du XXIe siècle. Les décors sont parfaits, la reconstitution soignée, mais ça ne suffit pas. A dire vrai, on croirait voir un vieux film, plein de charme, certes, mais d’un autre temps…
    Les acteurs font semblant, ils s’ennuient, et on s’ennuie avec eux. Nicolas Duvauchelle rejoue l’éternel adolescent rebelle – mine renfrognée et regard sombre -, il le fait si bien. Jean-Baptiste Maunier campe lui un bon fils fasciné par le rebelle, à la limite de l’enfant de choeur (oui, c’est facile, mais bon, fallait pas chercher). La jeune Clémence Poésy ne s’en sort pas si mal, tant son jeu semble nuancé dans cette galerie de portraits figés. C’est le roman qui veut ça, nous dira-t-on, mais peut-être justement aurait-il fallu tenter quelque fantaisie qui eut éveiller notre intérêt. On ressort de la séance bien déçu, se disant qu’un fond ce film n’apporte rien, voire ne provoque rien… Ah si, un fou rire, quand finalement, au bout de deux heures de somnolence, le visage de poupon de Jean-Baptiste Maunier se retrouve affublé d’une moustache à faire pâlir Dupond et Dupont. Ridicule !
    En somme, il ne s’agit pas là d’une adaptation, mais d’une copie, qui n’a pas le cachet de la version de Jean-Gabriel Albicocco en 1967, mais qui devrait trouver son public dans tous les bons collèges de France et de Navarre.

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  4. Artisans de l'ombre Dit :

    Extrait
    « Elle hésita, le regarda un instant en souriant et dit :
    Mon nom ?… Je suis mademoiselle Yvonne de Galais…
    Le nom que je vous donnais était plus beau, dit-il.
    - Comment ? Quel était ce nom ? fit-elle, toujours avec la même gravité.
    Mais il eut peur d’avoir dit une sottise et ne répondit rien.
    Mon nom à moi est Augustin Meaulnes, continua-t-il, et je suis étudiant. [...] »

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