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L’oeuvre intégrale de Jacques Brel

18 octobre 2009

1.Lu pour vous

L’oeuvre intégrale

L’oeuvre intégrale

de Jacques Brel

[Poésie]

Editeur : Robert Laffont
Publication : 21/9/1998

Quand le chanteur se fait poète

ISBN : 2221088492

À propos de Artisan de l'ombre

Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui

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3 Réponses à “L’oeuvre intégrale de Jacques Brel”

  1. Artisans de l'ombre Dit :

    Paroles Le Moribond
    Jacques Brel

    Artiste: Jacques Brel
    Chanson: Le Moribond

    Adieu l’Émile je t’aimais bien
    Adieu l’Émile je t’aimais bien tu sais
    On a chanté les mêmes vins
    On a chanté les mêmes filles
    On a chanté les mêmes chagrins
    Adieu l’Émile je vais mourir
    C’est dur de mourir au printemps tu sais
    Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
    Car vu que tu es bon comme du pain blanc
    Je sais que tu prendras soin de ma femme
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Je veux qu’on s’amuse comme des fous
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Quand c’est qu’on me mettra dans le trou

    Adieu Curé je t’aimais bien
    Adieu Curé je t’aimais bien tu sais
    On n’était pas du même bord
    On n’était pas du même chemin
    Mais on cherchait le même port
    Adieu Curé je vais mourir
    C’est dur de mourir au printemps tu sais
    Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
    Car vu que tu étais son confident
    Je sais que tu prendras soin de ma femme
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Je veux qu’on s’amuse comme des fous
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Quand c’est qu’on me mettra dans le trou

    Adieu l’Antoine je t’aimais pas bien
    Adieu l’Antoine je t’aimais pas bien tu sais
    J’en crève de crever aujourd’hui
    Alors que toi tu es bien vivant
    Et même plus solide que l’ennui
    Adieu l’Antoine je vais mourir
    C’est dur de mourir au printemps tu sais
    Mais je pars aux fleurs la paix dans l’âme
    Car vu que tu étais son amant
    Je sais que tu prendras soin de ma femme
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Je veux qu’on s’amuse comme des fous
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Quand c’est qu’on me mettra dans le trou

    Adieu ma femme je t’aimais bien
    Adieu ma femme je t’aimais bien tu sais
    Mais je prends le train pour le Bon Dieu
    Je prends le train qui est avant le tien
    Mais on prend tous le train qu’on peut
    Adieu ma femme je vais mourir
    C’est dur de mourir au printemps tu sais
    Mais je pars aux fleurs les yeux fermés ma femme
    Car vu que je les ai fermés souvent
    Je sais que tu prendras soin de mon âme
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Je veux qu’on s’amuse comme des fous
    Je veux qu’on rie
    Je veux qu’on danse
    Quand c’est qu’on me mettra dans le trou

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  2. Artisans de l'ombre Dit :

    Paroles La Ville S’endormait
    Jacques Brel

    Artiste: Jacques Brel
    Chanson: La Ville S’endormait

    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Et la nuit peu à peu
    Et le temps arrêté
    Et mon cheval boueux
    Et mon corps fatigué
    Et la nuit bleu à bleu
    Et l’eau d’une fontaine
    Et quelques cris de haine
    Versés par quelques vieux
    Sur de plus vieilles qu’eux
    Dont le corps s’ensommeille

    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Et mon cheval qui boit
    Et moi qui le regarde
    Et ma soif qui prend garde
    Qu’elle ne se voit pas
    Et la fontaine chante
    Et la fatigue plante
    Son couteau dans mes reins
    Et je fais celui-là
    Qui est son souverain
    On m’attend quelque part
    Comme on attend le roi
    Mais on ne m’attend point
    Je sais depuis déjà
    Que l’on meurt de hasard
    En allongeant les pas

    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Il est vrai que parfois près du soir
    Les oiseaux ressemblent à des vagues
    Et les vagues aux oiseaux
    Et les hommes aux rires
    Et les rires aux sanglots
    Il est vrai que souvent
    La mer se désenchante
    Je veux dire en cela
    Qu’elle chante
    D’autres chants
    Que ceux que la mer chante
    Dans les livres d’enfants
    Mais les femmes toujours
    Ne ressemblent qu’aux femmes
    Et d’entre elles les connes
    Ne ressemblent qu’aux connes
    Et je ne suis pas bien sûr
    Comme chante un certain
    Qu’elles soient l’avenir de l’homme

    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Sur le fleuve en amont
    Un coin de ciel brûlait
    La ville s’endormait
    Et j’en oublie le nom
    Et vous êtes passée
    Demoiselle inconnue
    À deux doigts d’être nue
    Sous le lin qui dansait

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

  3. Artisans de l'ombre Dit :

    Paroles Jef
    Jacques Brel

    Artiste: Jacques Brel
    Chanson: Jef

    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais arrête de pleurer
    Comme ça devant tout le monde
    Parce qu’une demi-vieille
    Parce qu’une fausse blonde
    T’a relaissé tomber
    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais tu sais que tu me fais honte
    A sangloter comme ça
    Bêtement devant tout le monde
    Parce qu’une trois quarts putain
    T’a claqué dans les mains
    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais tu fais honte à voir
    Les gens se paient notre tête
    Foutons le camp de ce trottoir
    Allez viens Jef viens viens

    {Refrain:}
    Viens il me reste trois sous
    On va aller se les boire
    Chez la mère Françoise
    Viens il me reste trois sous
    Et si c’est pas assez
    Ben il me restera l’ardoise
    Puis on ira manger
    Des moules et puis des frites
    Des frites et puis des moules
    Et du vin de Moselle
    Et si t’es encore triste
    On ira voir les filles
    Chez la madame Andrée
    Parait qu’y en a de nouvelles
    On rechantera comme avant
    On sera bien tous les deux
    Comme quand on était jeunes
    Comme quand c’était le temps
    Que j’avais de l’argent

    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais arrête tes grimaces
    Soulève tes cent kilos
    Fais bouger ta carcasse
    Je sais que t’as le cœur gros
    Mais il faut le soulever
    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais arrête de sangloter
    Arrête de te répandre
    Arrête de répéter
    Que t’es bon à te foutre à l’eau
    Que t’es bon à te pendre
    Non Jef t’es pas tout seul
    Mais c’est plus un trottoir
    ça devient un cinéma
    Où les gens viennent te voir
    Allez viens Jef viens viens

    {Refrain}

    Viens il me reste ma guitare
    Je l’allumerai pour toi
    Et on sera espagnols
    Comme quand on était mômes
    Même que j’aimais pas ça
    T’imiteras le rossignol
    Puis on se trouvera un banc
    On parlera de l’Amérique
    Où c’est qu’on va aller
    Quand on aura du fric
    Et si t’es encore triste
    Ou rien que si t’en as l’air
    Je te raconterai comment
    Tu deviendras Rockfeller
    On sera bien tous les deux
    On rechantera comme avant
    Comme quand on était beaux
    Comme quand c’était le temps
    D’avant qu’on soit poivrots

    Allez viens Jef viens viens
    Oui oui Jef oui viens

    Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup

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