L’oeuvre intégrale
de Jacques Brel
[Poésie]
Editeur : Robert Laffont
Publication : 21/9/1998
Quand le chanteur se fait poète
ISBN : 2221088492
18 octobre 2009
[Poésie]
Editeur : Robert Laffont
Publication : 21/9/1998
Quand le chanteur se fait poète
ISBN : 2221088492
Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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J'ai couvé un oeuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent.
Citations de Erasme
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Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Le docteur Mekki Yahia est praticien au laboratoire de virologie à l’hôpital Edouard Herriot et à la faculté Claude Bernard de médecine à Lyon, chef de service sérologie virale, membre de la commission du diagnostic prénatal des affections virales chez la femme enceinte, membre de l’association de suivi des transplantés d’organes et des greffes de tissus à Lyon.
Bediar Bouharket
Bédiar Bouharket est un modeste sculpteur originaire de la région de Sougueur . Il est ingénieur en physique de formation mais grand amateur de beaux-arts, il a d’ailleurs suivi une formation dans ce domaine dans les années 94/96 dans la ville italienne berceau de l’art, Florence
Kelouche Mohamed Kheir Eddine
Né le 17 décembre 1966 à Sougueur
http://nadorculture.unblog.fr/2008/08/24/kelouche-mohamed-kheir-eddine/
Zami Mohamed
Né le 25 janvier 1972 à Sougueur.
http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/31/zami-mohamed-cv/
Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud est journaliste au Quotidien d'Oran. Il y tient la chronique « Raïna Raïkoum », réputée pour son franc-parler et la clarté de ses analyses.
, شكرا جزيلا على زيارتكم و نتمنى عودتكم
18 octobre 2009 à 17 05 19 101910
Paroles Le Moribond
Jacques Brel
Artiste: Jacques Brel
Chanson: Le Moribond
Adieu l’Émile je t’aimais bien
Adieu l’Émile je t’aimais bien tu sais
On a chanté les mêmes vins
On a chanté les mêmes filles
On a chanté les mêmes chagrins
Adieu l’Émile je vais mourir
C’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
Car vu que tu es bon comme du pain blanc
Je sais que tu prendras soin de ma femme
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Je veux qu’on s’amuse comme des fous
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Quand c’est qu’on me mettra dans le trou
Adieu Curé je t’aimais bien
Adieu Curé je t’aimais bien tu sais
On n’était pas du même bord
On n’était pas du même chemin
Mais on cherchait le même port
Adieu Curé je vais mourir
C’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
Car vu que tu étais son confident
Je sais que tu prendras soin de ma femme
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Je veux qu’on s’amuse comme des fous
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Quand c’est qu’on me mettra dans le trou
Adieu l’Antoine je t’aimais pas bien
Adieu l’Antoine je t’aimais pas bien tu sais
J’en crève de crever aujourd’hui
Alors que toi tu es bien vivant
Et même plus solide que l’ennui
Adieu l’Antoine je vais mourir
C’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
Car vu que tu étais son amant
Je sais que tu prendras soin de ma femme
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Je veux qu’on s’amuse comme des fous
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Quand c’est qu’on me mettra dans le trou
Adieu ma femme je t’aimais bien
Adieu ma femme je t’aimais bien tu sais
Mais je prends le train pour le Bon Dieu
Je prends le train qui est avant le tien
Mais on prend tous le train qu’on peut
Adieu ma femme je vais mourir
C’est dur de mourir au printemps tu sais
Mais je pars aux fleurs les yeux fermés ma femme
Car vu que je les ai fermés souvent
Je sais que tu prendras soin de mon âme
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Je veux qu’on s’amuse comme des fous
Je veux qu’on rie
