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Kamel Daoud lauréat
16 juillet 2009
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16 juillet 2009
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Natif de Sougueur ex Trézel ,du département de Tiaret Algérie Il a suivi ses études dans la même ville et devint instit par contrainte .C’est en voyant des candides dans des classes trop exiguës que sa vocation est née en se vouant pleinement à cette noble fonction corps et âme . Très reconnaissant à ceux qui ont contribué à son épanouissement et qui ne cessera jamais de remémorer :ses parents ,Chikhaoui Fatima Zohra Belasgaa Lakhdar,Benmokhtar Aomar ,Ait Said Yahia ,Ait Mouloud Mouloud ,Ait Rached Larbi ,Mokhtari Aoued Bouasba Djilali … Créa blog sur blog afin de s’échapper à un monde qui désormais ne lui appartient pas où il ne se retrouve guère . Il retrouva vite sa passion dans son monde en miniature apportant tout son savoir pour en faire profiter ses prochains. Tenace ,il continuera à honorer ses amis ,sa ville et toutes les personnes qui ont agi positivement sur lui
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J'ai couvé un oeuf de colombe, Luther en a fait sortir un serpent.
Citations de Erasme
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Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Ces réflexions sur la guerre ramènent à mon esprit cette éloquente citation de jean Rostand: »on tue un homme, on est un assassin, on tue de milliers d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu » les dieux de la guerre n’ont pas d’humanité la guerre est le pire cauchemar des enfants, leur bête noire .une endémie qui dissèque les familles, y sème la dissension et fabrique des veuves et des orphelins en série
Le docteur Mekki Yahia est praticien au laboratoire de virologie à l’hôpital Edouard Herriot et à la faculté Claude Bernard de médecine à Lyon, chef de service sérologie virale, membre de la commission du diagnostic prénatal des affections virales chez la femme enceinte, membre de l’association de suivi des transplantés d’organes et des greffes de tissus à Lyon.
Bediar Bouharket
Bédiar Bouharket est un modeste sculpteur originaire de la région de Sougueur . Il est ingénieur en physique de formation mais grand amateur de beaux-arts, il a d’ailleurs suivi une formation dans ce domaine dans les années 94/96 dans la ville italienne berceau de l’art, Florence
Kelouche Mohamed Kheir Eddine
Né le 17 décembre 1966 à Sougueur
http://nadorculture.unblog.fr/2008/08/24/kelouche-mohamed-kheir-eddine/
Zami Mohamed
Né le 25 janvier 1972 à Sougueur.
http://nadorculture.unblog.fr/2008/12/31/zami-mohamed-cv/
Né en 1970 à Mostaganem, Kamel Daoud est journaliste au Quotidien d'Oran. Il y tient la chronique « Raïna Raïkoum », réputée pour son franc-parler et la clarté de ses analyses.
, شكرا جزيلا على زيارتكم و نتمنى عودتكم
16 juillet 2009 à 4 04 02 07027
El Watan
Edition du 24 février 2009
L’info. au quotidien
Tlemcen Info
Maison de la culture
Le recueil L’arabe et le vaste pays de Ô présenté au public
Invité par la fondation Mohammed-Dib, avec la collaboration de la direction de la Culture, le journaliste et auteur Kamel Daoud présentera, ce jeudi à 16 h 30, à la maison de la culture Abdelkader-Alloula, son dernier recueil de nouvelles « La préface du nègre » comprenant aussi « L’ami d’Athènes », « Gibril au kérosène » et L’arabe et le vaste pays de Ô, publié aux éditions Barzakh.
Lauréat du prix Mohammed-Dib, session 2008, avec L’Arabe et le vaste pays de Ô, M. Daoud, connu aussi par ses chroniques « Raïna Raïkoun », publiées régulièrement au Quotidien d’Oran, est l’auteur de plusieurs œuvres dont « La fable du nain », « Ô Pharaon », entre autres. Auteur de talent, Kamel se caractérise par sa subtilité et sa sagacité, par un style particulier, « un nouveau style », comme qualifié par les membres du jury du prix Mohammed-Dib.
Par C. B.