Je veux qu’on danse
Quand c’est qu’on me mettra dans le trou
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18 octobre 2009 à 17 05 21 102110
Paroles La Ville S’endormait
Jacques Brel
Artiste: Jacques Brel
Chanson: La Ville S’endormait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et la nuit peu à peu
Et le temps arrêté
Et mon cheval boueux
Et mon corps fatigué
Et la nuit bleu à bleu
Et l’eau d’une fontaine
Et quelques cris de haine
Versés par quelques vieux
Sur de plus vieilles qu’eux
Dont le corps s’ensommeille
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et mon cheval qui boit
Et moi qui le regarde
Et ma soif qui prend garde
Qu’elle ne se voit pas
Et la fontaine chante
Et la fatigue plante
Son couteau dans mes reins
Et je fais celui-là
Qui est son souverain
On m’attend quelque part
Comme on attend le roi
Mais on ne m’attend point
Je sais depuis déjà
Que l’on meurt de hasard
En allongeant les pas
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Il est vrai que parfois près du soir
Les oiseaux ressemblent à des vagues
Et les vagues aux oiseaux
Et les hommes aux rires
Et les rires aux sanglots
Il est vrai que souvent
La mer se désenchante
Je veux dire en cela
Qu’elle chante
D’autres chants
Que ceux que la mer chante
Dans les livres d’enfants
Mais les femmes toujours
Ne ressemblent qu’aux femmes
Et d’entre elles les connes
Ne ressemblent qu’aux connes
Et je ne suis pas bien sûr
Comme chante un certain
Qu’elles soient l’avenir de l’homme
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Sur le fleuve en amont
Un coin de ciel brûlait
La ville s’endormait
Et j’en oublie le nom
Et vous êtes passée
Demoiselle inconnue
À deux doigts d’être nue
Sous le lin qui dansait
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18 octobre 2009 à 17 05 21 102110
Paroles Jef
Jacques Brel
Artiste: Jacques Brel
Chanson: Jef
Non Jef t’es pas tout seul
Mais arrête de pleurer
Comme ça devant tout le monde
Parce qu’une demi-vieille
Parce qu’une fausse blonde
T’a relaissé tomber
Non Jef t’es pas tout seul
Mais tu sais que tu me fais honte
A sangloter comme ça
Bêtement devant tout le monde
Parce qu’une trois quarts putain
T’a claqué dans les mains
Non Jef t’es pas tout seul
Mais tu fais honte à voir
Les gens se paient notre tête
Foutons le camp de ce trottoir
Allez viens Jef viens viens
{Refrain:}
Viens il me reste trois sous
On va aller se les boire
Chez la mère Françoise
Viens il me reste trois sous
Et si c’est pas assez
Ben il me restera l’ardoise
Puis on ira manger
Des moules et puis des frites
Des frites et puis des moules
Et du vin de Moselle
Et si t’es encore triste
On ira voir les filles
Chez la madame Andrée
Parait qu’y en a de nouvelles
On rechantera comme avant
On sera bien tous les deux
Comme quand on était jeunes
Comme quand c’était le temps
Que j’avais de l’argent
Non Jef t’es pas tout seul
Mais arrête tes grimaces
Soulève tes cent kilos
Fais bouger ta carcasse
Je sais que t’as le cœur gros
Mais il faut le soulever
Non Jef t’es pas tout seul
Mais arrête de sangloter
Arrête de te répandre
Arrête de répéter
Que t’es bon à te foutre à l’eau
Que t’es bon à te pendre
Non Jef t’es pas tout seul
Mais c’est plus un trottoir
ça devient un cinéma
Où les gens viennent te voir
Allez viens Jef viens viens
{Refrain}
Viens il me reste ma guitare
Je l’allumerai pour toi
Et on sera espagnols
Comme quand on était mômes
Même que j’aimais pas ça
T’imiteras le rossignol
Puis on se trouvera un banc
On parlera de l’Amérique
Où c’est qu’on va aller
Quand on aura du fric
Et si t’es encore triste
Ou rien que si t’en as l’air
Je te raconterai comment
Tu deviendras Rockfeller
On sera bien tous les deux
On rechantera comme avant
Comme quand on était beaux
Comme quand c’était le temps
D’avant qu’on soit poivrots
Allez viens Jef viens viens
Oui oui Jef oui viens
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