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
16 juillet 2009 à 4 04 12 07127
Kamel Daoud, lauréat du Prix Mohammed Dib [Algérie]
dimanche 11 mai 2008, par Rédaction Journal3
Le Prix littéraire Mohammed Dib, une distinction qui récompense les jeunes écrivains algériens, est allé, cette année et pour sa troisième édition, à l’écrivain et journaliste Kamel Daoud pour son recueil intitulé « L’Arabe et le vaste pays de ô… ».
Lors de la remise de ce trophée, hier à l’auditorium de la Faculté de médecine « Docteur Benzerdjeb » de Tlemcen, la présidente de l’Association culturelle « la Grande Maison » a tenu à préciser, que « pour la 3ème session du Prix Mohammed Dib, décerné par la Fondation Dib, nous avons eu la joie de voir concourir un certain nombre de textes de bonne tenue, voire de très bonne tenue. Les jurés ont pu sélectionner quatre recueils de qualité. Il s’agit des textes : « L’Arabe et le vaste pays de ô » de Kamel Daoud, « Grenade » de Yamile Ghebalou Haraoui, le « Chuchotement des anges » de Kaouther Adimi, « Grains de folie » de Mohammed Houat.
Parmi ces recueils, celui intitulé « L’Arabe et le vaste pays de ô… » a suscité l’enthousiasme général et même une sincère admiration. Texte original et fort qui opère une passionnante alchimie où l’esprit d’analyse et un captivant travail métaphonique sont servis par une subite touche ironique, le tout pour traiter, avec pertinence et jubilation, du sujet épineux « qu’est-ce qu’être arabe aujourd’hui ? ». Et d’ajouter : « nous avons affaire à un écrivain qui saura s’affirmer dans le monde littéraire ».
Khaled Boumediene, Quotidien d’Oran (11 mai 2008)
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
16 juillet 2009 à 4 04 16 07167
Kamel Daoud remporte le prix littéraire Mohammed Dib
le 10 Mai, 2008 | Le matin
Ajuster la taille du texte:
Notre confrère du Quotidien d’Oran, Kamel Daoud, l’une des plus talentueuses plumes de la presse nationale, s’est vu décerner aujourd’hui samedi le prix littéraire Mohammed Dib qui récompense les « œuvres d’écriture. »
Notre cnfrère a été récompensé pour son recueil intitulé «L’Arabe et le vaste pays de ô…».
Ce prix littéraire qui se tient tous les deux ans (doté d’une somme de 1 million de DA), sponsorisé principalement par Sonatrach, a été remis à l’auditorium, pôle du centre-ville de l’université Abou Bekr Belkaïd. Pour cette troisième session, 22 œuvres ont été retenues et en fin de compte quatre participants ont été nominés. Les lauréats des deux dernières éditions sont Habib Ayoub et Hamid Ali Bouacida.
En sus de «L’Arabe et le vaste pays de ô…», Kamel Daoud est l’auteur de La fable du Nain (2002) et Ô Pharaon (Dar-El-Gherb-Oran), un roman sorti en 2005 dans lequel le journaliste décrit ce qu’une ville moyenne de l’Ouest algérien a enduré entre 1994 et 1997, sous la férule d’un seigneur de la guerre homosexuel, que la Propagande (le gouvernement du jour) a nommé maire en guise de reconnaissance et de récompense. Le récit commence par une lettre anonyme envoyée à Alger par un garde communal qui dénonce le maire. Ce dernier l’a obligé à monter dans son bureau orné du drapeau national et du portrait officiel du président de la République. La lettre est interceptée par les Yeux de la Propagande (la police politique), laquelle informe son protégé de la trahison et de l’ingratitude de celui à qui il avait offert son derrière.
L.M.
Dernière publication sur 1.Bonjour de Sougueur : Mon bébé, Justin, me manque beaucoup
25 juillet 2009 à 16 04 22 07227
Kamel Daoud, qui est un de mes chroniqueurs préférés, s’est toujours distingué par un humanisme ,une passion du progrés et de la justice inénarrableS.A la lecture d’un de ses romans , j’ai pu déceler d’emblée la vulnérabilité du poète et de l’humaniste.J’ éprouve toujours un plaisir infini à la lecture de ses chroniques.